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Ma femme Nadia devient une bonne salope

Ma femme Nadia devient une bonne salope



Quand j’ai connu Nadia à la fac de droit à Rabat, au quartier Agdal, elle avait 19 ans, elle était vierge. Moi à vingt, je ne l’étais plus depuis mes dix sept ans, mais sans connaître grand-chose aux positions et même je peux dire que je n’avais jamais « mangé de chatte », seulement quelques fellations « arrachées » à des filles de passage et bien sûr quelques prostituées.
Elle m’a fait attendre six mois et une promesse de mariage avant de me céder après un après midi de plage en maillot de bain deux pièces. Juste une heure avant de partir, à ma demande, elle a daigné enlever le haut, sans doute chauffée par cet acte qu’elle pensait incroyable de sa part, nous nous somment réfugiés dans une pignade prés des parkings.
Je dis que Nadia était chauffée par cet acte mais je dois dire que moi aussi lorsque j’ai remarqué que des hommes mariées ou non louchaient sur ses seins blancs m’irritait car j’étais très jaloux et en même temps cela m’excitait de penser qu’ils pouvaient la « convoiter ».
Je l’ai prise fougueusement sur un matelas d’aiguilles de pin, juste protégés par une serviette de bain, elle s’est donnée totalement, j’avais déjà eu la permission de lui caresser le sexe dans une salle de cinéma. Dans cette condition, pas possible de voir entre ses cuisses, ne serait-ce que pour mater ses poils pubiens qui étaient très mouillés mais là, c’était un vrai torrent qui déferlait dans sa toison blonde comme les blés, je l’ai prise deux fois de suite avant de nous laver sobrement à l’aide du reste de notre bouteille d’eau… j’ai omis de lui dire que j’avais entendu des branches craquer …
Ma déception a été grande lorsqu’elle a refusé de baiser le week-end suivant. Devant mon amertume, elle a cédé, il faut préciser que nous ne nous voyions que le dimanche après midi à cette époque là, ensuite tous les week-ends. Nous passions l’après midi du dimanche à découvrir tous les préliminaires possibles et des positions différentes. Un jour, dans son village, le bruit a couru qu’un voyeur assistait à nos ébats, vu le peu de crédibilité que les gens accordaient à cet homme, la chose est passée inaperçue, mais nous avons appris à prendre plus de précautions, cette nouvelle nous a plutôt échauffés les sens …
Des années plus tard, mariés et chez nous, nous nous donnions à corps perdus. A peine en voiture pour aller nous balader, nous nous posions la question : à quoi bon brûler inutilement du carburant ? Nous rentrions pour baiser comme des dingues. Nadia, à mon grand étonnement, devenait de moins en moins pudique.

– Karim chéri, touche ….
– Mais tu n’as pas de culotte ?
– Et pas de soutien-gorge non plus ! Ça ce voit ?
– Non
– Alors pourquoi s’en priver ?!
– Et ça te fait mouiller !
– C’est pour toi mon amour
– Allons nous balader dans le grand parc de la colline !
– Bonne idée !

De savoir qu’elle était nue sous sa robe me faisait bander, nous avons pris un sentier qui nous paraissait désert pour donner libre cours à nos fantasmes, ma main qui enserre sa taille descend lentement sur ses fesses puis, petit à petit, je fais remonter le tissu afin de toucher sa chair nue.

– Arrête Karim, nous allons croiser un mec !

J’arrête mais ne laisse pas retomber le pan de sa robe. Une trentaine de mètres plus loin, je me retourne, un type nous suit, j’attire ma chérie entre deux fourrés et l’enlace pour un baiser brûlant sans changer quoi que ce soit à mon comportement. Au contraire, je dénude carrément son beau cul ; le dos au chemin, elle ne voit pas l’homme qui s’est arrêté pour mater le cul nu de ma femme et ouvre sa braguette. Arc-boutés l’un sur l’autre, son vagin dégoulinant contre mon zob bandé, elle devient folle de désir. L’homme se masturbe et s’approche à pas lents, hélas ma femme devine une présence !

– Y a quelqu’un ?
– Oui mais il ne va pas te toucher, laissons-le se donner du plaisir !
– Il a sorti son zob ?
– Oui, il se branle, sa bite est grosse, tu veux la voir ?
– Non ! Non !

Malgré son refus, je reprends notre baiser et, imperceptiblement, je la fais pivoter de trois quarts, elle peut voir le manche décalotté à intervalles réguliers, à moins de trois mètres d’elle. Sa respiration s’accélère lorsque l’homme tente de poser une main sur sa fesse mais elle ne se dérobe pas pour éviter cette caresse, elle pousse un cri d’oiseau lorsque le contact charnel se fait.

– Touche-lui son zob ma chérie !

Pas de réponse, alors je lui prends un poignet et l’oblige à aller vers cette bite inconnue qui, j’en suis sûr, la tente. Elle maintient ses doigts crispés mais dés qu’elle ressent la chaleur « a****le », elle se lâche et empoigne le zob que l’homme lui abandonne en geignant de plaisir. Elle masturbe avec des mouvements désordonnés le membre collé sur sa cuisse. Comment va-t-elle réagir lorsqu’il va tout envoyer sur sa cuisse ? Les doigts étrangers ne restent pas inactifs, ils rejoignent les miens sur le mont de vénus poissé de sécrétions. Volontairement, je lui laisse le champ libre, ma femme ouvre encore son compas alors qu’elle sait très bien que ce n’est plus moi qui la doigte.
Petit à petit, je cesse de la maintenir contre moi et l’oblige à se tourner vers l’homme. Après une faible résistance, elle me laisse pour faire face à son séducteur qui l’enlace à son tour. Instinctivement, il plie les genoux pour amener sa queue face à la vulve bouillante.

– Chéri ? Que me fais-tu faire ? Il va me…. AHHHHHHHH !!!OUIIIIIIII !!! KARIMMMMM !!!!!

Ça y est, il vient de la pénétrer et je ne ressens aucune jalousie. Au contraire, c’est moi qui deviens voyeur et me masturbe frénétiquement en matant ce couple illégitime. L’accouplement ne dure qu’une minute mais ô combien intense pour tous ! L’étranger grommelle un merci avant de quasiment s’enfuir, la bite encore raide, sortie de la braguette.
Nadia se jette dans mes bras, ses seins montent et descendent sous la respiration saccadée.

– Baise-moi vite chéri !
– Je vais mélanger mon foutre à celui de ton amant
– Salaud, ce n’est pas mon amant, je n’aime que toi !
– Je plaisante mon amour … Ah merde, ça vient déjà !
– Vas-y, arrose moi !!

En trois minutes, son vagin a reçu deux bonnes rasades de sperme épais qui coulent le long de ses cuisses avant de tomber dans l’herbe. Avant même de me retirer de sa chatte, je fouille dans ma poche à la recherche de mouchoirs. Sans un mot, chacun nettoie son sexe, toujours sans un mot, nous rejoignons la voiture, même chose jusqu’à la maison où je redoute des explications orageuses.

– Chérie ? Ça va ?
– Karim, allons tous les deux sous la douche, je sens l’odeur de ce type et ça me dégoûte !

Baiser sous l’eau, c’est fantastique, la magie de l’amour reprend le dessus, j’en profite pour la questionner.
– Tu as aimé mon amour ?
– MMMMMMMMM !!!
– Nous recommencerons ?
– …
– Répond-moi franchement ma chérie !!!
– OUIIIIIIIIIIIII !!! Je veux me faire encore baiser !!! Prends-moi fort salaud !!!
– « ILS » te prendront tous tes trous, salope ?
– Oui, mais comme aujourd’hui, dans la nature !
– Là où nous étions ?
– Si tu veux
– Combien ? Deux ?
– Pour le moment, un seul avec toi ?
– Un gros zob ?
– Oui, une énorme pine de cheval !
– Tu la prendras partout ? Tu le suceras ?
– OUI ! Dans ma bouche, ma chatte, mon cul, aussi deux en même temps dans ma chatte !!
– Ma chaudasse adorée, je te promets qu’il t’ouvrira de partout !
– Laisse tout de même passer une semaine ou deux ! AHHHHHH !!! Défonce-moi !!!

La nuit a été agitée, je n’ai pas compté combien de fois j’ai déchargé, bouffé sa moule et son anus, heureusement que le lendemain était un dimanche ! Le goût de l’amour total encore en bouche, je plonge entre ses cuisses !
En me remémorant le site, je vois un endroit où je pourrais exhiber ma femme dans ce parc, vivement samedi prochain ! Sans nous concerter, je devine que ma femme n’a rien sous cette robe courte. Comme pour le retour de la semaine dernière, pas un mot ne fuse dans la voiture, ma main entre ses cuisses compense toutes phrases inutiles, je n’ose pas séparer les lèvres vaginales pour ne pas provoquer de fuites !
Je l’emmène directement vers ce lieu discret, un banc face à un buisson clairsemé qui sert certainement de refuge à des ébats discrets. Deux minutes avant qu’un homme ne nous repère facilement grâce aux cuisses découvertes, mais qui restent serrées jusqu’à notre choix sur l’individu qui aura le privilège de peloter ma femme
Pour ma part, le premier arrivé ferait bien l’affaire, la quarantaine, propre sur lui ! Pas très grand, râblé, je flaire en lui un mec viril, je regarde Nadia pour avoir son approbation, un haussement de sourcils me suffit.

– Il va repasser, ouvre tes jambes et agrandis ton décolleté !
– J’ai les miches …
– Je suis là chérie, je ne te lâche pas, attention le voilà !
– M’sieurs dames ….
– Bonjour

L’homme a ralenti pour entrevoir l’entrecuisse et la naissance des seins. Après avoir fait quelques mètres, il refait demi-tour et se dirige vers le buisson, c’est gagné ! Je prend un genou de ma femme et le passe sur le mien, rien de tel pour dégager l’entrejambe et montrer que la culotte a été oubliée. Un frôlement de branches, je devine la silhouette massive à travers le feuillage. Pour se donner une contenance et du courage, ma chérie se tourne vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Si nous voulons être tranquille, il ne faut pas rester longtemps sur ce banc et rentrer nous aussi dans cet abri feuillu.

– On y va chérie ?
– Si tu veux mon chéri…ne me lâche pas la main…
– Suis-moi … Il est là, bingo ! Si tu voyais son zob… Une vraie matraque !
– Tais-toi !

A quelques mètres, à demi caché derrière un arbre, l’homme dépoitraillé affiche un torse d’ours comme Nadia les aime. Il brandit une trique velue, noueuse et épaisse, un vrai démonte pneu ! Je me positionne et fais passer ma femme devant moi, elle se colle sur moi, les bras ballants. Lentement, en ne quittant pas notre gars des yeux, je remonte le bas de la robe comme un rideau de théâtre, jusqu’à dévoiler l’acteur principal : sa chatte !
A sa vue, l’homme fait un pas en avant, ma femme peut voir : il sortit de la braguette son manche qu’il agite comme un trophée.

– Écarte les pieds, chérie !
– Il est vraiment très gros celui-là ! Rien à voir avec ton zizi !
– Mouillée comme elle est, ta chatte va n’en faire qu’une bouchée ! Je vais lui montrer tes seins, lève les bras que je fasse glisser ta robe !

Nouvelle avancée du gars devant ce spectacle inespéré…

– Elle suce la petite brune ?
– Tu veux le sucer chérie ?
– Oui …
– Alors c’est le moment, je suis prêt à venir. Que votre femme se mette à genoux sur ma chemise !

Je lâche ma femme qui obéit, sa robe en corolle autour de sa taille ne gêne en rien n’importe quelle caresse. Elle empoigne cette grosse bite à deux mains il en dépasse assez pour lui remplir son gosier. Prudente, elle renifle le membre avant d’ouvrir en grand sa bouche : l’homme s’y engouffre rapidement. Je m’agenouille moi aussi derrière elle pour voir de très près ces vas et viens impressionnants : je m’imagine déjà le coulissement de cette matraque noueuse dans sa moule délicatement capitonnée, j’espère qu’elle ne va pas ameuter le quartier !
Soudain, elle hoquette et recrache la queue qui continue à spermer généreusement sur son visage et sa poitrine. Au lieu de se révolter, elle étale cette jouvence sur ses seins et passe une langue sur ses lèvres, elle relève la tête pour quémander un baiser :

– Embrasse-moi chéri, partage avec moi le goût de mon amant !
– Tu es sûre ?
– C’est ça ou je me rhabille !
– Approche …
– Pardon m’sieurs dames ?
– Oui ?
– Est- ce que je peux la baiser aussi ?
– Demandez-lui directement !
– Madame ? Puis-je vous pénétrer ?
– A condition que vous soyez doux, parce que votre engin me fait très peur !
– Je m’enfoncerais selon votre désir, votre petit abricot est si mignon, il y a fort longtemps que je n’ai pas baisé une aussi jeune et belle femme !
– A ton avis Karim, dans quelle position ?
– En levrette, ainsi tu pourras me sucer
– Tu surveilles qu’il ne me défonce pas, hein ?
– Mais oui, tourne ton cul vers lui, cambre-toi pour qu’il voie bien ta rondelle !

A peine le cul en l’air que l’homme lui lèche la raie. D’après ses réactions, la langue s’attarde longuement sur l’anus.

– Pas là ! Seulement la chatte !
– J’y viens …
– c’est bon, sa langue me pénètre comme une bite, chéri !
– Ça va détendre tes muqueuses, relâche-toi totalement !
– Je risque de péter …
– Ce n’est pas grave
– Karim ?
– Oui Nadia ?
– J’ai envie qu’il me baise maintenant !
– Vous entendez monsieur ? C’est le moment !
– Je lui aurais bien bouffé le cul encore un bon moment, ça coule de partout !
– Baisez-la !

Ma femme agrippe ma main et la serre à broyer mes phalanges. Mon « cocufieur », quasiment nu, se positionne au plus prés de la vulve saillante, il frotte longuement son champignon afin d’ouvrir la fente, sa maîtresse geint d’appréhension et d’impatience. Soudain, elle cesse d’agiter sa croupe, le gros zob commence à s’aventurer dans la grotte, je ne rate pas un mouvement des amants. A la façon dont ondule le cul de ma femme, je sais qu’elle y prend énormément de plaisir. Dire qu’il y peu, elle était sage comme une image !
Des onomatopées commencent à fuser, les coups de reins prennent de l’amplitude, l’homme poses ses mains sur les poignées d’amour et tire ma femme vers lui : les corps s’entrechoquent, le clitoris dégagé de toutes protections est violemment frappé par la grosse paire de couilles, les cris montent. Ma chérie jouit sans discontinuer, pourvu qu’il ne passe personne aux alentours !
Pris par cette scène hors du commun, j’en oublie de me faire sucer ! Son baiseur mugit et cesse toute action. Nadia redouble de lamentations lorsque les jets frappent le fond de son étui vaginal, puis, c’est le silence, seulement perturbé par les souffles haletants. Repue, ma femme se laisse tomber en avant, provoquant la désunion des sexes et la fuite des glaires sexuelles. Notre ami récupère sa chemise et part en murmurant un merci.

Désireux de planter ma queue dans le bourbier qu’il a laissé, et par souci de confort pour elle, je m’allonge et l’invite à se planter sur mon zizi. Elle se laisse aller sur moi, tellement éprouvée par la séance qu’il lui a infligée. Elle ne fait que contracter son vagin sur ma bite quand je vois s’avancer, sorti de nulle part, un autre mec qui se masse la verge.

– Continuez, ne vous gênez pas pour moi, je vous ai observés, qu’est-ce qu’il lui a mis ce con !
– Foutez-nous la paix, barrez-vous ! C’est fini !
– J’aimerais bien participer …elle a une chatte bien baveuse et un beau petit trou du cul !
– Pas question !
– Attends chéri, comment est-il monté ?
– Moyen, pourquoi ?
– Et si vous me preniez à deux ? Il est de bonne taille pour mes fesses
– Tu en veux encore ?
– J’ai envie de tester la sodomie, chéri. Son zob est juste comme il faut, pas trop gros !
– Quelle salope tu fais, où va-tu t’arrêter ? Bon, c’est la dernière fois, remets-toi en position, le cul en l’air et toi, tu la tires vite fait ! Tu a trois minutes, ensuite nous partons, et cette fois, tu me suces espèce de pute !

Le nouveau venu ne se fait pas prier. A peine collé derrière ma femme qu’elle pousse un cri de surprise, il vient de l’enfiler sans crier gare, sa queue glisse sur la mienne, une sensation nouvelle qui n’est pas désagréable. Au rythme où il est parti, il ne devrait pas dépasser les trois minutes et moi non plus … Une lamentation monte en puissance, ma femme sent l’orgasme monter, je suis au bord de lui balancer toute ma sauce quand le nouveau venu pousse un gueulement de porc qu’on égorge, sa queue frémit sur la mienne, nous jouissons tous les trois à la seconde près !
Nadia, à demi inconsciente, prend les jets de nos bites.
Le gars se retire sitôt la dernière goutte expulsée dans l’anus distendu. Le temps que nous nous dégagions de notre étreinte amoureuse, il a disparu. Nous nous rhabillons très vite afin éviter d’éventuels baiseurs !
FIN.

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