Il y a deux heures déjà que Milady m’a fait parvenir un message me signifiant qu’elle se languissait et qu’elle s’offrirait à moi si je venais au plus vite.
Mon sang ne fît qu’un tour, je manda immédiatement mon palefrenier afin qu’il prépare ma monture afin que je puisse partir séance tenante.
Ma gouvernante me prépara un nécessaire de voyage, de quoi victuailler en chemin et quelques vêtements de rechange.
Le soleil est bas, Brocéliande galope a vive allure.
Cela fait une heure et demi que je bas les pavés, la lune monte lentement dans le ciel, il faut que je ralentisse afin de ménager mon cheval.
Il marche au pas, j’en profite pour me sustenter et boire un peu de vin aux épices.
Le bruit des sabots m’hypnotise, je nous vois et …. non non je dois me concentrer sur ma route.
Je sollicite ma monture afin de la pousser un peu, il doit commencer à se faire tard, la lune est presque à son apogée.
Les paysages passent tels des fantômes aux formes fantasmagoriques, parfois un nuage d**** la lune tel une étole de mousseline, ce qui m’oblige à ralentir pour éviter tout incident.
Je passe un vieux pont de bois, leeeeentement et prudemment… de funestes craquements résonnent dans la nuit…puis le cataclop des sabots sur la pierre emplit ce monde énigmatique de la nuit. Ouf, c’est passé, il ne me reste plus que 3 lieues.
Brocéliande connaît le chemin, je peux baisser un peu ma vigilance et penser à ma Lady qui m’attend. J’espère que ce n’était pas des paroles en l’air, ou qu’elle ne s’est pas endormi ou pire qu’elle a prévenu ses gens afin que je puisse entrer en son domaine….
Au bout de la route une forme sombre et massive se dessine, quelques flambeaux illuminent les chemins de ronde, je m’approche…un grande porte en chêne massif garde l’entrée.
Je fait tinter la cloche trois fois, une petite fenêtre s’ouvre, derrière une grille en fer forgé parait le visage austère d’un homme.
Il me dévisage, « on vous attend », il fait claquer la plaque de bois qui sert d’ouverture dans la porte, rien.
Puis des grincements métalliques résonnent, la porte s’ouvre lentement et lourdement.
L’homme en arme, prend la bride de mon cheval, « je vais m’en occuper ». Il referme la gardienne de bois puis disparaît direction les écuries.
Uns lumière se balance à l’autre bout de la petite place, impatient je me dirige rapidement afin de rejoindre ma mi.
Je ne trouve qu’une vieille bonniche, elle me sourit et m’invite à la suivre, je comprend que je ne verrai pas mon amour tout de suite.
On monte un escalier, puis elle m’introduit dans une petite pièce tamisée par un petit feu de cheminée. Une douce odeur fleurie embaume l’air chaud.
Je sens les mains de la femme soulever mes habits, je me retourne et m’insurge, elle me regarde en rigolant, » je ne suis pas à votre goût Monseigneur? ça tombe bien, je ne suis pas là pour cela, vous ne comptez pas voir Madame comme ça? vous sentez la sueur le cheval et le crottin, allez, hop tout nu et dans la baignoire, je n’ai pas fait chauffé l’eau et mis des des huiles pour rien ».
Me voilà plongé dans un bain bienfaiteur, je ferme les yeux pendant que la vieille femme remet de l’eau chaude à l’aide d’une cruche en cuivre, puis elle me frotte le dos et la poitrine avec une grande éponge.
Je m’évade dans mes pensés, nous sommes ensemble, Milady et moi….
« je vois qu’il va falloir que vous sortiez rejoindre Madame rapidement sinon je crains pour ma vertu »
J’ouvre les yeux et … je comprend, mes divagations ont provoqué une belle érection, mon vit sort de l’eau.
Je suis un peu gêné, mais au rire de la servante je comprend qu’elle en a cure.
Je me lève, on me sèche. Je peut enfin vêtir mes habits de rechange.
Amélia (la vieille dame) me tend un candélabre en argent, et me dis que je suis attendu tout en haut de l’escalier de la grande tour.
Elle me montre le chemin de la main et disparaît dans la petite pièce. Je gravis les premières marches quand j’entends un plouf, je souris, je connais une servante qui profite d’un bon bain.
J’atteins enfin le sommet de cette interminable ascension, un joli palier de pierre s’offre à mes yeux, quelques chandeliers illuminent les tentures qui recouvre les murs.
Je balaye du regard ce qui m’entoure afin de trouver mon Graal.
Heureusement il n’y a qu’une seule porte, je frappe….rien
je refrappe….dans un doux grincement tu m’apparais
Vêtue d’une longue robe pourpre et bleue qui cache tes pieds, d’un bustier riche en broderies mettant en valeur une poitrine appétissante, et d’une petite coiffe couvrant à peine tes cheveux et qui se prolonge en un jeté de tissus derrière tu te dresse devant moi, souriante.
Je m’empresse à vouloir te prendre dans mes bras et ….
« Patience mon seigneur, nous ne sommes pas chez les vilains ici »
Tu prends ma main, me fais entrer et referme la porte… à clefs.
Tu passes devant et me guide, il y a peu de lumière. D’un geste délicat tu écartes des rideaux épais et nous fais traverser.
On se retrouve dans une très grande baignée de lumière.
Une imposante cheminée irradie de ses flammes l’air chaud, elle fait face à un lit à baldaquin est placé à son opposé.
Au milieu de la pièce un tapis en peaux d’ours recouvre le sol de pierre. Une table basse entourée de coussin y est trône. Fruits, liqueur, vin,…des douceurs pour nos papilles.
De petits meubles habillent le pourtour, secrétaire, armoires, coffres…
Tu te retournes et me fais face, mes mains se posent sur tes hanches, les tiennes se posent sur ma poitrine.
Tu te mets sur la pointe des pieds, je me penche, un long et doux baiser embrase nos lèvres.
J’approche ton bassin afin de coller ton corps au miens, mes mains glissent sur tes reins, tes lèvres se font fougueuses.
Puis sans prévenir tout s’arrête, tu te recules « posez vos chausses dans le petit vestibule, ici on se meut nu pied », tu relèves lentement le bas de ta robe, révélant tes jolis petons.
Je m’exécute, puis te rejoins.
Tu es lascivement assise sur des cousins, je m’assied à tes côtés sur ce parterre doux et moelleux.
« Avez fait bonne route mon ami? »
« Avec une invitation des plus fascinante, il ne pouvait être que bon »
Tu verses le contenu de la bouteille en grès dans les verres, puis tu m’en tends un et prend l’autre.
On trinque bras croisés, puis on porte le nectar à nos lèvres sans se quitter des eux.
Chacun pose son verre sur la table pour le reprendre suivant ses envies.
Je saisis une grappe de raisins et les mange un par un.
On parle de nos échanges épistolaires, de nos vies, de nos envies tout en se délassant.
« Pourriez alimenter le feu? »
« Je trouve qu’il fait bon, mais vos désirs sont des ordres Madame »
Je me lève, saisis une bûche placée à gauche de la cheminée et la pose dans le foyer où en repose trois autres. Elles sont de forte taille, presque des troncs. Il y a assez de bois pour chauffer la pièce toute la nuit et bien plus.
Je reprend ma place à tes côtés, immédiatement je remarque que tu as défait le lacet de ton corset, ta taille se trouve ainsi moins serrée et ta poitrine un peu plus libre. Le tissus baille laissant percevoir une large partie de tes seins.
Je feins de ne pas m’en apercevoir mais l’effet que cela me procure n’en est pas moindre pour autant.
« J’ai fin mon ami, nourrissez moi »
Je prend la grappe et l’approche de ta bouche, tu penches ta tête en arrière et att**** le premier raisin qui frôle ta peau.
Il craque entre tes dents puis tu le manges doucement en me regardant. Je recommence mais au moment où tu veux att****r un grain je relève la grappe pour la faire redescendre, d’un coup de tête tu arrives à l’agripper .
Ta bouche est pleine, tu te remets en position sans lâcher ta prise, je n’ai pas l’intention de me dé-saisir de mon raisin.
je tiens fermement tout en prenant mon verre de mon autre main.
je prend une gorgée, tu me regardes en me défiant.
J’approche mes lèvres des tiennes, tu serres les dents en grognant.
Je laisse sortir un peu de vin entre mes lèvres, celui ci se déverse sur tes dents, surprise tu relâches ton étreinte sur la grappe, je la récupère mais quelques grains se détachent et tombent dans ton décolleté.
« Je vous ai dis que j’avais faim, pas soif….vous ne dite rien? auriez-vous la bouche pleine? »
Je pose mon verre et les fruits puis lève les mains pour signifier que je ne répondrais pas.
Tu prends ma tête entre tes mains et m’emporte sur toi en m’embrassant.
Le vin que j’avais en bouche se retrouve l’enjeu de ce baiser, nos langues dansent et nagent….
Douce étreinte alcoolique, qui ne dure que le temps de nos gorgées embrassées.
« J’ai gagné Monseigneur »
» Pas tout à fait Milady », je plonge ma tête dans ton cou, je le baise de mes lèvres, lentement en me délectant de ta peau, je descend sur ta gorge, mes lèvres passent et repassent, je fouille entre tes seins afin de trouver les grains de raisin.
Mes mains remontent le long de tes hanches, att**** le tissus du bustier, et l’écarte.
Je prend un deuxième raisin en bouche pendant que mes mains passent sous ta poitrine puis la prennent fermement…
« Je crois que vous les avez tous attrapés… »
« Non Madame, il en reste encore »
Tout en massant tes seins, je prends en bouche les raisins naturelles siégeant au centre de tes aréoles.
Je les aspire, les tète, les mordilles, je joue avec ma langue dessus…
« Ce n’est pas des raisins Monsieur »
« Vous savez, dans le doute je préfère m’en assurer, Madame »
« Faites, faites effectivement il faut en être certains »
Je continue, passant d’un sein à l’autre….
Tes mains passent sur ma tête, caressent mes cheveux et passent sur tes hanches.
Elles remontent ta robe.
« Je suis certaine que cela n’en était point Monsieur, mais je crois qu’un raisin est peut-être descendu plus bas que mon corset »
Je me redresse interloqué, tu en profite pour remonter complètement ta robe sur ton ventre, laissant apparaître ta noble toison.
« Vous voyez Monseigneur, je crains qu’il y en est un de caché ici »
« Ce serait inquiétant, il est de mon devoir de faire une inspection approfondie «
N’écoutant que mon courage je passe mes mains sur tes cuisses, effleurant ta peau, et les écartant afin de bien pouvoir voir où ce raisin aurait pu se cacher.
Allongée sur les coussins et les peaux d’ours, jambes écartées tu passes tes mains sur tes hanches et ton ventre.
« Voyez-vous quelques chose mon amie? je suis inquiète »
« Votre inquiétude transpire par les gestes de vos mains ma mie »
tes mains passent sur ta poitrine, tu l’effleures du bout des doigts, tu prends tes tétons, les fais rouler, les étires…tu prends aussi de temps en temps fermement tes seins en mains et tu les masses.
« Voyez comme je suis troublé, trouvez ce raisin, je vous en prie »
Mes mains glissent sur l’intérieur de tes cuisses, et se rapproche de ta toison.
Mes pouces, placés de chaque côté de tes lèvres massent ton intimité par petits cercles et de haut en bas….
Puis, tout en appuyant, ils écartent tes lèvres.
« Hmmmm je crois que je le vois »
« mangez le, aspirez le , faites ce que vous avez à faire…. » me dis-tu tout en continuant à te caresser.
Ma tête s’enfonce entre tes cuisses, ma langue passe autour de tes lèvres pendant que mon pouce droit dessine de petit cercle sur ton bouton d’or.
Ma langue continue son inspection extérieure, puis elle s’insinue dans ton petit nid, elle fouille de bas en haut, de gauche à droite, elle se plie et se déplie et va d’avant en arrière, nul recoins ne doit être oublié….
je prend entre mon pouce et mon index ton bouton, il roule, je l’étire, j’appuie plus ou moins fort….
« je crois que je l’ai trouvé »
« vérifié s’il vous plaît »
je prend entre mes lèvres ce bouton si délicieux, je l’aspire et le tète, longuement, si enivrant qu’il me chavire.
Je t’entend gémir « d’inquiétude » bien évidemment.
J’insiste longuement puis m’arrête et me redresse.
Je te regarde, tes mains posées sur tes seins, tes tétons emprisonnés entre tes index et tes majeurs.
Ce spectacle m’enivre, j’ai très chaud trop chaud, et tu le vois.
« enlevez votre chemise Monsieur, vous serez plus à l’aise »
Je défais les cordelettes qui ferment le devant et fais tomber ma chemise sur le tapis.
« Mon ami, êtes-vous certain de l’avoir cherché partout? »
« oui oui Madame »
« Non je ne pense pas, réfléchissez un peu diantre, je ne supporterai pas que vous ne le retrouviez pas ».
Je te regarde et vois que tu es très très inquiète, ton corps et tes gestes ne me trompent pas.
Je réfléchis…ma langue bien qu’agile n’était pas assez longue….
Je regarde la table, au milieu des mets et boissons une petite fiole d’huile est posée…certainement pour les massages.
Je la prend, enlève le petit bouchon de liège et fais couler un filet sur ton intimité tout en faisant faire de petits vas-et-viens avec deux doigts.
Ils entrent très facilement; je fais couler l’huile sur ma main.
Lentement je vais et viens en toi, tout d’abord deux doigts, puis trois.
toujours doucement mais profondément …
Ton inquiétude se manifeste par une augmentation de tes gémissements et de tes caresses.
« Vous……vous….. trouveeeeeez?….. »
« non toujours pas »
« con….con…continuez…. »
D’avant en arrière mes doigts pilonnent ta grotte humide et chaude.
Mon petit doigt rejoint ses camarades, je fais fais couler encore un peu d’huile sur tes lèvres et ma main.
Je glisse en toi, ton bassin se cambre, mes vas-et-viens se font en tournoyant ma main.
Je ralentis et place mon pouce dans ma paume puis enfonce doucement en toi…
douuuucement douuuucement en tournant afin de trouver la position la plus confortable pour toi.
Quand arrive le moment où elle disparaît entièrement.
Je la laisse en place et la fait tourner, tout en faisant danser mes doigts, et en les pliants et les dépliants….
Rien je ne trouve pas ce raisin….
Je ferme mon poing, et fait de légers vas-et-viens sans sortir ma main, je vois tes lèvres s’écarter plus ou moins… je sens monter en moi un désir bestial de te prendre.
Je replace mon pouce dans ma paume et sort ma main, tes lèvres s’écartent puis se referment, ma main s’avance, écarte ton intimité pour y disparaître, puis en ressort, re rentre et ressort re rentre et ressort
mon pouce gauche se oint d’huile en se frottant contre tes cuisses, puis se dirige vers ton anus.
Il le masse délicatement en petits cercles tout en appuyant doucement, doucement doucement jusqu’à ce qu’il s’enfonce lentement en toi.
Copiant les mouvement de la main droite il entre et sort…..
Prise ainsi je te regarde, mon sexe est raide et demande à jouer avec toi, mais pas tant que je n’aurai pas trouver ce fruit défendu et caché.
Tes caresses me procurent une monté violente et délicieuse, je suis prêt à craquer.
Ma main continue tel un étalon sur sa jument à te prendre longuement et profondément et ce jusqu’à ce que je t’entende crier de plaisir….
Je sens tes muscles enserrer mon poignet par spasmes plus ou moins fortement, ta respiration se fait erratique et forte, ton bassin se cambre, tes mains se resserrent fermement sur tes seins, tes cuisses se mettent à trembler et….un gémissement doux et long sort de ta bouche.
Quand tu reprends tes esprits je fais sortir ma main, m’approche de toi et t’embrasse longuement et passionnément.
Tu te places contre mon corps et je t’enlace, on regarde les flammes danser pour nous tout en dégustant le bon vin à disposition.
Après quelques minutes je me lève, me dirige vers le bassinet à côté de la cheminée et y plonge mes mains. L’eau est chaude, les herbes aromatiques sentent bon.
Je m’essuie avec un linge posé à proximité.
Il fait tellement chaud que j’enlève mon bas et me retrouve nu comme au premier jour. Les flammes irradient de leur chaleur ma peau, je me retourne et te regarde, tu es nue, allongée, en train de manger des fruits ton verre à tes côtés…une déesse romaine.
Mon corps chauffé par le feu de la cheminée et de celui qui brûle en moi, je vais vers toi en te regardant. Ton regard me transperce, il est pétillant.
Avant de m’asseoir je te contemple. Ta peau, luisante de par les efforts récents, se pare de mille reflets à la lumière des bougies.
« regardez ce que je viens de trouver entre deux coussins, le fameux raisin qui nous a créé tant de difficultés »
Tout en prononçant ces quelques mots, tu me souris ironiquement.
« il s’était bien caché, après tout les efforts que vous m’avez fait faire, je suis en droit de le réclamer »
« venez le prendre, il est tout a vous », et tu le coince entre des dents.
Je m’approche, att**** le raisin quand tu le coupes en deux parties.
J’en profite pour t’embrasser, aspirer ta lèvre,ta langue et m’étendre sur ton corps.
Mon sexe, tendu et bien raide glisse sur le bas de ton corps huilé.
Mes mains passent dans tes cheveux et glissent sur ta peau pour la visiter entièrement.
Tu fermes tes cuises, emprisonnant mon membre entre elles.
Par de petits mouvements de bassin il bouge, appréciant ce fourreau inattendu.
Je baise tes joues, ta bouche, ton menton, ton cou…
mes mains prennent appuie sur le haut de tes hanches, mon vit lime fortement et doucement entre tes douces cuisses que tu serres fermement.
Je me retire, débarrasse rapidement la table, pose de nombreux coussins que je recouvre d’une fourrure.
Mains tendues vers toi, je t’invite à t’allonger dessus.
Elle est grande et fine, telle que de chaque côté de ton corps il y a le vide.
Moi debout, ton corps m’arrive juste en dessous de mon bassin.
Je me place de façon à promener mon sexe sur ta peau, je le fais glisser sur tes mollets, tes cuisses, tes pieds, je lui fait goutter la peau de tes membres inférieurs.
Je fais quelques pas de côté, je le fais aller sur tes hanches, un peu ton ventre, le flan de tes seins…
À porté de main, tu me caresses les cuisses, puis joues avec les jumelles.
j’en profite pour passer mes doigts et mes mains sur ton ventre et ta poitrine.
Tes tétons repointent sous l’effleurement, que j’aime te caresser.
Tu empoignes mon bâton et de ta main habile me donne du plaisir.
Au bout de deux ou trois minutes, je me recule puis me place derrière ta tête, tu bouges ton corps vers le haut de manière à pouvoir basculer ta tête en arrière.
Tu me manges du regard, je fond.
Doucement je me rapproche, prend mon sexe à sa base avec mon pouce et mon index et fait glisser le gland sur ton visage, doucement et tendrement.
Le fortement de cette peau ultrasensible sur la tienne me donne des décharges de plaisir.
Tu penches un peu plus ta tête, je le fait passer sur ton menton, lui fait parcourir le tour de tes lèvres…
Je n’ai pas le temps de réfléchir que tu le prends en bouche et l’aspire doucement.
Du bout de mes doigts je caresse ton visage en te regardant faire.
Tes yeux me cherchent, me scrutent, ils guettent la réaction qui te dévoilera ce qui me fait défaillir.
Tu continues pendant que je fais de très légers vas et viens, jusqu’au moment où tu te mets à aspirer fortement par à-coups plus ou moins longs.
A cet instant je me penche et prend appui sur le bas de ton ventre pour éviter de perdre mon équilibre.
Mon souffle se fait cours et rapide, tes mains se posent sur mes fesses…
Tu attires mon bassin puis le repousses te rendant maîtresse de mes mouvements.
Tu joues avec moi et avec mes limites… jusqu’au moment ou je vais venir tu arrêtes tout
« voyons Monseigneur, on ne va pas finir tout de suite »
Déçu et content à la fois je me redresse et t’aide à te lever, je caresse tes épaules puis ton cou.
On s’embrasse tendrement.
Tu te diriges vers un bassinet qui se trouve prêt du lit, prends un linge le mouille puis le dépose sur ma verge, me voilà transformer en porte serviette.
Le frais de cette humidité calme la monté de mes ardeurs.
On se sustente tout en échangeant de doux mots et de tendres caresses.
Je regarde les tableaux et tentures qui ornent les murs.
« Je vois que vous appréciez les chevaux, vous montez souvent »
« Effectivement j’aime ces animaux, quand je monte je me sens libre, j’aime cette sensation de puissance et de vitesse. Savez-vous que je ne monte pas en amazone comme le voudrait l’étiquette mais comme un homme, cela me semble plus pratique et naturelle. Mais je ne monte pas aussi souvent à cause de mon rang. Dans mes écuries j’ai 3 étalons 4 juments et 6 poulains pour mon usage personnel. Oracius, mon homme de confiance s’en occupe merveilleusement. Un des moments que je ne raterais pour rien au monde est la saillie. Voir l’étalon tourner autour de la jument puis la monter vigoureusement….ça me donne parfois envie de devenir jument (rire). Vous devez me prendre pour une folle… »
« Absolument pas très cher, je trouve cela excitant »
D’un geste tu att****s la serviette, en prends les extrémités et la fait tourner. D’un coup sec tu fouettes mes cuisses en rigolant et monte à quatre pattes sur le lit.
Je te rejoins sans me faire prier, d’un coup sec (moi aussi) je te prend profondément, et avec régularité j’entre et ressort entre et ressort, mais j’entre toujours d’un coup sec faisant bouger tes fesses et ta poitrine. Une frénésie a****le prend possession de nos corps.
Tu ondules de la croupe, stimulant l’équidé qui sommeillait en moi.
Puis tu te redresses ce qui me fait ressortir, j’embrasse alors ton cou en faisant glisser mes mains sur ta poitrine. Mon vît glisse sur ta peau…
Tu recommences tes ondulations de manière à ce qu’il glisse entre tes fesses, douce sensation…
Mon extrémité se présente par le plus grand des hasards à l’entrée de derrière, mais tu continues tes mouvements de croupes, arriva se qui devait arriver, il entre doucement, très doucement dans ton fondement.
Je vais et viens lentement, une main sur ton sein gauche l’autre sur ton entre jambe caressant ton clitoris.
Telle une danse latine et sensuelle , nos mouvements se font collés serrés et torrides.
» hmmmmmm c’est bon mais on a quitté le monde des chevaux mon ami » , tu t’avances me fais face, me pouce pour me faire tomber en arrière.
me voilà allongé, tu reprends la serviette et me la passe sur mon membre.
« À moi maintenant «
Accroupis de chaque côté de mes cuisses, tu t’assois sur mon bassin, enfournant mon sexe en toi.
Tu commences par de lentes montées et descentes, tu me prends les mains…mes bras tels des rênes te sont utiles pour diriger.
Tes mouvements se font plus saccadés, on se regarde et on perçoit le plaisir déjà bien présent monter crescendo.
Ma respiration se fait plus forte, sans mes mains et avec la vue de ton corps en action je ne peux plus rien contrôler, je ne peux qu’accepter et prendre la jouissance grandissante qui va arriver .
Tu t’emballes et gémis, on est passé du galop au triple galop en un rien de temps. Tes seins se balancent d’une façon désordonnée, je ne peux trouver plus belle image érotique en ce moment, je sens tes fesses se poser fortement sur mon corps pour remonter immédiatement et recommencer sans fin.
Je grogne, je gémis, on râle de plaisir, nos corps deviennent anarchiques, seul tes vas-et-viens savent ce qu’ils font (toujours plus vite toujours plus fort).
Tu me chevauches dans une frénésie chevaleresque, je sens des ondes parcourir nos membres, des éclairs de plaisir pur nous transpercent, ma petite mort jaillit et inonde ton intérieur, tu continues encore quelques secondes jusqu’à ce que ton tour vienne, tu serres très fortement mes doigts puis dans un repos cavalier tu t’allonges sur moi.
Je passes mes mains dans tes cheveux, tu m’embrases tendrement.
Nos sexes, toujours unis se calment doucement, leurs humeurs s’épanchent sur sur mes bourses et mes cuisses.
on reste ainsi, un temps qui parait une éternité de plénitude.
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