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Variation Plaisir Mature

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Faisant les corvées habituelles chez Colette, tondant sa pelouse beaucoup trop longue. C’était une femme de 57 ans vivant seule son mari décédé depuis deux ans et sa fille vivant à l’extérieur. Une brunette aux yeux bruns de 5 pieds 6 avec de gros seins et un corps dans l’ensemble acceptable. Elle était enseignante dans un collège de la région dans le domaine des soins infirmiers. À la fin de chaque travaux effectués été comme hiver lui proposant mon aide depuis déjà quatre ans, j’engageais toujours une brève conversation avec elle de 15 ou 20 minutes dans le portique. Des fois les discussions bifurquaient sur des termes étranges de sa part, me demandant si je devais prendre ses allusions pour des allusions sexuelles métaphoriques ou bien c’était seulement le coup du hasard adjacent ses paroles. Depuis un certains temps les travaux se faisant, Colette était toujours au salon à regarder la télévision, devant parfois entrer pour vérifier certaine chose extérieur ou bien lui emprunter quelques outils. La soupçonnant presque de se masturber en ce lieu discret les rideaux de la fenêtre toujours fermés dans la pénombre une odeur inspirante s’y dégageant. Elle s’habillait de façon plus légère depuis un bon moment, dévoilant sa grosse poitrine vers mes yeux observateurs depuis 1 ou 2 mois à peu près.

Engageant une conversation sur la façon de poncer des meubles car elle aimait beaucoup faire ce genre de travaux. Me montra ses deux tables, ses chaises puis son escalier qu’elle avait décapée seule puis vernis d’une teinture foncée. Elle me regardait un peu plus intensément qu’à l’habitude, y allant de quelques auto attouchement semi révélateurs, faisant entre autre coulisser sa bague au milieu du majeur gauche à deux ou trois reprises. J’avais déjà poncé des meubles moi aussi, alors le sujet était plutôt bien dans l’ensemble. Elle me signifiait aimer les mouvements de vas et viens du sablage sur le bois dur, lui remémorant quelques souvenirs de jeunesse. (Voici le type d’allusion auquel je faisais référence). Elle avait aussi poncé sa base de lit double situé tout au haut de l’escalier, voulant me faire part aussi de cette réalisation l’intérêt de la conversation grandissant entre nous deux. Montant l’escalier en direction de sa chambre, me montrant le meuble retapé à neuf de façon presque extraordinaire. Me disant furtivement à l’oreille les mots qui suivent. Je double la mise (80$) si tu viens me fourrer dans le lit immédiatement.

La tension palpable posant mes actions vers l’affirmative, enlevant mon t-shirt blanc et mon short de couleur anthracite. Colette enleva son chandail au décolleté plongeant puis son pantalon gris foncé. Ensuite détacha son soutien gorge pour ainsi libérer ses deux gros seins tombant sur les hautes venant y poser mon visage, pour ainsi les embrasser et les prendre pleines mains. Baissa mon sous-vêtement bleu marin avec hâte pour me prodiguer une brève fellation mon jeune membre en érection. Elle devait attendre ce moment depuis longtemps de part l’enthousiasme qu’elle y mettait à m’astiquer la verge de sa bouche. J’étais âgée de 28 ans, mesurant 5 pieds 6 avec les cheveux châtains et les yeux pers avec une silhouette d’athlète. Paraissant plutôt bien l’ayant sûrement émoustillée depuis un bon petit bout de temps. La regardant agenouillée s’appliquer avec ferveur, sa petite culotte trempée de cyprine exprimant une chatte en chaleur techniquement prête à s’envoyer en l’air. Étant célibataire endurci depuis beaucoup trop longtemps, les relations sexuelles totalement absentes de mon calendrier annuel déjà trop avancé. J’étais inévitablement du pour une bonne baise mon corps ne demandant qu’à se faire vibrer.

Déchirant sa petite culotte blanche pour venir pénétrer deux doigts dans sa chatte béante chaude et mouillée. Léchant sa belle grosse vulve taillée de près le clitoris bien en vu avec ses lèvres rosées humides m’invitant a y déposer ma langue avec frénésie. Elle s’agrippait aux barreaux du lit pendant que je lui laminais la brousse de ma verge durcie ses deux jambes bien écartées gémissant jouissant. Ouiiiiiiiii Ouiiiiiii Ouiiiiiiiiiiiiiiiii Ouiiiiiiiiiiiiiii Ouiiiiiiiiiiiiii mon bassin la pénétrant avec force tentant presque de lui défoncer la cavité pelvienne. Venant au bout de 6 minutes, pour venir la reprendre après une brève pause dans la position de la levrette avec fougue et ardeur, me remémorant quelques termes particuliers lors de nos conversations passées. J’y allait avec fougue dans sa belle vulve juteuse elle m’exprimant de ne surtout pas arrêter. Son bassin retroussé accueillait ma tige comme une fleur humidifiée par la rosée du matin. Elle était ultra chaude, jouissant ma queue entrant sortant la cyprine en abondance exprimant des sons juteux. Elle voulait changer de position pour ainsi venir me chevaucher, la laissant faire à sa guise, y allant de vas et viens du bassin citant mon nom à quelques reprises. Le lit brassait passablement fort car elle devait être en manque depuis beaucoup trop longtemps je crois. Paraissant plus jeune que ses 57 ans, son cul allant venant sur mes hanches posant ses mains sur ma poitrine imberbe. Aaaaahhhhhh Ouiiiii Ouiiiiiii Ouiiiiii venant dans sa belle grosse chatte pour une deuxième en de çà d’une demi-heure. Intuitivement, l’exercice devait obligatoirement nous amener vers un deuxième acte.

Colette s’allumant une cigarette pour me la prodiguer de sa main gauche, alla ensuite à la salle de bain pour se nettoyer et prendre une douche rapide. Revenant les cheveux mouillés habillé d’une nuisette blanche transparente affublé d’une petite culotte grise pâle. Ramenant deux boissons alcoolisées réduites avec du jus d’oranges. Buvant le nectar envoûtant, sa chatte avait une odeur et un goût prononcés puis-je ajouter, faisant disperser ce bref souvenir sur mes papilles gustatives. Rassasiés de nos deux rafraîchissement, voulait continuer les ébats au salon la lumière tamisée. M’avoua par le fait même s’y être masturber depuis des mois déjà en pensant à moi. Rendu au lieu propice, enlevant sa nuisette puis sa petite culotte. Enlevant mon sous-vêtement pour une seconde fois. Je l’ai prise sur un petit bureau puis sur le divan ses deux jambes bien écartées appuyées sur mes épaules. J’y allais un peu comme un forcené le regard déterminé, Colette m’exprimant par le fait même d’y aller plus fort et plus rapidement. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii c’esttttttttttt Bonnnnnnnn Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii ma queue entrant sortant comme un marteau piqueur dans sa grosse vulve humide tout en se butant à son clitoris à la sorti. Nos deux corps mouillés aspergeant littéralement le divan de sueur. L’odeur sexuelle se propageait ainsi dans toute la pièce. Mes coups de bassin étaient rapides et secs, lui donnant ainsi du plaisir son respire évocateur me le démontrant. S’agrippant à mon fessier de ses mains, me suppliant de finalement venir car elle n’en pouvait tout simplement plus. Éjaculant en saccade dans son antre chaud et humide me remerciant de l’avoir enfin saillie. Elle qui était en manque depuis beaucoup trop longtemps. tout comme moi je l’étais d’ailleurs.

Son souhait le plus cher étant maintenant réalisé. Celui d’être assouvie par un jeune homme dans la force de l’âge dans sa grosse vulve béante et chaude. Celui d’être assouvie régulièrement par un jeune homme pour qui le plaisir rime avec fourrer intensément une vieille en manque d’affection.

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