J’étais en déplacement dans le sud du pays dans une ville traversée par un canal bordé de grands arbres. C’était le lieu de balade le soir quand il faisait chaud et c’était proche de mon hôtel. J’allais donc y flâner en attendant l’heure du repas. Le canal était une dizaine de mètres en dessous des rues qui le bordaient et de grands talus de verdure séparaient le bord de l’eau des allées de promenade, situées plus haut. Quelques canards en famille auréolaient la surface lisse de l’eau par les traces de leurs errements qui froissaient les reflets de la ville.
J’avais marché un bon moment quand j’aperçu sur la rive opposée une jeune femme assise dans l’herbe à mi- pente entre les promeneurs et l’eau. Il faisait chaud et elle portait un petit débardeur à fines bretelles et une jupe assez large en tissu léger. Elle tournait le dos aux passants et donc me faisait face. J’étais de l’autre côté de l’eau à une quinzaine de mètres. Il y avait un banc proche et intrigué par sa présence je décidais de me poser pour l’observer.
Elle ne sembla pas me remarquer et moi je restais discret ne la regardant que de temps à autre puis l’épiant plus précisément derrière mes lunettes de soleil. Elle semblait assez jeune, dans la vingtaine, était mince avec une poitrine peu saillante et avait une peau blanche non halée. J’étais seul sur ma rive. Elle ne pouvait donc pas ignorer ma présence.
Après quelques minutes elle remonta sa jupe à mi-cuisse seulement et écarta ses genoux. Elle ne portait pas de sous-vêtements. Je pus voir très nettement son pubis et son ventre à moitié recouvert d’une abondante toison brune. Elle resta dans cette position puis se caressa l’intérieur des cuisses en me regardant fixement. Je la trouvai provocatrice mais aussi allumeuse. Je n’avais aucun moyen de la rejoindre car il fallait faire le tour par le pont suivant pour changer de rive. Je profitais un bon moment de cette complicité entre son exhibitionnisme et mon regard voyeur. On ne faisait de mal à personne et nous y prenions visiblement plaisir. Lorsqu’elle passa sa main sur son sexe dans un mouvement alternatif mon érection commença à trouver mon pantalon trop étroit. Je lui fis un petit signe pour lui indiquer que j’appréciais son initiative. Elle me fit un grand sourire puis remis de l’ordre dans ses vêtements et quitta tranquillement les lieux en se baladant lentement au bord de l’eau. J’avais bien sûr le regret de n’avoir pas pu lui parler. J’avais adoré cette fugace complicité.
Je regagnais mon hôtel pour y dîner puis ma chambre en prenant l’ascenseur quand je la vis arriver et monter dans la cabine. Nous n’étions que tous les deux. De près elle était jolie. Bien sûr elle me reconnut et nous échangeâmes quelques mots. Elle aussi était en déplacement et logée au même étage que moi. Je m’armais de culot et lui demandais si elle n’avait pas envie de poursuivre la conversation dans ma chambre. Elle fût très directe en me répondant « non je réfère dans la mienne mais à la condition que nous n’ayons pas de contacts physiques ». Intrigué j’acceptais pour voir.
Une fois dans la chambre elle m’indiqua un fauteuil pour m’installer puis disparut dans la salle de bain. Elle revient revêtue d’un grand tee-shirt qui lui couvrait à peine les fesses puis s’installa sur le lit. Elle dit : « J’ai envie de me caresser devant vous, cela m’excite beaucoup et je invite à faire de même si vous cela vous plait ». Elle enleva son vêtement puis elle commença à se masturber. Elle le fit en variant les positions et en s’occupant alternativement de ses seins, de son sexe et de son anus. J’étais subjugué. Ne pouvant tenir je sortis mon pénis que je masturbais en contrôlant la montée du plaisir. Elle joua ainsi avec son corps pendant presque une heure en me regardant aussi pour augmenter son excitation. Je l’ai trouvé très belle dans son onanisme. Elle me prévient qu’elle allait jouir et j’explosais en même temps qu’elle en envoyant un puissant jet de sperme dans sa direction.
Elle me remercia de ma coopération et ne me donna aucune explication sur ses choix. Je rejoignis ma chambre pour dormir. Le lendemain nous avons pris le petit-déjeuner ensemble sans évoquer la séance de la veille. Nous nous sommes séparés sur le parking pour faire notre journée de travail et rejoindre nos foyers respectifs. Avant de partir elle me révéla son prénom, Jeanne. J’aimerais bien la revoir.
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