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La femme plus âgée de ma pause déjeuner

La femme plus âgée de ma pause déjeuner



Depuis quelques semaines, j’ai changé de boite tout en restant dans le même secteur. Ce changement c’est accompagné d’un changement d’horaire dans mes pauses déjeuners, je suis en effet passé d’une heure à deux et demie de pause. Du coup, histoire de passer le temps, j’ai l’habitude de me promener en ville et surtout d’aller dans un gros complexe commercial.

Depuis le temps que j’y vais, j’y croise souvent, pour ne pas dire un jour sur deux, un couple ayant la soixantaine que je trouve mignon à être toujours collé l’un à l’autre. Rien qu’à les voir ensemble, on se rend vite compte qu’ils s’aiment toujours. Madame a une silhouette à rendre jalouse les filles de mon âge, elle est très fine et semble avoir de belles fesses rebondies et une bonne poitrine sans être énorme non plus. Et surtout, elle a de très belles jambes qu’elle met chaque jour en valeur avec des jupes plus moins courte. Monsieur, lui, paraît en moins bonne santé que sa femme et semble parfois avoir du mal à se déplacer. C’est d’ailleurs elle qui l’aide souvent à se déplacer.

Un midi, alors que je prenais un café dans un petit resto se trouvant dans ce complexe tout en lisant une news sur mon téléphone, j’entendis une voix s’adresser à moi.

– Excusez- moi monsieur, avec ma femme on peut s’installer à votre table ? Toutes les autres sont prises.

En levant les yeux, je vis ce fameux couple.

– Oui bien sur.

Après les salutations d’usage, la discussion fut des plus banales mais très sympathique. Trois jours plus tard, j’étais de nouveau au même endroit pour boire mon café tout en lisant diverses nouvelles sur mon téléphone quand une voix que je connaissais me fit lever ma tête.

– Bonjours monsieur, puis-je m’installer ?

Cette fois-ci, il s’agissait seulement de la femme, Josiane, qui sans même attendre une réponse de ma part s’installa à ma table.

– Tient, vous êtes seule aujourd’hui ?

– En effet, mon époux reste à la maison aujourd’hui histoire de se reposer avant de partir quelques jours chez notre fils.

– Et vous, vous n’allez pas chez votre fils ?

– Non pas ce week-end, je les laisse entre hommes et puis j’ai d’autres projets en tête.

– Lesquels si ce n’est pas indiscret ?

– Être avec vous.

– Comment ça ?

Je ne m’attendais nullement à une telle réponse.

– Depuis qu’on se croise, je me suis toujours dit que vous êtes le genre d’homme que j’aimerai mettre dans mon lit et depuis trois jours, cette idée de vous avoir nu rien que moi, m’obsède littéralement.

– En tout cas, vous êtes directe.

– A mon âge, vous savez, on a pas de temps à perdre, je laisse le jeu de la séduction aux petites jeunes de votre âge.

– Et votre mari ? Vous avez l’air tellement amoureux l’un de l’autre.

– C’est le cas, j’aime mon époux plus que tout. D’ailleurs, jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais trahi mon époux. Mais malheureusement, il ne peut plus me satisfaire surtout depuis qu’il n’a plus le droit de prendre les pilules bleues à cause de son cœur. Donc même si je l’aime comme au premier jour, j’ai besoin d’un homme pour satisfaire mes envies. Avec vous, ça sera purement sexuelle.

Tout en me parlant, elle me caressait l’entrejambe avec son pied ce qui provoqua chez moi une belle érection.

– Si j’en crois la bosse que je sens dans votre jeans, je sais que vous avez envie de moi et ça me fait très plaisir de faire envie à un jeune homme.

– Vous voulez faire ça quand ?

– Demain, on se retrouve ici à la même heure et je vous emmène chez moi, je n’habite pas très loin.

– Très bien.

– Une dernière chose, ce n’est pas parce que je suis bien plus vieille que vous que vous devez y aller doucement, je veux un vrai mâle !

– Vous habitez à combien d’ici ?

– Même pas cinq minutes à pied, pourquoi ?

– J’ai encore un peu de temps avant de reprendre le boulot, je vous ramène.

En réalité, j’avais une autre idée en tête, il faut dire qu’elle m’avait vraiment excité et je ne me voyais pas reprendre le boulot dans cet état. Elle me conduit devant un petit immeuble récent et bien entretenue. Une fois devant sa porte au premier étage, je m’approchais d’elle histoire de la caresser un peu, elle fit de même en me caressant les fesses tout en me disant à l’oreille.

– Dommage que mon mari soit encore là, j’aimerais tellement m’abandonner à vous dès maintenant.

Etant plus que ravi d’entendre cela, je baissais la fermeture de mon jeans et mon caleçon, libérant de ce fait mon pénis, elle ne le lâchait pas des yeux. Surprise, elle ne savait pas quoi faire.

– Nous ne sommes pas obligé de rentrer chez vous pour commencer, et puis je suis sur qu’à cette heure là, il n’y a personne qui va nous déranger.

Sans dire un mot, elle se baissa avec un petit sourire. Très vite mon érection était totale. Elle commença alors à lécher le bout de mon gland, puis, en alternance, elle déposait des petits baisers tout le long de ma queue. Après quelques minutes de ce jeu délicat, elle plongea son regard dans le mien, ouvrit la bouche et y introduit d’un geste décidé mon sexe. Je réalisais à peine ce qui était entrain de m’arriver. Cette femme bien plus âgée que moi était entrain de me faire une excellente fellation ! Le traitement qu’elle me faisait subir était un vrai délice. Malheureusement, on entendit quelqu’un entrer l’immeuble, faisant cesser de ce fait nos petites cochonneries. Alors qu’elle rentra chez elle, je retournais au boulot mais avec hâte de la retrouver pour aller bien plus loin.

Le lendemain midi, me voici comme convenue au même endroit à l’attendre. La voici enfin ! On se fait la bise et sans plus attendre, elle prit ma main pour m’emmener chez elle. Une fois dans son appartement, elle fila dans sa salle de bain sans me dire un mot. Quelques minutes plus tard, la voici de retour.

– Alors, je suis assez sexy pour vous ?

Tout en me posant cette question, elle fit un tour sur elle même pour me faire découvrir la vue avant qui était à la hauteur de celle de l’arrière. Elle portait une robe avec un décolleté plus qu’indécent qui ne devait pas s’arrêter bien loin du nombril. Ne pouvant plus attendre, je m’approchais d’elle afin de la prendre dans mes bras et la serrer contre moi. Vu la légèreté de sa robe, je ne pouvais faire autrement que placer mes mains dans son dos et entrer directement en contact avec sa peau.

Petit à petit, elle approchait son visage pour poser ses lèvres sur les miennes, je répondis à son baiser et nos langues s’entremêlaient fiévreusement. Mes mains se reposèrent sur son dos nu et commencèrent à caresser sa peau. Puis, l’une d’entre elles se glissait dans la fente latérale de sa robe pour rencontrer très vite l’élastique d’un string en dentelle. Ma seconde main l’imitait de l’autre côté et je commençais alors à palper ses fesses sous le tissu de sa robe, tout en continuant notre baiser.

Les mains de Josiane ne restaient pas inactives. Elle sortie très vite ma queue de mon pantalon et commença à me masturber délicieusement. Mes lèvres quittaient les siennes pour descendre vers son cou, je sentais cette femme bouillir de désir et prête à se faire prendre. Elle se dirigea ensuite vers la grande table de son salon pour s’y appuyer. Elle me fit face et commença à défaire le nœud qui retenait les pans supérieurs de sa robe. Je pouvais alors enfin voir sa poitrine.

– Masturbez-vous un peu, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas vu un homme se masturber en me regardant.

Pendant que je me masturbais, elle porta sa main à sa bouche et se lécha sensuellement l’index. Elle fit de même avec l’autre main puis commença à se titiller les tétons et à se caresser les seins tout en se léchant les lèvres. Elle se retourna ensuite et se pencha face vers l’avant sur la table. De ses deux mains elle releva le bas de sa robe pour me dévoiler de très belles fesses.

N’y tenant plus, je m’approchais d’elle et conduis directement une main vers son entrejambe. Après avoir mis mon index dans sa bouche histoire de l’humidifier, je l’enfonçais sans ménagement dans son sexe avant d’y mettre très rapidement un second. Des soupirs et des râles s’échappaient alors d’elle. J’alternais les va-et-vient rapides et les caresses internes plus douces. Sentant son orgasme proche, je ne faiblis pas et je fus récompensé quelques secondes plus tard par des cris plus intenses et des mouvements saccadés de son bassin qui trahissaient son plaisir, mais il était temps de passer à l’étape suivante car je ne comptais évidemment pas en rester là !

– Et maintenant, on fait quoi ? Lui demandais-je pour l’entendre dire qu’elle voulait de moi.

– Prenez- moi ! Je veux sentir votre membre en moi !

– Vous avez un préservatif ?

– Pas besoin, je suis clean et j’ai trop envie que vous finissiez en moi !

Je posais mes mains de chaque côté de ses hanches pour mieux la saisir et entreprendre des va-et-vient réguliers et rythmés dans son sexe là où mes doigts se trouvaient il y a quelques instants encore. Ses cris reprirent de plus belle alors que mes pénétrations étaient de plus en plus intenses. En effet, j’accélérais mon rythme en continu.

Sentant que si je continuais à ce rythme je ne serais pas loin d’éjaculer, je décidais de changer de tactique. Je me retirais alors doucement de son sexe ne laissant que mon gland en place. Puis, je me renfonçais d’un coup avec un grand coup de rein pour taper le plus loin possible dans son vagin. Ce geste lui arracha de nouveau un cri de plaisir. Je restais bien au fond immobile avant de recommencer en sortant mon sexe en douceur jusqu’à en être presque sorti pour la re-pénétrer violemment. Chacune de mes poussées engendrait un cri de plaisir. Josiane ne semblait plus savoir où elle en était.

Après un ultime coup de rein au fond de ses entrailles, j’entamais de nouveau des mouvements extrêmement rapides de va-et-vient. Les parois vaginales de Josiane ne cessaient de se contracter sur ma queue. Nous étions tous deux très proches de l’orgasme !

– Je vais bientôt venir !

– Oh oui, j’ai hâte de sentir votre sperme chaud en moi !

Je m’agrippais à ses hanches et dans un dernier râle de plaisir plusieurs jets de sperme vinrent inonder l’intérieur de son intimité ce qui déclencha chez Josiane une incroyable jouissance.
Alors que me retirais lentement d’elle, Josiane était toujours en proie à des sursauts de jouissance, elle semblait avoir du mal se remettre de cette situation. Après mettre rhabillé, elle me raccompagna devant sa porte.

– Vous finissez le travail à quelle heure ?

– A 18h.

– Je n’en ai pas fini avec vous ! Je vous attends ! Je vous veux encore !

– J’ai hâte d’y être !

En sortant, je croisais ce qui devait être sa voisine, d’abord surprise de me voir sortir de chez Josiane, elle finit par me saluer tout en me souriant. Je me demandais alors si ça surprise venait du fait qu’elle nous avait entendus.

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