Au cours des deux épisodes précédents, alors que j’avais dix-huit ans et que je vivais encore chez ma mère, j’ai rencontré une amie de celle-ci, une dame prénommée Alicia, qui est venue chez nous et s’est proposée de me dépuceler. Je l’ai déshabillée et je lui ai prodigué un cunnilinctus, tout en étant filmé par Maman.
À la demande des deux femmes qui m’entourent, je dois donc me dévêtir complètement sous leur regard, et comme c’est la première fois, je suis intimidé au point qu’une fois en slip, je ne parviens pas à ôter ce dernier rempart de ma pudeur. Ma mère pose sa caméra de manière à ce que nous restions dans le champ, et, saisissant l’élastique à deux mains, abaisse mon cache-sexe.
Aussitôt, mon sexe érigé jaillit comme un oiseau s’envole de sa cage ouverte. Ma mère et Alicia ouvrent de grands yeux, surprises par la longueur du membre viril.
– Oh ! Quel engin ! Et dire qu’il n’a encore jamais servi, s’est exclamée Alicia ! Je vais te dire, Muriel : ton fils a un pénis magnifique ! Quelle belle hampe, bien recourbée vers le haut, et quel beau gland bien rond et bien fendu ! Regarde : la rosée dégouline par terre, c’est splendide. Et dire qu’avec tout ça, tu n’as encore jamais eu de fille à serrer dans tes bras, mon pauvre Stéphane ! Mieux vaut tard que jamais : je vais y remédier.
Devinant que c’était ce qu’Alicia attendait, j’ai procédé d’une manière assez directe : tout en restant debout, j’ai attrapé la dame par les hanches, à pleines mains, je l’ai soulevée, assez facilement grâce à son poids plume, et d’un coup de reins, je l’ai directement embrochée sur mon phallus bien dur. Puis je l’ai promenée à travers le salon, alors qu’elle s’agrippait à mon cou pour ne pas tomber en arrière, les jambes resserrées autour de mes fesses, la tête basculée en arrière, et je l’entendais pousser de petits couinements de plaisir ponctués de feulements rauques. Sans rien dire, elle me regardait en souriant. Ma mère nous suivait avec sa caméra, pour ne rien perdre de ma première copulation.
J’ai manié son bassin de manière à faire aller et venir ma verge dans son vagin qui était bien étroit et serré : un vrai bonheur à fourrer et à pilonner. Elle sentait le fauve et la luxure à plein nez, et je devinais qu’elle sortait d’une partie fine où elle avait baisé à outrance ; d’ailleurs, son vagin était encore gluant du sperme de ceux qui venaient de passer sur elle. Elle a joui et j’ai senti qu’elle se contractait rythmiquement autour de mon pénis. Alors, j’ai joui à mon tour et du sperme a débordé jusque sur le parquet du salon. Maman s’est mise à genoux pour laper ma semence au sol, comme un petit chat ferait avec du lait répandu.
Du coup, mon membre s’est trouvé tout flasque et peu esthétiquement pendouillant, ce qui n’était pas spécialement à mon avantage. Mais Alicia et Maman ont décidé de m’accorder une pause afin de me reprendre des forces, en s’adonnant toutes deux aux délices gomorrhéens, c’est-à-dire à la sexualité entre femmes. J’étais chargé de les filmer.
Le ballet sensuel des deux belles matures était de toute beauté, tout en blandices, en caresses délicates et en suçotements. Les bouches s’unissaient, langues sorties, en des frotti-frotta énergiques et sans demi-mesure. En jouissant, l’une et l’autre rugissaient comme des lionnes, et, farouches, elles revenaient à leur ébat sauvage. Caméra en mains, je n’en perdais pas une image.
Maman a essayé ses nouvelles boules vibrantes dont Alicia maniait la télécommande. La première s’est allongée sur la table, sur le dos, les jambes relevées, tandis que la seconde a revêtu un gode-ceinture noir, long et épais comme peu de verges le sont, puis a lubrifié son engin avant de l’enfiler, sur toute sa longueur, à travers la rosette anale de ma mère qui en a soupiré d’aise.
Alicia donnait d’énergiques coups de boutoir ; bien que petite et frêle, on aurait vraiment dit un homme, droite et fière dans sa virilité soudaine. De plus, sa bite artificielle possédait des testicules qui étaient remplis d’eau ; lorsqu’elle les a pressés, elle a « éjaculé » dans le cul de Maman, en poussant un cri de joie, comme si elle jouissait. D’ailleurs, peut-être qu’elle jouissait vraiment, de par une mystérieuse sensibilité de sa verge de plastique. Par contre, ma mère ne faisait sûrement pas de cinéma, car elle a envoyé quantité de mouille devant elle : cela giclait dans toutes les directions.
Cet excitant spectacle a contribué à me faire à nouveau bander. Pas complètement à midi, mais Alicia connaissait le geste qu’il fallait pour me rendre complètement dur, le mouvement de tendresse qui m’a toujours rendu fou : elle a pris mon braquemart entre ses deux petits petons qu’elle a frotté comme pour faire du feu avec un morceau de bois. La coquine savait s’y prendre : une experte ! Comme si cela ne suffisait pas, Maman, perfide, a par surprise glissé ses boules de Geisha à l’intérieur de mon cul tout étonné de recevoir la visite de ces objets vibrants qui appuyaient divinement sur ma prostate. Mon pénis en a émis quelques gouttes de liquide que ma mère a recueilli au creux de sa main pour en partager le goût avec son amie. De nouveau, j’étais bandé comme un jeune cerf en automne.
Alors, je me suis enflammé pour de bon, et j’ai explosé de toute la puissance de mes couilles, en croyant crever tellement le plaisir me tordait les tripes. Rapidement, les pieds d’Alicia se sont recouverts de ma substance virile et chaude. Il y en avait une telle quantité que je ne croyais pas cela possible : cela le devient, je l’ai découvert ce jour-là, quand on stimule l’organe masculin caché que l’on nomme la prostate, de sorte qu’une réserve spéciale est libérée.
Les jolis petons étaient tout inondés. Maman les a doucement léchés, l’un après l’autre, afin qu’ils soient parfaitement nettoyés de ma semence. Elle ne se contentait pas de sucer : elle les bouffait littéralement, en faisant pénétrer les orteils jusqu’au fond de sa gorge, nonobstant la nausée que cela devait lui procurer. Mais elle aimait cela, et heureusement qu’elle avait l’estomac vide – j’ai appris plus tard qu’elle pratiquait régulièrement l’émétophilie au cours d’incroyables orgies lesbiennes où les douches romaines se succédaient des nuits entières dans des enchevêtrements de corps féminins affamés de luxures perverses. Pour l’heure, nous étions tous en appétit. Il était temps de passer à table afin de déguster les lasagnes, sans prendre le temps de nous rhabiller – pourquoi faire ? Nous n’avions pas froid.
J’étais assis en face d’Alicia, et la coquine en a profité pour me peloter avec ses pieds pendant le repas. Ma mère évoquait ses expériences sexuelles ; elle se vantait d’avoir connu plus de partenaires qu’on peut voir d’étoiles dans le ciel. C’est comme cela que j’ai éjaculé pour la troisième fois en une heure. J’ai placé un verre afin de recueillir mon sperme et l’a donné à Maman qui a tout bu d’un trait. Juste avant, nous avons trinqué à la santé d’Aphrodite, de Bacchus, de Pan, et de tout ce que le Panthéon compte de déesses et de dieux lubriques pour inspirer les ébats des pauvres humains que nous sommes. Pour ma part, je préfère le vin rosé. Mes testicules commençaient à me faire mal, à force de fournir.
Dans le prochain épisode que j’écrirai si vous m’y encouragez de vos commentaires, nous verrons comment ma mère s’y est prise afin de me séduire et de faire de moi son amant.
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