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Le plaisir de l’ébène

Le plaisir de l’ébène



l y a longtemps que je parcours ce site, et il m’est venu l’idée d’inscrire moi aussi quelques pages.

Je me prénomme Robert, j’ai 40 ans, et si depuis quelques années je suis comme ont dit communément rangé des voitures, suite à mon mariage et au fait que j’ai fondé une famille, j’ai par le passé vécu des aventures érotiques riches. Ma vie actuelle est comblée aussi de ce coté, mais cela fait parti d’un jardin secret que je ne peux dévoiler au grand jour.

J’ai donc 40 ans, je mesure 1.95m, sportif, et assez porté sur la chose et attiré par l’érotisme sous toutes ses formes. J’ai l’esprit ouvert, et a part l’homosexualité masculine qui ne m’a jamais attiré, j’ai vécu des expériences très riches et variées. Celle que je vais vous conter est une de mes aventures arrivée il y a une quinzaine d’années avec la jeune femme qui partageait ma vie à l’époque.

Au début des années 1990, je vivais avec une jeune femme de 22 ans, j’en avais 26 à l’époque. Sandra était une étudiante en école de commerce que j’avais rencontré lors d’un stage dans mon entreprise, j’étais son tuteur. Ses longs cheveux bruns, sa peau matte, ses yeux verts et son visage fin m’avait de suite attiré, lors de notre premier contact. Petite, environ 1.60m, des petites fesses musclées prolongées des jambes fines fuselées, et des seins parfaits, ronds, fermes, un bon 90b, elle rendait pas mal de femmes jalouses et faisait se retourner les hommes sur son passage. Ce corps fin orné de ces deux délicieux attributs était un appel à l’amour.

Nous vivions donc depuis quelques temps ensemble, nous étions en harmonie parfaite du point de vue sexuel, et parfois nous évoquions nos fantasmes, nos désirs, il arrivait parfois de les réaliser. Nous avions eux une aventure à trois avec une autre jeune femme rencontrée en discothèque, Sandra étant attirée par les femmes et ayant eux quelques expériences avec avant de me connaître. Parmi les fantasmes de Sandra, il y avait comme elle disait l’envie de goûter au plaisir de l’ébène. Elle me disait être attirée comme beaucoup de femmes, par les hommes de couleur bien pourvus par la nature. Même si je suis loin d’être ridicule du coté de mes attributs sexuels, je ne peux rivaliser avec certains hommes. Nous avions évoqué cela plusieurs fois, elle se mettait alors à rêver à un sexe puissant et d’une taille importante, prolongement d’un corps d’homme noir musclé. Comme je l’ai dit, je suis ouvert, et cela ne me dérangeait pas, j’ai donc conclut un accord avec elle pour réaliser ce fantasme, en me réservant le choix de l’homme, et de l’occasion.

J’ai donc passé une annonce dans un magasine spécialisé, en ajoutant une photo de Sandra au texte :

« Homme recherche pour réaliser un fantasme de sa compagne un homme de couleur bien membré. Répondre avec photo en érection….. »

J’ai reçu de très nombreuses réponses, comme vous pouvez vous en douter, certaines correspondant aux critères de recherches, d’autres étaient des torchons, écrits à la va vite par des hommes en manque de plaisirs, qui pensaient trouver là une occasion de se satisfaire. Deux annonces ont retenu mon attention, l’une d’un homme de 30 ans, avec un beau corps musclé et un sexe de très bonne taille, mais qui demeurait assez loin de chez nous, ce qui ne facilitait pas les choses, et une autre, bien rédigée, écrite par un homme de 25 ans, un sénégalais étudiant, bénéficiant d’une bourse pour pouvoir étudier en France, dans une université dans un département limitrophe du notre. Son sexe était particulièrement impressionnant sur les photos. Une tige noueuse d’au moins 30 cm, avec un gland de la taille d’un abricot. J’ai donc répondu à Jérôme, tel était son nom, et nous avons échangé deux courriers et après un appel téléphonique nous nous sommes rencontrés pour faire connaissance. Sandra ne savait pas que le but était proche.

Lors de notre rencontre le courant est très bien passé, je lui ai expliqué exactement ce que je cherchais à faire. Mon idée était simple, organiser une soirée, ou il serait venu chez nous. Au cours de la soirée, nous laisserions les choses se faire naturellement sans scénario préparé. Je lui ai aussi demandé un test HIV, ne voulant pas risquer quoi que ce soit, tout en laissant à Sandra la jouissance d’un sexe non emballé sous plastique. Même si le préservatif est la règle, je voulais lui permettre de jouir à fond du plaisir procuré par ce sexe.

La date fixée, un vendredi soir, j’ai annoncé à Sandra que nous aurions un de mes amis qui viendrait boire un verre. J’avais demandé à Sandra de s’habiller sexy, sans rien lui dire, mais en prétextant une soirée en discothèque qui pourrait ponctuer la soirée. Elle avait mit une robe noire moulante assez courte, avec un décolleté qui laissait apparaître son entre seins, humm une partie de l’anatomie féminine que j’adore. Elle n’avait pas mit de soutien gorge, elle n’en avait pas besoin, ses seins tenaient tout seuls, elle avait enfilé un string noir, et était chaussée avec des mules à talons qui affinaient si besoin était encore plus ses jambes. Elle était divine.

Vers 19h30, la sonnerie du portier de l’immeuble a retenti, je suis allé ouvrir, notre ami était là. J’ai ouvert la porte, puis je lui ai serré la main avec un clin d’œil complice, il me sourit. Je l’ai fait entrer, il portait une chemisette blanche, et un pantalon à pince de toile beige, il était presque aussi grand que moi, environ 1.90m, le crâne rasé, un sourire éclatant. Lorsque Sandra l’aperçu depuis le salon, elle vint à sa rencontre.

– Bonjour, je suis Sandra la copine de Robert. Dit elle en lui tendant la main. Celle ci disparue dans la main puissante de Jérôme.

– Bonjour, Jérôme, un copain de Robert. Dit il en souriant.

Nous avons invité Jérôme à se diriger vers le salon, Sandra s’est tournée vers moi, m’a sourit et m’a glissé à l’oreille :

« Tu me l’avais caché celui là ! »

La petite lueur dans son regard que je connaissais bien, m’en disait long sur mon choix et me laisser deviner la suite.

Nous nous sommes installés autour de la table sur les fauteuils. Nous étions placés en triangle, Sandra, Jérôme et moi dans le sens des aiguilles d’une montre. Jérôme demanda un jus de fruit, Sandra prit un Martini, et moi un whisky. Nous avons bavardé de choses et d’autres, évitant d’aborder comment Jérôme et moi nous étions connus, nous avons dit avoir fait du sport ensemble, ce qui permit d’amener la suite, l’ambiance étant joyeuse et détendue.

« Tu sais que j’ai vu Jérôme dans les douches, toi qui me disait que les noirs sont bien montés, je confirme »

Jérôme sourit comme s’il était un peu gêné.

Sandra :

« Ha bon ?? » Dit elle en souriant, et un jetant un regard à l’entre jambe de notre invité, ce n’était pas le premier de la soirée, mais là il était très appuyé, je sentais chez elle une certaine excitation, surtout dans la manière qu’elle eut de porter le verre à ses lèvres, en passant légèrement la langue sur le bord.

« Tu veux voir ? » Dis je en me tournant vers elle.

Elle ne dit rien mais son sourire et la lueur qui illumina ses yeux était une réponse plus que satisfaisante.

Je me tournai vers Jérôme, « Tu en penses quoi ? »

Il sourit à son tour, puis déposât son verre sur la table et se mit sur ses jambes.

Sandra était hypnotisée, elle ne le quittait pas des yeux.

Lentement il dégrafa sa ceinture, puis fit descendre doucement le zip de sa braguette, pour laisser tomber ensuite son pantalon au sol. Son boxer blanc, avait du mal à contenir son membre qui avait un début d’érection. Sandra était de plus en plus excitée et se tortillait doucement sur son fauteuil jambes croisées, me regardant de temps en temps, avec un regard complice.

Jérôme dégageât ses jambes du pantalon, puis descendit lentement son boxer, laissant jaillir son sexe comme un diable de sa boite. Sandra poussa un petit cri en voyant le sexe de ses rêves. Il était encore plus impressionnant que sur les photos.

Jérôme était face à Sandra, à environ un mètre, son sexe a moitié bandé, mais qui avait déjà un volume important et une certaine rigidité.

Sandra me regarda, je lui fit un sourire

« Vas y ma puce, notre ami est là pour toi. »

Sandra posa son verre sur la table et en passant sa langue sur ses lèvres qui se mirent à luire, elle fit signe à Jérôme de s’approcher.

Jérôme avançait doucement vers Sandra, son sexe augmentait doucement de volume et se tendait de plus en plus.

Arrivé devant le fauteuil il sourit à Sandra et déboutonna sa chemise et l’enleva.

Sandra s’avança un peu sur le fauteuil puis saisit à deux mains la tige de chair. Il lui aurait fallu 4 mains au moins pour arriver à le saisir en entier. Elle commença par le masturber doucement, avec des caresses lentes, pour bien jauger ce membre dont elle avait rêvé dans ses fantasmes. Je ne bougeais pas, pour ne pas manquer une miette du spectacle. Elle se pencha un peu et porta le gland à ses lèvres pour y déposer un baiser, puis elle donna des petits coups de langue sur le bout, comme s’il s’agissait d’une sucrerie. Elle descendit doucement avec ses lèvres tout le long du membre, pour finir par un coup de langue sur les bourses gonflées et lourdes. Puis reprenant son souffle, elle commença à téter le gland, essayant d’engloutir dans sa petite bouche, ce fruit interdit. Je voyais ses joues se déformer, chaque fois qu’elle faisait entrer le sexe dans sa bouche, ses deux mains enserraient la hampe. Elle faisait de son mieux pour avaler ce sexe énorme. Elle qui avec le mien arrivait à le prendre entièrement dans sa bouche jusqu’au fond de sa gorge, là elle ne pouvait que faire entrer le gland et une partie du membre. Elle le ressortait parfois pour le lécher sur toute la longueur, avant de le replonger le plus possible dans sa cavité buccale, en faisant des bruits de succion. Jérôme appréciait la caresse, en gémissant de temps en temps et en caressant doucement la tête de Sandra.

Au bout d’un long moment, je me suis levé et je suis passé derrière son fauteuil.

« Suce ma puce, c’est mon cadeau, c’est ta soirée, tu seras la reine ce soir », Tout en disant cela, je saisis le bas de sa robe pour lui faire comprendre que je voulais l’enlever. Tout en continuant à sucer Jérôme et à le caresser, elle souleva ses fesses pour laisser passer le tissu. Je remontais sa robe pour lui enlever, elle cessa juste une seconde le temps de passer la tête et les bras la fellation en cours. Je découvrais à ma grande surprise, que Sandra ne portait plus de string. Elle c’était absentée une minute en début de soirée, peu de temps après l’arrivée de notre ami, pour l’enlever discrètement, se doutant de la tournure que prendrait la soirée.

Jérôme découvrit ses seins, dont il n’avait put que deviner les formes généreuses jusqu’à présent.

Je déposais la robe de Sandra sur le sol, celle ci pendant ce temps là avait lâché des mains le sexe sans le sortir de sa bouche, et commençait doucement à se tirer les pointes et les pressait l’un contre l’autre. Son sexe lisse, rasé de frais, était luisant de son plaisir.

Jérôme saisit à son tour les seins de Sandra, pour les presser comme des fruits murs, son gland toujours enfouie dans la bouche de ma puce. Elle appréciait la caresse, et ses mains se posèrent sur les fesses de son amant d’un soir, pour l’inciter si c’était possible à entrer plus profondément dans sa bouche soyeuse. Je commençais à avoir une érection douloureuse, comprimée dans mon slip, mais je ne voulais pas intervenir sans invitation de ma compagne, c’était sa soirée.

Il devait bien y avoir une vingtaine de minutes que Sandra suçait le pieu de Jérôme quand elle le sortit de sa bouche et lui dit « Viens je veux te sentir en moi ».

Elle replia ses jambes, avançant son pubis en avant du fauteuil. Je posais mes mains à l’intérieur de ses cuisses, pour bien l’ouvrir et lui permettre de savourer la pénétration qui allait venir.

Jérôme se mit à genoux devant elle, puis lécha deux ou trois fois le sexe lisse et offert, lentement de bas en haut, ce qui fit gémir ma puce, puis il posa son gland devant l’ouverture écartant doucement les grandes lèvres gonflées de désirs.

D’une lente poussée, il commença à faire entrer le gland, Sandra se mordait les lèvres en gémissant de plaisir, tout en ne quittant pas des yeux ce membre qui allait la remplir. Le gland entier en elle, il marqua une pause, puis lentement il entra de quelques centimètres de plus, arrachant un petit cri de plaisir à Sandra. Elle posa sa main droite sur son ventre pour lui faire comprendre d’attendre un peu, le temps pour elle de s’habituer à cette pénétration hors norme. Puis elle lui fit signe de continuer. Il saisit sa taille, puis avançât d’une poussée lente mais inexorable au moins dix centimètres de son sexe dans le ventre offert. Sandra gémit doucement en se mordant les lèvres et en rejetant la tête en arrière. Je lui caressais doucement les seins, admirant cette tige noire qui fouillait son ventre, un tiers était dedans, le reste ne demandait qu’à entrer. Jérôme ressorti son sexe d’un mouvement vers l’arrière, sans l’extraire en entier. Puis il avec une poussée plus ferme qu’au début, il enfonça de nouveau son sexe un peu plus profondément en elle. Elle gémissait de plaisir.

Puis il commençât un va et vient de plus en plus rapide et profond au fond du sexe offert. Sandra gémissait, poussait des petits cris, se tortillait sur le siège, savourant le plaisir intense qui lui était offert. Je posais ma main à plat sur son ventre, pour caresser son clitoris gonflé. Je voyais ce sexe énorme qui distendait les grandes lèvres, luisant de la cyprine de ma puce sur une bonne partie de sa longueur. Je sentais sous ma main ce membre puissant qui fouillait ce sexe tendre. Jérôme avait prit son rythme de croisière et les gémissements de Sandra accompagnaient chacune des pénétrations.

Elle jouit au bout de quelques minutes de ce traitement, en poussant des cris que les voisins ont dû apprécier à leur juste valeur.

Je me tenais au dessus d’elle, caressant tour à tour ses seins tous durs aux pointes tendues, et son clitoris. Entre deux gémissements, elle me dit : « Je le veux en entier en moi », sa respiration était rapide « je le veux en entier ». Je compris que Sandra voulait que Jérôme tente de la sodomiser avec son membre. Le vagin est élastique, mais il a des limites, le sexe n’avait pas pénétré entièrement en elle, seul une vingtaine de centimètres l’avaient pénétrée.

Je les laissais quelques instants pour aller chercher du lubrifiant. Quand je revint dans la pièce, Jérôme était de nouveau debout, et Sandra le suçait goulûment. D’une manière obscène, faisant des bruits de succion, salivant, crachant sur ce membre qui l’avait fait jouir au-delà de ses espérances.

Arrivé prés d’eux, je tendis le flacon ouvert à Sandra, elle versa de manière généreuse du gel sur ses mains, puis elle commença à enduire le sexe de notre ami, en le massant, insistant sur le gland et la hampe. Elle adorait ça, elle me disait quand elle le faisait avec moi, qu’elle aimait cette sensation de sentir un sexe chaud et dur coulisser dans ses mains ainsi. Le sexe bien lubrifié, elle se tourna et offrit sa croupe à Jérôme. Elle posa sa tête sur le dossier du fauteuil, je pris le flacon et je versais généreusement du gel sur le petit anneau brun, qui me paraissait bien fragile, face à la queue qui était tendue derrière elle. Je glissais un doigt, puis deux dans son anus, elle s’ouvrait doucement à la caresse en ronronnant. Jérôme se caressait tout en suivant la scène du regard. Je versais encore un peu de gel directement dans l’anus, avant de faire signe à Jérôme qu’il pouvait la pénétrer.

Je me tenais debout à coté d’elle, elle saisit ma main, attendant l’instant ou le bélier allait enfoncer ses dernières résistances. C’est moi qui avais initié Sandra à la sodomie au début de notre liaison, elle était un peu réticente à cette pratique à cause d’une mauvaise expérience avec un de ses anciens amants. Avec beaucoup de douceur et de patience, et à sa demande, j’étais arrivé à la prendre par cet orifice, et c’était une pratique qui était devenue courante lors de nos rapports, et qu’elle appréciait énormément. Mais à par mon sexe et un gode souple de taille normale, elle n’avait jamais reçu un sexe d’une taille comparable à ce qui l’attendait.

Jérôme avec beaucoup de douceur comme lors de la pénétration vaginale, déposât son gland sur l’anus offert. Écartant les fesses de ses grandes mains, les pouces posés de part et d’autres de l’anneau fragile, il empoignait ses deux globes fermes et charnus. Il poussa lentement le gland qui forçat le passage étroit. Sandra gémit en mordant le dossier du fauteuil. Elle serra ma main si fort que j’étais dans un étau. De sa main libre elle bloqua l’avancée en posant sa main sur le ventre de son amant. Le gland était entièrement en elle. Sa respiration était forte et haletante. Cela dura quelques secondes, puis d’un signe de tête elle me fit signe qu’il pouvait continuer. Je fit moi-même un signe à Jérôme pour lui indiquer de continuer. Je me penchais en avant, à l’oreille de Sandra : « A ton rythme ma puce, c’est toi qui décides, si tu ne veux plus dis le » Elle me sourit, et me fit oui des yeux.

Jérôme lentement enfonçait son sexe démesuré dans le ventre de Sandra, elle mordait le cousin en hurlant, elle serrait ma main encore plus fort, mais elle ne bloqua pas la pénétration jusqu’à ce que le pubis de Jérôme vienne buter contre ses fesses. Il était tout entier en elle, les 30 cm de sang et de chair étaient enfouis au plus profond d’elle-même. Jérôme resta ainsi en elle sans bouger. La respiration de Sandra était rapide, ses traits tirés, mais elle ne rejetait pas cette pénétration. Elle me serra deux fois la main, pour me faire comprendre qu’il pouvait continuer. Je lui fit un signe de tête pour le lui faire comprendre. Il acquiesça de la tête et d’un lent mouvement du bassin, ressorti lentement presque la totalité de son sexe, ne laissant que l’extrémité dedans. Sandra poussa un long gémissement guttural, venu du fin fond d’elle-même, rejetant sa tête en arrière avant de la laisser retomber brutalement sur le dossier.

Jérôme pénétra de nouveau à fond l’orifice étroit, arrachant un nouveau cri de plaisir à ma puce. Il commença à aller et venir en elle à un rythme de plus en plus soutenu, se cramponnant toujours à cette délicieuse petite croupe ; ses doigts s’enfonçant dans la chair. Sandra s’agitait gémissait, criait son plaisir, elle criait qu’elle était une chienne, qu’elle adorait sentir Jérôme en elle, qu’elle aimait que ce pieu la défonce, ces propos sortant de sa bouche étaient vulgaires, mais dans ces circonstances cela ne choquait personne. Jérôme allait et venait à fond en elle, de plus en plus vite, de la sueur perlait sur son front et sur son torse. Sandra jouissait sans cesse, en hurlant, parfois en étouffant ses cris en mordant l’étoffe, sa tête s’agitait dans tous les sens, elle serrait les accoudoirs en tissus, comme pour les arracher.

Jérôme accéléra de plus en plus en gémissant lui aussi, signe que sa jouissance était proche. Sandra sentant cet instant venir, et ayant jouit plus que de raison, frappa plusieurs fois de sa main droite le ventre de Jérôme, pour lui faire comprendre de se retirer. Comprenant le message, il sortit de son anus, en saisissant son sexe, elle se retourna rapidement sur le fauteuil, et eu juste le temps de saisir la queue tendue, juste avant que d’abondantes giclées de sperme, inondes comme des geysers saccadés son torse et son ventre. Sandra aimait sentir le sperme chaud sur son corps, pour en savourer la chaleur, elle disait qu’ainsi elle sentait mieux le plaisir qu’elle avait donné. Les dernières giclées moins puissantes s’écoulaient sur le bout du gland, le liquide blanc contrastant sur le gland violet et sombre. Elle emboucha le gland une dernière fois, pour savourer la jouissance de Jérôme et le remercier par cette caresse du plaisir donné, lui arrachant un dernier cri de plaisir. Elle lécha les dernières gouttes sur la hampe, avant de s’écrouler sur le fauteuil en se repliant comme un fœtus. Je pouvais voir sur anus encore dilaté, qui palpitait cherchant à se refermer après avoir été dilaté d’une manière extrême par ce pal vivant.

Jérôme à son tour tomba sur son fauteuil, les jambes coupées par la jouissance. Je caressais doucement la tête et le visage de Sandra, elle saisit ma main pour y déposer un baiser tendre.

Quelques minutes plus tard, Jérôme en sueur me demanda s’il pouvait prendre une douche. Je l’accompagnais vers la salle de bain, en lui tapotant l’épaule, pour le remercier à ma manière du plaisir offert à ma puce.

Quand je suis revenu Sandra était endormie sur le fauteuil, apaisée, mais surtout épuisée par tant de jouissances. Je la pris dans mes bras, pour la porter sur notre lit. Elle se réveilla à peine lorsque je fit glisser les draps sur elle, me faisant un sourire que j’aperçut à travers ses cheveux, éparpillés sur son visage.

Jérôme sorti de la salle de bain, une serviette autour de la taille, au moment ou je sortais de la chambre et que je refermais la porte.

« Elle dort ».

Nous sommes retournés dans le salon, notre ami enfila ses vêtements, je lui proposais un autre verre, ainsi que de manger, la soirée était bien avancée. Il accepta l’invitation et nous dînèrent en parlant de choses et d’autres, sans aborder d’aucune façon ce qui c’était passé. L’heure tournait et je proposais à Jérôme de dormir dans notre chambre d’ami, inutile de lui faire reprendre la route à une heure tardive, il accepta l’invitation.

L’histoire aurait put s’arrêter là, mais c’était sans connaître Sandra.

Après avoir rangé un peu la maison, j’ai pris une douche et je suis allé me coucher. Quand je me suis glissé dans les draps, cela réveilla Sandra. Elle ne dit rien et m’embrassa à pleine bouche, puis se leva et se dirigea à son tour vers la salle de bain. Elle revint dans la chambre au bout de quelques minutes, et en se recouchant elle me dit :

« Jérôme est là ? J’ai vu de la lumière dans la chambre d’ami » Je lui dis que oui, ayant préféré l’inviter à dormir, vu l’heure tardive. Elle ne dit rien et se blottie contre moi.

Au cours de la nuit, je fis un rêve érotique. Tout en rêvant dans un demi-sommeil, je compris que la cause de ce rêve était physique. J’ouvris doucement les yeux, Sandra était glissée entre mes jambes et me suçait. Quand elle comprit que j’étais réveillé, elle se leva, et dit « suis-moi » elle sortit de la chambre laissant la porte entrouverte, la lumière du couloir m’aveugla un peu, et je mis un certain temps à me lever et à la suivre.

Dans le couloir, je vis que la porte de la chambre d’ami était entrouverte. Je m’avançais puis je la poussais de la main.

Je découvris Jérôme allongé sur le lit, tenant son sexe d’une main pour le guider vers l’anus de Sandra, elle-même était au dessus de lui, presque accroupie, ses pieds posés de chaque coté des cuisses de Jérôme.

Elle descendit doucement sur ce sexe tendu, emplissant son anus une nouvelle fois de ce membre offert en cadeau. Lorsque sa croupe fut au contact du ventre de son amant, et celui ci totalement en elle, elle releva ses jambes et posa ses pieds sur ses cuisses, totalement écartelées. Ce petit corps blanc, posé sur ce puissant corps noir, relié à lui par ce sexe énorme, était une vision très excitante qui me fit reprendre une érection.

Elle jouait du bassin, pour bien sentir la pénétration en ronronnant. Je ne voyais pas son visage, ni celui de Jérôme, mais ce dernier me fit signe de la main de m’approcher, et de son majeur et de son index de l’autre main, posé sur le sexe de Sandra, il écarta les grandes lèvres, découvrant l’intérieur rosé. L’invitation était claire. Je montais sur le lit, je me glissais entre ses jambes et entre les cuisses écartées de ma puce, et je posais mon gland à l’entrée de son puits d’amour. Elle mouillait abondamment encore une fois. Je poussais mon sexe à l’intérieur de cette cavité douce, chaude et soyeuse. J’avais du mal à entrer, le sexe de l’autre homme, faisait pression par le dessous, et je le sentais le long du mien, à travers la fine peau qui nous séparait. Je finis tout de même par entrer en entier dans son sexe. Je m’immobilisais au fond d’elle. Nous ne bougions plus, unis par nos sexes. Sandra gémissait de plaisir, articulant des mots incompréhensibles.

Je sortais doucement de son sexe, pour y plonger de nouveau. Ma poussée faisant coulisser son anus sur le sexe de Jérôme. Lorsque j’entrais il sortait, lorsque je reculais il s’enfonçait profondément. Nous avons continué comme cela de longues minutes, nous enfonçant parfois en même temps dans le petit corps offert, arrachant chaque fois des cris de jouissances à Sandra. Elle jouit plusieurs fois, je sentais ses contractions autour de mon sexe, ce qui me motivait encore plus pour la pénétrer profondément, en sentant cette deuxième présence en elle.

Jérôme et moi avons jouit en même temps, lui au fond de ses entrailles, moi au fond de son sexe. Inondant de notre sperme chaud ses deux cavités de plaisir.

Je sortis le premier, puis j’aidais Sandra à s’extraire du pieu de Jérôme. Elle roula sur le coté, puis revint vers lui, caressant une nouvelle fois d’une main douce, cette queue qui lui avait donné tant de plaisir.

Nous nous sommes séparés le lendemain matin, après avoir pris le petit déjeuner ensemble dans un bar prés de la maison. Nous avons raccompagné Jérôme à sa voiture, et Sandra lui a déposé un baiser sur la joue, en caressant une dernière fois son sexe à travers l’étoffe de son pantalon, en disant « Au revoir » mais pas à Jérôme, mais plutôt à son attribut viril.

Nous avons gardé le contact, sans reparler de cette nuit. Jérôme à la fin de ses études quelques mois plus tard est reparti dans son pays. Sandra et moi avons vécu encore quelques temps ensemble avant de nous séparer. J’ai appris quelques années plus tard par un courrier de Jérôme, qu’elle était venue en vacance au Sénégal et qu’elle avait de nouveau goûté en sa compagnie au plaisir de l’ébène.

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