La porte de la salle de bain est fermée et j’entends le bruit du jet d’eau qui coule rafraîchissant probablement la chaleur de Saoussen. Je reste quelques secondes la main figée sur la poignée, savourant l’instant avant de pousser la porte et de rejoindre la belle dénudée sous sa douche. Je me délecte par avance de la scène qui va advenir. Par moment je me demande si le l’imaginaire, l’idée qu’on se fait d’une relation sexuelle n’est pas plus excitante que la relation en elle-même. Je ne parle pas de sensations, car pour ça il n’y a pas photo, rien ne vaut la sensation de faire coulisser sa queue dans le fourreau chaud et serré d’une chatte bien excitée, mais en ce qui concerne l’excitation même je pense qu’il y a match. Je m’imagine entrer dans la salle de bain sans un mot, me trouver face à Saoussen les yeux fermés, nue, la tête renversée en arrière pour humidifier sa longue chevelure noire, monter le pa****t de la baignoire (quand tu as des enfants les douches italiennes c’est dans les films), plaquer son buste contre le mur et, avant même qu’elle n’ait eu le temps d’ouvrir les yeux, la pénétrer violemment et sentir son corps se détendre sous le plaisir de mes coups de butoir. A la seule évocation de cette scène je sens mon sexe qui recommence à bander immédiatement. Pourtant j’ai craché il y a quelques minutes à peine et, je n’ai plus vingt ans, je mets habituellement plus de temps que ça à recharger pour partir sur un second round. A croire que le contexte est pour beaucoup dans nos réactions physiologiques à ce niveau, même si j’adore faire l’amour à ma femme je pense qu’il m’aurait fallu une pause plus longue pour pouvoir l’honorer deux fois en si peu de temps.
Je baisse donc silencieusement la poignée de porte et pénètre dans la pièce. Saoussen a refermé le rideau de douche et n’est donc pas consciente de mon irruption. Je descends mon pantalon, rapidement rejoint sur le sol par mon caleçon, puis j’écarte le rideau et reste subjugué par une vision de félicité. Totalement nue, et à la réflexion c’est la première fois que je peux profiter du spectacle de son corps totalement offert dans son impudique nudité, Saoussen garde effectivement les yeux fermés mais ce n’est pas parce que l’eau coule sur ses cheveux comme je l’avais supposé dans ma rêverie éveillée, la pomme de douche est sur le sol de la baignoire en train de se répandre aux pieds de la belle naïade, mais bien parce qu’elle est en train de se savonner le visage. Elle a déjà terminé de passer le gel douche sur son corps semble-t-il au vu des couches de mousse qui, çà et là, camouflent quelques centimètre de sa peau dorée sans pourtant dissimuler grand-chose de son anatomie. Ses lignes sont gracieuses sans pour autant tirer à l’excès de maigreur qui semble être le graal de beaucoup de femmes. La chahma c’est nécessaire, et Saoussen en a, répartie harmonieusement en courbes et collines admirablement proportionnées. On voit que la dame est sportive et qu’elle prend soin d’elle, mais qu’elle profite quand même des plaisirs de la table.
Ses jambes longues et musclées, tout en restant fines, un peu trop à mon goût même mais j’aurai mauvais jeu de me plaindre au vue des circonstances et puis je ne parle pas d’une pièce de viande à la boucherie quand même, se terminent par des pieds soignés, grecs, à la légèreté sensuelle. Je ne suis pas fétichiste des pieds, j’ai des potes qui kiffent ça je sais, souvenirs de discussions très cheloues à l’époque du lycée, mais si c’était mon cas je pense que ces pieds-là auraient aussitôt rejoint le panthéon des appendices. Ses hanches sont bien dessinées sans être larges, elle me fait face et mon regard est immédiatement attiré par le losange foncé de son pubis, s’ouvrant sur des lèvres d’un rose-rougeâtre éclatant. L’origine du monde est là selon Courbet, et si son sexe est moins fourni que la forêt exubérante de la peinture, il arbore quand même des poils courts et légèrement frisés sur lesquels perlent les quelques gouttes d’eau succédant au passage de la douche. Autant j’aime qu’une femme prenne soin de ses parties intimes et entretienne son maillot, comme je le fais moi-même au demeurant, autant j’ai toujours du mal avec les sexes entièrement glabres, dépourvus de toute pilosité. Les femmes ne sont pas des petites filles et conserver une partie de sa toison, bien soignée, est chez moi bien plus érotisant que de me trouver face à un sexe entièrement lisse. Mon regard remonte ensuite sur son ventre presque plat au nombril légèrement sortant avant de glisser sur sa poitrine à demi couverte de mousse. Ses seins sont de taille moyenne, comme faits pour tenir dans la paume d’une main sans en déborder. Ils sont plutôt arrondis et ne subissent pas encore les contrecoups conjugués de l’âge et de la gravité, ils trônent fermement sur la poitrine dénudée, comme prêts à s’offrir aux assauts de la bouche ou des doigts qui oseront les cueillir. Beaucoup de femmes veulent des plus gros seins, mais une belle poitrine, même si elle n’est pas énorme, contentera toujours un homme de goût, par contre pour le cul c’est différent, un bon gros tarma ça vaut son pesant de loubia. En couronnement se trouvent ses tétons, à la peau brun foncée qui tranche avec le doré du reste de son épiderme. Ils ont une aréole plutôt large et, au vu de la manière dont ils sont dressés, semblent encore excités de la scène que nous avons vécu quelques minutes avant. Etant donné que Saoussen est en train de se laver le visage, ses deux bras rassemblés font encore plus saillir sa poitrine qu’elle ne le fait naturellement. Surmontant son corps, un coup gracile, délicat, qu’entoure une fine chaîne dorée au bout de laquelle se balance un pendentif en forme de larme ciselée dans une quelconque pierre semi-précieuse. Son visage est dissimulé par ses mains et ses longs cheveux mouillés se répandent tels une toile sur ses épaules, sa nuque et sa poitrine.
– Tu as besoin de te rafraichir on dirait Saoussen, lui lancé-je d’une voix joyeuse.
Elle sursaute et étouffe un cri de frayeur avant de me reprocher :
– Khaft ya Kamal, tu m’as surprise. Wesh rak tdir hna ? Grib tji Hanane, mshi ya mahboul.
-Ne t’en fais pas, Hanane reste manger chez sa mère ce soir et la pizza n’est pas encore cuite, j’ai un peu de temps pour m’occuper de toi, dis-je en entrant dans la douche d’un pas décidé.
Saoussen ne dit rien, mais son regard explicite et appréciateur se fixe sur mon sexe bandé et elle recule pour me faire de la place dans la baignoire. Je me baisse prestement et me saisis du pommeau de douche pour ensuite le raccrocher sur son portant de manière à ce que l’eau qui en jaillit nous arrose tous les deux. Ok j’ai envie de la baiser, mais si je peux faire ça bien au chaud je ne vais pas me gêner. Je pose mes deux mains à plat sur ses épaules et je la plaque brutalement contre le mur en carrés de faïence qui borde la salle de bain. Je me plaque alors contre elle, la peau de nos corps entiers au contact, ma bite bien dressée contre son bas ventre. Je fais descendre mes mains le long de son buste puis de ses hanches avant de les poser sur ses fesses que je commence à malaxer à pleine main. J’écarte les deux globes puis les resserre dans un rythme d’abord lent puis de plus en plus rapide. Simultanément j’enfouis ma tête dans sa poitrine et, à demi étouffé par ses seins, je commence à m’abreuver de l’eau qui coule de la douche à sa peau puis de sa peau à ma bouche. Je sens plus que je ne vois qu’elle fait basculer sa tête en arrière, toute entière conquise et consacrée à savourer le plaisir de mes lèvres, ma langue et mes dents ne lui laissant aucun répit. Des grognements de plaisirs ne tardent pas à jaillir de sa gorge.
– Mmmmmff, ouiii zid ya , koul zouizti… mmm c’est bon. Mange mes seins, bouffe les, mmmm…
Tout en parlant elle pose mes deux mains sur ma tête et la presse encore plus contre sa poitrine, écrasant totalement mon visage contre sa peau, sans aucune considération, toute entière à son kif, pour mon besoin naturel d’inspirer et d’expirer. Je commence rapidement à suffoquer, n’aspirant quelques goulées d’air salvatrices que de temps à autre, mais je ne veux pas me décoller de sa peau, c’est trop bon, son épiderme souple et ferme est un délice sous ma langue et l’eau qui coule dessus rend la situation encore plus érotique si cela est possible. Ma main droite quitte son fessier rebondi pour venir empoigner son sein. Je ne tarde pas, tout en continuant à dévorer sa poitrine, à faire jouer son téton entre mes doigts, à le tordre, le pincer, le tirer sans douceur aucune. A chaque maltraitance de son appendice Saoussen tressaille de plaisir, ne peut s’empêcher de geindre ou de pousser de petits cris de douleurs quand le traitement se fait trop dur.
– Mmmmaïe, Tu m’as fait mal Kamal… mmm recommence, awwoudha… fais-moi mal, aaaaah, fais-moi du bien, mmm c’est booooon, bniiiiine ya chikour…
L’entendre prendre du plaisir est ultra-motivant, je ne sais pas pour les autres hommes, mais en ce qui me concerne mon plus grand kiffe vient d’entendre, de voir, de sentir ma partenaire kiffer le traitement qu’elle reçoit. Ce n’est pas que je sois particulièrement altruiste mais, je pense, cela vient du fait qu’on a une telle sensation de puissance quand une femme exprime son plaisir que ça en devient grisant. Je ne dirais pas que l’éjaculation est anecdotique, bien au contraire c’est le feu d’artifice qui vient parachever le rapport sexuel, mais je l’apprécie moins si je sens qu’en face de moi elle n’a pas eu son plaisir.
Peu à peu la pression de sa main sur ma tête se fait plus forte et je comprends vite qu’elle veut que je quitte sa poitrine pour une partie encore plus intime de son anatomie. Je me plie donc à sa volonté et laisse glisser ma bouche le long de son ventre, non sans m’attarder quelques instants sur son nombril que j’envoie ma langue fouiller durant quelques secondes.
– Mmmmm, nheb… grogne-t-elle mezzo vocce.
Puis je continue ma descente langoureuse le long de son bas ventre et j’atteins enfin le jardin de sa féminité. Au même moment elle s’assois sur le rebord de la baignoire et, ma tête toujours entre ses mains, écarte bien les cuisses pour me favoriser l’accès à son sexe dégoulinant d’eau et, peut-être mais c’est difficile à percevoir sous la douche, de mouille. Elle me colle manu militari le visage contre son entrejambe et je commence à laper son intimité, effectivement il n’y a pas que de l’eau, le goût fort et âcre, indéniablement reconnaissable, de sa mouille ne tarde pas à envahir ma bouche. Je me régale de sa chair, de ses lèvres ouvertes que je tire du bout des miennes. Ma langue va et vient dans la chaleur de son antre, je la pousse en avant, la ramène en arrière, je m’attarde arfoir en un point pour lécher fortement, longuement consciencieusement, puis je redeviens agile et me concentre sur une autre partie de sa chatte. Ses mains agrippent de plus en plus fort mes cheveux, me les tirent même à m’en faire mal, mais bon on supporte la douleur hein, on va pas chouiner alors qu’on est en train de dévorer la chatte de la meilleure amie de sa femme. Quelque part cette douleur est aussi un aiguillon à ma propre excitation, j’aime le sexe quand il devient un peu violent. Attention je ne suis pas adepte du bondage et tous ces délires SM, mais un peu de vigueur accompagne tellement bien le sexe qu’il est dommage de s’en priver.
– Annnh, annnh, annnh, continue ya kelb ta3i, mange moi, mange moi, mange moiiiii…
Tout en vocalisant son plaisir Saoussen fait avancer puis reculer ma tête de son entrejambe, un peu comme si elle se masturbait avec ma langue, comme si je n’étais qu’un outil. Bon je ne m’attendais pas à me faire traiter de chien aujourd’hui, mais en même temps je passe mon temps depuis quelques jours à l’appeler pute, kehba, salope, chienne, donc je ne vais pas me formaliser pour si peu. Et n’est-ce pas un peu ce que je suis d’ailleurs, un chien ? Bon déjà la position physique de moi à genoux dans la baignoire la tête plongée entre les cuisses de Saoussen et en train de pousser de vrais grognements presque canins tout en lui lapant la chatte, la comparaison avec l’a****l et rapidement faite. Et même sur la situation, je suis un chien, un putain de clébard même. Je suis tranquillement sous la douche, dans ma propre maison, en train de faire kiffer sous ma bouche la meilleure amie de ma femme, en profitant en toute bonne conscience de l’absence ce cette dernière. C’est les chiens de la casse qui font ça ! Heureusement, ou malheureusement tout dépend du point de vue, ces considérations morales ne m’effleurent même pas l’esprit et je suis entièrement consacré à ce que je fais. Quand j’essaie de remonter rapidement ma langue vers son clitoris elle me retient brusquement et me dis dans un sourire pervers.
– Lala Kamal, aaanh, reste là où tu es, ça c’est moi qui mmmmmhh… qui m’en occupe. Lèche moi bien… encoooore…
Et elle renfourne immédiatement ma tête à la hauteur voulue. Je m’attends donc à ce qu’elle commence à se caresser elle-même le clitoris pendant que je la lèche, mais la belle est pleine de surprises. Elle tend le bras vers le pommeau de douche, l’att**** du bout des doigts et commence à le faire tourner, faisant passer l’eau du mode classique au mode massage. Constatant que la pression est, de cette manière, plutôt forte elle baisse le débit d’eau pour arriver à un jet puissant mais qui ne risque toutefois pas de lui faire mal. Une fois ses petits réglages accomplis elle dirige sans hésiter, à ce qu’il me semble avec la confiance de l’habitude, vers son clitoris. Sous la pression du jet sur son bouton de plaisir elle lâche un grondement guttural et je sens son corps se tendre à plusieurs reprises. Je continue à la lécher avec entrain tout en étant complètement aveuglé et en luttant pour reprendre ma respiration entre l’eau, sa mouille et son sexe bien ouvert. Ma langue continue son travail de fouille, s’insinue dans les recoins de ses lèvres, se contorsionne pour son plaisir. D’un coup je la contracte et la tends puis commence à bouger ma tête de droite à gauche à toute vitesse, sans interruption.
– Aaaah, aaah, aaah, aaaannnh… c’est trop bon… Qu’est-ce que tu… aaanh… qu’est-ce que tu me fais ? S’écrie Saoussen en lâchant sur le moment mes cheveux pour s’agripper au rebord de la baignoire.
Elle écarte encore plus les jambes et fais avancer son bassin à la rencontre de mon visage, se retrouvant ainsi les fesses sans appui, se s’appuyant uniquement sur la force de son bras. Heureusement qu’elle est sportive la pharmacienne, sinon elle n’aurait pas tenu longtemps dans cette position. Son excitation est communicative et tout concentré que je suis sur ma tâche, je sens mon sexe tendu à tout rompre palpiter sous la pression du sang qui le gonfle. Entraînée par le mouvement latéral de ma tête, ma bite, dressée, suis le mouvement avec un mouvement de balancier. Plus j’accélère plus les exclamations de plaisir de Saoussen se font entendre, je pense que je m’en sortirai avec un bon mal de tête voir un torticolis mais le jeu de voir cette petite salope se lâcher complètement sous ma langue en vaut clairement la chandelle.
– Aaaah… aannh… aaahaahaahaahaaahaaah… Ka…mal… ziiiiid… aaaaahahaaaah.
Encouragé par ses cris je me lance avec une voracité redoublée sur sa chatte, tout en lui pressant les fesses des deux mains, en faisant par moment glisser mon doigt à proximité de son anus. Elle est bien trop prise par son plaisir pour se formaliser de cette approche et de toute façon je ne tente à aucun moment de l’introduire à l’intérieur, juste d’en caresser avec insistance le pourtour. D’un coup je sens que ses jambes commencent à flageoler, à avoir du mal à retenir le poids de son corps, je tends donc mes muscles pour la soutenir à bout de bras quand…
– OUUIIIIIII… aaaaaaaaaaah. Aannnh… aaaaaarrrrh… oui oui oui ouiiiiiiiiiiii…. Mmmmmmmhhhhhh
Saoussen vient de jouir. De toutes ses forces. Elle laisse tomber sur le côté le pommeau de douche dont le jet commence à arroser au hasard les murs et le sol de la salle de bain. Elle-même s’est affaissée au fond de la baignoire, les yeux mi-clos et la bouche entrouverte, respirant l’air par petites goulées rapides. A la différence de la veille dans le jardin elle n’a pas l’air toutefois d’être complètement ailleurs. Je rammasse le tuyau de douche qui est en train de nous inonder et le raccroche à sa fixation, non sans l’avoir fait rebasculer en mode classique.
– Mmmmmh, c’était trop bon Kamal, je ne m’imaginais pas le plaisir… Loukan a3rfet on l’aurait fait plus tôt, me dit-elle d’une voix douce aux accents emplis de fatigue et de sensualité.
– On n’a pas encore fini espèce de petite chienne, regarde dans quel état tu m’as mis, lui répond-je en prenant ma queue dans une main et en commençant à la masturber dans sa direction.
Elle regarde mon sexe avec avidité et fait un mouvement pour se lever et le prendre en bouche.
– Mmmm, avec plaisir mon petit Kamal, aji fi foummi, me rétorque-t-elle en reprenant tout de suite son aplomb et son attitude aguicheuse.
Mais je l’arrête dans sa lancée en me baissant et l’attrapant par les hanches. Elle me retourne un regard interrogateur.
– Non pas cette fois kahba, tu m’as déjà sucé tout à l’heure, cette fois j’en veux plus, lui dis-je d’une voix déterminée.
Et joignant le geste à la parole je la soulève au prix d’une légère glissade sur le revêtement mouillé de la baignoire, mais sans casse bien heureusement. J’aurais été plutôt embêté de devoir expliquer à Hanane comment j’avais fait pour me fracturer la jambe alors que j’étais nu sous la douche avec sa copine. On ne pense pas à tout ce qui peut nous arriver mais d’un coup cette pensée me traverse l’esprit et je ne peux m’empêcher de me sentir soulagé tout en étouffant un petit rire à l’idée que ça arrive. En plus de me faire griller comme un hmar j’aurai l’air bien stupide si cela se produisait.
Je retourne donc Saoussen tout en la relevant et la fait se pencher en avant, par réflexe elle s’appuie de ses mains sur le mur qui lui fait face. L’eau tombe sur son dos légèrement cambré. Du bout du pied j’écarte doucement ses jambes de quelques dizaines de centimètres et cette position révèle cette chatte que je viens de lécher, de sucer, dans laquelle ma langue s’est insinuée et dont j’ai toujours le goût en bouche. Elle n’a pas la force de se dérober au positionnement que je lui fait prendre, encore à moitié groggy par son orgasme récent, mais cela ne l’empêche pas de protester avec véhémence.
– Qu’est-ce que tu fais là ? Wesh rak tdir ? S’inquiète-t-elle en se rendant compte que cette position est probablement le prélude à une pénétration, et donc pour elle à un dépucelage non envisagé.
– Laisse-moi faire chienne, tu vas voir je vais encore te donner du plaisir
– Lala Kamal, c’est non ! Je ne veux pas ! s’écrie-t-elle alors tout en tentant de se retourner.
Mais j’ai été le plus rapide et mes mains posés sur ses épaules la maintiennent fortement bloquée. Ce faisant j’ai dû me serrer contre ses fesses et ma queue s’est insinuée d’elle-même au milieu de sa raie, se calant confortablement.
– 3abbess ! S’exclame-t-elle. Ca suffit maintenant ! Je ne suis pas d’accord ! Je suis vierge Kamal, et je veux le rester pour mon mari. Khlass maintenant.
Je me penche sur elle, écrasant mon buste contre son dos et lâchant ses épaules pour me saisir de ses seins que je commence à malaxer à pleine mains, et je lui murmure à l’oreille, d’une voix volontairement perverse.
– Ben alors Kelba, tu me chauffes, va falloir assumer. Tu pensais pas à ton mari tout à l’heure salope.
– Arrête maintenant Kamal, je t’ai dis non ! C’est du viol ça !
Elle commence à paniquer, ça se vois à son regard, ça s’entend à sa voix affolée. Mon petit jeu commence à aller trop loin et je ne veux pas la traumatiser ou lui faire perdre son excitation. Je veux continuer à pouvoir profiter de ma salope jusqu’à la fin de son séjour. Et puis aussi et surtout je ne suis pas un violeur.
– Matrafich Sassouen, lui dis-je d’une voix rassurante, je vais pas te pénétrer, tu vas rester vierge pour ton mari. Mais par contre t’as pas fini de jouir aujourd’hui.
Je la sens qui se détend à l’écoute de mes paroles, mais elle reste toujours méfiante, ce qui est compréhensible car elle est nue, en position de levrette et ma bite bandée est bien calée entre ses deux fesses. Elle est vulnérable. Je commence même à regretter de lui avoir fait cette frayeur.
– Tu me connais depuis longtemps, tu croyais pas vraiment que j’allais te faire du mal quand même ? lui demandé-je d’une voix innocente.
Elle prend quelques secondes avant de me répondre, sa voix a gagné en assurance.
– Tu sais on n’est jamais à l’abri, même avec quelqu’un qu’on connait bien ça peut dé****r. Demande à n’importe quelle femme et elle te le dira. Je prends beaucoup de plaisir avec toi, je me découvre, mais j’ai mes limites à ne pas dépasser. Et en plus tu m’as fait peur, vraiment.
Comment se sentir con et moins que rien en moins de dix secondes. J’étais dans un délire sexuel et elle elle voyait une agression sexuelle, les choses peuvent vite prendre un sens différent. D’un coup je perds de vue mes pensées concupiscentes et je la serre dans mes bras de manière protectrice, tout en lui embrassant le cou doucement pour la rassurer. Entre ses fesses mon sexe a immédiatement débandé, être confondu avec un potentiel violeur ne fais pas vraiment partie des choses qui m’aident à conserver mon excitation.
– Tout va bien Saoussen, lui sussuré-je calmement entre deux baisers, je vais pas te faire quoi que ce soit que tu refuses, tout va bien, tu n’as pas à avoir peur de moi,…
Elle se laisse aller dans mes bras, convaincue par ce que je lui dis et nous nous retrouvons enlacés pendant quelques minutes, bercés par le clapotis de l’eau chaude sur nos corps. Je continue par moment à lui embrasser ou lui mordiller le cou et elle se laisse faire. Au bout d’un moment elle commence à remuer les fesses contre mon bas-ventre, ce qui fait progressivement regagner sa vigueur perdue à mon sexe au repos. Finalement elle n’a pas l’air d’avoir été durablement traumatisé par ce qui vient de se passer.
– Alors monsieur, me demande-t-elle d’une voix sournoise tout en accentuant la pression de son arrière train contre ma bite, si tu ne voulais pas me violer qu’est-ce que tu avais l’intention de me faire ?
Sans prendre le temps de réfléchir je me redresse et att**** ses hanches à deux mains tandis qu’elle laisse échapper un long gémissement en sentant ma queue se repositionner à l’endroit qu’elle avait quitté.
– Mmmmmh, elle est bien duuure.
– Cambre toi bien petite chienne ! lui intimé-je d’une voix redevenue ferme.
M’obéissant elle creuse la colonne vertébrale ce qui a pour effet de pousser encore plus son cul vers l’arrière. Tout homme vous dira que cette vision est paradisiaque, une femme penchée en avant, entièrement offerte à la pénétration et à nos coups de reins c’est une invitation qu’il nous est impossible de refuser. Je lui assène alors une claque retentissante sur la fesse droite. Sans retenue elle lâche un cri de douleur mêlé d’excitation.
– AAAMMMPffffff… warlech tdarbni Kamal ? J’ai pas été gentille ? Rani chatra.
Elle a tout à fait repris son rôle de salope aguicheuse qu’elle semble affectionner, et moi également, depuis le début de nos jeux, cette feinte innocence me fait bander d’autant plus.
– Non t’as pas été gentille. T’es qu’une salope et tu le sais. Tu veux te préserver pour ton futur mari mais ça t’empêche pas de kiffer quand je te bouffe la chatte, hein khamja.
– Non, c’est pas vrai, je suis une bint familia, tu profites de moi… hhhmmmm, dit-elle tout en bougeant ses fesses contre mon sexe par des petits mouvements verticaux.
– Je te frappe car tu ne mérite que ça, les chiennes dans ton genre il faut les dresser !
– Mmmmmh… chikour… aaannh…
Sur sa fesse brune et rebondie l’empreinte rouge de ma main est clairement visible. Je la frappe à nouveau encore plus fort au même endroit.
– AAAïïïe, ça fait maaaal… gémit-elle en se retournant vers moi un sourire aux lèvres.
– Ca te plaît petite pute ?
– J’adore, je suis ta petite kehba ya chikour diali.
Je commence alors à faire coulisser mon sexe entre les deux monticules de ses fesses, d’abord lentement puis en accélérant progressivement le rythme. De mes deux mais je presse les globes de chair pour qu’ils entourent bien ma bite, je suis bien serré entre les deux, la différence est grande entre cette pratique et le fourreau bien chaud d’un vagin, mais j’y prends rapidement goût. J’enchaîne quelques mouvements de bas en haut dans la coulée de sa raie, mais je commence rapidement à trouver que la sensation n’est pas extrêmement agréable. Si en temps normal je pense que sa mouille entraînée par le mouvement de ma bite aurait rapidement lubrifié le passage, aidée en cela par mon liquide séminal, là l’eau de la douche empêche cette lubrification, ce qui fait que la peau frotte contre la peau, ce n’est certes pas douloureux mais il n’y a pas cette sensation de glisse. Je tourne alors légèrement le pommeau de douche vers le haut de son corps, tant pis je ne pourrais pas profiter de l’eau en même temps, et de l’autre main je débouche un pot de masque pour les cheveux (du beurre de karité ou je ne sais pas quel ingrédient, toutes les complexités des mystères de la douche féminine me dépassent), j’en ramasse une bonne noisette du bout des doigts et j’en enduis mon sexe sur toute sa longueur avant de me remettre à besogner Saoussen. La différence est formidable, ma bite coulisse entre ses fesses d’une manière tellement agréable et naturelle qu’à un moment je suis obligé de vérifier si je ne l’ai pas pénétrée sans m’en rendre compte. C’est une précaution bien inutile car je me doute qu’elle l’aurait remarqué et me l’aurai vertement fait savoir, mais la sensation est tellement bonne que le doute était permis. A chaque passage mon gland qui remonte frotte contre son anus, et à chaque passage je m’amuse à accentuer un peu la pression à ce niveau-là, tout en prenant garde à ne pas appuyer trop par crainte de m’y enfoncer, une sodomie surprise ça ne doit pas être le truc le plus rigolo de la terre pour une femme j’imagine.
A chaque passage Saoussen me gratifie d’un gémissement sensuel indiquant qu’elle prend du plaisir au traitement auquel je la soumets. Dans la position dans laquelle je me trouve, la pénétrer ne demanderai qu’un ajustement de position infime et, bien que l’idée fasse plus que me traverser la tête, je m’en abstiens très sérieusement. Saoussen a, pour l’instant en tout cas, des limites qu’elle n’est pas prête à franchir, autant donc profiter de ce qui m’est offert et ne pas être trop gourmand.
Doucement, tout en accompagnant mes mouvements par des ondulations lascives, la pharmacienne fait glisser sa main droite entre ses jambes et se mets à caresser frénétiquement son clitoris. Comme pour beaucoup de femmes on dirait bien que ce petit organe est son point le plus sensible et le masturber lui fait un effet immédiat.
– Mmmmmh aaaaaahhhh, tu imaginais qu’on finirait comme ça il y a quelques jours aaaannh…, me demande-t-elle tout en continuant à s’activer sur son bouton de plaisir.
– Ca fait longtemps que tu me fais bander Saoussen, lui répond-je d’une voix rauque, mais non j’aurais jamais imaginé ça. Que la meilleure amie de ma femme devienne ma chienne, j’y aurais pas cru.
– Je suis taAaaaannnnh… ta chienne habibi ?
– Oui, t’es ma grosse chienne, ma bonne khamja et je compte bien profiter de toi à chaque fois que je te verrais.
-Hmmmmm, profite maintenant, parce que quand je vais rentrer aaannnh… je vais tout faire pour me marier rapidement, j’ai encore envie de seeexe.. Mais aah… ce sera juste avec mon… aaanh… mon mari, me répond-t-elle d’un ton catégorique.
– Mmmmh, serre tes cuisses kahba, je vais te montrer que même quand tu seras mariée tu viendras prendre ton coup de bite avec moi.
Elle m’obéit et rapproche ses deux jambes l’une de l’autre. Je me recule alors légèrement, je badigeonne à nouveau mon gland de beurre de karité et je l’enfonce entre ses cuisses afin qu’il coulisse entre sa chatte et ses deux jambes. J’entame un mouvement de va et viens de plus en plus accentué, c’est plus facile dans cette position que dans la précédente car je me suis placé exactement comme si je la pénétrais, juste le sexe orienté un peu plus bas. Je peux donc bien prendre de l’élan et donner de puissants coups de reins, ce qui était impossible auparavant, ça s’apparentais plus à une masturbation entre ses fesses qu’à autre chose. A chaque fois que ma bite s’enfonce à nouveau entre ses cuisses et fais frissonner ses lèvres, son corps suit entièrement le mouvement et son visage s’écrase de plus en plus contre le mur.
– Mmmhhh ouiiii… j’adore çaaaa… anh annh…
– Alors salope, tu aimes te faire prendre par ma bite hein ? Alors quand tu seras mariée tu viendras me voir pour en redemander sale pute ?
Tout en parlant je lui assène deux énormes fessées coup sur coup, sa peau commence vraiment à rougir et à ce moment-là j’ai tapé en sachant que je lui ferais mal. Je veux qu’elle arrête un peu de faire la maline et de la soumettre à ma volonté en avouant que chienne elle est et que chienne elle restera, mariée ou non.
– AAAAHH, Ampfh… Tu m’as fais mal, me reproche-t-elle d’une voix qui ne masque pas le fait qu’elle a pris du plaisir à être ainsi maltraité.
– Ferme ta gueule de chienne et encaisse petite pute. Tu veux jouer avec le feu, va falloir assumer maintenant. Alors, tu viendras en redemander quand tu seras mariée ?
– Annnh… noooon… non quand je viendrai te voir ce sera… aaaah… avec mon mari… et… mmmmh… il n’y aura que lui qui aura le droit de me baiser… de me… anh… de me faire mal…, me répond-elle en écrasant ses fesses contre mon bas ventre pour accompagner mon mouvement.
Son attitude de chienne qui joue les femmes vertueuses encore alors qu’elle a une bite entre les cuisses m’excite de plus en plus. Elle est en train de prendre son plaisir avec ma queue qui coulisse contre sa peau et ça ne l’empêche pas de jouer à me défier. Je suppose qu’elle a remarqué que ce genre de comportement m’excite. J’att**** ses cheveux d’une main et tire violemment sa tête vers l’arrière, ce qui a pour effet de creuser encore plus la cambrure de son dos. Je la force à me regarder dans les yeux.
– Quand tu viendras avec ton mari, vu que tu es une bonne femme tu vas… aaaahh… te comporter de manière respectable… mmmmh…, mais quand je te ferais signe, comme tu es une bonne kelba également, tu viendras me sucer la bite discrètement.
– Mmmmh… noooonn… là tu profites de moi parce que aaaahhnn… je suis loin de mon homme… et que tu m’as mmmmhhh… chauffée. Mais s’il est là c’est lui qui comblera mes besoins… aaaannh… et paaaaas toi avec ton zeub, me répond-elle en grimaçant de douleur.
Je me penche un peu plus sur elle et de mon autre main je lâche ses hanches pour att****r l’un de ses seins que je commence à masser. Je pilonne son entrejambe de plus en plus rapidement, heurtant parfois au passage sa main qui n’a pas cessé de caresser son clitoris. Chaque passage lui arrache des gémissements ou des petits râles de plaisir. Comme quoi la fellation ou la masturbation ne sont pas les uniques moyens de prendre du plaisir à deux avec une femme vierge.
Ma queue coulisse à vive allure entre ses cuisses. Etant donné que j’ai éjaculé à plusieurs reprises ces derniers temps, je n’ai aucun problème à soutenir une cadence élevée, je compte bien en profiter pour accélérer et la faire monter son plaisir de plus en plus. Le seul problème serait plutôt le cardio, je ne fais plus autant de sport qu’avant et dans cette position, dans une baignoire glissante où un mouvement trop enthousiaste peut à tout moment nous faire perdre l’équilibre, je commence à transpirer comme si je courais un marathon. Mais ça va, j’ai encore les restes et mon corps encaisse bien les accélérations. Je vais et je viens dans le réceptacle formé par ses deux cuisses réunie, à mesure que la vitesse augmente, les râles de ma partenaire en font de même, et comme je suis un homme, de plus en train de baiser, je reste focalisé sur la même idée.
– Aah aah Salope, chienne, alors tu la kiffes ma queue hein, haa…
– Mmmh… aanh… zid zid… ouiii c’est bon.Alors.. t’arrête pas, accélèèèèère…
– Quand je pense que tu fais la sainte… ah… avec ton hijab et tes principes, en fait t’es qu’une grosse pute, t’aimes te faire baiser chienne ?
– OOh oui, baise moi, baise moi.. aaaanh… fort Kamal, me répond-elle d’une voix de moins en moins contrôlée.
– Dis que tu es ma kehba Saoussen, lui intimé-je, dis-moi que même mariée tu reviendras te faire fourrer !
– Noooon… ouuuuiii… aaaanh… je suis ta salope Kamal, aaanh
– Et ? Lui demandé-je en faisant a nouveau claquer bruyamment ma main sur ses fesses.
– Et je reviendrais me faire aaaaannnnh… baiser par ta grosse bite… mmmh. Ki nwili njik ou na3tek atchouniiiiii aaannh…
– Et ton mari kelba ? insisté-je.
– C’est aaaah… c’est toi mon chikour… je me aaanh… débrouillerai pour te conveniiiir, me dit-elle entre râles et gémissement.
Satisfait de sa réponse, bien qu’au fond de moi je sais que les promesses n’engagent que ceux qui y croient et que dire quelque chose dans le feu de l’action n’a aucune conséquence, je tire à nouveau ses cheveux fortement et je tourne sa tête vers moi. Je l’embrasse à pleine bouche, ma langue s’insinuant entre ses dants et se mélangeant à la sienne. Nous nous embrassons ainsi fougueusement pendant quelques secondes puis je lui assène une gifle modérée sur la joue, faudrait pas la mettre KO non plus.
– C’est ce que je voulais entendre, t’es ma pute aaah… maintenant Saoussen.
– Oui, je suis ta pute, ta chienne… aaaaanh, la petite salope que tu baises en cachette de Hanaaaane, ouiiii, aaaaannnh.
L’entendre prononcer le nom de ma femme à ce moment-là a un effet exponentiel sur mon excitation. L’esprit humain est bizarre, ce qui devrait nous rendre contrit et nous faire ressentir des remords peut au contraire devenir l’un des éléments les plus motivants pour s’enfoncer plus encore dans la luxure. Perversité de l’âme humaine, ou peut-être est-ce uniquement moi qui ai l’esprit retors et qui trouve du plaisir là ou d’autres ne verraient que déchéance. J’aime à croire que je ne suis pas le seul et que c’est un trait de caractère que je partage avec beaucoup d’autres êtres humains. Si c’est triste pour la conception philosophique de la bonté de l’Homme, ça a l’avantage de me rassurer quand à ma propre condition. Quand on suit un mauvais chemin on aime toujours se rassurer en se disant qu’on est pas le seul et que tout le monde est comme ça. Ca ne rend pas les choses plus légitimes, loin de là, ce qui est mal est mal, mais ça les rend au moins un peu plus facile à assumer. Et à ce sujet là, clairement Saoussen et moi n’avons aucun problème à assumer nos ébats extra-conjugaux, je sais donc qu’au moins, à défaut de toute l’humanité, nous sommes au moins deux à partager ce vice.
Sur le coup je ralentis un peu la cadence mais en parallèle commence à donner des coups de reins de plus en plus énergiques, je me recule, à la limite de quitter l’antre de ses cuisses, et me renfonce fortement, je mets des coups de butoir qui l’emportent à chaque fois dans le même mouvement. Le claquement de ma peau nue contre la sienne retentit dans la salle de bain. Elle ponctue chaque pseudo pénétration par un grand Ahaaanh sorti du plus profond de ses entrailles. A plusieurs reprises sa tête cogne durement le mur carrelé mais ça n’a pas l’air de la troubler. Ses joues sont en feu, parées d’une belle couleur grenat, et son souffle est de plus entrecoupé de gémissements et de cris de plus en plus prolongés.
– Aaaaaah…. Mmmmhh… Oooouuuuiiii… mmmh…
Je sens l’éjaculation monter en moi. Saoussen prend apparemment beaucoup de plaisir mais elle n’a pas encore joui. Depuis que nous avons commencé nos parties fines elle a eu des orgasmes grâce à mes mains et ma langue mais jamais encore sous les assauts de ma queue. Quelque part j’en fait une question d’honneur. On place l’honneur où on le peut et vous avez pu remarquer depuis le début de cette histoire que le mien a tendance à être très mal situé. Je cale mes deux mains à l’avant de chacune de ses cuisses, à la jonction du ventre et de la jambe, et je la tire ainsi en arrière à chaque fois que je fais moi-même un mouvement de pénétration.
J’augmente à nouveau le rythme, même si je ne remonte pas à la vitesse précédente, et d’un rythme régulier et appuyé je continue mes va et viens. Clac, clac, clac, clac, clac,…
– Mmmmmm,, aaaangh… aaaaahh…
Clac, clac, clac, clac,…
– Aaaaaaaannnnnh, nikni, nikni ktar, aaaaaaaaaaannnnnnnhhhh…
Clac, claC, clAC, cLAC, CLAC, CLAC, CLAC,…
– AAAAAHHHHH… AAAANNNNNH… OOUIIIII… AAAAAAAAAHHHMMMMMMMMMMMHHHH
Saoussen hurle maintenant son plaisir sans aucune retenue, sa tête se lève et se baisse de manière tumultueuse, confuse. Elle a les yeux fermés et son visage exprime le plaisir qu’elle ressent au fond d’elle. Ses cuisses se tendent par à coup, enserrant ma bite dans un véritable étau de délices, ce qui fait encore monter en moi la pression de l’éjaculation. L’entendant pousser une ultime mmmmmmmmmmmhhh, je m’extraies de ce fourreau et, en accompagnant le geste d’un ou deux allés retours manuels sur mon gland, je me vide de mon sperme sur ses fesses et le bas de son dos. La sensation est tellement bonne que moi-même je suis pris de mouvement convulsifs tout en crachant.
– Aarrrh, NNNNghh, …aaaahhh… MmmMMGGHH, …AAAhhhh, lui exprimé-je donc ma jouissance dans un français tout en nuance et en subtilité.
Les quelques giclées de liquide nacré, peu nombreuses et pas énormes car je me suis déjà vidé à plusieurs reprises et il faut du temps pour que les couilles reconstituent leurs réserves, se répandent sur quelques endroits de sa peau, leur blanc laiteux tranchant avec le brun doré de l’épiderme maculé. Epuisés par notre activité nous nous affalons tous deux au fond de la baignoire, laissant l’eau de la douche emporter dans son sillage la sueur qui nous recouvre tous les deux. Je laisse mes doigts courir sur la peau de Saoussen, redécouvrant à tâtons et avec douceur les monts et merveilles que je maltraitais peu de temps avant. Nous passons ainsi quelques minutes à nous caresser mutuellement en échangeant quelques mots sans grand intérêt, puis nous nous levons, douchons, savonnons longuement, séchons et sortons nous rhabiller.
Alors que nous sommes attablés devant la télévision occupés à manger la pizza venant juste de sortir d’un four qui avait préchauffé pendant bien trop longtemps le bruit de voiture dans l’allée nous avertit que Hanane est sur le point de rentrer. A la vue de ma femme accompagnée de mes enfants qui se jettent sur moi pour les effusions d’usages quand on ne s’est pas vus depuis une journée, je ne peux m’empêcher d’être envahi par une certaine forme de culpabilité, et bien que je n’en laisse rien paraître, il ne s’agirait pas non plus de se faire griller bêtement, je regarde fréquemment ma femme à la dérobée en me disant que je suis quand même un sacré salopard et qu’elle ne mérite pas de se faire traiter ainsi. Elle, inconsciente de mon infidélité, est aussi belle que d’habitude et échange des blagues et anecdotes avec sa déloyale amie, qui soit cache très bien son jeu soit est clairement au-delà de ces considérations éthiques qui m’assaillent par surprise. Quoi qu’il en soit je m’occupe ensuite de coucher les enfants, après leur avoir lu plusieurs histoires, et je retourne dans le salon. Les deux copines se ressassent des souvenirs d’enfance, je m’amuse de quelques un d’entre eux, mais n’étant globalement pas concerné je commence rapidement à m’ennuyer. Il est déjà tard et je dis donc bonne nuit aux femmes et me rend dans ma chambre, non sans noter que Saoussen, au moment de me dire au revoir en a profité pour entrouvrir les cuisses et faire glisser une main légère entre les deux. Aussitôt je sens une légère réaction, bien que modérée, dans mon caleçon. On dirait bien qu’en bas il y a moins d’états d’âme qu’en haut. Je m’installe confortablement dans le lit, lance un épisode de Pinky Blinders sur mon téléphone et, bizarrement, ne tarde pas à m’endormir alors que j’étais persuadé que j’allais passer une partie de la nuit à gamberger sur le bien, le mal, et tout ce qu’il y a entre les deux.
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