Plage
Je m’appelle Ivory, 30 ans, 1 mètre 70 pour 64 kilos, silhouette fine, cheveux brun et long.
J’étais habiller d’un tee-shirt, short, claquette (le touriste de base) …. Et de mon string rouge transparent qui met en valeur ma petite bite toute lisse et oui 14 au garots, pas terrible surtout au repos…
Dans la dune et sous un soleil de plomb, je marchais en direction de la plage gay….
Je m’installais sur le toit d’un des bunkers qui formait un cercle à moitié englouti par le sable. J’enleva mes vêtements sauf mon merveilleux string. Je commençais mon pique nique en profitant de la superbe vue. J’apercevais quelques mecs a poil qui discutaient, se reposaient, s’exhiber… Il y avait de beaux mâles aux belles bites qui avaient, pour certaines, des énormes bourses qui, plus elles bougeaient, plus elle m’excitaient…
Après mon sandwich, je décida d’aller faire la sieste sur la plage.
Je rangeai mes fringues dans mon sac à dos et me dirigea vers la plage avec juste mon string avec ma queue apparente. M’exhibant presque malgré moi, lol, je voyais des mecs me regarder discrètement en se touchant.
Arrivé sur la serviette, je retira mon string et m’endormi.
En me réveillant sur le dos, je regardais autour de moi, mon regard croisa mon voisin à environ 2 mètres de moi. Je ne l’avais pas vu arrivé. Il me souri et me dit :
– on est en gaule
– pardon monsieur, je n’ai pas compris
– Je te disais que tu étais au garde à vous
Là, je me redressa et, effectivement, je bandais.
Le mec me matais depuis combien de temps ? me demandais-je.
Je lui répondit que oui et lui souriait à mon tour et nous sommes partis à rire.
Il se prénomme Didier, la soixantaine, 1 mètre 75 environ, rondelet, cheveux gris dégarni, tient mat, petite bite au repos, grosses couilles rasée de près.
Après dix minutes de conversation banale, Didier vint s’installer près de moi. Nous papotons une partie de l’après midi.
Je matais son sexe sans retenu, lui aussi n’en perdais pas une miette.
Enfermé dans notre bulle, nous nous sommes exhiber, palper, toucher, tripoter… tout en restant bon enfant.
Nous décidons d’aller dans un bunker pour profiter de la vie…
En rangeant mes affaires, Didier se lève pour enfiler son string noir dont une de ses boules ne rentraient pas. Je remis mon string et nous quittons la plage.
Nous empruntons le chemin de sable ou nous nous exhibions devant les voyeurs. Didier recommença à me caresser les fesses puis à me les malaxées.
Les voyeurs n’en perdaient pas une miette. Ils nous mataient littéralement avec envie. Ils y en avaient qui se masturbaient.
Cette situation m’émoustilla, je senti ma queue prenant de l’envergure. Très vite, mon string devint petit.
C’est à ce moment là que l’idée de prendre quelques photos me traversa l’esprit. Je pris des selfies de ma bite sous les fins tissu rouge. Puis Didier me pris en photo, je m’exhibait devant l’objectif et les mateurs. Je me mis à quatre pattes, les fesses offertes à mon photographe. Je pris un immense plaisir à m’exhiber devant mon petit papy. Les mateurs s’étaient rapprochés, deux types se masturbaient gentiment devant le spectacle.
Didier me dit :
– Place tes mains sur tes fesses et écarte les
Je m’ éxecutais. Je sentais la ficelle du string me caresser l’anus.
– Retire ton string doucement, je fais une vidéo, dit-il.
Cette vidéo m’excita, ma bite était à son maximum et mes boules tombaient entre mes cuisses.
Ce que je fis langoureusement.
J’entrepris de caresser mon sexe. A ce moment précis, je sentis la langue de Didier sur ma rondelle. Une agréable sensation qui m’électrisa, mes bras et mes jambes ont cédés. Je me retrouvais allonger sur le ventre, la bite littéralement, planter dans le sable du chemin. Je mis senti heureux et fatiguer. Didier recommença avec ses coups de langues et j’éjacula dans le sable. Didier me pris dans ses bras, tel un bébé à qui l’ont fait des câlins.
J’aperçu mes voyeurs à 50 centimètres de moi, Un mateur n’a pas hésité à m’éjaculer sur les cheveux.
Après quelques minutes à me remettre de mes émotions, nous décidions avec Didier d’aller nous baigner….
La suite à venir, si vous souhaitez connaitre la suite…
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