Ma cochonne exclusive
Il y a un an, j’avais vu sur Xh des vidéos d’un mec en lingerie qui se défonçait l’anus avec une énorme courgette qu’il avait, connaisseur ou pervers, pris soin d’éplucher, et qui s’exhibait en bas résille accroupi cuisses ouvertes avec une très imposante bite au milieu. Comme ses performances avaient éveillé fortement ma curiosité et que sur son profil il avait spécifié qu’il était fan de fist, je lui avais laissé un message pour accéder aux quelques vidéos fermées par un code. Gentiment il me fournit le fameux mot de passe et je me régalais les yeux à le voir se dilater, se fister et surtout, s’écartant la chatte à deux mains à sortir son rectum dans un très beau prolapse ! Nous nous acceptâmes comme amis et en restions là jusqu’à ce qu’il y a quelques semaines, il écrivit dans sa présentation : « y a-t-il quelqu’un pour me fister ce soir ? ».
Ma femme étant en voyage, ce qui expliquait ma disponibilité et surtout ma grosse envie de sexe, je sautais sur l’occasion et repris contact avec lui. Mais il était sur la réserve, prudent, posant beaucoup de questions sur mes attentes et l’affaire traina. J’avais un peu perdu espoir, quand un soir il m’envoya un message où il me disait qu’il était disposé à me rencontrer, mais qu’on se sucerait avec capotes et que je le fisterais avec des gants de caoutchouc. J’acceptais bien volontiers et on prit rendez vous pour le lendemain soir chez lui. Comme il aimait se travestir en femme, je lui proposais de me recevoir en tenue coquine avec un gode dans l’anus mais à cause des voisins et devant sortir dans le jardin pour m’ouvrir la barrière, il déclina cette coquinerie.
J’arrivais donc chez lui, il vint m’ouvrir comme prévu et nous nous installâmes dans le salon. Comble du romantisme, il avait fait un feu dans la cheminée et dans cette douce chaleur, nous commençâmes à mieux nous connaître. On se raconta un peu nos vies avec nos compagnes respectives, nos quelques aventures avec les hommes et des généralités. C’est alors que nous décidâmes de passer aux choses sérieuses. Il se leva et alla dans la chambre pour se changer. Il revint avec un petit haut féminin rose et avec seulement un collant noir en bas, superbe. Ses deux grandes jambes ainsi gainées encadraient une longue et épaisse bite qui descendait le long d’une de ses cuisses ainsi maintenue tête en bas sous le voile. Tout de suite, je remarquais comme sur les vidéos de Xh, cet imposant et pendant morceau de chair que formait son prépuce…Très excitant !
Il vint s’asseoir à côté de moi, et je commençais à lui caresser les cuisses délicatement par-dessus le nylon. Mais très vite ma main aventureuse se dirigea vers son sexe. Lentement mes doigts glissèrent le long de sa colonne molle et la palpèrent. C’était très agréable et après quelques mouvements, remontant vers son ventre, j’attrapais le haut du collant pour le faire glisser vers le bas et le caler sous ses couilles. Sa bite était enfin à l’air libre et je pus m’en saisir tendrement. Sa peau était douce et chaude. Je soupesais et triturais cette belle masse de chair flasque qui n’étant pas du tout en érection, laissait la peau de son fabuleux prépuce très largement distendue. Comme je lui faisais remarquer qu’elle était tout de même assez gonflée et rouge, il m’avoua qu’il avait passé des heures à se la tripoter dans l’après midi en m’attendant. Je jouais donc moi aussi avec elle à la tirer, à écarter son ouverture pour entre-apercevoir le méat et je tentais de la glisser vers le bas pour décalotter entièrement son gland. Mais sa queue molle ne me le permit pas et ce fut lui qui se le dégagea en la tirant fermement. Je le trouvais très beau, d’un joli rose mais j’eus peur de l’irriter et voulus l’enduire de salive. Mais tout de suite il m’arrêta, peur des maladies, et se le lubrifia avec sa propre salive. Je posais mon majeur sur toute la longueur du gland et remontais le prépuce par dessus mon doigt. Je le caressais ainsi longuement en tournant mon doigt autour du gland et en imaginant tout ce qu’on pouvait faire comme cochonnerie avec un prépuce pareil. Je me voyais avec sa bite molle en bouche et ma langue s’introduisant et tournant sous la peau pour lécher son gland.
C’est alors qu’il me demanda me lever et m’ouvrit la braguette pour me baisser mon pantalon. Il frotta son visage sur la bosse de mon slip, et me mordilla tendrement ma queue par-dessus le tissus. Puis il me baissa mon slip, me fit rasseoir et se mit à me branler doucement. Il me dit que ma queue lui plaisait, qu’elle était bien dure. C’était doux à entendre mais il était temps de passer aux choses sérieuses. On se déshabilla tous les deux, ne gardant pour lui que son petit haut rose, moi mon tee-shirt et nous dirigeâmes dans la chambre
Il installa un épais oreiller au milieu du lit, un drap de bain par-dessus, me montra la boite à gants en caoutchouc sur la commode et me donna le flacon de lubrifiant. Il installa une immense glace face au lit, et s’allongea sur le dos, les fesses bien relevées par l’oreiller. Il écarta en grand les cuisses et remonta les jambes très haut. Il avait la raie culière parfaitement épilée et m’agenouillant devant elle, je pus me régaler de la belle ouverture brune de sa chatte légèrement boursouflée, due sûrement aux nombreux fists qu’il s’était imposé lui-même. J’enfilais les deux gants, me lubrifiais allègrement la main droite et lui tartinais la raie. J’y étais enfin, face à cette chatte offerte, et mon sexe se mit à gonfler… Je vis comme dans un rêve mon premier doigt s’enfoncer en elle, aller et venir lentement entre ses chairs chaudes avant d’être rejoint par un deuxième, puis troisième. Je fouillais avec envie son intimité et mon quatrième doigt rejoignit sans difficultés les autres. La moitié de ma main en lui, seul mon pouce à l’extérieur butait sur ses couilles et empêchait la pénétration totale. Mais sa chatte incroyablement souple m’appelait. Mon pouce forma avec mes autres doigts une sorte de cône et lentement le vrai fist commença. L’anneau de son trou s’écarta autour de ma main et quelques mouvements de va et vient firent entrer sa partie la plus large en lui. C’était malgré tout serré et je voyais bien que ce n’était pas sans quelques douleurs pour lui mais courageusement il m’attrapa le bras pour m’introduire plus profondément. Soudain ma main disparut complètement et je me retrouvais avec l’anneau de son cul autour du poignet. J’étais aux anges … Ma main était vraiment comprimée à l’intérieur de sa chatte, visiblement je forçais ses sphincters et il me demanda de ressortir. J’étais presqu’à l’extérieur lorsqu’il se mit à pousser et que la chair de son rectum commença à sortir de son anus dans un magnifique prolape comme une rose rougeoyante, écarlate et brillante du lubrifiant. Je retirais ma main complètement mais quelques excréments s’y étaient collés. Très gêné, il s’excusa me retira mon gant et alla à la salle de bain pour un nouveau lavement je suppose.
J’aurais dû le punir pour ce désagrément, le fesser ou le fouetter mais même si on avait vaguement évoqué ce sujet au cours des échanges précédents, je n’eus pas le réflexe et je lui dis simplement que ce n’était pas grave. Pendant son absence, j’avais renfilé de nouveaux gants et je me les relubrifiais allègrement. Il revint et nous reprîmes le fist de sa chatte. Cette fois ci, ma main rentra plus facilement mais serrant le poing pour pénétrer encore plus loin, je ressentis la même sensation de serrement à l’intérieur tout au fond de son cul. Cette sensation intense d’être à la fois possédé et possesseur me provoqua des fourmillements de plaisir dans le bas ventre. J’allais et venais en lui, excité et attentif à ses gémissements et il me demanda de mettre ma deuxième main en jeu. Mes dix doigts se mirent à farfouiller ses chairs, à les écarter, à les martyriser, mais il en redemandait. Il aimait visiblement souffrir et m’offrir la totalité de sa chatte. A un moment, je sentis un contact sur mon sexe et je m’aperçus qu’il me prodiguait comme une petite caresse avec son pied. Ma main droite retourna dans ses profondeurs et la gauche bien lubrifiée se mit à le branler avec frénésie. Il ne bandait toujours pas alors je malaxais sa bite rendue visqueuse avec le gel, glissant un doigt dans son prépuce pour titiller son gland. C’est alors que comme une petite fille, ne se retenant plus, il se mit à uriner sur ma main branleuse. C’était génial et tellement inattendu que je continuais à le masturber avec sa propre pisse. Une fois qu’il eut terminé, je ressortis ma main gauche de son rectum, mais un peu de sang avait maculé le gant blanc en caoutchouc. J’étais un peu embêté pour lui et je lui dis qu’on allait laisser sa chatte désormais béante, tranquille.
J’entrepris alors de le branler, je voulais le voir juter. Comme il ne bandait pas, je saisis d’une main sa bite à la base pour la maintenir en l’air, et comme il faut le reconnaître sa bite était aussi longue qu’épaisse, il me restait assez de longueur pour l’astiquer avec l’autre main. Je jouissais de voir son prépuce aller et venir, et je frottais en serrant fort son gland. Mais hélas il me dit que je n’arriverais pas à le faire jouir. J’insistais encore un peu juste par plaisir de ce spectacle et cette si agréable sensation d’avoir à sa merci, une bite de ce calibre.
Il me demanda si je voulais que lui me fasse jouir. J’avais trop envie et je m’entendis lui répondre « oui ». C’était ma coquine exclusive mais elle n’était pas que passive. Elle avait des idées, cochonnes et vicieuses. Il me fit asseoir sur le bord du lit face à la glace et il vint s’agenouiller derrière moi, collé à mon dos. Il avait attrapé son collant et me l’enroula autour de ma queue à demie dressée. Et c’est ainsi que je fus aux premières loges, me matant dans la glace, jambes écartées en train de me faire astiquer le manche par une main vigoureuse d’un mec qui ne demandait qu’à être ma coquine, à qui j’avais cassé le cul et qui me caressait le dos. C’en était trop pour mon envie et je jutais délicieusement dans son collant. Il m’avoua plus tard, ce dont je me doutais, qu’il avait gardé le collant avec mon foutre séché. Il vint s’asseoir à côté de moi pendant que je reprenais mes esprits et nous échangeâmes quelques paroles qui traduisaient nos plaisirs respectifs. J’eus un besoin viscéral de lui caresser à nouveau la cuisse tout en regardant encore cette magnifique bite longue, épaisse et si agréablement molle.
Quel plaisir éprouverais je quand elle sera dans ma bouche sans capote, que je l’astiquerai à la faire cracher son foutre sous mes yeux, et que lui aussi me sucera jusqu’à me faire juter… Quelle jouissance éprouverai je à punir cette cochonne, à la fouetter, à défoncer sa chatte sans ménagement. Tant de choses, de scénarii, de vices à découvrir et à partager avec ma coquine exclusive !
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