Elle était toujours dans la même position, la robe complètement « destroy », la poitrine à l’air, les jambes écartées avec la vulve largement ouverte et dégoulinant. Je profitais du spectacle un verre à la main et à mon grand étonnement je commençais de nouveau à avoir une petite gaule.
De son côté elle commença à se caresser le clito et se branler comme une ado décadente. Ceci fini par me remettre une bonne gaule.
-Viens t’empaler sur ma queue au lieu de te branler.
Aussitôt elle s’exécuta. Arrivant nonchalamment devant moi, elle passa ses cuisses de part et d’autre des miennes, posa les mains sur les accoudoirs du fauteuil et mis sa vulve au-dessus de mon gland. En un instant il se trouva bien au chaud dans son intimité. Elle descendit langoureusement jusqu’à se trouver complètement prise par ma queue.
Elle se mit à onduler autour de mon membre en grognant. Mes mains attrapèrent ses gros nichons et commencèrent à les pétrir. Puis mes mains agrippèrent ses tétons et se mirent à les faire rouler vigoureusement entre mes doigts. De petits cris de douleur, entre la douleur et le plaisir, sortaient de sa gorge. Ses mouvements de bassin étaient de plus en plus amples et rapides alors que ma queue restait tendue en elle, lui pourfendant l’intimité profondément. Ses seins était maintenant tendu de désir et les tétons proéminents. Soudain elle eut un violent orgasme qui lui contracta fortement la vulve et la fit s’écrouler sur moi avec le souffle court.
Nous étions là moites, corps à corps, elle le souffle court. Au bout de quelques minutes elle se redressa et me sourit. Mon sexe était encore dur comme un roc au fond de son intimité.
-Et bien je ne pensais pas que cela te mettrai dans un tel état, me dit elle.
-Je pense que ce n’est pas pour te déplaire, répondis je.
– C’est vrai, je suis une femme comblée par un amant furieusement endurant.
-Oui mais moi j’ai envie de te refourrer cul.
-Très romantique.
-Tu imaginais autre chose. Tu es complètement en sueur, les nichons à l’air, la robe explosé, les cuisses écartées et dégoulinant de foutre.
-C’est vrai, je pense que j’en prends pour mon grade.
Elle se leva alors, se retourna pour me montrer son cul. Elle s’écarta les fesses et commença à plier les jambes pour se rapprocher de ma queue détrempée par sa mouille et pleine en érection. Je poussai légèrement sur cette dernière pour lui faciliter la pénétration. Elle continua alors sa descente jusqu’à ce que son œillet rende de nouveau les armes et laisse ma queue la posséder à nouveau. Petit à petit elle finit de descendre sur mon membre.
Arrivé à fond, elle se redressa légèrement et me dit :
-Voilà, tu penses qu’il y a beaucoup de mère qui donne leur à cul à leur fils pour se faire bourrer.
-Sans doute pas beaucoup, cela te gène.
-Non j’adore quand tu me fais jouir et que ta semence se repend à gros jet dans mes entrailles.
Elle reprit alors des ondulations sur ma bite pour s’exploser le cul. Au bout d’un moment je lui relevais le cul, pris appuis sur le fauteuil et commençais à lui bourrer plus sérieusement le cul. Chaque contact contre son cul lui provoquait un feulement de plaisir. Les précédents rapports m’avaient déjà bien vidangé et je résistais fort bien au plaisir qui montait. Je fini par la limer comme une bête, au point que sa gorge ne libérait plus qu’un râle continue. Je fini par lui délivrer une éjaculation dans le cul qui lui électrisa tout le bas du dos.
Elle se releva alors lentement et se dirigea vers le lit ou elle s’allongea. Je repris alors moi aussi mon souffle et passa me rafraichir sous la douche de la salle de bain. Les effets de la pilule se faisaient encore sentir et même après ce rafraîchissement je gardai un membre assez près à l’action.
Je retournai dans la pièce principale ou maman était allongée sur le dos sur le lit, en train de reprendre ses esprits. Je repris quelques gouttes de champagne pour me rafraichir la gorge. Je regardais l’heure, il était plus de deux heures du matin mais je n’avais pas vraiment sommeil. Je me relevai et me dirigeai vers le lit la queue à moitié en érection. Maman tourna la tête vers moi.
-Tu viens me pomper la queue, lui lançais-je.
-Tu me parles comme cela maintenant, répondit-elle.
-C’est toi que était chaude ce soir alors maintenant il faut assumer.
-Je vois murmura- t- elle
Elle se mit à genoux sur le lit, posa les coude aussi sur le lit et pris en bouche mon membre qui sous ses caresses habile repris une pleine dureté. Elle poursuivie la fellation un bon moment puis je l’attrapais par les cheveux l’obligeant à prendre de plus en plus profondément en bouche mon membre. Elle avalait maintenant toute ma queue à s’étouffer. Elle reprenait un peu sa respiration avant que je lui repousse la queue au fond de la gorge. Cette pipe en gorge profonde m’excitait au plus au point et la dureté de ma queue ne lui facilitait pas la respiration.
J’étais maintenant au comble de l’excitation, je sortais la queue de la bouche de maman, passait derrière elle sur le lit et présentait ma queue à l’entrée de son cul. Elle n’avait plus la force de résister et en la prenant par les hanches je poussais ma bite à l’entrée de son cul et fini par de nouveau la pénétrer et l’enfiler ce qui lui extirpa un cri de douleur, plaisir.
J’étais de nouveau bien au fond de son cul. Je commençai alors à la limer puis décidai de l’att****r par les coudes et la redresser. Mes coup de boutoir dévirent plus rapides et violent. Elle commençait à entrer dans une sorte de transe, secouant la tête dans toutes les directions alors que ses seins ballotaient eux aussi dans tous les sens. Elle poussait des cris et je sentais son cul se contracter au tour de ma verge turgescente. Je la pistonnai maintenant comme un a****l et sans retenue pour finir par lui exploser dans le cul en lui lâchant les bras.
Elle s’écroula lourdement sur le lit libérant ainsi mon membre couvert de foutre. J’avais moi aussi un rythme cardiaque plus qu’élevé et l’allongeai pour reprendre mes esprit avec cette violent chevauchée. Nous sommes resté ainsi un bon petit moment puis maman est venue contre moi a posé son bras sur mon torse et sa tête sur mon épaule en me disant.
-Joyeux noël, bonne nuit mon petit amant je t’aime.
Nous sous sommes rapidement tous les deux endormis ainsi pour un sommeil bien mérité après cette aventure folle mais au combien excitante. Nous nous sommes réveillé un peu avant midi t sommes allé manger un petit encas avant d’aller profiter du soleil et de la mer. Nous avons passé un agréable après-midi à discuter et rigoler. Nous sentions bien tous les deux que cette nuit était une nouvelle étape dans l’évolution de nos relations, nous étions passés de petites aventures à une relation plus torride et intense ou les relations mère fil disparaissaient pour laisser place à des ébats sexuels d’amants.
Vendredi était rapidement arrivé nous profitions de notre dernière journée dans cette ambiance paradisiaque autour de la piscine sous un superbe ciel bleu gorgé de soleil. Maman avait maintenant un super petit bronzage et n’en était que plus désirable. Nous avons une dernière fois fais l’amour dans l’eau, avant de reprendre la trajet de la chambre en fin de journée. Une petite douche et nous avons commencé les valises pour le départ du lendemain.
Pour le repas maman avait mis en tout et pour tout une petite robe un peu moulante arrivant à mi-cuisse qui laissait pleinement apprécier toutes ses formes. De nouveau je remarquais pas mal de monde la reluquer. Après le repas nous sommes allez prendre un dernier petit cocktail puis faire une tour du côté de la plage. Nous tenions par la taille comme deux jeunes amoureux. Nous nous sommes assis sur un muret et avons profité du calme de la mer et de la douceur du climat. Au bout d’un moment elle s’est redressé et est venu s’asseoir tète bêche face à moi sur mes cuisses. J’ai posé mes mains sur ces cuises et ai commencé à les caresser lentement alors qu’elle passa ses bras autour de mon coup pour se saisir de ma nuque. Nous nous sommes regardé ainsi un petit moment puis elle est venue déposer ses lèvres sur les miennes pour un petit baisé. Puis sa langue a trouvé la mienne et nous nous sommes trouvé corps à corps à nous embrasser tendrement. Alors que quelques personnes continuaient de temps à autre à passer derrière nous, un de ces main a commencer à descendre le long de mon torse, puis sur mon pantalon et s’est faufilé dans ce derniers pour prendre en main ma bite déjà bien raide. Après quelques contorsions elle libéra ma queue du pantalon pour bien l’avoir en main et elle attaqua une lente masturbation alors que nous continuions à nous étreindre. Lorsque la raideur de mon membre la combla, elle la pencha sous sa robe pour vernir la présenter à l’entrée de son intimité qui était toute humide. Elle se plaqua alors contre moi ce qui eu pour effet d’introduire ma queue dans sa chatte. Elle s’approcha alors de mon oreille et me dit :
-J’aime bien l’avoir au chaud et prendre soin d’elle.
Malgré le passage derrière nous elle commença à onduler du bassin, nos ébats en public ne faisaient plus de doute. Nos corps étaient l’un contre l’autre, je pouvais sentir ses seins pointer et son cœur battre la chamade alors que sa chatte dégoulinait d’excitation. Au bout d’un moment tous son bas ventre fut pris de régulière contractions qui comprimais fortement ma queue. Elle avait posé la tête dans mon épaule et se mordais les lèvres pour ne pas crier. Les spasmes devinrent de plus en plus proche et fort, j’étais moi aussi au comble de l’excitation et avait beaucoup de mal à poursuivre l’étreinte. Finalement une contraction plus forte que les autres me fit abondement déchargé au plus profond de son intimité. Chaque jet de sperme lui tira un crie qu’elle essaya de réprimer. Nous sommes resté ainsi un bon moment sans parler, corps à corps.
Finalement, nous sommes rentrés nous coucher. Le lendemain matin nous avons pris un petit déjeuné puis le chemin du retour qui fut un peu long et moins gai que l’allée. Le décalage de température fut bien dure à l’arrivé et il nous fallut deux bonnes journée pour nous remettre du décalage horaire. Mais bon, le second réveillon approchait et il fallait se préparer car les festivités allaient encore être assez chaudes.
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