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Julie ou Julien (16)

Julie ou Julien (16)



***Bonjour, ce chapitre est plus axé sur Isabelle, la mère de Julie. Julie n’est pas loin, ne vous inquiétez pas. N’oubliez pas de liker et de commenter. Bises mes poupées.***

Nous montons en voiture, moi au volant, Isabelle sur le siège passager. Les sièges de la berline étant très bas, cela a pour effet de provoquer la remontée de la robe d’Isabelle, dévoilant le haut de ses bas. Nous prenons la route et ma main droite vient naturellement se poser sur sa cuisse. Je li fait écarter aussi largement que possible les cuisses, me donnant ainsi un libre et total accès à sa vulve pulpeuse. Mon majeur se place sir son clitoris et vient le stimuler en tournant autour et dessus. Isabelle se détend et se relâche, et se laisse aller à de longs feulements de plaisir. A mon regret sur le chemin, peu d’occasion de l’exhiber se présentent, juste une camionnette sur notre droite dont le conducteur réalise que tardivement le spectacle qui lui était offert. Je saisi la télécommande et en complément de mes doigts la stimule de par les vibrations de son œuf. Je vois son bassin remuer et sens son abricot suinter un peu plus. Je constate que son excitation se voit également par ses tétons fièrement érigés, et nettement visible au travers du fin tissus de sa robe. Le trajet se déroule ainsi, je joue à faire monter son excitation jusqu’au bord de l’orgasme mais en la privant à trois reprise.
Nous arrivons à destination, et à l’approche je lui glisse quelques consignes
– Soit chaude, mais discrète. Laisses comprendre ton rang, mais en toute dignité. c’est un endroit chic où nous allons.
– Compris
Je m’arrête devant le restaurant où nous allons, et un voiturier vient ouvrir la porte du côté d’Isabelle. En descendant, je remarque, surtout au regard du voiturier, qu’Isabelle a ouvert aussi largement que possible ses cuisses, offrant un joli spectacle, lorsqu’elle est sortie de la voiture. Le voiturier, sans voix, vient ensuite à ma portière, m’ouvre
– Jolie vue, non ? je lui demande
– heu, oui… heu…
Je continu mon chemin sans attendre plus de réponse. Je rejoins Isa qui sans se poser de question, se pend à mon bras, collent ses hanches à moi. elle se stop et se place face à moi et m’embrasse de façon très gourmande sous le regards de quelques passants ou clients. Nous entrons ensuite dans le restaurant et recevons une table que j’avais réservée. La table nous met face à la salle, tout en étant presque cote à cote. Les yeux d’Isabelle se perdent dans les miens. Nous papotons de diverses choses jusqu’à être interrompu par un serveur qui vient prendre nos commandes. Galanterie oblige, c’est à Isabelle de commencer, et juste au moment où elle s’apprête à passer commande, j’active à nouveau l’œuf, la faisant se raidir et laisser échapper un faible gémissement. Elle réussit malgré tout à se contenir et passe sa commande, puis je passe la mienne. Le serveur partit, je désactive l’œuf. Isa me lance alors un regard mi- déçue, mi- soulagée.
Le repas se déroule dans l’ensemble assez normalement, à chaque passage d’un serveur j’active l’œuf vibrant en elle, si bien qu’à la fin elle anticipe. Cela a pour effet de maintenir érigés ses pointes de seins tout le long du repas, attirant encore plus le regard dans son décolleté. Les différentes personnes du personnel n’ont pu s’empêcher d’avoir les yeux qui se perdent, y compris une serveuse fort ravissante. Ma main régulièrement posée sur sa cuisse s’est par moment égarée un peu plus haut, venant chatouiller sa vulve et son clito tendu. Sa main à elle s’est aussi aventurée l’une ou l’autre fois sur ma queue qui maintenait un niveau d’érection. A plusieurs reprise elle s’est penché vers moi pour m’offrir sa bouche.
Durant le repas nous avons eu des conversations banales, mais je lui ai également exposé mon intention de m’accaparer leurs biens.
– Contribueras-tu volontairement à cela ?
– Bien sûr. C’est indispensable je pense même. Si tu veux avoir le plein contrôle sur nous, sur moi, tu dois me priver de toutes mes libertés, y compris ma liberté financière. Je t’ai fait don de mon corps et de mon âme, aucune raison alors que je te fasse pas don de mes possessions matérielles…
A ces mots, je l’ai vu prendre son sac à main, son portefeuille et en sortir deux cartes bancaires et mes les donner
– Je contacterais notre comptable et notre avocat pour qu’ils fassent le nécessaire le plus vite possible. Je ne me suis jamais sentie aussi libre que depuis que je suis ton contrôle, je ne veux pas que ça cesse.
– très bien
Je lui fais également part de la nécessité prochaine de constituer une garde-robe correcte à Julie. En effet, son intégration prochaine à la formation va lui nécessité de quoi paraitre comme il se doit. Je lui donne les critères, notamment le fait de favoriser au maximum robes et jupes, les longueurs que je considèrent comme règlementaires. Je laisse une tolérance sur quelques pantalons, jean et autres qui pourront aussi faire le jeu. Je lui fais savoir qu’il faudra également lui prévoir des tenues de sport. Pour la lingerie je lui impose aussi bien des dessous sexy que du plus standard, plus proche de son statut d’ado. La petite culotte en coton avec des cœurs saura aussi me faire bander lui dis-je en rigolant. des chaussures aussi seront nécessaires, là aussi je laisse passer des exceptions, notamment sur les talons qui ne seront pas forcément toujours en accord avec la tranche d’âge qu’elle devra intégrer. Isabelle me fait de nombreuses propositions sur tout ça qui trouvent toutes mon approbations. Elle a une vision claire de mes attentes, tout comme elle sait parfaitement quel avenir de pute je programme pour son enfant. Elle profites de la discussion pour me parler de Sophie, m’exposant le fait que son impertinence par le passé l’a toujours énervée et qu’elle apprécierait, sinon de pouvoir participer, que je durcisse mon traitement à son encontre. Elle tente aussi de parler de Pierre mais je coupe le sujet ne souhaitant pas penser à la sous merde durant cette soirée.
Le repas se déroule donc ainsi, discussions banales ou en rapports avec notre relation. cette femme est très cultivée, je l’ai déjà dit, et il est très intéressant d’échanger avec elle. Elle a le physique et l’esprit pour elle.
Le repas touche à sa fin et je demande la note.
– Tu lui offrira le pourboire, dis-je à Isabelle.
Lorsque le garçon vient pour le paiement, c’est évidement avec la carte d’Isabelle que je règle. Pendant ce temps isabelle recule légèrement sa chaise, et ouvrant se jambes autant que possible, offre une vue dégagée sur sa vulve humide. Je prends mon temps, ce qui lui en laisse pour se passer les doigts sur ses lèvres et son clitoris dressés, faisant avoir les yeux ronds au serveur. En quittant notre table, il nous remercie chaleureusement. Nous nous levons et nous dirigeons vers la sortie du restaurant. Je pose ma main sur ses fesses, sans pudeur, ce qui semble choquer un peu le public hautain du lieu. En remontant dans la voiture, Isa offre la même vue au voiturier qui se réjouis du spectacle. Je mets la voiture ne marche, et quelque mètre après le restaurant, j’ouvre ma braguette pour en sortir ma queue bandée. Sans que je le lui demande, isabelle se penche et vient la gober avec toute la gourmandise dont elle sait faire preuve.
– Ne me fait pas jouir, gardes-en pour après
Le trajet de retour se passe donc tranquillement, ma queue ne quittant pas une seule seconde la bouche d’Isabelle qui s’est débrouillé tout le trajet pour me maintenir raide, sans me faire partir. Nous arrivons devant l’immeuble et je me gare.
– retire ta robe
Isabelle me regarde, sans savoir quoi dire. L’embarras la gagne de toute évidence. Hésitante, je la vois lentement ouvrir sa robe, baisser le haut, faisant glisser la robe par ses jambes, et la retirer totalement. Elle ne porte donc plus que ses chaussure et ses bas, n’ayant pas mis de sous-vêtements.
– Mets la dans ton sac à main
Ce qu’elle fait, tandis que je sors de la voiture. Je vais de son côté et lui ouvre la porte et lui tends la main pour la faire sortir. Elle prend ma main et passe la tête et regarde des deux côtés pour s’assurer qu’il n’y a personne. Je la tire par la main et la force à sortir, et ferme la portière derrière elle. Toujours en la tirant par la main, je la fais passer devant la voiture et, au niveau du capot, la pousse dessus, sur les fesses. Elle constate alors que je n’avais pas remballer ma queue et naturellement ouvre ses cuisses et passe ses jambes autour de mon bassin, me plaquant contre elle. D’elle-même, elle att**** ma queue et la glisse contre sa chatte, que je pénètre d’un coup de hanches. Je me retrouve rapidement au fond de son vagin détrempé et commence à la besogner, là, en pleine rue, au pied de son immeuble, sur le capot de sa voiture, entièrement nue. Ma queue vient buter contre l’œuf qui est toujours en elle, et qu’à chaque coup de bite je cogne au fond d’elle. Je la tringle ainsi quelques minutes, la menant au début de la jouissance, ses gémissements plus du tout discrets. Je me retire subitement d’elle, la faisant gémir de déception. Je remballe ma queue et me dirige vers la porte d’entrée. Elle met un moment à sortir de sa torpeur puis à me rejoindre, faisant claquer ses talons dans la rue silencieuse. Je la fais passer devant moi dans les escalier, et glissant un doigts dans sa chatte, la pousse vers le haut des marches. Arrivés sur le pallier, elle fouille son sac à la recherche des clés, un peu précipitée, ouvre la porte et rentre. Je la suis, et à peine la porte fermée elle saute à mon cou, enroulant ses jambes autour de moi et vient plaquer sa chatte trempée contre mon bassin.
– Fais de moi ta pute. Baise moi comme la dernière des salopes ! Je veux ta queue !
Elle finit sa phrase et aussitôt plaque sa bouche sur la mienne. Une main se glisse entre nous, et ouvre ma braguette, plonge dedans att****r ma queue, la pointe sur sa chatte, et elle se laisse tomber dessus dans un profond grognement de contentement. elle laisse tout son poids reposer quasi que sur ma queue, comme si elle cherchait à se faire transpercer par elle. C’est l’œuf toujours logé au fond d’elle qui empêche ma queue d’aller plus profond. Toujours en la portant je nous emmène dans sa chambre, direction le lit conjugal qui jusqu’à ce jour n’aura vu qu’un seul homme. celui-ci n’aura plus jamais l’occasion d’y dormir, au mieux il y sera pour servir de divertissement, mais pour le moment, il git attaché dans les WC.
Arrivés devant le lit, je soulève Isabelle, délogeant ainsi ma queue de sa chatte en feu et la jette sur le lit. Elle se retrouve étalée sur le dos, cuisses grande ouvertes, les cheveux en batailles, avec des braises ardentes dans le regard. Son corps tout entier respire le sexe, l’envie, le désir. Son corps ondule, n’appelant qu’une seule chose, se faire tringler ! Je retire mes habits rapidement puis plonge mon visage sur sa chatte dégoulinante pour boire son jus à la source. Je plonge mes doigts en elle et att**** l’œuf que j’évacue puis la doigte violement.
– T’arrêtes pas ! hurle-t-elle d’une voix rauque méconnaissable
C’est avec 4 doigts en elle que j’écarte à coups de vifs va et viens son vagin. je sens à travers la paroi le plug qui n’a pas quitté son fondement de la soirée. J’en att**** la base et d’un coup sec le retire, lui faisant pousser un nouveau puissant gémissement. L’espace général étant ainsi libéré, je pointe mon dernier doigt aussi contre sa chatte et par mouvements circulaires le fait doucement rentrer avec les autres. petit à petit, sa chatte s’élargit, et d’un bref mouvement, sa chatte aspire ma main en entier. Cette introduction lui coupe le souffle subitement. Je garde ma main immobile en elle, la laissant s’habituer et reprendre sa respiration. A un moment, elle se penche et regarde entre ses cuisses, ne voyant que mon avant-bras dépasser de sa chatte
– Ho mon dieu… tout..; tout est dedans ?
Pour toute réponse, je fais bouger mes doigts en elle, ma main entière
– hummm ouiiii, ho c’est trop boooonn
Ma main est totalement trempée de sa mouille généreuse, ce qui me permet de bouger librement en elle. C’est donc du poing que je la baise, on n’entends dans la pièce plus que les « floc floc » et ses gémissements. rapidement un flaque se forme sur le drap tant sa chatte dégouline.
– tu voulais être traitée comme une salope ? t’es servie là ?
– ho oui, encore, c’est trop bon. Je suis une vraie salope !!!
Je continu de la fister, la faisant maintenant crier son plaisir sans retenu jusqu’au moment où je sens autour de ma main, tout son conduit se serrer, se rétracter et de l’entendre crier le puissant orgasme qui la traverse. Sa respiration a le rythme d’une sprinteuse, la sueur couvre son corps, les joues rouges. je retire ma main, laissant sa chatte aussi ouverte que le tunnel du métro. je me penche alors sur elle et essuie ma main sur son visage, sur la langue qu’elle me tend tout en guidant ma queue dans sa chatte. Elle est tellement élargie que je n’ai quasiment aucunes sensations. je me relève alors, la tourne à plat ventre et pointe ma queue sur son anus qui s’est en partie refermé. Ma queue luisante de sa mouille n’a aucun mal à trouver sa place et entre facilement d’une traite dans son rectum. Sans la laisser reprendre ses esprit, je démarre un pilonnage puissant, lui défonçant le cul sans retenue. Ses gémissements ou cris ne laissent pas de doute, elle souffre autant qu’elle aime ! Je me déchaine dans ce cul chaud et accueillant et assez rapidement je l’inonde de mon sperme brulant. Je retire aussitôt ma queue de son cul et vient lui la plonger dans la bouche. Je m’enfonce jusqu’à sa gorge, ne tenant pas compte de ses protestations, la faisant s’étouffer par moment, ou aller au bord du vomissement. Lorsque je juge ma queue propre je me retire et la laisse en plan sur le lit. Je me dirige vers les WC, besoin de soulager une envie de pisser. J’ouvre la porte et voit la lopette, toujours attaché à la cuvette.
– Alors, t’as entendu ta femme ? Tu l’as déjà faite jouir à ce point toi ?
– non… dit-il en baissant les yeux
– Je m’en doutais. Bon, ouvre la bouche, je dois pisser
– Quoi ?
– t’es sourd ou quoi ?
Je lui att**** la tête et la plaque contre les toilettes, puis rabaisse la lunette. Je me baisse et commence à lui pisser sur le visage
– Ouvre ta gueule lopette !
Ce que Pierre fait et il commence à boire ma pisse à grande gorgée.
– C’est bon hein, t’aime ma pisse ? Aller boit tout, brave bête
Sur la fin, je dirige mon jet de sorte à lui arroser tout le visage. Quand j’ai terminé je ressors des toilettes sans un mot et retourne dans la chambre.
Isabelle semble s’être remise en partie, je la retrouve sur le lit, couchée sur le flanc, ne portant qu’une petite nuisette faite de dentelle blanche à larges mailles. Cette broderie très raffinée, ne masque que très peu son corps.
– Je l’avais acheté pour notre nuit de noce avec Pierre… Mais il était tellement bourré ce soir-là, il m’a sauté dessus et en 2 min a jouit et s’est endormit… Me laissant comme d’hab sur ma faim… J’ai jamais trouvé la bonne occasion pour la sortir depuis, sinon ce soir où je me sens comme après une noce… Mon âme vous est offerte avec mon corps, je me sens donc encore plus liée à vous que par un mariage… J’espère que vous appréciez…
– J’apprécie dès que tu fais preuve de dévotion. De plus elle te va à ravir.
Je m’allonge sur le lit, contre elle, et glisse ma main entre ses cuisses
– Comment va ta chatte ?
– hum… ça va… je découvre de nouvelles échelles à la puissance des orgasmes… c’était…fabuleux…
Mon doigt se glisse en elle et je sens alors que son cul est de nouveau rempli par le plug
– tu te sentais vide ?
– non, mais je voulais garder votre semence en moi… ne rien perdre… J’aime vous savoir rependu en moi…
– bien. retire ta nuisette un moment et allonge toi
Je la regarde passer le vêtement par le haut pour le retirer, faisant danser sa paire de seins généreuse qui est ma prochaine cible. Lorsqu’elle est allongée, je la chevauche et vient placer ma queue, en train de reprendre de la vigueur, entre ses deux monts. De chaque mains j’att**** un sein que je viens écraser autour de ma bite. Depuis que j’ai découvert sa poitrine j’ai envie de passer ma queue entre ces deux globes généreux.
– Tu vois, des nichons comme le tiens sont parfait pour ça. Tu sais ce qu’on appelle une branlette espagnole ? Ou une cravate de notaire ?
– Non…
– Et bien voilà. C’est une sensation délicieuse que de se faire branler par des seins comme les tiens.
Tout en parlant j’ai commencé à aller et venir entre ses seins, allant jusqu’à taper son menton. rapidement, elle baisse la tête et dès qu’elle est à portée, met un coup de langue à ma bite. Maintenant qu’elle a compris, je m’allonge sur le dos
– Occupe-toi de moi
Elle vient au-dessus de moi et vient plaquer ses seins autour de ma queue, les écrasant autour, faisant presque disparaitre ma bite. Elle démarre alors une des plus belles branlettes que j’ai connu, usant de toute la volupté et souplesse de ses seins. Elle bouge suffisamment pour venir me téter le gland en même temps
– Hum, tu apprends vite, j’aime ça
Ce compliment la réjouit et elle met alors plus d’ardeur à l’ouvrage.
– C’est bon, tu te débrouille à merveille. remets ta nuisette à présent, et viens honorer notre union
Isabelle se redresse alors, remets sa nuisette, puis me chevauchant, att**** ma bite et la place sur son vagin qui se resserré. Se laissant aller de tout son poids, elle engouffre ma bite.
– Fais nous jouir tous les deux.
Posant ses mains sur mon torse, elle commence alors à user de son corps, montant et descendant sur ma tige dressée en elle. Je sens toute l’expertise qu’elle a appris se mettre en œuvre, sa chatte se contractant autour de ma queue accentuant ainsi et volontairement le plaisir qu’elle me donne. Son regard, plongé dans le mien exprime toute la joie qu’elle ressent à me donner ce plaisir, à se donner à moi. Elle se penche vers moi, ne quittant pas mon regard et me tends ses lèvres, attendant mon accord. je viens alors coller ma bouche à la sienne et nos langues démarrent alors un balais frénétique. Sa croupe continu d’aller et venir sur moi, faisant coulisser ma queue dans sa chaire. Sa chatte se transforme en véritable pompe. Elle finit par se redresser et se re concentrer sur son corps, et sur le mien. Elle sourit à chaque fois que je réagis à ses manœuvres, satisfaite de me faire du bien. Elle prend son temps, glissant un main derrière elle pour flatter me couilles, posant par moment un doigt sur son clito. Je lui laisse les commandes totalement, uniquement guidée par le plaisir qu’elle me doit. Son corps frémit, se tends, se relâche, monte et descend. tout en elle respire la recherche de la jouissance, la sienne mais surtout la mienne. Elle est attentive à chacune de mes réactions, prolongeant ses gestes dès qu’elle constate qu’ils me sont agréables. Elle relâche ses muqueuses dès qu’elle me sent me tendre un peu plus en elle, cherchant à faire monter la puissance du plaisir qui nous guette. C’est en experte avisée qu’elle me chevauche, m’offrant régulièrement sa bouche, ne quittant presque jamais mon regard, ses yeux toujours plongés dans les miens. Son plaisir nait du mien, son corps réagit aux réactions du mien. Elle finit par se pencher vers moi à nouveau et me chuchoter
– Remplissez moi, inondez moi de votre sperme chaud… Marquez votre territoire, je suis votre, dévouée totalement. Jouissez en moi et faite naitre mon plaisir par le vôtre.
Je sens alors sa chatte se serrer sur ma queue, elle a parfaitement appris à gérer le moindre de ses muscles vaginaux pour notre plaisir commun. Ses mouvements se font plus amples, plus puissants, elle plante ma queue à chaque fois le plus profond possible en elle. Puis me sentant arriver, elle accélère la cadence, la puissance. ma queue durcit un peu plus à chaque seconde, je retiens au mieux ma première giclée qui finit par sortir puissamment et par déclencher son propre orgasme bruyant. Elle est prise de soubresauts à chacune de mes giclées. Sa main vient masser mes couilles comme pour évacuer autant de mon jus que possible.
– Encore, remplissez moi, oui…
Elle use de sa chatte comme d’une pompe, jusqu’à épuiser la moindre goutte de mon jus, puis se laisse tomber sur moi, maintenant ma queue en elle et posant sa tête sur mon torse. Elle n’est que gémissement de contentement.
– Merci… merci pour tout
Ce sont ses derniers mots avant de finir par s’assoupir. Je profite un moment de la douceur de son corps collé au miens, le contact agréable de ses seins écrasés sur mon torse, ma queue débandant doucement sans quitter sa chatte remplie de mon sperme et finis moi aussi par m’endormir.

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