Avec effarement et peur elle se rendit compte que ce contexte totalement pervers l’avait excitée. Elle caressa la nuque de René, son premier geste d’affection volontaire. Il avait dégrafé son pantalon, elle tomba à genoux devant lui, sortit la pine de son slip taché et pour la première fois eut envie de la sucer, de lui procurer un réel plaisir. Elle engouffra l’énorme sexe dans sa bouche, il était toujours aussi malpropre, mais cela ne la dégoûtait plus, bien au contraire. Elle le suça avec entrain et gourmandise, le lécha, appuya ses lèvres autour de son gland violacé, caressa ses testicules aux poils gris et gras. Elle le pompa avec avidité, y mettant tout son savoir faire, elle avait envie de recevoir son foutre sur sa lange, dans sa bouche, de le sentir couler au fond de sa gorge, de l’avaler, de l’avoir dans son estomac. Mais il ne la laissa pas faire et la releva, sa culote pendue à une cheville il leva sa jupe une nouvelle fois et la fit asseoir sur sa bite face à lui. Elle avait arrêté de le sucer avec regret mais elle s’empala sur son membre avec délice. Il la besognait en soulevant et abaissant son petit cul de ses mains puissantes, elle l’aida en s’appuyant du bout de ses pieds. Il enfouit son visage gras entre ses seins, elle y sentit son souffle chaud, sa langue qui s’immisçait dans le haut du sillon accessible de sa poitrine. Elle posa ses mains sur son crâne dégarni et lui caressa, elle mouillait comme une fontaine.
Il releva son visage rougi, Sophie le regarda avec tendresse, se pencha vers lui et l’embrassa. Leurs langues se mêlèrent, ils s’immobilisèrent leurs sexes accouplés, pour partager ce baiser pour en ressentir toute la saveur. Il fut long et passionné, quand Sophie se redressa un mince filet de salive se tendit entre leurs lèvres. Il y eut un instant sans mouvement où ils se regardèrent, la bite de René toujours plantée et tendue dans la chatte de sa belle-fille. Elle dégrafa alors son chemisier, lui offrant ses seins. Il les regarda comme si c’était la première fois puis se jeta dessus comme un nouveau né affamé. Ils reprirent la cadence de leur infâme accouplement. Sophie gémissait sans aucune retenue, René grognait comme une bête enragé, lui couvrant les seins de salive, lui mordant les tétons qu’elle n’avait jamais eu si dur et pointant. Elle embrassa son front en sueur puis lécha ses lobes d’oreille avant de lui murmurer :
« -Ca vous plaît René de me baiser devant votre femme ? »
« -Oh oui, putain ! »
« -Ca aurait été encore meilleur, si elle avait été vivante. »
« -Tu as raison, tu deviens vraiment une cochonne Sophie. »
« -Je suis loin d’être à votre niveau beau-papa, hummm, m’obliger à baiser devant votre femme morte. »
« -On dirait pourtant que ça te plaît beaucoup. »
« -Oui, je crois que je deviens une vrais salope, ça vous plaît ? »
« -Oh oui ça me plaît, je l’ai senti quand je t’ai vue, que tu avais ça en toi. »
« -Vraiment ! haaaaaaaaaaaaa, c’est pour ça que vous m’avez obligée à tout ça ? »
« -Oui, ça aurait été dommage de négliger un tel potentiel et puis tu es si bonne, si belle, je ne pouvais pas résister. Je regrette que ma femme n’ai pas été comme toi. »
« -Vous auriez aimé que je sois votre femme ? »
« -Ha ça oui, ma belle. »
« -Vous voulez que je devienne votre femme ? »
« -Oui c’est pour ça que tu es là. Et toi, tu en as envie ? »
« -Oui, je veux être votre femme. »
« -Pourquoi tu veux ça maintenant ma belle ? »
« -C’est vous le vrai mâle ici, c’est ça que je veux, c’est ça qui m’excite. Pas une demi-portion qui fait dans son froc. »
« -Bien tu te rends enfin compte de la réalité, c’est moi ton unique mâle maintenant, c’est moi ton mari et ton maître. »
« -Oui, je le veux. Je veux être votre femme, votre femelle, votre jouet sexuel. Haaaaaaaaaaaaa !»
En prononçant ses mots Sophie atteint un formidable orgasme, simultané avec celui de René totalement excité par ces paroles. Sophie sentit son ventre se remplir d’un sperme abondant, elle était parcourue de spasmes incontrôlés de jouissance. Ils s’embrassèrent de nouveau puis René la porta dans son lit, ce lit qui la veille encore accueillait la mère de Paul.
Durant la nuit elle se réveilla et repensa à tout ce qui lui était arrivé, à ce qu’elle devenait. Bien que René soit à l’origine de tout, pour elle c’était de la faute de Paul son mari qui n’avait pas su la protéger, qui n’avait pas joué son rôle de mari, son rôle de protecteur et de mâle. Elle le méprisait totalement désormais, elle n’éprouvait plus aucun amour pour lui, il avait failli à sa tâche, à sa fonction. Tout ce qu’elle avait apprécié et aimé chez lui avait été effacé par sa faiblesse et sa lâcheté. Elle se retourna vers son beau-père qui était en train de la transformer en dépravée, en objet sexuel. Allongé sur le dos, il ronflait comme une locomotive. Elle chevaucha son torse et bloqua de ses genoux les bras grassouillets de son tortionnaire. Sophie posa ses mains sur son cou et commença à serrer. Pouvait-elle le tuer, en avait-elle seulement la force ? Elle regarda son visage disgracieux, en avait-elle seulement envie ? Il avait dit vrai, elle avait ça en elle, elle aimait le sexe mais pas seulement, elle aimait la soumission, ça avait été dur à accepter mais c’était un fait indéniable. Mais au-delà de ça, elle sentait une forte attirance pour la perversion, pour accomplir des choses très immorales comme ce qu’ils avaient fait tout à l’heure.
Sophie enleva ses mains du cou de René et mua son bassin sur le torse velu. Elle libéra ses bras, pour poser ses genoux de part et d’autre de sa tête. Son sexe épilé était à quelques millimètres du visage rougeaud du père de son mari. Un dernier infime mouvement et sa petite chatte s’y appuya. Sophie posa ses mains sur le crâne chauve et frotta sa fente contre ce visage grossier qui l’excitait tant. René qui n’avait rien senti jusqu’alors se réveilla tout à coup, il sut et apprécia aussitôt ce qui lui arrivait. Sa langue fouilla l’intimité humide de sa belle-fille. Il but son jus de femelle soumise et corrompue. Ils baisèrent une bonne partie de nuit, la chatte et le cul de Sophie était copieusement remplis quand elle se rendormit.
A partir de ce jour, René baisa Sophie quand il en avait envie, c’est-à-dire plusieurs fois par jour. Il avait imposé à son fils de venir habiter chez lui et sans que Paul sache que Sophie était désormais consentante, il dormait avec sa femme toutes les nuits.
Au bout de quelques semaines il ne prit plus la peine de se cacher pour la baiser, ce qui excita au plus haut point Sophie. Il la pelotait tout le temps, lui demandait une pipe en prenant son café de bon matin. La première fois, Paul resta bouche bée, sa biscotte se délitant dans son bol. Quand Sophie se releva la bouche pleine de sperme, elle le regarda avec défi, il abaissa le regard. Le soir pendant le film, René caressait les seins de Sophie puis lui enlevait son chemisier et son soutif pour les lui téter. Invariablement cela finissait par une fellation. Il alla alors plus loin en mettant sa main sous ses robes pour lui caresser la chatte, son fils en face d’eux fixait l’écran pour tenter d’ignorer ce qui se passait, mais ils surprirent souvent ses rapides coups d’œil. Enfin un soir, Sophie se retrouva complètement à poil sur les genoux de René, sa langue dans sa bouche, ses doigts dans sa chatte. Paul vit son père défaire sa braguette et sortir son énorme queue, presque aussitôt sa femme se positionna au-dessus. Comme elle lui tournait le dos, Paul pouvait admirer son magnifique cul qu’il n’avait eu le loisir de toucher depuis si longtemps. Le superbe corps de sa femme était cambré, elle avait les tibias légèrement enfoncés dans les assises du canapé, ses belles cuisses fines dressées et écartées dévoilaient à leurs jointures le renflement de son sexe. Il aperçut deux de ses fins doigts s’y glisser et écarter les lèvres de son vagin. Les genoux de Sophie se plièrent et Paul vit la monstrueuse bite de son père s’enfoncer et disparaitre dans la chatte de sa femme.
Ils se livrèrent devant ses yeux à un accouplement bestial et obscène, la belle et la bête version X. Les mains de René parcouraient le corps de Sophie sans relâche et sa langue n’épargnait aucun centimètre de sa peau du bas de ses seins à sa bouche. Cela dura longtemps, une éternité, mais quand Sophie pivota la bite de René toujours en elle pour se retrouver face a Paul. Quand il la vit le buste et le visage couvert de salive, affichant une expression reflétant l’extase, il se pétrifia totalement, observant leur coït jusqu’à son dénouement. Son père baisa sa femme dans toute sorte de position, Paul pensait avoir atteint le fond mais il comprit qu’il se trompait quand il le vit la sodomiser. Enfin dans un horrible beuglement son père éjacula dans sa femme, lui remplissant le vagin de son foutre. Sophie s’extirpa du chibre de René et se tourna exprès vers lui, du sperme s’écoula de sa fente se répandant sur ses cuisses et au sol. Paul eut un haut le cœur et se précipita aux toilettes.
Cela dura trois ans, Paul fut le spectateur d’un grand nombre de leurs ébats bien qu’il les évita au maximum, mais son père semblait prendre un malin plaisir à ce qu’il soit présent. Il le détestait et le maudissait en silence, mais il se méprisait au moins autant que sa femme le méprisait.
Puis son père eut une leucémie et disparut en quelques mois. Paul crut que tout redeviendrait comme avant, que Sophie allait lui revenir, elle le quitta.
« -Tu comprends Claire, je n’ai jamais aimé René mais sexuellement il m’a révélée et fait atteindre de tels orgasmes… J’ai vécu tout ce que j’avais à vivre avec lui sans aucun regret mais maintenant c’est fini. Quant à Paul, il y a longtemps que pour moi tout est terminé avec lui. »
« -Je comprends, tu dois vivre une autre vie désormais. Tu as envie de quoi ? »
« -Je sens que tu as envie de siffler la fin de ma récré, pas vrai ? »
« -C’est pas ça, mais j’ai ma vie moi aussi et… »
« -Ne t’en fais pas tu as raison de toute façon, je dois passer à autre chose. Il faut d’abord que je me trouve un job dans le coin, un appart et puis… »
« -Et puis ? »
« -Me trouver un mec que j’aime et qui soit bien viril cette fois-ci. »
« -Un dominateur quoi!»
« -Peut-être, mais c’est pas obligatoire ! Bon et toi ma chère sœur, c’est à ton tour de me parler de ton petit secret inavouable. »
« -Ok, ton histoire vaut bien que je te raconte la mienne et peut être te servira t’elle pour le futur. »
Et Claire raconta à sa sœur sa rencontre avec son élève Damien et sa mère.
« -Hé bien ce n’est pas banal non plus, dans le genre pervers et dépravé ton histoire vaut bien la mienne. En tout cas je note qu’on a les mêmes tendances à la soumission, tu crois que c’est de famille ? »
« -C’est possible, en tous cas je suis sûre que Damien te plairait, tu voudrais que je te le présente ? »
« -C’est gentil de ta part, mais j’ai décidé de tirer un trait sur tout ça, j’ai envie de passer à autre chose, de prendre un nouveau départ. »
Damien était allongé à côté de sa mère, dans leur lit, il caressait sa peau soyeuse qu’il aimait tant. Il s’attarda sur sa hanche, la palpant avec délice, puis descendit avec délicatesse au creux de sa taille fine, remonta le long de ses côtes frissonnantes, effleura son épaule gracile pour enfin s’engager vers son sein diaphane, marbré et palpitant. Elisabeth somnolait, mais les errances tactiles de son fils l’avaient exaltée, sa poitrine s’était enflée et ses tétons avaient douloureusement durci. Quand elle sentit sa paume en chatouiller l’extrémité, puis ses phalanges en envahir l’amplitude comme une araignée se saisissant de sa proie, elle en fut comblée et sa grotte s’humidifia en conséquence. Elle agrippa l’autre main de son fils et la conduisi entre ses cuisses qu’elle écartait. Il la masturba avec expertise et dextérité, lui extirpant des gémissements de satisfactions. Elle sentait son envie durcir contre sa cuisse, elle la sollicita.
« -Viens Damien, prends moi. Fais-moi l’amour. J’ai envie de toi mon chéri. » Dit elle en se mettant sur le dos.
Son fils la pénétra avec douceur et amour. Son vagin était chaud et mouillé, le meilleur endroit de la terre pour son pénis pensa t’il. Damien fit de long va-et-vient dans le sexe de sa mère, appréciant chaque frottement, chaque centimètre carré de sa chair intime, chaque instant passé en elle.
Elisabeth goûtait elle aussi pleinement le bonheur de cet accouplement interdit, de ce coït i****tueux. Les yeux rivés sur le visage de son fils, elle dégustait les vagues incessantes de plaisir qu’il lui procurait.
« -Tu aimes toujours baiser ta petite maman mon chéri ? »
« -Oh oui maman, il n’y a rien de meilleur au monde. »
« -Tu es sûr, tu ne te lasses pas de ma chatte mon bébé ? »
« -Non maman, je ne m’en lasserais jamais, j’adore ta chatte, j’adore tout de toi, je t’aime si fort. »
« -Je t’aime aussi très, très fort mon chéri et tu peux me baiser autant de fois que tu en as envie, n’importe où, n’importe quand. Je suis à toi Damien, vas-y baise moi, baise ta maman chérie, fais moi jouir. Remplis moi de ton sperme, je veux le sentir au fond de ma chatte de maman i****tueuse. »
Damien excité par ces dernières paroles éjacula sa semence dans le sexe de sa mère, se répandant au fond de ses entrailles.
Elisabeth s’était endormie, et Damien la regardait avec tendresse, se disant qu’il était bénit de pouvoir coucher avec sa mère, qu’il considérait comme la plus belle de toutes les femmes. Mais sa fortune ne s’arrêtait pas là, il avait aussi réussi à posséder Claire, sa jolie prof d’histoire, à en faire une esclave sexuelle qu’il partageait avec sa mère. Et comme si ça ne suffisait pas il avait aussi cette nouvelle aventure.
Il avait eu du temps libre avec les absences de Claire, due à la visite de sa sœur. Aussi il en avait profité pour draguer et faire tomber dans ses filets Marlène, une des plus belles filles du collège. Une magnifique jeune fille de seize ans à la longue et bouclée chevelure rousse qui la démarquait de toutes les autres. Elle avait un envoutant visage aux trais fins et harmonieux rehaussé de sublimes yeux verts émeraudes. Une silhouette de modèle avec de petits seins en formes de pommes. Des fesses aux courbes enivrantes souvent misent en valeur par des pantalons moulants. Sa peau pâle lui rappelait celle de sa mère, elle l’avait attiré comme bon nombre de garçons, mais lui, il l’avait séduite. Il se surprenait tout de même à charmer si aisément les femmes qu’il convoitait depuis qu’il couchait avec sa mère. Ils avaient un peu flirté puis les choses étaient devenues plus concrètes et il avait constaté que Marlène était loin d’être timide dans un lit. La complicité était très vite apparue entre eux d’eux et la confiance en avait naquit tout naturellement. Damien passait tous ses mercredis après-midi chez elle et des fois le soir aussi avant de rentrer chez lui. La confiance et les sentiments avaient conduit vers les confidences et Damien avait partagé avec Marlène ses plus grands secrets. Loin d’être choquée la jeune fille en avait même éprouvé une grande excitation et ils avaient connu de mémorables après-midi de folies sexuelles. C’était à se demander si l’i****te et la soumission ne provoquaient pas une stimulation sexuelle chez les femmes se demandait Damien. Mais il devait plutôt s’agir d’un heureux hasard ou alors il devait posséder une sorte de sixième sens lui permettant de repérer celles qui succombaient à ses penchants.
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