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Ma soeur Faten 3

Ma soeur Faten 3



Ma sœur Faten

Chapitre 3/4

« Alors, raconte, elle est blonde, brune, petite taille, raconte !
– Je n’ai pas de petite amie !
– Et bien ça, c’est nouveau, tel que je te connaissais avant, tes yeux filtraient tous les robes et tes vêtements, toujours sales, je m’attendais à ce que tu collectionnes ! »

Elle me rappela mes slips où plusieurs fois, j’étais rentré chez moi plein de sperme, car je ne ratais pas une occasion de me coller au cul d’une fille dans un bus, ou n’importe quelle chaine humaine. Mon visage devint rouge de honte, alors c’est elle qui lavait mes slips et pourquoi elle me le rappelait maintenant. Je n’avais plus le courage de la regarder en face.
Elle se tut un bon moment, elle suivait son film de très près.

« Bon, c’est le moment de la prière, à tout de suite ! Elle allait sortir de la pièce, puis se retourna vers moi :
– Et toi, tu ne pries pas ?
– Je n’ai pas prié de toute la journée – en réalité, je n’ai jamais prié !
– Va prendre une douche, ensuite ratt**** ton retard et je t’attendrai pour prier ensemble, la dernière de la soirée !
– Non, ne m’attends pas !
– Comme tu veux, à tout de suite ! »

Je n’ai pas bougé d’un trait jusqu’a son retour, elle avait dans les bras une gandoura.

« Tiens, mets ça, tu ne vas pas dormir avec tes vêtements, à moins que tu ne préfères… !
– Non, ça me va ! » Je me lève rapidement et je prends la gandoura,

FATEN sortit pour me laisser me changer. J’ai hésité pour enlever mon slip, puis je me suis dit, personne n’osera y toucher et ça me permettra de laisser mes organes génitaux respirer un peu. Mais la gandoura est très grande et pour un type de grande taille, elle m’arrivait juste au niveau des genoux, alors qu’elle aurait dû l’être aux orteils. Je me trouvais un peu idiot dans cette tenue, elle était courte, mais aussi tout mon épaule et bras étaient libres, il suffisait que je sois au garde à vous, elle aurait glissé à mes pieds.

FATEN est revenue dans le salon, ce qui m’avait tout de suite choqué c’était sa robe de nuit qui était longue, mais avec un tissu assez fin pour distinguer la forme de son corps, seins et bas-ventre, elle vient vers moi avec une démarche gracieuse. Je ne pouvais lever les yeux.

« Je ne vais pas tarder ici, je voulais savoir si tu n’en manques de rien? » Me dit-elle, en venant juste à côté de moi.

FATEN avait la main devant sa bouche, elle rit en me voyant dans cette tenue.

« Excuse-moi, je ne le savais pas, mon mari est un gamin par rapport à toi… !
.. Je pensais qu’elle t’irait, si tu veux, je te l’échangerai !
– Non, ça va, c’est juste pour dormir ! Et je n’ai pas pu m’empêcher de jeter un coup d’œil sur ses jambes.
– Ça m’ennuie que tu partes demain, tu sais, tu peux rester avec nous encore une semaine ou deux ! ?
– Non je ne peux pas, je dois rentrer à la base après-demain !
– Même pas pour moi ? Tu veux rester, s’il te plaît ?
.. Dis-moi ce qui te ferait plaisir pour rester !
– Non, rien… ! »

Elle me le demanda plusieurs fois.

« T’es sûr, rien ne pourra te faire rester ?
– Oui, je suis sûr ! »

Et au bout de quelques secondes de ce petit manège, elle leva sa main gauche pour me caresser les cheveux et l’autre, elle se frotta énergiquement de mon corps. Sur le coup, je ne compris pas ce qu’il m’arrivait, elle regardait sa main avec une telle concentration, comme si elle pouvait voir ce qu’elle touchait. Elle releva sa tête et me fit un petit sourire, ce visage que je connaissais tant, je ne pouvais pas !
Elle retira sa main, me dit :

« Bonne nuit, alors !
– Bonne nuit… ! »

Je ne vous cache pas que je n’ai pas raté l’occasion de bien admirer son derrière. Et nous allâmes, chacun de son coté, nous coucher, mais pas moyen de fermer l’œil avec toutes ces histoires ! Le temps ne passait pas aussi vite, j’avais l’habitude de veiller, mais pas comme un prisonnier dans son coin. Une heure plus tard, ou beaucoup plus, je n’étais toujours pas arrivé a m’endormir, je comptais les moutons. Je suis arrivé à m’endormir sans le savoir.

« Tu dors… ?? »

J’ai entendu une voix, j’étais mi-endormi, mi-réveillé, je croyais rêver.
À moitié réveillé, je vis une silhouette arriver dans la pièce ; il m’a semblé qu’elle était complètement nue, la lumière dans le couloir me permettait de distinguer chaque forme généreuse de son corps, elle vint et resta debout devant ma tête. Elle ne bougeait pas. Une voix interne me disait : « surtout, ne bouge pas ! ».

Soudain, elle bougea pour ressortir de la pièce. Je n’ai pas le temps de souffler qu’elle revint sur ses pas. Elle partit et revint près de moi, plusieurs fois, s’approcha de moi, me fixa en écartant bien les yeux, puis tout en restant accroupie, elle me tourna le dos pour s’approcher de mes jambes. Au même moment, elle commença à retirer ou remonter la gandoura vers le haut. Et au fur à mesure qu’elle s’approcha de mon sexe, celui-ci durcit en même temps. Au moment de sa mise à nu, il avait complètement durci. Je commençais à me sentir mal dans ma peau, à rester immobile. Une voix interne : « Tu ne bouges pas, d’accord, tu ne bouges pas ! ».

Elle fit juste effleurer mon sexe de la paume de sa main, puis la retira, posa un regard vers mon visage. Je n’ai pas fait un geste, elle se remit une nouvelle fois à l’œuvre, sa tête tournée vers mon visage, c’est sûr pour guetter, s’attendre à ce que je me réveille et elle s’est oubliée en écrasant un peu mon sexe. On aurait dit qu’elle avait reçu une décharge électrique, d’un bond, elle était déjà devant la porte. Mais, elle n’est pas sortie, elle est restée un moment immobile, puis revint sur ses pas, décidée à faire ce qu’elle devait faire, quoi qu’il advienne.

Elle vient carrément m’enjamber et de sa main, par derrière, guida mon sexe vers sa chatte. Je sentis mon sexe dur lui effleurer doucement le cul puis la chatte ! Elle fit le va-et-vient entre son cul et sa chatte.
Et elle s’assit sur ma queue, il m’a semblé être entre les lèvres de sa chatte, juste un centimètre de pénétration. Puis, elle se leva brusquement et partit en courant vers sa chambre.

J’ai attendu et je souhaitais son retour parce que j’étais disposé, cette fois-ci, à me la faire sauter, sœur ou pas. Mais elle était partie pour ne plus y revenir, j’ai terminé cette mésaventure par me masturber aux toilettes. Je ne vous cache pas que je me suis dirigé vers sa chambre et devant la porte grande ouverte, je distinguai un corps allongé, mais je n’ai pas eu le courage d’entrer.

J’ai très mal dormi ou pas du tout, cette nuit par ces événements. Le matin, au réveil, ma première pensée, me toucher au sexe, il était dur.
Je me levai sans faire de bruit, j’étais décidé a me sauver d’ici, incognito. Je cherchai mes vêtements, ils n’étaient plus là !
Merde, je suis fait comme un rat, je cherchai partout quand je l’ai entendue, derrière moi.

« Bonjour, tu as bien dormi ? »

Elle était là, devant l’entrée, tout sourire.

« Tu cherches tes vêtements ? Et bien, je les ai lavés, ils sèchent au soleil… ! Allez, je t’attends à la cuisine ! »

Elle part et je reste un moment, je me suis fais avoir comme un con. Je reste seul avec mon ombre pour un monologue :

« Écoute, je ne sais pas ce que tu veux, mais si tu veux un mec, t’as qu’à sortir dans le quartier, il y en a plus d’un qui ne dirait pas non, surtout avec toi !!
– Je ne suis pas une salope, je suis en manque et c’est tout, je t’aime !
.. Tu sais, je crois que le sexe, c’est comme une drogue !
– Pourquoi tu dis ça ?
– Parce que je ne peux pas m’en passer !! Tu crois que je suis une salope ?
– Non, pas du tout !
– Alors, tu ne viens pas prendre ton petit-déjeuner ? »

Je l’entends tonner depuis la cuisine. Je reviens à la dure réalit, une douche, puis je la rejoins aux cuisines.

« Alors, tu as bien dormi ? »

Elle me tournait le dos, elle était occupée à laver la vaisselle, avec les mouvements des bras, c’est tout son corps qui bougeait et en particulier son derrière qui m’avait fait passer une nuit blanche.

« Pas mal et pas bien, j’ai fait un cauchemar !
– Ah bon, je suis venue par 2 fois dans la pièce, tu dormais comme un ange !
– Cela ne m’a pas empêché de faire un cauchemar ! »

Elle me servit un bon bol de café au lait avec des gâteaux, ainsi qu’un grand verre de jus d’orange.

« *Alors, ces gâteaux ?
– Ils sont délicieux !
– C’est moi qui les ai préparés, je suis une femme de foyer, non ? Tu me prends toujours pour la sœur qui passe plus de temps devant son miroir ?
– Je n’ai rien dit !
– Je sais que je suis la plus adorée de tes sœurs, non ? »

Je n’ai pas répondu, j’ai juste tiré une cigarette de ma poche.

« S’il te plaît, passe-moi le feu !
– Quoi, tu fumes, tu sais que c’est interdit et puis, c’est nocif pour ta santé et la mienne !
– Bon, j’ai compris, je vais fumer dehors !
– Excuse-moi, mais à titre exceptionnel, tu peux le faire sur le balcon… !
.. Non, pas sur le balcon, les voisins peuvent te voir, fais-le dans la salle de bain !
– Écoute, je vais le faire dans la rue !
– Excuse-moi, tu comprendras, plus tard, que j’ai raison, c’est pour ta santé !
– Tu peux me passer mes vêtements ?
– Va dans le salon, je vais te les ramener, à l’heure qu’il est, ils doivent être secs… ! »

Habillé, je décide de quitter, sans billet de retour, elle a lu en moi.

« S’il te plaît, ne t’en va pas, ne me laisse pas seule, j’ai très peur, la nuit ! »

Au moment de sortir, elle m’a retenu par le bras, me tirant vers elle, jusqu’à ce que ma main entrât en contact avec son entrejambe, elle n’arrêtait pas de parler, de me supplier, tout en serrant fortement sur mon bras, ce geste compressait ma main poussée vers sa chatte.
L’avait-elle fait volontairement ou non ? Mais ça m’avait marqué et touché.
J’avais du mal a avaler ma salive, j’ai utilisé un peu de force pour me libérer et lui répondre :

« Oui, je te jure que je reviendrai, je vais récupérer mes affaires et prendre congé de ma mère ! »

J’ai repris mes esprits et je me suis senti mieux dans la rue, en fumant 2 sèches, l’une sur l’autre et un café noir bien pressé.
Je suis retourné chez moi, la distance qui sépare nos 2 villes est juste de 80 kilomètres, donc tout au plus deux heures de route. Et je n’ai encore mis les pieds chez moi que maman, devant la porte, me dit :

« Tu ne vas pas laisser ta sœur toute seule, dans une ville étrangère, son mari est absent, c’est une grande ville, il y a beaucoup d’agressions… ! »

Le comble, ma mère a déjà préparé mes affaires, mon sac de voyage était prêt.

« D’accord, maman, je ne la laisserai pas seule, mais j’irai l’après-midi !
– S’il te plaît, vas-y maintenant, moi je suis chez moi, entourée de ma famille et mes amies, par contre, elle… !
– Maman, je ne m’en irai que toute à l’heure, si tu es gênée par ma présence, je m’en irai dans un hôtel, le temps de prendre le train !
– Non, mon petit, j’ai peur pour ta sœur, si tu ne t’en vas pas, dis-le moi, je m’en irai… !
– Maman, je lui ai dit que je reviendrai ce soir, que j’avais à récupérer mes affaires et de chez elle, je m’en irai à l’aéroport, alors n’en rajoute pas ! »

J’ai passé toute la journée hors de moi et plus de 3 heures dans un cyber café et l’idée m’est venue, dans cet endroit, de chercher s’il y a des gens qui font l’amour en famille et j’ai découvert plusieurs sites et forums, mais le vôtre a une approche de la réalité. Ma mère ne s’est sentie heureuse que quand j’ai pris congé d’elle.

Vers 17 heures, j’avais les yeux rivés vers la fenêtre de la chambre de ma sœur, j’ai cru voir une ombre bouger et je fus certain que lorsque j’allais sonner à la porte, elle s’ouvrirait :

« Bonsoir, je suis contente que tu sois venu… ! »

Elle me prit le sac des mains et me di :

« Entre dans la cuisine, je te rejoins ! »

Au vu de la tenue qu’elle portait, je me suis dit, que madame avait eu du remord. Elle portait une longue robe que portent, généralement, les femmes des fanatiques, y compris sa tête qui était sous un grand foulard. Sans gaieté de cœur, je me rendis a la cuisine qui m’était devenue familière. La table était bien garnie, café, lait, beure, œufs, confiture. Sans l’attendre, je me suis servi un bon bol et quand elle entrée, j’avais presque fini de manger, mais il y avait un changement, ses cheveux étaient défaits, sa robe était courte, sans manches. Elle s’était tapé une beauté sans maquillage.

Faisant semblant comme si de rien n’était, elle me demanda comment j’avais passé ma journée, comment allait maman et ceci et cela.
J’étais mal à l’aise, même si au fond, il n’y avait rien d’anormal. Ce qui s’était passé le soir d’avant, était un fait anodin et je pense qu’il pouvait arriver à tout un chacun, mais il suffit d’un peu de calme pour éviter le drame. Je pensais qu’elle avait bien saisi la portée et que ça ne se renouvelle plus.

« Bon, je te laisse, je vais faire un tour en ville !
– S’il te plaît, ne t’attarde pas trop et au fait, que veux manger pour le diner ?
– Tout ce que tu veux, ça n’a pas d’importance !
– Non, j’insiste, fais-moi plaisir… !
– Ce qui te ferait plaisir à toi !
– Bon, tu peux me ramener des œufs avec toi, si ca ne te dérange pas, juste au magasin du coin ?
– Tout de suite ?
– Non, quand tu rentres tout à l’heure, mais ne tarde pas trop, j’ai besoin de ta compagnie, je veux me sentir chez moi avec ma famille !
– Alors, tu n’as qu’à demander à ton mari de t’amener chez la vieille !
– Oh, tu sais, chaque fois, il me dit : « ce week-end, je t’emmène passer quelques jours chez ta mère ! ».
– OK, à toute… ! »

Et me voila dans les rues de la ville, j’en ai profité pour passer le temps dans un cyber et je n’ai pas vu le temps s’écouler, j’étais resté près de 3 heures devant un écran.
Quand je suis rentré, elle était là à m’attendre, accrochée à sa fenêtre.

« Tu as trop tardé, où es-tu passé, j’étais inquiète ?
– J’étais avec des amis de passage dans cette ville !
– Allez viens, le diner est prêt, donne les œufs ! »

Je ne me suis pas contrôlé et j’ai prononcé le mot « merde ».

« j’ai oublié, attends, je vais sortir en chercher !
– Non, il n’en est pas question, on s’en passera !
– C’est pour 10 minutes !
– Non, on s’en passera, entre… ! »

Elle ferma la porte à double tours et en mettant la sécurité.
Le couvert était sur la table de cuisine, nous commençâmes à manger.

« Tu prépares bien, c’est succulent !
– Hein, tu te moques de moi ?
– Non, je te jure que je suis sincère, peu de femmes réussissent ce plat !
– Mon cher frère, telle mère, telle fille !
.. Et tu sais, mon cher époux me reproche toujours la cuisine ! »

Nous mangions tout en parlant de la famille et à chaque fois, elle en mettait un grain de sel, en incluant la religion, ça m’agaçait, mais je me gardai de le lui dire.
Une fois la bouche terminée, elle me demanda de prendre un café, tandis qu’elle lavait la vaisselle. Je préférai l’aider plutôt que de rester assis et c’était toujours la discussion entre frère et sœur. J’ai oublié, momentanément, ce mauvais passage de notre vie.

« Bon, tu peux te rendre à la salle de bain, prendre une douche et te changer, la gandoura est y ! »

Pendant que l’eau glissait sur ma peau, je me savonnais et soudain, l’idée de me branler, me vint à l’esprit. Je pris mon sexe dans la main, je le regardai et tout naturellement, je le savonnai. il commença à bander et pourquoi pas une masturbation pour calmer mon ardeur et m’éviter le pire. Au moment d’éjaculer, j’entendis un bruit sourd dans le couloir, au début, ça ne me disait rien, puis l’idée qu’elle était derrière la porte me fit rougir de honte. Je me suis retourné vers le mur et si elle m’a vu me branler ? Et merde, je m’en fous, qu’elle aille au diable. Après une bonne douche, je me rendis à ma place au salon, mais cette fois, je mis en marche la télévision. Je zappai, toutes les chaînes, pas plus d’une vingtaine, étaient branchées religion et cela, malgré moi.

Quand elle vint me rejoindre, j’en eus le souffle coupé, elle était vêtue d’un short cycliste très moulant et un joli chemisier, à moitié boutonné. Ses longs cheveux, le sourire, malgré qu’elle n’était pas maquillée, mais elle était très belle. Elle s’avança vers moi, tandis que moi, ma salive qui n’arrivait pas à passer à travers ma gorge. Et c’est surtout son sourire qui ne laisserait pas un homme calme.

Juste au milieu de la pièce, on a entendu une clef tourner dans la serrure de la porte.et une fraction de seconde, elle n’était plus là. À ce moment, on entendit quelqu’un frapper à la porte.
Je me suis levé pour ouvrir, c’était son mari. Il n’avait pas encore pénétré totalement dans l’appartement que je l’avais vu regarder derrière moi. Je me retournai, elle était là, vêtue d’une robe très longue, où rien ne filtrait de sa peau, des pieds aux mains et un long foulard qui lui cachait la tête et la poitrine. Ce n’était plus la même femme que tout à l’heure. Enfin, je suis retourné à ma place et je ne l’ai revu qu’une demi-heure plus tard. Il me raconta depuis son départ et surtout, surtout, la conférence… L’orateur, on aurait dit qu’il avait connu un prophète. Je ne l’écoutais que d’une oreille. Ma sœur qui était là, écoutait les oreilles grandes ouvertes.
Enfin, me disant qu’il était fatigué, il prit congé et il est parti dormir, sa femme également. C’était un bon débarras.

Le matin, j’ai pris mes cliques et mes claques et je suis retourné à la base, tout en oubliant ce passage de la vie.

Après 45 jours de pénible travail et dans le bus qui me ramenait de l’aéroport vers ma ville, de l’autoroute, on distingue les lumières de la ville où elle habite que je me suis souvenu de son existence. Je me demandai comment qu’elle allait et qu’est-ce qui se serait passé cette nuit là, si son mari n’était arrivé au bon moment, peut-être rien ? Sa tenue, ce soir-là, sûrement que son mari lui interdit tout, alors elle voulait porter des trucs devant moi sans aucune arrière-pensée, parce qu’elle ne pouvait le faire devant un étranger sans passer sur son corps. Se rappeler sa jeunesse ou plutôt, son célibat. Le fait de penser à elle, m’a fait oublier le long trajet et ses souffrances. Je suis arrivé chez moi vers minuit, comme j’avais une clef, je ne voulais pas réveiller maman et sans faire de bruit, je me dirigeai vers ma chambre. Chez nous, c’est une petite villa, ma chambre est la dernière, ma mère occupe celle qui est juste devant la porte d’entrée. Je n’ai fait de la lumière que lorsque j’ai mis les pieds dans ma chambre et quelle ne fut ma surprise, j’ai failli tomber par terre, d’ailleurs, j’ai lâché le sac de voyage. FATEN était allongée sur mon lit, sur le ventre, totalement nue, le drap avait glissé sur le sol. Mon cœur s’est mis à battre vite et fort, je n’arrivais pas à avaler ma salive. J’éteignis aussi vite la lumière et je sortis à reculons, sans faire de bruit.et c’est dans le salon que j’atterri, assis sur un fauteuil. J’essayai de retrouver mes esprits, heureusement qu’une carafe d’eau était là, je pris la bouteille et je bus à grosses gorgées, laissant l’eau couler de part et d’autre de ma bouche. Rassasié, je réfléchis, mais où était son mari ? Ce n’était pas le genre de type à laisser sa femme voyager toute seule, ou rester dans un lieu autre que sa maison sans lui. Il était presque 2 heure du matin, le voyage était très fatiguant, je me laissai aller sur le fauteuil dans un sommeil trop profond.

Et dormir dans un fauteuil, dans une position assise, n’est pas de tout repos. Tous mes membres me faisaient mal à mon réveil et quel réveil ! Tôt, à 7 heures du matin, il n’y avait que ma mère qui était debout, mes deux sœurs dormaient toujours.

Et c’est en discutant avec ma mère que j’ai su que FATEN était venue le même jour que moi, mais dans la journée, accompagnée de son mari. Et c’est à sa demande de la laisser passer quelques jours chez nous. Et comme je connais ce fanatique, il a accepté parce que chez moi, le seul homme, c’est moi, son frère et beaucoup plus absent. Et c’est au moment de chercher mes cigarettes que je me suis souvenu que le paquet est dans le sac de voyage. Je retourne le chercher au salon, je ne le trouve pas, c’est à ce moment que j’ai compris que je l’avais oublié dans ma chambre, dans un moment de précipitation. Je n’avais pas le courage d’y aller le récupérer. Je retournai sur mes pas à la cuisine, mais je ne pouvais pas rester sans fumer. J’allai demander à ma mère, mais elle allait se demander pourquoi je n’y allais pas. Je me décidai à le faire moi-même, je devenais fou, mais c’était ma sœur. Si je continuais comme ça, je deviendrais un véritable pervers et ce fut, sans faire de bruit, que je me dirigeai vers ma chambre. J’avançai lentement ma tête, pour voir et qu’elle ne fût ma surprise, elle n’était plus là.
Où était-elle passée ?

Mais ce qui me tracassa, mon sac de voyage était au-dessus de ma garde-robe et vide. Le paquet de cigarettes, mes clefs, le briquet, quelques pièces de monnaies ; il n’y avait aucun doute, c’était elle, je pris le paquet de cigarettes et je retournai vers la cuisine. Elle était là, assise sur une chaise, elle discute avec maman, mais ce qui n’était pas naturel, quand on s’assied a une table, on pose ses mains sur la table, les jambes en dessous, mais par contre, elle, elle était assise de côté par rapport à ma mère pour parler avec elle ou prendre n’importe quoi sur la table, c’était une position gênante. En clair, elle avait les jambes écartées et tournées vers la porte, quelle que soit la personne qui entre, ne ratera son entrejambe. C’est une provocation et moi, je n’avais pas le choix, elle portait une culotte en dentelle transparente. J’ai fait semblant de n’avoir rien vu et comme une vraie salope, elle se leva pour me sauter au cou, en m’embrassant et me demandant de mes nouvelles.

« À quelle heure es-tu rentré ? Elle continua, sans attendre une réponse.
– Tu aurais dû me réveiller, tu ne m’en veux pas d’avoir dormi dans ton lit ?
– Et au fait, je t’ai vidé ton sac ! »

Ma mère disait :

« Tu sais que ton frère donnerait n’importe quoi pour vous !
– Oui maman, je sais qu’il est prêt à donner son âme pour nous, mais il ne veut pas m’écouter pour la prière !
– Oh, laisse-le, il finira par prier, un jour ou l’autre ! »

Et puis la discussion est devenue banale et voila que ma petite sœur, AFFAF pénètre, elle m’embrasse, elle aussi, ensuite, elle me demande ce que je lui ai ramené. Un bon quart de discussion en famille, puis j’ai pris congé. Je suis sorti en ville prendre un café bien serré, revoir les amis. Je ne suis rentré que vers midi, le temps de prendre mon déjeuner. Ma mère préparait toujours le manger, malgré son âge avancé, elle préférait me servir avant de prendre sa sieste quotidienne.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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