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le plombier

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Le fantasme du plombier, vous y croyez, vous ? Non, bien sûr, tout comme moi. Jusqu’à ce que cela m’arrive ! Je m’explique. Je travaille en sous-traitance pour un fournisseur d’accès Internet que je ne citerais pas et de ce fait, je suis amené à me rendre chez des particuliers pour régler leurs problèmes de connexion. La semaine dernière, je reçois un ordre de mission pour une intervention pas très loin de chez moi. Je vais donc au rendez-vous et suis accueilli par une femme d’une cinquantaine d’années. Pendant que j’étudiais le problème, elle était assise sur son canapé, occupée à ranger… je ne saurais trop dire si c’était des bas, des collants ou des mi-bas. Bref, toujours est-il que je la regardais faire tout en réparant la panne. Une fois le problème réglé, elle me propose un café ; généralement je refuse, mais là, allez donc savoir pourquoi, j’accepte. On se met à discuter un peu, je lui dis qu’elle a un superbe appartement dont on aurait ignoré l’existence vu de l’extérieur. Elle me propose de le visiter, ce que l’on fait, pièce par pièce. Arrivé à la salle de bain, qu’est-ce que je vois ? Un collant chair en train de sécher sur son étendoir. Dans ma tête, en un dixième de seconde, je me suis dit « vas-y, lance toi » tout en sachant que je prenais un risque vis-à-vis de mon travail. Je lui dis donc : « Joli collant ! ». Elle me regarde et me rétorque : « Merci… mais qu’est-ce que vous y connaissez, vous, en collant ? ». Dans l’instant, j’ai pensé… « Tente le coup ». Je lui ai répondu : « Vous savez, j’aime bien les collants, c’est quelque chose qui embellit subtilement les jambes d’une femme ». Pas de réaction de sa part. Sur ce, nous retournons sur le canapé finir notre café. On se remet à discuter de tout et de rien. Sur la table de salon était posé un ordinateur portable. Je lui demande « Ça marche bien ? », elle me répond : « Oh, j’ai que des problèmes avec ». Moi : « Je peux y jeter un œil si vous voulez ». Elle : « Avec plaisir ». Je commence donc à examiner son ordi, pendant ce temps elle continuait de ranger ses nylons. Nous étions assis côte à côte, puis tout à coup, elle pose un collant sur ma cuisse et me dis : « Alors comme ça, vous aimez ça ? ». Mon cœur a fait un bond, j’ai rougi, je savais plus où me mettre. « Heu… oui oui, j’aime ça… j’aime la matière, je la trouve sensuelle au toucher ». « Eh bien, dites-moi, vous avez l’air d’être un expert » me dit-elle en souriant. Là, je me suis lâché malgré la boule dans ma gorge : « Bah, disons que je fais partie de ces hommes qui aiment plus particulièrement les femmes en collant, plutôt qu’avec des bas. ». « Ah oui ? C’est étonnant ça ! » me répondit elle. Moi : « Oui, je sais, ça surprend en effet mais croyez bien, je ne suis pas le seul homme dans ce cas ! ». Là-dessus, elle retire le collant qu’elle venait de poser sur moi et s’absente de la pièce. Je me remets à travailler sur son ordi quand soudain je la vois revenir en jupe avec le collant sur ses gambettes. « Ça vous plaît ? »… Croyez-moi ou pas, mais là, j’ai cru que mon cœur allait exploser dans ma poitrine ! Elle se rassoit à côté de moi et me dit : « Alors, ça vous plaît ou pas ? … Je vous sens troublé ! ». Et comment ! « Oui, j’adore, ça vous va très bien, vous avez de jolies jambes en plus, il ne faut pas les cacher ! ». Là-dessus, elle remonte sa jupe jusqu’à la démarcation du collant et tend sa jambe. « Vous trouvez ? ». Moi : « Oui, je confirme » … et je rajoute « Je peux toucher ? »… Jamais je n’aurais fait ça auparavant mais là, ça devenait presque trop évident qu’elle m’allumait. « Oui, vous pouvez toucher ! ». Aussitôt, je passe ma main délicatement sur sa cuisse… et je sens le nylon sous mes doigts pour mon plus grand plaisir. « Vous êtes doux » me dit-elle. Je lui explique que je suis tactile et que j’aime caresser. Je caressais lentement sa cuisse et bien évidemment, ce qui devait arriver arriva, je me suis retrouvé en pleine érection dans mon pantalon. « Vous faites ça avec toutes vos clientes ? » me demande-t-elle. « Oh non, c’est bien la première fois que ça m’arrive ! ». « En tous cas, c’est bien agréable » me dit-elle le sourire aux lèvres. Moi : « Je confirme ! … Et ça me fait un effet fou » en souriant à mon tour. Et elle regarde entre mes jambes, pose sa main sur mon sexe gonflé sous le jean et constate qu’en effet j’étais bien excité comme un bœuf ! « Je ne peux pas vous laisser comme ça » me dit-elle en rigolant, et elle m’ouvre la braguette ! Mon sexe a alors jailli tel un Zébulon de sa boîte ! Elle l’a pris en main et m’a masturbé en douceur…. Je ne vous cache pas que j’ai joui en un rien de temps ! « OH ! » a-t-elle fait en rigolant. Là-dessus elle m’a donné un mouchoir pour m’essuyer. Le temps de souffler pour moi et nous nous sommes relevés, je l’ai salué et elle m’a dit : « Merci pour l’ordinateur ! ». Moi : « Le plaisir était pour moi ». On a échangé deux grands sourires et je suis parti.

Ayant conservé son numéro de portable, nous nous sommes revus chez elle pour un apéro. C. était en jupe et collant noir lorsqu’elle m’a accueilli. Un accueil chaleureux avec un grand sourire. Nous nous sommes fait la bise puis nous sommes passés au salon. Assis sur le fameux canapé, elle m’a demandé ce que je voulais boire. Moi : « Whisky. ». Lorsque j’ai bu un verre, je me décoince plus facilement. C. s’est versée un porto. Nous avons trinqué et discuté. Rapidement, la conversation s’est engagée sur mon fétichisme. Je n’ai pas mentionner aimer également porter des collants. Elle portait des ballerines. Je lui ai expliqué que comme tout bon « fétichiste », j’adore voir les pieds d’une femme en collant, voir la pointe qui, pour moi, est tout un symbole. Là-dessus, elle m’a dévoilé ses pieds et passé sa jambe par-dessus la mienne. « Tu aimes comme ça ? » m’a-t-elle demandé en me montrant ses pieds. J’ai contemplé les pointes fines et ses ongles vernis. « Oui, je trouve ça très beau surtout avec le vernis, c’est tellement féminin !». J’étais déjà en érection. Je lui ai proposé de lui masser les pieds, un prétexte pour les lui caresser. Elle a alors passé ses deux jambes sur moi. J’ai empoigné délicatement ses deux pieds que je me suis mis à caresser. « Ce n’est pas vraiment un massage ça ! » a-t-elle dit. Moi : « C’est vrai, j’en profite ! » lui ai-je répondu en rigolant. Mes doigts jouaient avec ses pieds, ses pointes, puis lentement mes mains ont commencé à s’aventurer plus haut sur ses jambes, jusqu’aux cuisses. C. se laissait faire, je la voyais fermer les yeux, apprécier mes caresses. Succombant à mes délicatesses, elle a légèrement écarté les cuisses. Ma main a glissé jusqu’à son entrejambe. Je sentais la couture centrale du collant sous mes doigts. Elle portait une petite culotte noire sous le voile du nylon. « Dommage ! » me suis-je dit. Le plus fou, c’est qu’on se connaissait à peine et elle s’offrait déjà à moi. J’ai compris plus tard qu’elle était en manque de tendresse et que je lui faisais du bien. Je me suis donc mis à lui caresser l’entrejambe, je me disais « elle ne doit rien sentir avec toutes ces épaisseurs de tissu sur le sexe. ». Mais si ! Elle gémissait très discrètement et je sentais malgré tout que je lui faisais de l’effet, de légers bruits de suintements émanaient de sa culotte. Ça a duré un petit moment, puis elle a eu un léger spasme et a resserré les cuisses. Elle venait d’avoir un orgasme ! Elle a rouvert les yeux et m’a adressé un grand sourire. « Qu’est-ce que tu es doux » m’a-t-elle dit. « Je ne sais pas faire autrement ! » lui ai-je répondu en souriant à mon tour. On m’avait déjà fait cette réflexion à plusieurs reprises. J’aime être tendre et tout en douceur. Elle a repris sa position assise et m’a demandé de me lever face à elle. Elle a alors commencé à défaire ma ceinture, a laissé glisser ma braguette puis a baissé mon jean et mon slip. Le sexe bien dressé, elle a commencé à me masturber, sa main était tellement douce que j’ai pris un plaisir énorme mais un plaisir contrôlé. Pas question de jouir en 5 minutes. Puis elle a pris mon sexe en bouche pour une fellation tout en délicatesse, s’attardant de temps à autre sur le gland. Je me contrôlais, je faisais en sorte de ne pas venir tout de suite. Je lui ai pris son autre main pour la placer sous mes testicules (mon point G) et j’ai regardé ses pieds en collant. Et là, c’est fatal. J’ai éjaculé non pas dans sa bouche mais en grande partie sur elle et son visage. Après quoi, je me suis assis de nouveau sur le canapé le sexe à l’air. Le temps pour elle de se nettoyer et nous avons bu un autre verre comme ça. Moi, le pantalon baissé, elle, toujours très classe. On discutait, elle regardait mon sexe réduire, le touchait, cela la faisait rire. Moi, moins. J’aurais aimé pourvoir remettre ça tout de suite. Mais la machine ne fonctionne pas ainsi chez nous les hommes. Au bout du cinquième verre… enfin, je crois, je ne comptais plus, elle s’est mise à genoux devant moi pour me refaire une fellation. Je lui ai demandé d’enlever sa jupe afin de profiter de la vue offerte d’une femme en collant. Ce qu’elle a fait. J’ai été plus long à jouir mais j’ai joui tout de même. Dans sa bouche cette fois-ci. Je n’ai pas réussi à me retenir. À ce moment précis, je ne savais plus où j’habitais, j’étais saoul. Elle m’a demandé de rester car il n’était pas question que je reprenne la voiture dans cet état. Elle aussi était bien éméchée. Nous sommes donc allés dans son lit et là, black-out… Je me suis réveillé le lendemain matin avec une légère gueule de bois. C. était déjà debout, dans une robe de chambre blanche quasi transparente. Un café, une douche et je suis reparti chez moi. On est toujours en contact et je sais que je retournerai la voir sous peu !

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