Ça faisait un moment que je fréquentais ce site. Il y avait des filles pas farouches et je me disais que c’était trop beau pour être vrai, que s’ils disaient qu’on peut les rencontrer, c’était juste pour qu’on s’abonne. Il y en avait une qui avait fini par me fasciner. Elle était mince et un cul et des seins superbes même si elle ne montrait jamais son visage.
Un soir, j’ai fini par m’abonner. Je lui envoyais des tickets et on se parlait. Peu à peu, je me suis amusé à moins parler de sexe avec elle et j’ai compris qu’elle était plutôt intelligente. Je lui parlais en privé et j’ai fini par lui demander pourquoi elle fait ça. Elle m’a répondu que c’est pour le fric, pour payer ses études. Elle a quand même fini par m’avouer qu’il y avait longtemps qu’elle avait arrêté d’aller à la fac.
Après, je lui ai proposé de la rencontrer. Elle ne voulait pas mais j’ai quand même réussi à lui faire dire où elle était.
Ce n’était pas à côté mais j’ai insisté. Je sentais bien que j’étais sur une pente savonneuse mais je ne pouvais plus m’arrêter. Je lui donnais de plus en plus de jetons et un jour, la fille a fini par me dire qu’elle me croit puis elle a ajouté qu’on pourrait se rencontrer. Je lui ai dit que ce serait de la prostitution. Moi je pensais juste la rencontrer. Ça l’a fait rire et elle m’a dit qu’elle a bien le droit de faire la pute.
Je lui ai dit que si elle me donne un rendez-vous, je serais présent. C’était à Genève. Pas très loin vraiment de Lyon. Je l’attendais au bar d’un grand hôtel. Il y avait beaucoup de jeunes femmes qui allaient et venaient puis tout à coup l’une d’elles s’est dirigée vers moi.
– C’est vous ?
J’ai été littéralement sidérée parce que j’ai reconnu la fille de mes voisins. Ils m’avaient dit qu’elle était à Paris pour étudier à la fac et c’était elle là, devant moi.
– Monsieur (je ne vous dirai pas mon nom) ! Je ne m’attendais pas à tomber sur vous, a ajouté la fille !
– Tu fais la putain, ai-je ajouté !
– Vous ne direz rien ?
J’ai promis. J’ai pris une chambre dans cet hôtel et nous y sommes montés. Pendant qu’elle se déshabillait, je lui ai demandé si ça lui plaît. Elle m’a répondu que faire la pute, de temps en temps, ça lui change les idées.
Il n’y avait aucune doute que c’était bien la même fille, celle avec le grain de beauté au coin du sein gauche. Je lui ai demandé si je peu toucher et elle m’a répondu de payer d’abord. Je lui ai demandé combien elle veut. Elle m’a demandé cinq cents. C’était beaucoup. Elle a ajouté que je n’aurai pas à regretter et elle m’a dit qu’elle fera tout ce que je veux.
– Sauf…
– Sauf quoi, lui ai-je demandé ?
– Pas de sodomie ! Promis ?
J’ai promis. Le pire était que je n’y avais même pas pensé. Elle s’est penchée sur le lit pour tester le matelas avec ses mains à plat. J’avais déjà vu son cul. Oh, ce cul ! La fille s’est retournée.
– N’y pensez même pas, m’a-t-elle lancé !
– Je voudrais juste frotter ma queue sur tes fesses !
– Ça, d’accord, mais pas dans le trou du cul !
Une nouvelle fois j’ai promis.
– Tu peux me sucer ?
Elle m’a sucé la queue mais j’étais déjà raide. Elle a aussi joué avec mes couilles. Elle enfonçait ses ongles dedans et j’ai trouvé ça agréable. Après, je me suis enfoncé dans sa chatte. La fille s’est mise à ronronner.
– Oh, c’est bon !
Je lui ai dit que c’est quand même mieux qu’avec les jeunes et elle a ri.
– On dirait que tu es tout doux mais tu sais bien ce que tu veux, a ajouté la fille !
– Et qu’est-ce que je veux ?
– Que je reste à ma place ? Je suis là pour faire la pute ?
J’ai joui dans sa chatte mais je n’ai pas eu l’impression qu’elle avait joui. Je lui ai demandé combien elle veut pour le reste de la nuit. Elle m’a regardé. Elle avait un petit sourire au coin des lèvres. Elle m’a répondu qu’elle n’a personne et qu’avec cinq cents de plus, elle sera bien dédommagée. Je l’ai payée et elle est restée. Nous sommes allés dîner au restaurant de l’hôtel puis nous sommes remontés. Quand je suis sorti de la salle de bains, la fille était sur le balcon. Je lui ai demandé si elle veut sauter. Elle a ri.
– Je suis trop jeune pour mourir, a-t-elle ajouté !
– Et pour devenir une vraie femme ?
– C’est comme tu veux ! Tiens, tu peux faire ce que tu veux !
– Et si je t’encule ?
Elle a fait la grimace. Elle s’est mise à maltraiter ses mamelons.
– Aller, si tu veux bien, je te donnerai un gros billet !
Elle m’a dit qu’elle est d’accord. Elle s’est penchée sur le lit et j’ai plongé mon index dans ma bouche pour le mouiller puis je l’ai enfoncé dans l’anus de la fille.
– C’est pas ta bite, m’a-t-elle lancé !
– C’est pour t’habituer !
– Alors, vas-y ? Qu’est-ce que tu attends ?
J’ai enfoncé ma bite. Elle a résisté quelques secondes avant de pousser un cri puis de me dire que ça fait mal mais j’ai continué. Une fois bien au fond, le ventre collé à ses fesses, je me suis immobilisé.
– Alors, lui ai-je demandé ?
– Alors quoi ? Tu m’encules, m’a répondu la fille !
– C’est tout l’effet que ça te fait ?
– C’est ça qui va faire de moi une femme ?
Elle m’avait vexé et je suis resté sans rien dire puis elle m’a dit de continuer et j’ai commencé par sortir et me renfoncer dans son anus puis j’ai pris le rythme.
– Alors ?
– Continue, m’a répondu la fille ! Il fallait bien que je le fasse un jour où l’autre !
Un peu plus tard, elle m’a avoué qu’elle n’avait jamais imaginé que ce serait aussi excitant. J’allais et venais dans son anus et mon ventre claquait sur ses fesses. Quand elle m’a demandé de m’occuper de ses seins, je n’ai pas hésité. Ils étaient gros et fermes. Quand je les empoignés, la fille m’a dit de l’appeler Sabrina. Je n’avais jamais empoigné des melons aussi excitants. J’ai pensé qu’ils allaient exploser et se séparer du torse de la fille mais je n’ai pas eu beaucoup temps pour m’amuser. Je n’avais pas vu venir le coup et j’ai joui au fond de l’anus de la fille. Après ça, je me suis endormi. Le lendemain matin, elle avait disparu mais je l’ai retrouvée sur le site. En privé, je l’ai remerciée pour le bon temps qu’elle m’avait fait passer et elle m’a remercié pour l’argent mais ça m’a vexé.
Quand je suis rentré chez moi, je suis tombé sur les parents de la pute. Le type tenait le caddye, la femme suivait. Je leur ai demandé des nouvelles de leur fille. La mère a eu un grand sourire puis elle m’a dit que leur fille venait d’avoir sa maîtrise. Je lui aurait bien parlé d’une maîtrise de prostituée, mais je n’ai pas osé.
– Et elle veut faire quoi, déjà, ai-je insisté ?
– Docteur en sexologie, m’a répondu le père !
– Excellent !
– Oui ! Il y a tellement de couples qui ont des problèmes, a ajouté la mère ! Vous ne pouvez pas savoir, vous n’êtes pas marié, a-t-elle ajouté !
– Elle doit bien avoir un petit copain ?
La question était perfide. La mère m’a répondu que leur fille est trop sérieuse.
Je les ai regardés s’éloigner. Le soir même, je me suis branché sur le site.
– Tu sais, je sens encore ta bite dans mon trou du cul, m’a tout de suite dit la fille !
Je lui ai répondu qu’elle a semblé aimer ça mais j’avais une autre idée, que je voulais lui poser des questions osées à condition qu’elle me réponde.
– Comme quoi, m’a demandé la fille ?
– Que tu baises avec une femme !
Elle a eu un sourire puis elle m’a répondu que c’est déjà fait.
– Ah, oui, vraiment ?
– Oui, et c’était avec ma tante, m’a précisé la fille !
– Et c’était bien ?
Elle m’a répondu que sa tante l’a prise avec un gode.
– Et c’était qui, lui ai-je encore demandé ?
– La sœur de ma mère ! Elle est mariée mais elle m’a dit qu’elle préfère les femmes, m’a-t-elle encore précisé ! Tu veux pas qu’on se fasse filmer en train de faire l’amour ?
Pour ça, je n’étais pas prêt.
– J’ai envie de ta queue ! Tu pourras me la mettre partout, a ajouté la fille des voisins !
– Tu sais qu’en Suisse, faire la putain, c’est légal ?
Elle m’a répondu qu’elle le savait puis elle a ajouté qu’elle ne pourra pas rester indéfiniment sur le site et qu’il faudra bien qu’elle travaille.
– Comme putain ?
– Oui comme putain, m’a répondu la fille ! Après tout, pourquoi pas ? Il n’y a pas de métier plus facile pour une femme !
– Juste ses servir de ses trous ?
J’ai eu honte soudain mais ça l’a fait marrer. Il y avait une question qui m’intriguait. Je lui ai demandé s’il y a des femmes qui parlent avec elle.
– Oui, beaucoup, m’a répondu la fille ! Elles voudraient toutes me baiser mais je préfère une queue !
– Et si je te le demandais pour moi ? Tu choisis celle qui te plaît le plus…
Elle ne m’a pas répondu tout de suite mais quand elle m’a répondu, elle m’a dit que c’est pour me faire plaisir et que si elle veut bien f
baiser avec une femme devant moi, je devrai les baiser ensuite toutes les deux.
– Et tu as une idée de qui tu veux ?
Elle le savait, une fille dont elle n’était pas sûre qu’elle soit majeure mais dont elle était sûre qu’elle était amoureuse d’elle. Nous avons pris un nouveau rendez-vous à Genève. Elle m’a présenté sa partenaire et en la tenant toujours par la main elle a ajouté que la fille a les seins qui pendent.
– Il y a un autre problème a ajouté la fille de mes voisins ! En ce moment, elle est féconde mais ça ne la gênera pas que tu l’engrosses !
– Je veux vraiment, m’a confirmé la fille ! J’ai toujours eu envie du gros ventre et des gros seins !
Nous avons dîné ensemble puis nous sommes montés dans la chambre. Dans l’ascenseur, devant la fille, mon amie m’a dit que la gamine est maquée avec une femme qui la fait travailler.
Après tout, c’était la même chose qu’elle voulait. Nous avons fait nos affaires. L’autre fille était un peu fofolle et j’ai dit à mon amie de s’occuper d’elle pour la calmer, pour qu’elle se conduise vraiment comme une putain. Pendant qu’elles baisaient ensemble, je me suis enfoncé dans tous leurs trous puis j’ai fini dans le vagin de la fille avant de préciser que je ne veux rien savoir de ce qui va arriver ensuite.
Quand nous avons seuls tous les deux, ma voisine m’a dit qu’elle voudrait travailler pour moi. J’ai protesté que je n’y connais rien mais elle m’a dit de lui faire confiance et depuis, je touche vingt pour cents de ses gains car elle fait la putain en suisse. Elle y paie ses impôts. La dernière fois que j’ai vu ses parents, ils m’ont dit que leur fille travaille pour une ONG en Amérique du Sud. J’ai répondu que c’est parfait puis je suis remonté dans ma Porsche, celle que m’a payée ma putain. Quand je vais toucher ma pension, elle me fait une pipe et je la baise et je trouve que c’est équitable.
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