Pourtant des bites, Monique en avait vu, depuis son dépucelage à 14 ans, à cette soirée.
Toutes celles qu’elle avait sucé, celles qu’elle avait pris en elle, au collège, celles vu pendant ses années d’étude d’infirmière et celles vu depuis son affectation, de différentes couleurs et de différentes tailles, du micro pénis égaré dans une touffe de poils et celle xxl …..mais celle qu’elle avait entre les mains c’était du jamais vu, ses doigts en faisait difficilement le tour, alors qu’elle contemplait la chose, une réflexion lui vint à esprit » elle va jamais rentrer dans ma bouche, je vais me déboiter la mâchoire ».
Jean était assis dans le fauteuil et savourait l’effet de surprise, Pascal debout attendait que sa blonde passe à l’action.
Monique, la chose entre les mains, la passa sur une joue puis sur l’autre et sur tout le visage, passant sur sa bouche elle sorti sa langue pour la promener le long de la hampe puis elle la lécha comme elle aurait fait avec un cornet de glace, elle ouvrit plus la bouche et fit pénétrer le gland.
Jean sentait la langue tourner autour du gland et jouer avec le frein, Pascal demanda à sa belle de reculer ses genoux, d’écarter ses jambes et de cambrer plus ses reins, il se mit derrière sa femme et commença à prodiguer des caresses à ses deux orifices ainsi dégagés, la chatte de sa femme était ouverte et coulait en goute à goute sur le tapis
Monique, pendant ce temps avait commencé une lente introduction du « boa » dans sa bouche, la caverne buccale ouverte au maximum. Elle finit par la faire rentrer centimètre par centimètre jusqu’à toucher le fond de la gorge lui procurant des hauts de cœur qu’elle maitrisa puis les lèvres serrées autour du membre elle entama des va et viens.
Jean savourait, les yeux fermés.
Pascal à genoux, agaçait le clitoris, rentrait un doigt dans la chatte, de son autre main il récupérait de la mouille et caressait le petit trou et y faisant pénétrer une phalange, bref il s’amusait en pensant à se qui allait déclencher la fureur de sa salope. Elle, continuait sa lubrification malgré la douleur à la jointure des mâchoires, la colonne descendait profond, elle la massait avec le fond de sa gorge, des larmes coulaient, le rimmel aussi.
Suffocante, elle ouvrit la bouche libéra une quantité de salive trop longtemps prisonnière, elle pris une grande bouffée d’air et replongea sur cette bite hors norme. La salive coulait jusqu’aux couilles, elle lécha le liquide puis aspira les deux bourses une par une, elle fit de même enserrant le « boa » de ses lèvres, elle aspira sa bave, quand, arrivée au gland, elle ferma ses yeux et dit
_ Oui continu, c’est trop bon.
Pascal avait introduit trois doigts dans la chatte, alternant les changements de rythme, deux autres doigts étaient son cul puis cessa brusquement provoquant un grognement de Monique qui avait renfourné le membre noir.
Pascal avait recommencé cela une autre fois, Monique avait réclamé qu’il continu encore mais il avait une fois de plus arrêté, elle agitait de plus en plus son arrière train, il avait recommencé, amenant sa chérie au bords de l’explosion, il avait de nouveau cessé et là, à cet instant elle perdit toute retenue, son vocabulaire si châtié en temps ordinaire devint ordurier
_ Je veux de la bite, baisés moi.
Pascal agissait ainsi parfois le week-end, le matin, dans la salle de bain ou dans la cuisine, il entreprenait Monique plusieurs fois, l’amenant au bords de la jouissance puis alors que sa chérie réclamait son dû, il partait, la laissant là, la chatte ouverte et suintante et avec interdiction de se toucher, de se caresser. Bien sur toute la journée, excitée, elle l’allumait, se faisait chatte, rien n’y faisait, il lui fallait patienter.
Agissant ainsi, chez Monique, l’excitation durait toute la journée, ce qui donna à Pascal l’envie de procéder ainsi mais en semaine.
Se préparant tous deux dans la salle de bain, suite à ce traitement, Monique demanda être baisée vite fait avant de partir travailler, Pascal répondit qu’ils n’avaient plus le temps, elle eut beau supplier, implorer, rien n’y fit et avant de partir
_ Interdiction formelle de te toucher, de te caresser.
Il savait qu’elle obéirait, il imaginait Monique lors d’une toilette prenant la queue en érection d’un jeune malade ou d’un moins jeune. Il partait le sourire aux lèvres. Savourant déjà son retour le soir.
Et des années plus tard, alors qu’ils avaient faits d’autres trios avec de très bons collègues à Monique qui étaient devenus des amis, il précisait
_ Interdiction formelle de te toucher, caresser et je veux pas recevoir un coup de téléphone pour me dire qu’untel a envie de toi.
Monique n’a jamais pu s’habituer à ce traitement.
Pascal se releva, attrapa Monique par les cheveux, la releva
_ Ah tu veux de la bite, tu vas en avoir
Jean les suivi dans la chambre, nu, il s’allongea et aussitôt Monique s’empala lentement sur le dard dressé après un « wouah » d’étonnement quand elle sentie le gland toucher son utérus, elle passa une main sous elle et constata que presque un tiers était encore dehors, habituée à ce colosse en elle, elle s’agita fît tourner ses hanches
_ Hmm, c’est bon, je la sens bien, baise moi Jean
Jean ne se fit pas prier, il sorti son membre de quelques centimètres et pris donna un coup de rein mais pas trop puissant.
Monique suffoqua, elle crû un instant que cette queue avait perforé le fond de sa grotte, qu’elle remonterait jusqu’à sa gorge et ressortirait par la bouche, une sensation jamais ressentie
_ C’est bon, encore, baise moi
Allongée sur Jean, le chevauchant, ce dernier avait accéléré la cadence, les pénétrations plus puissant eurent raison de Monique, elle se figea dans un orgasme fulgurant
_ Oh putain c’est trop fort, trop bon, j’en veux encore, baise moi, défonce moi
Sans débander Jean continua cette folle chevauchée.
Pascal derrière la cavalière voyait le membre de son ami entrer et sortir, impressionné par cette vision, il mit alors deux doigts dans le cul de sa femme, il sentait le « boa », le caressait sans le vouloir et soudain un autre orgasme, il vit des jets de cyprine s’échapper, il mit une main sur la bouche de l’excitée, revenue à elle
_ Prends moi le cul chéri, mets ta bite, je vous veux vous sentir tous les deux
Sans guère de précaution Pascal enfila sa femme et les deux amis firent preuve une fois de plus de complicité, quand un faisait le retour, l’autre faisait l’aller et de plus en plus vite, une main de Pascal caressait le clito, l’autre s’agrippait aux cheveux blond de la belle qu’il tirait faisant remonter le buste de cette dernière permettant ainsi à Jean de jouer avec les tétons érigés et durs de la femme.
Victime de ce traitement Monique ne cessait de jouir, déclarant qu’elle n’était qu’une pute et qu’elle voulait jouir encore plus.
_ Le démon du sexe l’habite déclara Jean qui soudain se prévint qu’il n’allait pas tarder à partir
_ Dans ma bouche, jouie dans ma bouche, donne tout
Jean sorti de sous Monique, présenta sa queue à sucer, elle fût engloutie prestement, les lèvres hermétiquement fermées autour de la colonne, un flot de sperme inonda la bouche, Monique avala ce nectar qu’elle trouva épicé, elle n’en perdit aucune goutte.
Pascal sorti son membre du cul de sa chérie et lui présenta
_ Je vais jouir, ouvre.
Monique ouvrit grande sa bouche et reçu des jets de sperme, celui de son homme, elle le savait était sucré.
Tous trois se rendirent dans le salon pour se désaltérer, Monique dans le fauteuil et les hommes sur le canapé.
Monique les deux jambes posées sur chaque accoudoir se caressait la chatte
_ Je crois qu’elle en a encore envie, tout comme mon cul
Monique de plus en plus excitée
_ Regardez comme elle est belle, elle est grande ouverte et elle coule encore
_ Je te savais pas aussi salope Monique
_ Sophie ne t’as rien dit de moi, j’adore le sexe et depuis longtemps, je suis une salope et mon Amour a réveillé la pute qui sommeillait en moi, j’étais, à quinze ans la pute du collège, je suçais et baisais dans les toilettes.
Il y a avait une chanson sur moi » Je suis Monique la putain, je suce, je nique à Henri Barbusse;
Les hommes caressaient leur membre qui retrouvait de la vigueur;
_ Je vois que vos queues retrouvent la santé, alors baisez moi, baisez votre putain;
Pascal d’un bond se leva pris Monique par le bras, s’allongea sur le lit.
Tu veux de la baise, tu vas en avoir, second round
Monique retira sa jupette, son chemisier, fit voler son soutient gorge, retira ses bas et ainsi nue s’allongea sur son homme, ils se roulèrent une pelle bien baveuse
_ Maintenant c’est à Jean de t’enculer.
Monique la bite de son homme dans la chatte, reçu une claque sur chaque fesse.
_ Creuse tes reins et présente ton cul, salope
Une fois fait, Jean introduisit lentement comme fait précédemment, son « boa » dans le fondement de la salope.
Monique passa une main pour atteindre son cul et constata que seules les couilles étaient à l’extérieur, elle avait toute la colonne de chair en elle, elle attendait que celle-ci se mette en marche.
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