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Femme BCBG, escorte, non pute….(6)

Femme BCBG, escorte, non pute….(6)



Note du nègre : Afin de ne pas alourdir le texte, toutes les scènes de sexe sont toujours protégées par préservatifs.

Je prends Alain dans mes bras, lui saisi la verge dans ma petite main, je le masturbe pour lui donner de la vigueur. Lorsqu’il est prêt, je me relève et viens m’asseoir dessus, je la fais entrer jusqu’à la garde en lui demandant de faire revenir l’inconnu dans ma vulve.
Assis pour la première fois face à face avec un homme. La verge bien fichée au fond de mes parties intimes, il me prend sous les fesses et m’aide à me faire monter et lentement descendre le long de sa tige. Je ferme les yeux, l’inconnu est revenu, une fois de plus mon corps ne m’appartient plus. Qu’il est bon d’être devenu un sexe attendant la saillie !

D’un coup je pense à Odile qui depuis le début de nos ébats n’a été que spectatrice. Elle a aussi le droit au plaisir. Je donne un dernier baiser à son mari.
Je me dégage de son étreinte, et invite Odile de prendre ma place. Elle saute dans ses bras, s’empale sur la tige.

La tension de notre jeu a été si intense qu’elle l’a laissé à la porte de l’orgasme. Penser donc avec cette tige en elle, les pétards ne tardent pas à exploser dans sa tête, dans son sexe, dans son corps.
Alain a été soumis à une grande tension, les deux simultanément ont une jouissance phénoménale.
Repus, nous nous endormons emmêlés bras et jambes.

Le lendemain soir, dans la matinée, la convocation m’a été remise pour me rendre au Palais. Virginie est rentée, nous reprenons le chemin de notre maison, nous retrouvons le sauna, la piscine et jusqu’à la fin de la semaine voir les deux jours de repos nous restons sages à récupérer.
Elle me demande de lui raconter dans les détails mes deux jours chez nos amis.
Je lui fais un récit détaillé de nos ébats.
Elle est enchanter de savoir que j’ai profité de la queue d’Alain autant que possible.
Elle est très contente que j’ai renoué avec les plaisirs hétéro.

Comme pour l’Angleterre, elle me raconte son voyage en Russie qui a été une petite promenade de santé.

Bien reposé, le mardi matin retour à l’institue.
Le programme le permet, Virginie décide de m’accompagner au Palais.
A quinze heures nous entrons dans la salle des pas perdus.
Je repère la « momie » qui est avec Pierre et une jeune femme que je ne connais pas.
L’avocat nous remercie d’être à l’heure.
Pierre me présente Véronique son amie très belle femme rousse aux yeux verts. Je la salue restant distante n’oubliant pas qu’elle m’a volé mon mari.
Je leur présente Virginie.

La greffière vient nous chercher, Pierre et moi accompagné de l’avocat la suivons.
Un juge femme nous reçoit, se présente, elle nous stipule les termes de la procédure engagée.
Elle s’adresse à mon futur ex.

— Avez-vous des choses nouvelles à ajouter ?
— Pour moi tout est en règles, j’ai provoqué la situation, je reconnais être le seul responsable.
— Madame êtes-vous d’accord pour divorcer. ?
— Oui !

Elle nous lie l’acte préalable de la séparation, nous confirmons tous les points et prenons le chemin de la sortie.
Dans la salle des pas perdus, nous retrouvons Virginie et la maîtresse de Pierre discutant entre elles.
La momie nous stipule qu’il nous tiendra au courant des dispositions suivantes.
Il nous salut et prend la sortie du tribunal.

Nous prenons congé du couple très simplement et repartons vers notre travail.

Le jeudi, Virginie me demande de venir dans la salle de repos. Elle vient de recevoir un coup de fil du téléphone de l’organisation lui demandant d’aller à Bordeaux le dimanche suivant, à dix-sept heures au Grand Hôtel.

— Depuis que je travaille comme escorte, je fais partie des jeunes femmes pouvant recruter des postulantes. Régulièrement des escortes s’arrêtent pour raisons personnelles. Il nous faut les remplacer. J’ai parlé de toi avec les responsables. Ils sont très intéressés par ton profil.
Toute débutante fait toujours sa première mission avec une marraine.

A Bordeaux deux hommes ont signé un contrat pour deux escortes.

— Si tu le désire nous partons ensemble faire se voyage !

Ma première réaction, est celle de la femme que j’étais encore il y a quelques jours. Plutôt négative.
La femme que j’aspire à devenir.

— Oh ! Oui !

Elle me prend dans ses bras et me donne un baiser langoureux. Tu verras nous passerons une soirée intéressante, j’ai déjà eu affaire à l’un des deux hommes je sais que c’est un gentleman. Il se prénomme Christian et est veuf. Il est chef d’entreprise.
L’autre homme m’est inconnu, j’assurerais avec lui !

— J’étais persuadée que tu accepterais de m’accompagner. J’ai pris rendez-vous avec ma banque pour t’ouvrir un compte qui sera l’un des liens avec l’organisation. Lorsque je déciderais que tu es capable de voler de tes propres ailes, nous te fournirons un téléphone réservé à l’organisation ou tu recevras tes propositions de contrats.

— Dimanche matin, nous préparerons tes affaires comme je t’ai fait voir lorsque je pars à un rendez-vous. Nous décollerons d’Orly, les billets et derniers renseignements nous seront remis au bar de l’aéroport comme à la gare du nord.
A-tu un passeport valide ?

— Oui, j’ai fais régulièrement des voyages avec « petite bite », et il est toujours valide.
— Donne le-moi, je m’occupe des visas.

Pendant les jours qui m’ont séparé de notre départ, je suis une vraie pile électrique.
Heureusement, Anne a pu nous rejoindre jeudi soir, ses parents gardant sa fille. Comme à son habitude, Virginie nous a mis rapidement à l’aise. Surtout la petite qui passe sa première soirée et nuit avec celle qui jusqu’à ce jour n’a été qu’une patronne.

A son arrivée, nous sommes habillées, Virginie nous entraîne vers la piscine. Juin sont les jours les longs et les plus chauds.
Nous avons dressé la table à l’ombre et le barbecue électrique est allumé.

Pour une fois, Anne n’est pas venue préparer notre repas, nous tenions que mon moineau ait l’impression qu’elle était notre invitée et non pas notre employé.

Arrivé au bord, Anne enlève prestement ses atours et plonge.
Nous l’imitons et sautons, nous aussi dans l’eau à la température parfaite.
Comme à mon habitude, je fais quelques longueurs de basins, Anne me suit de rapidement montrant que la natation n’a pas de secrets pour elle.

Nous rejoignons Virginie sur les marches, ma puce vient dans mes bras, regarde mon amie et elle prend ma bouche sans aucune hésitation.
Sa main descend sur mon corps et ses doigts caressent ma vulve. Mes doigts lui font subir le même sort. Elle écarte les cuisses pour que je la pénètre plus profondément.
Voyant Virginie seule sur le coté, je lui fais un signe, Anne la sent près d’elle tourne son visage, leurs bouches se trouvent.
Je sens les doigts de Virginie rejoindre les miens dans la chatte de notre petit poussin. Nous-nous embrassons-nous aussi. Anne a un soubresaut, nous sentons qu’elle jouie.

Nous sortons de la piscine, Anne a du mal à nous suivre son équilibre est précaire après la décharge qu’elle a ressentie. La prenant chacune par une main, nous la hissons jusqu’à nous.

Je vois que le regard de Virginie se concentre sur l’anatomie de la poupette.
Il est vrai que depuis plusieurs années qu’elle là engagée, elle ne là jamais vue nue.

Nous-nous installons, un cocktail sans alcool nous attend dans de la glace. Nous le savourons avant d’attaquer les brochettes que la maîtresse de maison fait cuire.
Un peu de fromage, et une tarte aux fraises qu’elle est allée chercher au réfrigérateur.
Je sers le café traditionnel de fin de repas.

Nous-nous couchons sur les transats, Anne vient au pied de Virginie. Elle lui écarte légèrement les jambes et viens lui aspirer la chatte.
La petite avance sa bouche et je vois sa jolie langue rose pointée l’intimité convoitée.

Placé comme je suis, je vois nettement cette langue qu’elle forme en pointe, allée et venir dans le corps de notre amie. Elle commence à ce tortiller.

— C’est la première fois qu’une femme me lèche là foune en m’apportant autant de plaisir. Christine, je sens monter le plaisir du plus profond de mon ventre.

Elle attire Anne sur elle, prend sa figure dans les mains.

— J’ai souvent pensé à te donner du plaisir !
Anne l’embrasse et a l’aide de son corps commence à pratiquer un massage, montant, descendant, plaquant ses seins sur les siens. Je constate que Virginie n’est pas insensible à ce traitement, elle me prend la main, ses yeux se révulsent, je pense qu’elle ressent du plaisir.

Mon petit amour voit que son travail a porté ses fruits viens me rejoindre et pratique sur mon corps les mêmes circonvolutions.
Je démarre simplement par les contacts de son corps. Elle passe derrière nos deux dossiers et avec une main pour chaqu’une masse nos nuques ce qui nous procure un grand moment de détente. Son travail terminé, elle plonge dans la piscine ou nous la rejoignons.

Nous finissons toutes les trois dans la baignoire, nous nous savonnons l’une l’autre, ce qui nous permet de jouer avec nos seins et nos intimités. Nous-nous essuyons mutuellement puis nous rejoignons le lit ou nous prenons un repos bien mérité.

Le lendemain matin à notre réveil, elle nous demande si nous pouvons enlever de son corps cette fourrure imposante qu’elle possède.
Virginie propose de l’emmener à l’institue ou Odile s’occupera d’enlever toute sa toison.

Le dimanche matin, nous-nous préparons à partir pour Bordeaux. Virginie dans la semaine m’a acheté deux sacs identiques à ceux qu’elle se sert.
Nous y plaçons les mêmes objets. Mon amie sort de sa table de nuit une joli boite rose. Elle l’ouvre et en sort une dizaine de préservatifs qu’elle place dans l’un de mes sacs. Lorsque je vais rencontre des hommes, il peut m’arriver d’accepter les avances d’un d’eux s’ils me sont sympathiques, il faut toujours prévoir les protections nécessaires.

Elle sort une des tenues achetées ensemble. String, petit short mini rose pâle, un soutien gorges push-up et un chemisier blanc avec par-dessus une petite veste de couleur identique au short, sans oublier les chaussures avec des talons très hauts.
Virginie choisi quelques bijoux très sobres dans ma broîte personnelle.

En fin de matinée, nous nous habillons, je me regarde dans la glace de ma chambre.
Je dois reconnaître devant ma silhouette, que je viens définitivement de passer de « femme BCBG », à « femme escorte-girl »

Nous prenons un taxi vers Orly.

Lorsque nous remontons côte à côte l’aérogare, j’apprécie le regard appuyé de nombreux hommes qui aimeraient bien être à notre bras.

La personne casquée nous rejoint. Véronique prestement récupère l’enveloppe.

Nous prenons la direction du terminal d’enregistrement. Nous embarquons et nous décollons vers de nouvelles aventures pour moi.

Nous débarquons à l’aéroport de Bordeaux – Mérignac.
Un taxi nous dépose au « Grand Hôtel » ou nous nous installons dans deux chambres contiguës.

A l’heure prévue nous descendons au bar. Christian connaît déjà Valérie, il s’approche de nous.
Valérie me présente sous mon prénom d’escorte.

—Magali !

Christian, belle homme la cinquantaine, les cheveux poivre et sel, est accompagnée d’un homme plus jeune mais ayant une classe folle.

— Antoine, mon responsable du personnel et ami de longue date.
— Que voulez-vous boire, mesdames ?
— Un cocktail sans alcool pour nous !

Sans problème. Après si vous n’y voyez pas d’inconvénient, avant d’aller manger, nous souhaitons aller à l’opéra national de Bordeaux ou nous avons réservé des places afin d’assister à La Bohème.
Je suis très étonné que deux hommes, fassent venir deux femmes jolies, de Paris, pour aller voir un spectacle à l’opéra.
Je n’en dis rien bien sur.

Taxi, entré au théâtre sous le regard toujours concupiscent de nombreux hommes.
De quelques femmes aussi d’ailleurs. Nous assistons au spectacle d’une grande qualité.
L’opéra terminé, un taxi nous dépose devant le restaurant « L’oiseau Rouge »
La température est clémente, une table en terrasse nous attend.

Commande passée, nous dînons en parlant de choses et d’autres.

J’écoute beaucoup Valérie, afin de bien apprendre ce qu’il est possible de dire ou ne pas dire avec ces messieurs.
Pas de problème, Christian a le chic pour parler de tout et de rien. Il a été un grand sportif, et a donc visité de nombreux pays. Valérie depuis qu’elle pratique mon nouveau métier n’a pas de mal à converser avec lui. Antoine est plus réservé. Quant à moi certains des pays évoqués ne me sont pas inconnus et je participe sans problème à la conversation.

Le repas terminé, nos compagnons nous font entrer dans un coffee-shop. L’endroit a une ambiance tamisée.
Nous-nous installons dans des fauteuils rouges très confortables.

Antoine parle à l’oreille de Valérie, elle semble apprécier ce que lui dit son compagnon.
Christian se rapproche de moi me parle de près. La musique d’ambiance nous empêche d’entendre ce que nos amis se disent. Rapidement, Christian me dit qu’il a apprécié ma beauté toute la soirée, il me prend la main qu’il porte de temps en temps à ses lèvres pour l’embrasser.

Du coté de Valérie les choses ont l’air d’avancer rapidement. Elle me regarde, me fait un signe d’amitié et part vers la porte suivie d’Antoine.
Mon compagnon nous voyant seul, s’enhardi, sa main frôle mon sein. Nos regards se croisent et j’accepte ses lèvres.

— Magali vous me plaisez, voulez-vous m’accompagner jusqu’à mon Hôtel très prêt d’ici ?

Pourquoi j’accepte sans grande résistance ! Certes cet homme est séduisant.
Ais-je envie de découvrir de nouvelles sensations ?

Nous quittons le coffee-shop, il me prend le bras, nous parcourons quelques centaines de mètres, et nous pénétrons dans un hôtel de haut standing.

Arrivé dans la chambre, il m’embrasse beaucoup moins chastement que dans le bar.
Prestement il enlève mes vêtements sauf mon string.
J’enlève sa chemise et je détache son pantalon. Je constate que c’est la première fois de ma vie que je déshabille un homme.

Je sors sa queue un peu moins grosse que celle d’Alain mais très supérieur à celle de petite bite.
Je l’empoigne, je la cajole quelques minutes et prestement je la prends en bouche. Je lui taille une pipe qui semble lui faire de l’effet vu les râles qu’il émet.

Il me relève, me jette sur le lit, retire ma culotte et plonge sa tête dans mon intimité. J’écarte les cuisses pour que sa langue aille bien profond au fond de ma chatoune. Il s’y prend tellement bien qu’un premier orgasme me saisi.
Je le fais assoire sur le lit et je m’empale sur cette verge. J’adore cette position découverte avec Alain. Le pieu de mon nouvel amant, me pénètre.
Je le fais coulisser en moi pendant de longues minutes. Il me change de position, me met en levrette et me tenant les flancs, me pilonne vigoureusement.
Je sens qu’il attend que je prenne mon plaisir avant de prendre le mien. J’arrive assez rapidement à avoir un orgasme.

Je le fais sortir de moi, me retourne et gobe sa queue. Rapidement des jets de foutres emplissent ma bouche. J’avale tous avec envie et nettoie consciencieusement sa verge.

Nous-nous allongeons, Christian se colle à moi, me prend un sein en main.
Je m’endors.

Dans la nuit, je sens la main de mon compagnon chercher ma chatte. La caresser. Je me mets sur le dos, écarte les cuisses et laisse ses doigts pénétrer mon intimité.
Je sens la queue de mon amant se redresser et venir m’enfiler.

Nous sommes restés dans le noir, cela me rappelle mes années de mariage ou nous faisions toujours l’acte dans le noir.
Certes la queue de Christian n’a rien à voir avec celle de Pierre et pour ne rien gâcher, la manœuvrer bien en moi. Mon corps prend son plaisir, il éjacule, se retourne et se rendort.
Je m’endors moi aussi.

Vers neuf heures, je me réveille, la chambre est vide. Je vais dans la salle de bain, là non plus, il n’y est pas. C’est à ce moment que je constate que ses effets ne sont plus là, il est parti sans un mot.

Je retourne dans la salle de bain, prend un bain et m’habille. Au moment de récupérer mon petit sac posé sur la table de nuit, des billets sont posés avec un papier. « Merci » !

Je compte les billets cent, deux cents, cinq cents, mille, deux milles euros.
Que veut dire tout cela ?

Je quitte précipitamment l’hôtel prend un taxi et rejoint le nôtre. Je fonce dans la chambre de Virginie, elle vient juste de se réveiller.
Je jette les billets sur le lit.

— Qu’est ce que tout cet argent que j’ai trouvé sur la table de nuit en me réveillant ?

Virginie me prend dans ses bras. Elle me cajole.

— Chérie, lorsque des hommes en déplacements veulent passer un moment avec une jolie femme sans risquer de se retrouver seul après avoir pris un râteau dans les bars. Ils font appel à une agence comme la notre. Outre la possibilité pour eux de promener de jolie femme à leurs bras, ils sont sur de terminer la nuit en galante compagnie.
Je t’ai dit que je connaissais Christian, en tant que marraine, je l’ai appelé et je lui ai demandé de procéder comme il la fait pour ne pas te brusquer.
Si je n’avais pas procédé comme cela, il n’est pas sur que ton éducation rigoriste n’ait pas repris le dessus et que tu ne refuse de coucher avec lui.

— Si je n’avais pas accepté de venir dans sa chambre ?
— Il n’aurait pas dépensé son argent et l’organisation l’auraient dédommagé par une soirée tout frais payer.

Hier me regardant dans la glace, je me suis vu passé, « de femme BCBG à escorte girl » Ce matin je me réveille « escorte girl et pute »

Quelques minutes, elle se prépare, nous récupérons nos affaires, et quittons l’hôtel.

Virginie m’entraîne dans un parc afin de m’expliquer certaines choses.
Nous-nous asseyons sur un banc.
Elle me prend les mains.

— Lorsque tu t’es mariée, tu appartenais à un homme qui t’entretenait. Chaque fois qu’il te pénétrait, il récupérait une partie de l’investissement mis en toi le jour de votre mariage. Doublement avec ton Pierre qui ne s’occupait que de son plaisir. Si tu réfléchis bien, en vivant avec lui, tu étais sa « pute » à domicile.

— A y bien réfléchir, tu as raison mon cœur.

Depuis mon dépucelage dans la cuisine par Olivier, j’ai rapidement au fil de mes aventures amoureuses pris conscience que mon corps m’appartenais, que moi seule pouvait en disposer.
Depuis ce jour c’est ce que je fais. Je baisse comme hier avec Antoine, qui soit dit en passant a été un amant exceptionnel, tout en encaissant deux milles euros.
Sans compter ce que l’organisation va placer sur mon compte pour le travail d’escorte.
Tu vois, je suis peu être une pute, mais je l’assume sans aucun problème. N’oubli pas que grâce à ce que me rapporte cette vie parallèle, j’ai pu acheter mon institut de beauté, Chennevières. Sans compter mes avoirs en banque qui me permettront un jour d’arrêter et devenir moi aussi la pute d’un seul homme.
Comme tu me la dis, tu souhaite avoir des enfants, moi aussi.

— Maintenant que tu sais qui nous sommes veux-tu continuer ?

Rapidement j’évalue la situation. Je pèse le pour ou le contre. Le plaisir que j’ai pris cette nuit avec ce client ne sachant pas que je me prostituais n’appelle qu’une réponse.

— Oui !

Elle m’embrasse les bouts de doigts, les portes à sa bouche ne pouvant pas décemment nous enlacer dans ce parc.

Nous rejoignons l’aéroport et repartons dans l’après midi pour Paris.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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