A la plage…
Ca fait longtemps que je viens sur cette plage et je dois dire que j’aime bien, chaque fois que je peux, me faire bronzer au soleil. Ce petit bout de plage est sur la corniche à Marseille et, en ce mois de juin, en semaine, il n’y a pas beaucoup de monde et c’est fort agréable. Comme on dit, il n’y a que les habitués qui se saluent entre eux, qui font leur bronzette comme chaque année et qui ne s’intéressent qu’à eux-mêmes. C’est donc paisiblement que je peux m’installer et bouquiner en lézardant.
Enfin, le vrai moment de détente…
Sauf que ça y est, ça commence, les jeux de ballons et pourtant c’est interdit !!! Ils m’énervent au plus haut point, ils ne font pas attention, ils ne respectent pas les autres qui viennent ici pour se prélasser. Et je plonge par ci, et je cours par là, vraiment aucun sens du respect, ces jeunes!!!
Et évidemment, ils ont installé leur serviette pas très loin de la mienne, première journée de plage de l’année et me voilà entourée par ces jeunes hommes bruyants au possible, ça commence bien… Moi qui voulais ne pas mettre mon haut de maillot aujourd’hui, pour ne pas avoir de traces et me faire un joli bronzage dès le début. Car je suis vraiment blanche, voire même transparente… et çà fait vingt-huit ans que ça dure, cette crème toutes les demi-heures, pour éviter de passer de la vanille à la fraise et me plaindre toute la soirée auprès de ma mère – et qu’elle me dise: la prochaine fois, tu mettras de la crème!!!-. Vingt-huit ans qu’elle me serine avec mon physique – tu devrais faire un régime! Tu as encore changé de couleur de cheveux! Mets d’autres lunettes! -. Pourtant, mise à part ma blancheur de peau, je ne me trouve pas trop mal : brune aujourd’hui, les cheveux mi-longs, 1m65, avec quelques formes là où il faut, un mignon petit visage, les yeux marrons, le nez en trompette, une petite bouche avec des lèvres bien dessinées… Bon, pas un top model, mais j’ai déjà eu plusieurs aventures avec des hommes charmants, je ne me fais donc pas de souci de ce côté-là. Même si c’est depuis l’été dernier que je n’ai plus eu de relation, j’arrive très bien à contrôler mes manques.
Ils recommencent avec leur ballon ! Et voilà, pleine de sable avec la crème et même pas une excuse ! Ah non, ça ne va pas se passer comme ça, même pas une heure que je suis là ! Si je ne fais rien, ça va être ainsi toute l’après midi. Je lance mon regard noir avec mes yeux marrons à ce petit c… et sors un :
– Vous pourriez faire attention quand même!
– Ca va, excuz’, la plage, elle est à tout le monde ! Me répondit-il, un rien arrogant.
Il fait peut-être une tête de plus que moi, mais je vous l’éduquerais, moi, en lui apprenant le respect et d’abord, on commence par vouvoyer les personnes plus âgées! Enfin, je suis bien obligée maintenant d’aller à la douche car la mer est trop froide encore. Aïe aïe aïe, la douche… Je les maudis!
On ne peut pas être tranquille et faire ce qu’on veut ici, c’est ce qu’on va voir! De retour sur ma serviette, je me remets la crème pour ne pas brûler et enlève mon haut, comme j’avais prévu de le faire s’ils n’avaient pas été là. J’att**** mon livre et reprends ma lecture tant bien que mal, car je me sens observée. Je n’aime pas cette sensation. Qui peut bien me regarder ? Et pourquoi surtout?
Je scrute aux alentours et je vois le petit c… de tout à l’heure en train de me mater avec insistance de la tête aux pieds. Il est un peu gonflé, celui-là, quand même ! Et en plus, il soutient mon regard, je hais cette plage, je le hais, je hais ses copains, je hais la terre entière!!!
Je lui tourne le dos, je ne supporte pas cet affront. Et j’entends derrière moi qu’ils rejouent au foot, je me dis que ça va être encore pour moi, cette affaire-là. Alors, je me retourne et les regarde jouer, attendant le moment où ils m’enverront du sable pour les engueuler, comme ils le méritent. Mais au lieu de ça, le petit jeune se lève, va vers ses copains, leur dit quelque chose, me montre du doigt et ils partent jouer un peu plus loin. Et le voici qui vient vers moi, il marche fièrement avec sa casquette vissée sur le crâne, il est pas mal foutu quand même pour son âge, très grand, très long, très bronzé. C’est sans doute dû à ses origines. Il s’avance et me regarde fixement jusqu’à ce que j’en sois mal à l’aise. Oh là là, qu’est-ce qu’il va me dire ? Qu’est-ce que j’ai fait de venir aujourd’hui ici, moi ! Peut-être va t’il m’agresser ? Non, il y a trop de monde !
– C’est bon, tu peux lire tranquille, je leur ai dit de dégager et de jouer plus loin.
– Ben, c’est quand même normal de respecter les gens, non?
– Je te respecte si tu me respectes et respectes mes potes, tu lis quoi là?
– Le Michael Ange Code.
– Bah, connais pas, c’est bien de bien?
(Il ne connaît même pas le Michael Ange Code )
– Oui très bien, merci beaucoup, il me reste encore beaucoup à lire.
– Alors, c’est que tu vas rester longtemps ?
– Je ne crois pas, non.
– Nous, oui, on fait un apéro plage ce soir. On a tout, si tu veux, on t’invite?
– Non, non, sans façons, merci, je dois rentrer. Mon mari m’attend… Merci quand même…
– Comme tu veux, ciao.
Et il repart, toujours aussi fier. C’est vrai qu’il est pas mal quand même, un joli petit cul comme je les aime, Mhmm ! J’aimerais bien mettre ma main dessus et sentir ses muscles.
Je me replonge dans le Michael Ange Code, il est vraiment fantastique ce bouquin, je le dévore et fais abstraction de tout le reste, maintenant que je suis tranquille. Mais, au fur et à mesure de ma lecture, je me demande s’ils sont encore là, s’il continue de me regarder ou pas.
Mon téléphone sonne. Ma mère, évidemment :
– Il est 18 heures 30, qu’est-ce que tu fais? Pour une première journée de plage, tu restes trop longtemps! Tu devrais rentrer!
– Maman, je suis désolée, j’ai pas vu l’heure passer. Tout va bien et je suis invitée à un apéritif ce soir. Je ne rentrerai pas tard. Ne t’inquiète pas et ne me prépare pas à manger, je mangerai en rentrant. À tout à l’heure!
-Mais n’oublie pas que… bip bip.
Ouf, raccroché. Pourquoi je lui ai dit que j’allais à un apéro, je suis folle moi, elle me gonfle aussi, fais ci, fais çà!
Bon allez encore un chapitre et je file, je lui dirai que ça a été annulé et voilà!
Je me replonge dans ma lecture et entends :
– Ben finalement tu es restée pour l’apéro, c’est cool. Qu’est-ce que tu veux boire?
– Euh, rien, rien, merci, c’est gentil. Je finis mon livre et j’y vais.
– Vas-y, c’est offert de bon coeur, vas-y.
– Bon, ben, de l’eau alors, c’est gentil.
– De l’eau, je veux bien. Moi, je pratique pas l’eau, on en a, mais avec du sirop d’anis …
– Du pastis, quoi?
– Vas-y, comme t’es trop forte, je t’en ramène un!
– Non, non j’aime pas trop et ça me saoule vite.
Et il part, en rigolant, toujours aussi fier. Mais quel beau cul, mes aïeux! Et dire que je le maudissais tout à l’heure et voilà que je me retrouve à prendre l’apéro avec lui.
Bon quand il revient, il va falloir que je trouve un prétexte pour m’échapper. Euh… réflexion, réflexion, … ça me viendra sur le moment, c’est le mieux…
Ben, voilà qu’ils reviennent à deux maintenant, bouteilles et verres à la main. J’en profite pour remettre mon haut de maillot, maintenant que la plage s’est vidée et que le soleil ne tape plus beaucoup.
– Salut, moi, c’est Raffic, lui, c’est Bou et toi?
– Moi, c’est Estelle.
Ils s’assirent et servirent les apéros, j’ai cru bon d’ajouter de me le servir léger et ils m’ont répondu qu’ils n’étaient pas des assassins quand ils servaient. C’est vrai qu’ils n’avaient pas l’air d’assassins, vus de près. Je les trouvais même beaux. Leur jeune âge y était pour beaucoup, je pense.
On a trinqué et on a bu. Je me suis presque étouffée, tellement il était fort ce pastis. Il me tapa dans le dos en me disant que le premier était toujours le plus difficile. Et moi qui croyais qu’il parlait de la gorgée que je venais d’avaler! Quelle sotte!
Et ils me firent retrinquer dans la foulée une deuxième fois. Mais là, je ne me suis pas étouffée, il est bien passé, un peu fort quand même. Raffic me dit que c’est toujours le premier le plus dur, mais qu’après, ça va tout seul… Ce n’est que la deuxième gorgée et je me sens déjà la tête chaude. Entre la journée de plage et ce pastis savamment dosé, c’est un peu normal.
Raffic me dit que je suis toute rouge, que je vais avoir un énorme coup de soleil. C’est vrai que pour une première journée de plage, j’ai fait fort! Je commence à fouiller dans mon sac pour att****r la crème, sors mes cigarettes, mon portable, mes kleenex, etc. Raffic att**** mon portable.
– Comme il est trop beau, vas-y.
– Allez rends-le moi, s’il te plaît.
– Juste, je regarde, ça va. Finis ton verre et je te le rends.
– Je vais pas le boire cul sec non plus!
– Bois-le tranquille, pour le cul sec, on verra plus tard!
– Bon ok, mais tu fais gaffe, il est tout neuf, pas de sable, ni rien, ok?
– Ok, ça va…
Et je sirote mon verre, tout en continuant à chercher la crème après soleil. Je la trouve en même temps que je finis mon verre. Raffic va pour me rendre mon téléphone et Bou, pendant ce temps, m’avait déjà resservi en disant de ne pas me le rendre car je n’avais pas fini. J’avais déjà bien la tête chaude. Je leur dis :
– Non, c’est bon, j’en prends qu’un seul les mecs, merci, et toi, rends-moi le téléphone…
– Allez, ça va, tu termines celui là et je te le rends.
– Vous êtes relous, les mecs. Rends moi mon tél et je me casse.
– C’est bientôt les vacances, reste zen, profite du temps présent. Regarde, on est pas bien, là, à la plage, le sable, la mer, l’apéro !
Un silence s’installe et on regarde tous les trois la mer. Les yeux perdus dans les vagues, bercés par le bruit des vagues, ressentant une chaleur pas trop forte, un peu grisés par l’apéro, c’est vrai qu’on est bien.
Bou coupe alors cet instant magique en demandant s’il peut me mettre la crème dans le dos. Après un moment d’hésitation, je lui réponds par l’affirmative. Il s’installe derrière moi et me passe la crème pendant que je bois et montre des trucs sur le téléphone à Raffic. Bou dit alors :
– Ah franchement, tu étais mieux sans le soutif t’à l’heure et ça me gêne pour passer la crème.
Je le vire.
Il joint le geste à la parole et me voilà presque à poil devant ces deux beaux jeunes mâles sur cette plage où il ne reste maintenant que leurs amis et moi. Bou me dit à l’oreille:
– Tu le trouves pas trop beau Raffic? Car lui, il a craqué sur toi, et moi aussi, et nos potes te trouvent trop bien.
– Oui, vous êtes tous mignons mais trop jeunes !
– C’est qu’on te plaît pas c’est ça?
– Si, vous me plaisez, mais je suis mariée, les gars, leur dis-je en terminant mon verre (commençant à être bien éméchée)
– On n’est pas jaloux, nous! Et en plus, t’as même pas ton alliance…
– Non, je l’enlève pour le bronzage.
– Non, sérieux, il te plaît Raffic ou pas?
– Oui, j’avoue qu’il est plutôt pas mal comme mec.
– Ben alors embrasse-le!
Et Raffic s’est approché et il m’a embrassé à pleine bouche.
Bou s’est alors rapproché derrière moi, collant son torse à mon dos. Je sentais ses mains sur mes épaules et ce contact m’a encore plus excité. Raffic embrassait comme un dieu. Mmm ! Ça faisait si longtemps qu’on ne m’avait plus embrassée de cette manière. Et l’ambiance, ces jeunes, cet alcool, l’approche des vacances, je me sentais bien, heureuse.
Et les caresses de Bou étaient divines. Des épaules, ses mains ont glissé jusqu’à mes seins qu’il caressait doucement et je sentais sa bite durcir dans mon dos et il se réajusta pour qu’elle se place bien entre mes fesses, quel bonheur!
Raffic arrêta de m’embrasser et dit à Bou que j’embrassais trop bien et qu’il devrait essayer lui aussi. Je retourne ma tête et colle mes lèvres à celles de Bou. Lui aussi embrasse comme un dieu, tout en me caressant tendrement les seins. C’est exquis! Mais, je dois devenir folle! Sortir avec ces deux jeunes que je ne connais pas, mais je me sens si bien avec eux. Comme s’il n’y avait pas d’interdits, de tabous. Puis, Raffic me saisit la main et me soulève.
– Prends tes affaires, on va aller sous la corniche, comme çà personne ne pourra nous voir et on continue l’apéro là-bas!
Je ramasse tout, tant bien que mal, et on file vers le solarium qui est sous la corniche et donc invisible depuis la rue. Je pose mes affaires au sol et Raffic déplie nos serviettes en les mettant les unes sur les autres, genre matelasson, et on s’assoit tous les trois, nos nouveaux verres à la main.
– Alors c’est qui, qui embrasse le mieux? dit Raffic
– Je ne sais pas, tous les deux. Vous êtes très bien pour des jeunots, mais on va en rester là, ok ?
– Jeunots, on va te montrer ce qu’ils savent faire, les jeunots!!!
Et Raffic m’embrassa à pleine bouche en me tenant bien fermement la tête. Bou avait repris ses caresses et quand Raffic cessa son baiser, ce fut au tour de Bou de m’embrasser. Et là, les caresses s’intensifièrent sur tout mon corps, bas de maillot ou pas bas de maillot, je ne savais plus tellement leurs mains passaient dessus, dessous ! Puis, Raffic se leva et enleva son maillot. Il me prit ma main et la guida vers sa bite. A peine j’ai senti son engin, j’ai arrêté d’embrasser Bou pour mettre dans ma bouche ce sexe, ce délicieux sexe. Depuis le temps que j’en avais envie et me le cachais. Bou fit de même et je me retrouvais en train de sucer ces deux belles queues.
– Alors tu préfères laquelle? Hein?
– Les deux, j’aime les deux!
– Alors, tu as vu les jeunots, ils ont de belles queues!
Dire que je les maudissais cet après midi et que je les adore ce soir. J’avais envie d’eux, des deux, de me sentir chienne, salope, soumise.
Raffic me dit:
– Tu dois avoir des capotes, une gonzesse comme toi, ça a toujours des capotes, prends-les.
Il avait raison, j’ai toujours sur moi une boîte de capotes, neuve, évidemment, mais elle n’allait plus l’être ce soir!
– Et en plus, c’est la grande boîte, elle a envie!
– Non, c’est pas çà, c’est que….
Et Raffic me remit sa bite dans la bouche sans que je puisse terminer ma phrase et me dit qu’il avait compris, qu’il n’avait pas besoin d’explications.
Je lui mis une capote, pendant que Bou descendait sa tête vers ma chatte. Il enleva mon bas de maillot, me lécha et me doigta. Quel délice ! Puis, mise à quatre pattes, Raffic se présenta devant mon minou et s’introduit tout doucement, pendant que je continuais à sucer Bou qui s’était allongé. Il entra très facilement tellement j’étais trempée. Quelles sensations extraordinaires, comment ai-je pu m’en passer aussi longtemps ! C’est pas possible! Une bite dans ma chatte, une autre dans ma bouche, c’est fantastique! A chaque coup de pilon, ma tête s’enfonce sur la bite de l’autre, je n’ai pas de répit, c’est trop bon! Raffic fait couler du pastis entre mes fesses et me badigeonne avec. Et ses doigts commencent à tourner autour de mon petit trou tout mouillé. Il essaye d’enfoncer un doigt, mais je bouge à chaque fois de peur qu’il me fasse mal. Et finalement, il arrive à en glisser un dedans, je suis tellement détendue que ça rentre tout seul. Ca faisait si longtemps et c’est si bon …
Raffic dit à Bou qu’il va lui laisser le meilleur et il se retire après m’avoir donné tant de plaisir. Il enlève sa capote et présente à nouveau sa bite devant ma bouche. Bou se pousse et prend la place de Raffic que je suce jusqu’à ce qu’il éjacule. Il voulait dans ma bouche, mais je lui ai dit que non et il a dirigé son jet sur mes seins. J’ai étalé son sperme tout chaud sur moi. Puis, Bou a commencé à me pénétrer par le vagin et ses mains s’affairaient sur ma rosette. Raffic remit encore du pastis pendant qu’ils servaient encore des verres. Bou put mettre deux doigts facilement tout en me bourrant. Puis, il présenta sa bite devant mon petit trou. Hum, quelle extase au fur et à mesure qu’il entre dedans. Ca y est, il s’est enfoncé et il commence son va-et-vient, c’est si bon ! On dirait qu’il hésite à me la mettre entière!
Je bouge mon bassin pour qu’il la rentre mieux et fais à sa place les va-et-vient Il gicle tout ce qu’il a en moi, enfin dans sa capote.
Je me laisse retomber sur les serviettes et un verre atterrit dans mes mains aussitôt. Je remets mon tee-shirt et eux leur maillot et on trinque de nouveau. Puis, arrive un autre jeune.
– C’est vous qui avez la bouteille? dit-il en tendant son verre. Raffic le remplit instantanément tout en me présentant à son jeune frère, Habib. Et on trinqua encore. Je m’aperçus que Bou avait mon bas de maillot dans sa main.
– Tu me le rends, s’il te plaît, lui dis-je tout doucement.
– Seulement si tu finis ton verre! Me répondit-il, en exhibant mon bas de maillot.
– Elle a rien en dessous ? Demanda Habib
Ni une, ni deux, Raffic att**** mon tee-shirt, le soulève et ajoute:
– Non, regarde elle a rien en dessous et en plus, elle suce trop bien de bien. Elle va te montrer comment elle suce.
– Suce-le et après, je te le rends, dit Bou.
Habib baisse son short, s’approche de moi et met dans ma bouche son joli sexe déjà dressé. Il att**** ma tête et me baise la bouche. Je ne sais pas si ça vient du pastis, mais ça rentre et sort tout seul. C’est bon de se sentir comme ça. Du coin de l’oeil, je vois Bou qui part vers la plage avec mon bas de maillot. J’essaye de dire quelque chose, mais je ne peux pas, ni ne peux ôter de ma bouche cette queue qui va et vient jusqu’au fond de ma gorge. Puis, Raffic me soulève, Habib s’installe sur la serviette, met un petit capuchon et Raffic me pose sur la bite de son frère que je sens entrer au plus profond de moi. Une fois bien empalée, je commence mes mouvements de bassin, je suis mouillée comme jamais, je ferme les yeux pour mieux m’en délecter.
Raffic nous regarde, nous encourage, enlève mon tee-shirt et dit:
– Alors, les gars, je vous avais pas dit que c’était une bombe atomique?
J’ouvre les yeux et je vois tous leurs copains en train de nous regarder tout en se masturbant. Un d’eux s’approche et met sa bite dans ma bouche, c’est un beau et joli black, jeune, mais bien monté. Et voilà que je me retrouve avec une bite dans chaque main, une dans la bouche, Habib dans mon minou et Raffic qui ajoute qu’il y a encore une place derrière. On change de position et un autre jeune vient s’y mettre, ça rentre tout seul. Je suis prise de tous les côtés.
Puis le black éjacule sur mon visage, Habib en moi. Le métisse qui m’encule se dégage et je reste à quatre pattes. Il enlève sa capote, se branle sur mes fesses et y déverse tout son sperme. Habib se lève. Les deux que je branlais viennent se placer face à moi et éjaculent. J’adore leur jets de sperme chaud sur mon visage, je me sens souillée et aimée. Je reste assise sur le béton pendant quelques instants, les yeux fermés, ne sachant plus où je suis, ni ce qu’il m’est arrivé quand j’entends Bou et Raffic ramasser leur serviette. Je les regarde.
– Ciao ma belle, c’est quand tu veux pour une prochaine fois … lance Raffic, tout sourire.
Ils hallucinent ou quoi? Ils me laissent comme ça en plan. J’en reste baba, sans voix. Nue sur ma serviette, remplie de sperme, souillée et ils se cassent….
Je m’essuie comme je peux et rentre chez moi, penaude…
– Eh bien, cet apéro, il a duré longtemps, tu aurais pu m’appeler ? Tu es toute rouge, tu vois, je te l’avais dit…
– Bon je vais prendre une douche et me coucher, ok?
L’appeler, l’appeler, si elle savait… Elle aurait fait quoi de toute façon ???
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