=== Chap XII ===
Avec Annie et Gaston j’avais trouvé un excellent couple de complices, ils étaient proche de moi et franchement nous avions vraiment une énorme connivence. Nos rapports restaient dans le domaine coquin assez classiques. J’avais goûté à des choses moins habituelles avec Patricia et Maryvonne. Et la suite ne fit qu’ajouter de nouvelles sensations. Si j’analyse un peu les relations, Patricia fut le déclencheur de pas mal de choses, elle me fit découvrir une palette de sensations et une curiosité pour des choses plus perverses. Maryvonne était l’élément adoucissant de notre relation, non dénuée de perversion Maryvonne restait toujours plus mesurée, et m’évitais de plonger à corps perdu dans les aventures les plus poussées.
Le début de ma descente aux enfers, mon premier ticket d’entrée c’est à Patricia que je le dois. Oh je ne lui jette aucunement la pierre et je ne rejette pas tout, je regrette seulement ma faiblesse qui m’a conduit à tant d’extrémités que j’assume, mais qui maintenant semblent me hanter de plus en plus. Écrire me permet peut être d’exorciser certaines choses mais pour les écrire et les décrire je dois me les remémorer le plus fidèlement possible, c’est l’occasion de réveiller certaines blessures que je pensait fermées à jamais.. Et je me rend compte que tout cela est à vif et si un voile recouvrait ces choses ce n’ai que partiel et tout cela est bien vivant, brûlant et consume mon âme quelque part. Même si je n’ai jamais rien fait qui n’était librement consenti, je suis allé trop loin plus d’une fois et c’est extrêmement dur de vivre avec. Si encore j’avais seulement eu un moment de folie, un période sombre.. passe encore mais tout çà est toujours présent, vivant en moi les mauvais instincts ne meurent pas et pour peu qu’une conquête goûte ces extrêmes je retombe facilement dans ces travers, j’ai pu le constater encore récemment. Retournons pour l’heure au débuts..
Patricia avait en tête des choses qu’elle voulait me faire partager, et accepter. Elle était convaincante et savait me donner envie de commettre les pires folies. Et elle m’en fit commettre plus d’une et plus d’une fois. Mais sans doute l’un des points culminants de mes folies en sa compagnie ( en attendant une seconde période ou là je n’étais plus seul en cause) fut un week-end de folie durant un été.
Pat avait compris que j’adorais certaines choses que j’avais expérimenté avec elle et Maryvonne, en particulier tout ce qui était fist et disons le dilatations anales. Je crois que je n’ai pas été assez précis avec mon lecteur préfère. Ces jeux je les pratique depuis très longtemps depuis Pat en fait et avec assez d’assiduité. J’ai franchi assez récemment d’autres paliers, mais ce n’était qu’aller un peu plus loin.. le gros du travail étant fait depuis longtemps.. si j’ose dire.
Donc Pat usait et abusait de ses mains ou de gros objets pour m’ouvrir en grand et j’appréciais et apprécie toujours ces sensations extrêmes. Les abus répétés n’ont pas eu de conséquences, c’est toujours la crainte de la plupart des gens. Quand je dis conséquence je pense nuisance. Non ces pratiques extrêmes ne m’ont jamais posé de problèmes. Par contre un examen clinique ou simplement visuel ne laisse aucun doute sur mes pratiques..
On voit aisément que j’aime me faire démolir de ce côté. Quand je dis démolir c’est vraiment le désir que l’on ressent quand on est dans ce trip. On en veux toujours plus, être ouvert de plus en plus largement, d’accepter les plus grosses choses et de se sentir vraiment ouvert. La sensation est vraiment spéciale et liée à un plaisir pervers de montrer jusqu’où on peut aller. Il est plus aisé que ne le pense monsieur tout le monde d’arriver a des extrémités, il faut par contre de la patience. Si Rome ne c’est pas fait en un jour une vraie dilatation extrême se fait sur du long terme et pas en un jour.
Et sur ce plan c’est Patricia qui m’a ouvert et pas seulement l’esprit. Il est vrai que nous nous voyons assez souvent et presque toujours en compagnie de Maryvonne qui partageait nos jeux et toujours elle était l’élément qui nous empêchait d’aller trop loin. Maryvonne est une femme raisonnable. Et souvent elle m’a retenu, empêchant souvent d’aller vraiment trop loin. Et ce n’est pas Patricia qu’il faut mettre en cause mais bien moi, qui était demandeur qui en voulais toujours plus, plus fort, plus loin plus gros. Si on n’a pas tenté ce genre de choses hors norme on ne peut pas se rendre compte. C’est une sorte de drogue, on atteint un plaisir on ressent des choses qu’il n’est pas possible de ressentir si on joue sagement. Il est facile de se laisser entraîner à aller plus loin d’oser pousser ses limites au risque de les dépasser.
Si on dépasse la sanction est immédiate, douleur extrême car tout ces jeux s’accompagne d’une douleur non négligeable quand même soyons honnête mais très supportable, mais si on dépasse les bornes là on ressent vraiment une douleur que l’on ne peut supporter. Mais le pire c’est la blessure, la rupture là on se met vraiment danger, on peut aller jusqu’à risquer sa peau ou au moins des lésions irréversibles. Je ne dirais pas que n’ai jamais vu mon sang à pratiquer ce genre de jeux, mais je ne crois pas avoir été en danger, par contre j’ai eu parfois si mal que tout à du s’arrêter.
Toujours est il que Patricia me faisait découvrir des plaisirs dont je devint accro. Heureusement l’alternance entre elle et mes autres amis m’ont permis de ne pas sombrer totalement du côté obscur.
Avec Patricia je goûtais de plus en plus souvent au plaisir de la soumission celle ci ce doublant de pénétration et de dilatations assez extrêmes.
Une main était anodine, un poing fermé bien que plus ardu n’était pas un obstacle et tout cela sans douleur excessive mais avec un plaisir indescriptible. Encore aujourd’hui le plaisir anal est pour moi l’un des must. Certains n’osent pas l’admettre mais moi si, me faire prendre et dilater au maximum me fait jouir. Une main voir deux, une bouteille un très gros god sont de bon moyens pour me faire prendre mon pied.. Mais n’allez pas croire que c’est exclusivement ce genre de jeux qui me motivent.. C’est un tout, et tous ces plaisirs forts ajoutent du piment.
Jouant régulièrement à ce genre de choses avec Patricia et Maryvonne, mais en général à 3 voir 4 quand Pat ajoutait un autre soumis dans le jeu. Ces après midi à 4 étaient en général très chaudes, surtout que François un autre soumis habitué à jouer avec Pat était également très bisex.
Mais Patricia avait dans son esprit concocté un scénario qui me concernait au premier chef. Son idée était de profiter d’un des grand week-end partouze organisé par Maryvonne pour m’utiliser, du moins m’offrir en pâture à toute l’assemblée. L’idée étant de m’amener en tant que soumis anonyme dans la soirée et me livrer à tous, homme, femme confondus qui pourraient user et abuser de moi de la façon dont ils en auraient envie, pendant tout le WE sous le contrôle éclairé de Patricia, car il n’était pas pensable de me livrer sans aucune retenue à des partenaires qui n’avaient pas la pratique de Patricia. Surtout qu’elle envisageait de me livrer totalement, c’est a dire que si l’une des personnes présente avait envie de me fister cela devait être possible toujours avec les conseils de Pat.
Elle était convaincante et je ne me fis pas prier beaucoup en fait pour céder à son fantasme. Elle n’avait jamais pu convaincre d’autres soumis de se laisser faire en public. Pour ma part je lui avais dit que l’anonymat n’était pas obligatoire, mais Pat préférais d’une part une cagoule était un élément de mise en scène important et elle me fit admettre que certains amis qui me connaissaient n’oseraient peut être pas dévoiler leur envies cachées. Je finis par en convenir. Et j’acceptais l’augure de me livrer à tous hommes ou femmes lors de cette soirée.
En fait Patricia pensait pratiquer en deux temps. Pour lancer les hostilités elle me présenterait comme son soumis, me ferais subir tout ce qu’il était possible d’envisager dans une sorte de spectacle, puis dans un deuxième temps me livrer à ceux qui auraient envie de goûter à ces plaisirs, étant convenu qu’elle veillerais à ce que cela reste équilibré et me procure aussi du plaisir. Pour avoir goûté quelques fois à des séances dans lesquelles les gens usaient et abusaient de moi sans me donner le moindre plaisir, là c’est hyperdur..
Je peux accepter tout ou presque à condition que cela débouche sur du plaisir un orgasme partagé ou pas cela n’est pas important mais que la tension au moins partiellement puisse retomber.
Je suis tombé sur certaines dominatrice qui interdisait le plaisir à leur soumis, non pas de manière temporaire, ou le plaisir est momentanément interdit pour qu’il soit encore plus fort quand il est autorisé. Mais là j’ai pu croiser des hommes soumis qui ne savaient plus ce que c ‘était de jouir ou qui était punis quand cela arrivait.
Avant cette inoubliable soirée je passais plusieurs après midi avec Pat et Maryvonne. En fait comme mon travail me laissait des journées libres je passais souvent deux jours avec elles, dormant le plus souvent chez et avec Maryvonne qui adorait ces moments.
Et les après midi studieux si j’ose dire se passaient en compagnie de Pat et Maryvonne. En mettant bout a bout nos rencontres plus cette sorte d’entraînement intensif on arrivait à un résultat plus que surprenant. Le fouet, la cravache et la baguette si elle laissait parfois des traces bien visibles, me procurait également beaucoup de plaisir.
L’un des plus impressionnant était quand Pat me faisait jouir en me cravachant la queue ou également avec la baguette du moins elle finissait avec la baguette car la seule fois ou celle ci fut utilisée tout au long de l’opération j’avais mis environ huit jours a pouvoir me re servir de mon sexe tant il était marqué à vif. La cravache était moins violente elle me laissait un sexe d’une belle couleur rouge mais pas les boursouflures et les plaies que laissent la baguette. Nous avions également explorer le domaine des pinces et des tétons. Pat fut la première à me faire jouir totalement en me travaillant les seins et uniquement les seins. Aucun attouchement sur mon sexe. C’était très dur également et porter une chemise après çà était une sorte de calvaire. Tout y passais pinces, poids, doigts et de loin c’est les doigts de Pat qui faisait le plus mal, nombre de fois elle cessais de me triturer les doigts rougis car a force le sang suintait par les tétons.
Quand à mon sexe il supportait également les poids les plus lourds et les étranglements les plus fort qu’on puisse imaginer. Presque systématiquement Pat me posait des anneaux d’acier, 1 autour de la base de ma queue et mes couilles 1 à la base de la verge et un autre qui enserrait uniquement mes couilles. Une fois équipé ainsi il était impossible pour moi de débander et je restais les queue en l’air des heures durant.
Mon anus lui était la cible de toutes les attaques, toutes les souffrances possibles lui étaient infligées. Pat me prenait régulièrement le cul avec un god ceinture de très belle taille au moins 4 cm de diamètre et d’une longueur d’environ 25 a 30cm, il finissait par devenir trop peu. J’adorais un god conique constitué de boules de grosseurs croissantes, me faire ramoner par cet ustensile me faisait littéralement couler comme un fou, le frottement des boules sur la prostate était infernal selon la position adoptée. Certains ustensiles ménagers ou des bouteilles étaient souvent utilisées. Bouteilles de vin.. mais si vous pensez au goulot.. dite vous que le goulot sert à les tenir, et c’est le plus gros de la bouteille qui est enfilé. Patricia aimait par dessus tout que je force et que mon anus soit totalement béant, elle aime que le bourrelet soit sorti et elle s’y emploie le plus souvent en ressortant sa main poing fermé ce qui le plus souvent occasionne chez moi un orgasme pour peu que je sois déjà bien excité. Ce n’est pas systématiquement le cas mais souvent il se passe assez peu de temps entre le moment ou je jouis et le moment ou elle entre et sors de moi avec le poing fermé.
Pat pimente parfois le jeu en me dilatant à fond, me laissant grand ouvert, l’anus ressortant de quelques de 5 ou 6 cm voir plus parfois et là elle prend une bougie et m’asperge de cire chaude ou avec un martinet me donne quelques coups.
Nos assauts confinent au délire et je me rends compte maintenant qu’elle m’a prit par la main pour me faire entamer la descente aux enfers. Mais j’assume et si je regrette certaines choses se sont celles qui viendront plus tard, avec Pat j’étais le soumis j’acceptais entièrement ce qu’elle me faisait subir et en fait le réclamais.
Souvent elle avait l’idée, mais j’en avais aussi qu’elle acceptais de tenter. Parfois c’était l’idée qui jaillissait comme çà dans le feu de l’action. Comme cette fois ou elle portait des bottes lacées noires dotées de talons métalliques d’une hauteur vertigineuse autour de 12 a 15 cm voir plus.. Ces talons m’excitaient terriblement car ils était métalliques coniques se terminant par une boule de 7 ou 8 mm de diamètre. Je n’arrivais pas ce jour là à me détacher de ces talons, agenouillé j’avais léché ses bottes.
Et à un moment Pat était assise, et moi a genoux devant elle, des pinces aux tétons j’attendais ses ordres, elle me taquinait de sa cravache et croisant les jambes le talons de sa botte était à quelques centimètres de ma queue tendue. Mu par une impulsion je stabilisais son pied et posant la boule du talon contre le méat je poussais m’empalant d’un centimètre ou deux sur ce talon que ma maîtresse offrait. Pat surprise retira assez vivement son pied puis voyant mon désarroi, elle entreprit de nettoyer son talon, puis elle le lubrifia et entrant dans mon jeu elle m’ordonna de venir m’empaler sur son talon. Je répétais la manœuvre, mais la lubrification aidant je progressais bien plus… Pat avait pris la chaîne qui reliait les pinces de ms seins et m’attirant à elle me faisait m’empaler plus avant encore.. 3 cm, puis 5 cm La boule entrait dilatait le conduit, en quelques minutes j’avalais la tige en entier; la sensation était géante, les 15 cm d’acier était entrés dans mon sexe jusqu’à sa base étranglée dans un anneau. Je me retirais lentement, ne laissant pas la boule sortir et je revenais m’empaler.. Je me faisais baiser la queue par son talon. Pat faisait attention de ne pas mouvoir son pied trop rapidement elle me me laissait aller et venir..
« Tu aimes çà petite salope, tu te baise toute seule , continue je veux te voir jouir » dit elle.
Rien n’était sur.. si j’étais extrêmement excité par cette nouvelle façon de faire, rien ne prouvait que cela allait me procurer un orgasme. Pat m’asticotais avec les pinces, en m’étirant les tétons m’obligeant à m’empaler de plus e plus profondément. La boule qui me ramonait le conduit me procurais des sensations assez fortes, si Pat avait abondamment lubrifié son talon depuis un moment je mouillais suffisamment pour que cette lubrification soit constante, et petit a petit l’urètre était dilatée, restant même un peu béante si je ressortais la boule totalement. J’admets que un irritation commençais à se faire sentir, un échauffement sensible. Je devais rapidement conclure sinon je n’arriverais qu’a me faire du mal.. ce qui n’est pas le but.
Comme je suis serré par des anneaux, il me suffit de tirer un peu ma queue en arrière pour la mettre dans un état de tension maximum, conjugué avec le ramonage tu talon, je sentis rapidement mes couilles remonter, quelques spasmes les agiter.. Pat avait un savoir faire incroyable et sentais les choses.. Elle senti que j’étais au bord de l’orgasme, elle tendit la chaîne plus fort, étirant mes tétons vers le haut ce qui me fit un mal de chien et en même temps elle me fit ouvrir la bouche pour y cracher sa salive.
Cette humiliation fut souveraine, et je commençais à me retirer pour pouvoir jouir, mais Pat me retint et m’obligea à jouir avec le talons enfoncé à fond dans ma queue. C’était bon et horrible , je sentais les jets naître en moi et je sentais qu’ils étaient propulsés dans l’urètre mais le talon bloquait la sortie ce qui transformait l’éjaculation en écoulement lent, et ténu ce qui prolongeait d’autant mon orgasme.. Puis lentement elle retira elle même son talon, laissant s’écouler le flot qui attendait de s’écouler.. Petit pincement au cœur quand les dernières gouttes arrivèrent teintées de rouge, un peu de sang mais rien de bien grave..
Et elle me retira les pinces, c’était un moment terrible, mettre les pinces cela fait mal, ensuite la douleur on s’y habitue, mais les retirer c’est vraiment le pire.. cela me fit hurler comme toujours hurler et cette fois là me tira quelques giclées de sperme léger.. J’étais en transe, tremblant, terrassé par un plaisir étrange et si fort.
Après ce premier essai les jeux consistant a sonder mon sexe furent non pas coutumiers mais assez fréquents et me procurais des sensations très très intéressantes. Il faut avouer qu’ainsi on arrive à aller stimuler la prostate d’une façon très directe, bien plus qu’en passant par l’anus. Il faut juste faire attention à la nature des objets utilisés.. une sonde médicale bien lubrifiée ne pose aucun problème mais quand on utilise des tiges plus ou moins grosses, des bougies ou autres il faut faire attention.. une griffe interne peut provoquer des saignements parfois abondants et génère un risque d’infection non négligeable. On arrive en effet dans les pratiques extrêmes, il faudra vous y habituer à partir de maintenant.
Revenons à cette soirée imaginée par Patricia et Maryvonne.
On l’a bien compris Pat comptait faire de moi le point central de la soirée, plusieurs fois déjà ils avaient fait ce genre de choses, souvent une femme qui avait envie de se livrer à l’assistance ou seulement à tous les hommes présents. Mais là c’était plus pervers. Dans un premier temps elle voulait me présenter, me dresser devant l’assistance faire de nos jeux le spectacle, dans un premier temps me faire obéir et montrer ma punition, martinet, cravache baguette, tout ce qui est pinces poids etc Puis on passait aux godes, pénétrations diverses pour finir par un fist très intense pour le quel il faut dire nous avions presque répété, du moins nous avions passé pas mal de temps à me dilater au point que le fist ne me posait plus aucun problèmes.
Ensuite venait des jeux plus interactifs, en fait chaque personne de l’assistance aurait le loisir de se servir de moi comme il le voulais, j’avais parlé avec Pat et lui avais dit que j’acceptais tout ce que les gens auraient envie de me faire, femme et homme. Elle pensait que le fist devait être exclu car trop dangereux par des novices, j’avais réussi à la convaincre que si elle veillait et expliquais comment il fallait pratiquer çà devrait aller. Et secrètement je fantasmais sur une overdose de fist. J’avais dans le ventre une envie a****le de me faire exploser totalement.
C’était avec le recul une connerie tout aurait pu dé****r mal se passer on le verra plus tard rien de sérieux n’arriva. J’avais plus de crainte en ce qui me concernait sur tout ce qui était martinet coups, car si Pat savait doser un non initié pourrait se lâcher et aller un peu loin.. J’en serais quitte pour un bleu qui durerait longtemps mais dans ce genre de choses c’était la multiplication qui posait problème.
Patricia elle même était arrivée une fois à me faire péter le gland, en fait un coup de baguette était arrivé sur le bourrelet qui cerne le gland et la peau c’était fendue sous la v******e du coup. Ce qui avait sauvé les choses cette fois c’est que ce coup malencontreux était arrivé au moment ou je jouissais, ce qui fait que je n’ai pas sentit la douleur comme j’aurais du la sentir.
A savoir c’est qu’au moment de l’orgasme notre corps produit tant d’endorphines que la douleur avait été atténuée. Par contre une fois l’effet dissipé.. la douleur était terrible, la plaie assez profonde et mal placée, car le prépuce coulissant c’était un vrai calvaire.. Je n’avais pas envie de revivre cela. Il avait fallu a peu prés une semaine avant que la douleur soit véritablement atténuée et que je puisse rependre un semblant d’activité..
Il faudrait donc penser à toutes ces choses durant cette soirée..
Patricia aurait préféré que des préservatifs soient utilisés.. pour ma part j’étais contre.. mais j’admis que si certains voulaient en utiliser ils étaient libres de le faire. La soirée devait réunir 32 personnes et nous n’avions aucune idée de combien auraient envie de jouer avec moi, d’abuser de moi. Je pensais que cela représenterais un nombre assez faible.. je ne pensais pas qu’offrir un esclave homme de surcroît et qui n’avait rien d’un apollon, allait affoler femmes et hommes de l’assistance.
Autant je pouvais comprendre l’affluence autour d’une jolie fille qui rêvait de se faire prendre par le plus grand nombre de types en une soirée on avait testé quelques temps avant et avec succès car nous étions a cette soirée 14 mecs et que nous avons en moyenne passé au moins 3 fois chacun sur la demoiselle faites le calcul… Elle étaient littéralement vidée, mais heureuse connaissant orgasmes sur orgasmes, elle avait même déclarer après que pendant une période assez longue elle était dans une sorte d’orgasmes permanent qui semblait ne pas vouloir arrêter.. Tout cela c’était terminé par une jolie syncope de sa part..
Je n’avais pas vraiment idée de ce que donnerais ce genre d’initiative. Mais je m’étais mis en condition d’assumer cette « folie » et pour être vraiment honnête j’étais impatient. JE n’avais à ce moment pas encore ressenti ce côté exhibitionniste, se montrer, dire aux autres voilà je suis comme çà. C’est sans doute ce qui me pousse a écrire, il y a des années que j’avais envie de le faire mais jamais je n’avais sauté le pas. Jamais je n’étais passé à l’acte, ce qui chez moi est assez rare quand j’ai envie d’une chose. C’est cet exhibitionnisme latent et l’assurance d’avoir au moins 1 lecteur attentif qui m’a poussé dans cette voie.
En fait rien ne m’est plus agréable que de m’entendre dire « Non !! t’a pas fait cela? » je ne dis pas que çà me fait bander mais j’y prend beaucoup de plaisir, comme je prend énormément de plaisir à écrire.
Quand je dis prendre du plaisir c’est au figuré mais aussi au propre, pardonnez moi mais l’évocation de ces épisodes plus ou moins torrides réveillent mes sens et je ne sais pas résister à la tentation cela me vaut quand même au moins 1 ou 2 orgasmes par chapitre au plus 4 ou 5 je crois. Ah oui vous avez raison, c’est du travail manuel et solitaire, certains n’apprécient pas moi si, j’ai toujours apprécié et même dans les périodes ou j’avais une grosse activité il m’arrivait régulièrement de céder au plaisir solitaire.
Il m’est arrivé de me donner du plaisir alors que ma compagne était à côté de moi dans le lit et dormait. Je suis fait ainsi, et je ne changerais plus à mon âge. L’âge, hé oui l’âge.. suis je plus sérieux maintenant que la soixantaine approche à grand pas? Non à l’évidence non, il y a peu j’étais encore capable de passion, de tomber amoureux. Après un drame comme celui que je vous dirais plus tard. Je crois que ma capacité à m’enflammer est au moins en sommeil sinon morte. Mais je me méfies, il y a peu de temps un regard que j’ai croisé m’a fait battre le cœur. Je ne suis pas certain que ce battement soit partagé, mais c’est bien possible.. Ça me fait peur et j’en suis honteux.. Mais je me fais peut être des idées.
Plus cette fameuse soirée approchais plus j’étais excité. Si je veux être honnête j’étais aussi anxieux. On ne peut pas accepter l’augure d’être livré à tous les désirs d’une trentaine de personne sans en concevoir une appréhension. Curieusement c’était toujours les coups, les martinets qui me hantaient. Le reste faire l’amour, sucer des queues, des chattes me faire prendre et même me faire défoncer le cul ne m’inquiétais pas le moins du monde. Une semaine avant ce fameux week end, nous fîmes avec Pat et Maryvonne une dernière répétition et je devais passez une semaine calme ensuite, de façon à arriver avec des batteries chargées à bloc et une libido exacerbée. J’avais accepté le défi de Pat, une semaine sans relation même avec ma main. C’était inconcevable, çà l’est presque encore maintenant.
Maryvonne la douce, était inquiète pour moi, certes elle appréciait notre dépravation mais elle avait toujours tendance à me protéger. Avec le recul je me demande si cette sollicitude ne cachait pas plus.
A cette époque je n’avais pas envisagé notre relation autrement que sous l’aspect sexe et fun. Mais maintenant je me pose des questions.. Même de ma part, je ne peux penser à elle sans tendresse, et cette tendresse existe toujours les rares fois ou l’on se parle au tel c’est toujours un moment agréable, parfois j’ai envie d’aller la voir.
On n’ose plus trop son compagnon Michel très malade demande toute son attention. Mais je me demande si elle et moi nous ne partagions pas , plus que de la connivence. C’était avec angoisse qu’elle attendais cette soirée, et l’après soirée était réglé, c’était elle qui me prenais sous son aile après la soirée. Il était évident que compte tenu de ce qui était prévu je serais crevé et aurais besoin de repos. C’était déjà vrai quand on se voyait habituellement. Je passais le plus souvent la nuit avec Maryvonne, et combien de fois je me suis endormi dans ses bras.. je ne les compte pas.. Mais nos petits matins était plus coquins..
Pour préserver l’anonymat de ma personne durant cette soirée Pat avait trouvé une cagoule de cuir dont on pouvait occulter les yeux et la bouche. Pour compléter cette tenue, un harnais de cuir, bracelets pour poignets et chevilles un collier clouté pour me serrer la gorge était prévu également. Mais Pat avait trouvé un truc pour pimenter un peu plus.. un plugg gonflable. Pour ceux qui ne connaissent pas un plug est une sorte de gode souvent conique plutôt destiné à l’anus, sa forme conique et sa base arrondie permettant de le laisser en place. Une fois enfoncé il tenait de lui même permettant une dilatation permanente de l’anus selon le calibre du plug. Celui qu’elle avait trouvé était muni d’une poire de gonflage ce qui permettait de dilater à loisir la cavité. Facile à entrer mais une fois gonflé si on abuse ce genre d’outil pourrait vous exploser le cul. Pat comptait me le laisser en place tout le temps de ma soumission en début de soirée.. J’acceptais cet outil. Me sentir comblé en continu et que Pat ait la possibilité de le faire grossir en fonction de son désir était un plus que j’avais envie de tester.
Au départ Patricia avait envisagé de transporter le « mobilier » de sa salle, mais transporter tout cela pour une soirée c’était beaucoup et en plus.. Trimbaler une croix de Saint Andre noire de 2m de haut, des chaînes et autres amusettes ce n’était pas évident. Nous avions donc envisagé de faire avec les moyens du bord.. dans la maison de Maryvonne, il y avait des poutre apparentes, il était donc facile d’installer chaînes et mousquetons, surtout que Pat avait réussi à trouver un sling ah expliquons ce qu’est un sling. Sa plus simple forme est un morceau de cuir au quatre coin duquel sont fixées une chaîne dont l’autre extrémité est fixée au plafond. On peut ainsi s’installer allongé sur cette bande de cuir, en général des liens sont prévus pour immobiliser jambes et bras, laissant ainsi celui/celle qui est dans le sling à la merci de son/ses partenaires. Le sling est prévu pour que tous les orifices soit accessible et sa mobilité permet de lui imprimer des tas de mouvements.
Je commencerais donc par être simplement entravé par les poignets et chevilles pour la partie flagellation qui ouvrirait les débats avant d’être installé sur le sling pour la partie pénétration. Nous inaugurerions le sling lors de la soirée, mais il servit intensivement après.
C’était un week-end du 14 juillet ce qui donnait 3 jours de fête car le 14 tombait un vendredi. Naturellement nous étions là bien avant tout le monde et j’avais avec Michel le compagnon de Maryvonne fait les travaux nécessaires pour que l’on puisse installer notre matériel. Patricia était sur excitée, Maryvonne un peu inquiète, moi compte tenu de mon abstinence que j’avais religieusement observé je ne tenais pas vraiment en place.. Le moindre frôlement avec l’une ou l’autre de mes amies me mettait dans tous mes états. Si bien que j’ai du passer la majeure partie du temps à bander dans mon pantalon. Cela enchantait Patricia et peinait Maryvonne qui m’aurait bien soulagé un peu durant cet après midi. Et jusqu’au dernier moment Maryvonne tenta non pas de me dissuader mais de m’en tenir à un spectacle mais ne pas ensuite me livrer à tous. Elle angoissait et redoutait l’exercice que Pat et moi avions concocté et que moi j’acceptais et surtout attendait avec impatience. Plus l’heure approchais moins j’arrivais à me contrôler. Pat avais fait provision de poppers car sans aucun doute j’allais en consommer beaucoup. Ce produit est sans aucun doute le seul produit que l’on pourrait assimiler à une drogue que j’ai jamais pris, bien que ce ne soit pas une drogue.. C’est un produit ludique, mais a haute dose les effets sont puissants. Et j’adorais être sous cette influence. Je me dilatais beaucoup mieux la douleur reculais. Revers de la médaille si cela me permettait de pousser plus loin mes limites le produit me permettait aussi parfois de les dépasser. Et ce n’était qu’une fois revenu à la normale que je comprenais ma douleur.. Bon heureusement ce n’est pas arrivé souvent.
En fin d’Après midi les premiers invités commencèrent à arriver. Pour la plupart on se connaissait et on avait déjà passé une ou plusieurs soirées ensembles.. Mais il y avait aussi des petits nouveaux, comme une tout jeune couple moins de 25 ans elle timide et menue avec de jolies nattes qui la rendait très attirante par ce côté petite fille dont elle jouait un peu d’ailleurs.. Et aussi à l’autre extrême un couple d’un certain âge qui était a priori assez novices et qui découvraient ce monde interlope des soirées coquines. Encore une fois Patricia n’était pas avec son compagnon, que j’ai en fait rencontré très peu, avec lequel je n’ai que quelques fois participé à des soirées. Le plus amusant c’est que ce couple dure toujours, et Pat a toujours eu la plus grande liberté. Pour l’heure cela ne gênait pas elle m’avait moi, et je dois dire qu’elle était heureuse. En fait jamais les hommes qu’elle soumettait en privé n’avaient accepté ce délire. J’étais le premier à lui offrir ce plaisir, elle était aux anges.. Elle me bichonnais comme un a****l de compagnie, un pur sang qu’elle allait montrer à son public. Pat était assez cabotine en fait et adorait être le centre d’intérêt d’une soirée, il fallait que l’assistance soit la reconnaisse soit se pose des questions sur elle. Elle ne supportait pas l’indifférence.
Pour l’instant la soirée ressemblait plus à un apéro qu’a une soirée coquine.. sauf pour la tenue de quelques unes des femmes présentes. Beaucoup de transparence, des minis ou plutôt des micro jupes, on repérait quelques culottes oubliées ou des strings si fin qu’on ne les voyais pas. Quelques gestes aussi.. Comme Catherine une habituée, qui me faisant la bise me passait la main entre les cuisses en me demandant si j’étais en forme.. Inutile de dire qu’elle se rendit compte que j’étais très en forme.. Et elle me quitta en me disant à tout à l’heure.. avec un petit clin d’œil.
Autour de 21h00 Pat et moi nous isolions pour nous préparer. Elle me fit enfiler une paire de bas noirs dim up qui tiennent seuls.. la sensation est agréable, elle me mit les bracelets de cuir avec leur mousquetons au chevilles et au poignets, le harnais de cuir qui n’était la que pour le décor. Un collier clouté autour du cou qu’elle serra fortement à ma demande, j’adore la sensation de compression sur ma gorge en passant deux doigts dans le collier elle m’étranglais vraiment. Une laisse. Puis la cagoule en cuir enfin un cuir assez fin et assez souple sinon l’inconfort aurait été trop grand. Pour l’arrivée les trous des yeux seraient occultés ainsi que la bouche.
Rapidement Pat les ôterais car je n’avais pas envie de perdre le spectacle de ceux qui allaient me mater . Elle me passa les anneaux d’acier autour de la base de ma queue et des couilles, un autre qui serrait ma queue à la base de la tige et le dernier qui allait lui juste m’étrangler le paquet. Pat me fit remarquer que j’étais vraiment très excité. Rien que le fait de me passer les anneaux et ma queue mouillait abondamment. De plus mon érection était vraiment au top, on avait eu un mal de chien a enfiler les anneaux. Pat m’avais lubrifié la queue avec de l’huile douce, faisant luire mon sexe.. c’était assez impressionnant. Je remarquais que j’étais parcouru de frissons… Pat était elle aussi superbe, longues cuissardes, une jupe fendue sur le devant, un soutien gorge sans bonnets soutenant juste ses seins les remontants et mettant en valeur les anneaux qui perçaient ses tétons. Son maquillage était génial, ses yeux noirs charbonneux, sa bouche rouge à l’extrême en faisait une prédatrice carnassière…
Je lui dit même que ce soir elle pouvait me faire tout ce qu’elle voulait.. et même plus.. Et j’étais vraiment sérieux.. je crois qu’elle aurait pu me demander n’importe quoi tellement j’étais a cran.. Cet état je l’ai connu plus d’une fois après.. et j’ai vraiment fait et laissé faire m’importe quoi…
Ce soir de Juillet donc.. j’étais sur le point de vivre une première expérience de soumission en public..
J’étais dans un état d’excitation intense. Pat m’avais fait renifler du poppers en grande quantité.. mon cœur battait à tout rompre, j’étais vraiment impatient d’arriver devant l’assistance. Je ne voyais rien, la cagoule m’empêchais de voir. Pat tira sur la laisse et je la suivi docilement. J’entendais ses talons claquer sur le carrelage, nous passions au milieu des spectateurs. Je sentais les frôlements, les parfums des femmes qui était là. Une main posa une caresse sur mon épaule, puis une autre toucha ma fesse, des doigts doux des femmes sans doute. Pat me fit montrer sur l’estrade que nous avions installé. Quelques mètres carrés légèrement sur élevés. Je ne distinguais pas de paroles mais j’entendais des murmures des chuchotement quelques rires étouffés. L’assistance semblait bien sage.
« A genoux ordonna Pat en faisant claquer sa cravache ».
Je m’exécutais. Et je nouais mes mains sur ma nuque.
« Voici mon esclave, je vais vous montrer ce qu’il est possible de faire à un mâle soumis je vous promet du spectacle »
Des exclamations fusaient des ohh, des ahh quelques applaudissement mais pour le moment pas de commentaire intelligible.
A cet instant seulement je compris dans quoi j’étais parti et j’avais du mal à réprimer un tremblement, à la fois d’excitation mais aussi d’appréhension.
« Ensuite il sera a vous tous, vous ferez de lui ce que vous voulez vous pourrez lui faire tout ce que je vais vous montrer et je vous assisterais » Ajouta Pat.
« Vous ne verrez pas son visage, mais je veux qu’il puisse vous voir » Dit elle en enlevant les deux caches qui masquait ma vue.
La lumière des spots m’aveugla un instant puis doucement je recouvrais une vision normale, pour voir massée à moins d’un mètre la trentaine de personnes invités. Il devait être a peu prés 22h00. J’étais nu, cagoulé, harnaché, la queue tendue portant des bas devant une petite foule de presque inconnus. JE ne pensais pas que cela serais aussi excitant, rien que d’être là agenouillé. Je scrutais les visages, on me matais comme jamais je ne l’avais été. Les filles me jaugeaient, comme si elle estimaient ma puissance érotique.
Les hommes me scrutais certains sans aucun doute comparant leur virilité et la mienne.. Sans doute pas mal de gars pensaient qu’ils avait eu plus de chance que moi. La taille de mon sexe étant tout a fait moyenne. Par contre de sentais bien que certains regard étaient étonnés de ma rigidité et de la façon dont j’étais gonflé. Je ne pouvais pas vraiment le voir mais je sentais que ma queue étaient dure, les veines hyper saillantes, mon gland gonflé et le tout huilé avait belle allure. Pat tira un coup sec sur la laisse, me faisant mettre debout. Mes poignets furent fixés aux mousqueton des chaînes du plafond. Tandis que mes chevilles étaient assujettie à une barre qui tenait mes jambes écartées. J’avais la position d’un X face au public. Puis Pat passa la laisse dans un anneau de chaîne et tira assez violemment me coupant le souffle, m’étranglant. Je me mettais a baver même. Elle ouvrit alors l’orifice qui masquait ma bouche. L’air frais me fit du bien, mais l’assistance comprit rapidement en me voyant baver abondamment que l’on m’étranglais.
« Regardez mesdames, si on lui serre bien le cou il bande encore mieux » Annonça Pat.
Et pour cause, ma strangulation ,qui commençait à durer avait considérablement augmenté mon érection. Les anneaux me faisait mal enserrant les chairs gonflées de mon sexe et de mes bourses.
« Et il aime çà… croyez moi.. vous allez voir comment on dresse un homme.. peut être vous voudrez dresser le vôtre après çà… »
Beaucoup de rires dans l’assistance. J’avais vu quelques femmes qui semblaient déjà très émoustillées par ce qu’elles voyait. Des hommes profitaient de l’instant.. passant leur mains sous les chemisiers, sous les t shirts ou les jupes de ces dames..
Maryvonne était à ma gauche, elle servait d’assistante. Pat se plaçait à ma droite, de façon ce que personne n’ai la vue maquée. Elle avait à la main sa cravache et me caressa la queue avec, elle jouait à faire balancer mon sexe, et mes couilles. Elle donna quelques petites tapes légères. Loi de me faire mal cela m’excitait encore plus. Puis du bout de la cravache elle commença à agacer mes tétons. Ils étaient si sensibles.. je réagissais à la caresse me mettant à projeter mon bassin en avant ce qui faisait se dandiner ma queue.
« Regardez qu’il aime çà.. C’est évident.. » Pérorait Pat.
Elle demanda les pinces à Maryvonne qui gardant l’une dans sa main tendit l’autre à Pat . Et en stéréo elles me posèrent les pinces. A priori celles ci étaient neuves.. leur ressort était plus violent et elles m’écrasaient littéralement le bout des seins. J’avais mal, et je poussais un cri étouffé. Ce cri sembla plaire dans l’assistance, car un murmure la parcourut. La jeune femme au premier rang ne perdais pas une miette de mon supplice et la bouche entrouverte semblait prendre du plaisir rien qu’a me voir subir.
Pat me tira un nouveau cri, car elle se mit à tirer sur la chaîne des pinces, étirant mes tétons, vers l’avant puis elle les tira vers le haut, ces pinces sont prévues de telle manière que plus on tire plus elles se serrent. C’était horriblement douloureux, mais également extrêmement excitant. Je sentais ma queue qui durcissait encore plus et même s’agitait. L’assistance était de plus en plus chaude et réagissait au spectacle qui lui était offert. Je voyais assez mal le public mais suffisamment pour voir que les mains s’agitaient, les caresses allaient bon train.
Patricia laissa retomber la chaîne sur ma poitrine. Elle passa sa main sur ma queue huilée, descendit vers mes couilles s’en empara et les pressa violemment. Encore une fois je poussais un cri, plus de surprise et de plaisir que de douleur. Si elle me pressait les burnes effectivement ce n’était pas aussi douloureux que cela pouvait paraître, surtout que j’ai une forte tolérance dans ce domaine. Par contre je m’inquiétais un peu car nous étions au début de notre « spectacle » et déjà je sentais poindre une envie de jouir. Je le dit doucement à Patricia qui s’approcha de moi et me dit à l’oreille
« Ne te retiens pas, je sais que tu peux jouir plusieurs fois »
Je la laissais donc œuvrer. La température monta d’un cran dans la salle quand Pat pris le martinet sur la petite table. Elle commença par le promener partout sur mes jambes, mes cuisses.. remontant via mon sexe tendu qu’elle noya dans les lanières.. puis remontant vers ma poitrine elle fini par le passer sur mon visage couvert par la cagoule.
« Lèche… montre que tu accepte » ordonnât elle.
Je passais ma langue et léchais les lanières.. Dans les jeux SM c’est toujours le signe de l’acceptation, lécher ou embrasser l’ustensile qui va vous punir signifie j’accepte, je désire la punition. Dans mon cas j’acceptais et je désirais aussi je ne le nierais pas. D’ailleurs je ne pouvais le cacher.. tant ma queue commençais à être humide au bout. Certes j’avais été enduit copieusement d’huile d’amande douce, mais la perle translucide qui c’était formée au bout de mon gland avait pour cause, mon excitation et également d’être ainsi serré et comprimé dans les anneaux, chaque mouvement faisait se mouvoir les anneaux qui me masturbait à petit feu. Puis soudain Pat me cingla les fesses avec le martinet. Lentement elle donnait des coups. Je me lâchais totalement et soupirais ou poussais un cri a chaque fois, ceux qui n’ont jamais été dans ce genre de situation ne le savent pas mais réagir, gémir quand on vous frappe ainsi augmente l’excitation, la votre en premier lieu mais aussi celui qui donne les coups et ceux qui regardent.
Chaque coup qui tombait me faisait lancer mon pubis en avant, secouant ma verge tendue, me faisant ressentir des sensations de plus en plus intenses. J’étais parcouru de frissons et je sentais mes couilles remonter, du moins tenter de le faire car avec les anneaux c’était impossible. Par contre et cela n’échappais pas à l’assistance je mouillais de plus en plus.. je ne le voyais pas mais je sentais monter lentement dans mon urètre cette liqueur épaisse et translucide qui formait une grosse goutte au bout du gland, et qui d’ailleurs commençais à couler le long du frein.
Cette vision était extrêmement excitante je pense pour celles qui se trouvait au premier rang. Je m’étais focalisé sur la jeune femme aux cheveux long.. elle ne perdais pas une miette de ce qui se passais. Son chemisier ouvert laissant échapper de petits seins aux bouts longs et tendus tandis que son compagnon la tenait par la taille ses mains posées sur les hanches ondulantes de la belle. Elle avait glissé sa main dans la ceinture de son short ouvert et se caressais ostensiblement le minou en me regardant souffrir et elle ne me quittais pas des yeux.. enfin quand je dis moi c’est ma queue qu’elle couvait de son regard.
Patricia tournait lentement autour de moi..
Elle s’adressait au public
« Regardez comme il aime çà mon esclave… patientez il sera a vous après, pour les femmes mais aussi les hommes vous pourrez vous régaler de lui »
L’entendre me proposer comme une marchandise m’excitait terriblement, de plus ma queue tendue appelait des caresses qui ne venaient pas.. Même sans les coups.. je ne pouvais que me déhancher , remuer car les anneaux jouant imperceptiblement sur ma queue la massait, la branlait. Maryvonne prit la chaîne des pinces entre ses doigts, et en me regardant tira dessus, l’agita. Instantanément je réagis gémissant, j’avais envie qu’elle tire franchement me fasse mal.. J’étais sur que si elle le faisait j’allais jouir.. Mais elle se contentait de manipuler la chaîne lentement . Je rêvais qu’elle tire d’un coup sec.. ça fait horriblement mal mais le plaisir est intense.
Pat changeais d’instrument.. prenant maintenant la baguette.. elle passait la vitesse supérieure.. Je savais que j’allais déguster.. du bout de la baquette elle poussa sur mon ventre comme si elle tentait de me percer.. puis remontant vers ma poitrine elle passa la baquette sous la chaîne et la tendit vers le haut.
Mes tétons étirés semblaient prêt a se détacher.. je gémissais franchement de douleur.. mais j’attendais qu’elle déchire mes pointes en arrachant la chaîne Ce qu’elle ne fit pas.. a mon grand regret.. Ma queue coulait de plus en plus.. je sentais les gouttes perler et couler le long de ma tige.. maintenant se mêlant à la sueur..
La jeune femme avait laissé tombé son short à ses pieds et ses doigts s’agitaient dans sa fente rose et sans poil. Une autre femme d’un âge mur se faisait prendre par son compagnon, et poussait des petits cris. L’assistance participait.
Soudain je criais.. la baguette venait de s’abattre sur ma fesse droite.. la brûlure était cuisante.. Je savais que je sortirais marqué de cette séance.. Patricia et moi on avait décidé de pousser loin nos jeux pour exciter le public. Et elle ne retenait pas ses coups.. jamais je n’avais ressenti çà. Chaque coup me portait au cœur.. Pourtant habitué et pas vraiment douillet maintenant je redoutais les coups. Et rapidement entre chacun.. je tremblais de tout mon être.. J’étais incapable d’arrêter ou de limiter le tremblement qui accélérait quand la baguette se promenait sur ma peau. Pat me travaillais les fesses et les cuisses. Les marques étaient visibles, et a quelques endroits de croisement de marques le sang commençait à perler.
Pat changea de position et se plaça devant moi.. Mon tremblement ne s’atténuait pas. Je sentais que je mouillais de plus en plus.. mon gland virait au violet, ma queue ressemblait à un pied de vigne les veines prêtes à exploser.. Pat promena la baguette sur ma queue, puis se mit à tapoter lentement la tige, la faisant osciller… Je ne m’attendais pas à ce qui allait arriver.. Elle donna un coup violent sur ma tige.. cette fois je hurlais.. j’ai cru défaillir… je ne voyais plus la salle, je sentais ma queue endolorie, qui était agitée de spasmes..
« Regardez sa queue, elle frémit, elle saute de plaisir… je suis sur qu’il en veut encore… » dit elle.
Puis elle ajouta
« Demande encore un coup de cane.. petite pute réclame un coup.. »
Comme dans un rêve.. je m’entendis dire
« Encore maîtresse, frappe moi encore »
Éblouissement a nouveau. Un coup peut être pire venait de tomber presque sur mon gland.. douleur extrême.. mais je sentais ma queue couler plus fort..
« Mesdames regardez sa queue!!! C’est quoi cette crème qui coule.. serait il en train de jouir.. »
J’entendais un frémissement dans la salle.. des commentaires chuchotés.
Puis une voix d’homme qui disait
« Regarde il est en train de juter!! »
En effet au milieu de la douleur je sentais monter mon sperme.. je coulais sans doute.. déjà fort.. mais à nouveau Pat frappa ma queue et cette fois c’était parti. Je giclais en criant.. je sentais monter avec force mon sperme qui partait en longues saccades.. et loin tellement j’étais serré c’était un supplice. J’aspergeais les personnes placées au plus prés.. environ 1 bon mètre.. mais également plus loin..
Maryvonne prit ma queue dans sa main.. et me donna le coup de grâce.. me faisant rendre les dernières gouttes.. l’orgasme dura très longtemps.. bien plus longtemps qu’un orgasme masculin normal..
L’ambiance était électrique.. la plupart des invités étaient nus ou a moitié nus, des gémissements et des cris de plaisir également montaient de l’assemblée. Mais une majorité quand même avait les yeux rivés sur moi..
Je n’avais jamais pris conscience à quel point je pouvais être exhibitionniste. Je pouvais mesurer là l’ampleur de ce travers. Je me livrait en spectacle, et savoir qu’on me regardait décuplait les sensations. En fait j’avais l’impression que tous me faisaient l’amour.. me punissait.. J’avais repéré dans l’assistance cette jeune femme en short.. je n’avais qu’une envie la voir s’approcher de moi et qu’elle me touche qu’elle m’utilise..
Pat n’avait pas fini … elle me détacha aidée de Maryvonne. C’est à ce moment que je me rendit compte que mes jambes avait du mal à me porter.. et je finis à 4 patte.. Sans crier gare, Pat passa sa main entre mes fesses et planta 2 ou 3 doigts dans mon cul.. Je me cambrais, car j’étais excité et prêt à tout. La tête sur le sol, le cul en l’air tourné vers l’assistance je me laissais fouiller par les doigts inquisiteurs..
« Regardez ce cul… regardez comment il s’ouvre.. il adore çà » disait Pat.
Et j’entendais un murmure qui s’amplifiait. Décidément cette idée plaisait. Un spectacle live avait plus de succès que la projection de films habituelle.
« Qu’est ce que je vais te faire esclave? Allez dis moi c’est un ordre!! » demanda Pat en me mettant une claque sur les fesses.
Nous n’avions pas préparé de dialogue bien sur, on savait juste a peu prés ce qui allait se passer.
« Défonce moi maîtresse, défonce mon cul!!! » quémandais-je.
Et cette demande était plus que sincère. Dans l’état d’excitation où j’étais j’avais réellement envie de me sentir comblé, dilaté j’avais pris goût au sodomies extrêmes et au fist.. Que je pratiquais assidûment avec Pat. A cet époque.. il ne se passait pas une semaine sans que je sois fisté. Et il arrivait très souvent que cela arrive 2 ou 3 fois par semaine.
Pat avait pris un god qu’elle m’enfila sans ménagement, je m’étais ouvert avec une grande facilité, ce god qu’elle maniait avec art me faisait frémir, quand elle le tournait il titillait ma prostate, tout mes sens étaient exacerbés. Maryvonne m’avais passé le poppers sous le nez, j’avais l’impression de pouvoir accueillir un autobus.. en fait je me sentais prêt à accueillir n’importe quoi en moi.. Pat ressortait le god totalement avant de le replonger.. Je ne touchais plus par terre.
Maryvonne s’équipait d’un god ceinture assez énorme qu’on utilisait maintenant souvent, 30 cm de long pour un diamètre de 5 cm. Pat me fouillait avec l’autre me laissant parfois grand ouvert.. du moins c’est la sensation que j’avais quand elle le retirait brutalement. Je ne voyais plus l’assemblée, mais j’entendais de plus en plus de gémissements, de cris de plaisirs..
Quelques commentaires aussi.. du style
« oh elle de défonce complètement, il adore çà regarde ou bien regarde sa queue il coule encore!! »
Entendre çà me mettais à feu et à sang, j’étais prêt a tout accepter. Maryvonne s’était agenouillée derrière moi.. Pat me faisais sucer le god qu’elle m’avait enfoncé dans le cul, je pompais la bite de latex avec délice, j’avais le goût de mon cul sur la langue. Je sombrais je n’étais plus moi.. je devenais esclave véritablement du sexe, prêt a n’importe quoi pour un frisson de plus. Maryvonne donna un coup de rein et m’empalant presque d’un coup me cramponnais les hanches.. Je n’avais presque pas senti la pénétration.. J’avalais le god avec autant de facilité qu’un doigt. Me voir ainsi défoncé fit courir une clameur dans le public.. Envie, surprise un peu d’horreur peut être pour certains. J’avais crié de plaisir mais pas de douleur..
Maryvonne était toujours plus douce que Pat.. mais là elle se donnait avec fougue.. j’étais totalement empalé et le god entier me pénétrais. Je sentais distinctement le gland monter en moi.. Le travail influait également sur ma vessie.. les aller retours et la pression exercée.. finirent par faire ouvrir les vannes.. Habituellement quand on est en érection l’accès est bloqué mais là je finis par avoir une sorte d’orgasme urinaire.. Je me mit à lâcher des jets alors que je bandais à mort. Quand elle vit ce qui se passait.. Pat demanda à Maryvonne de se retirer… Je sentis a regret le god me quitter. Cette fois je sentis distinctement que je restais béant.. j’entendis même une femme qui s’extasiait sur la taille de mon trou, pour avoir vu quelques images de ce moment c’était impressionnant en effet.
Pat remplaça Maryvonne mais cette fois je sentis que c’était sa main et non plus un god. Elle expliquais que l’on pouvait me dilater me défoncer que j’aimerais çà, elle précisa que si un ou une des participants voulait profiter de moi de cette façon qu’il n’hésite pas.. Maryvonne me gavait de poppers.. c’est tout juste si je sentis le poing fermé de Pat me pénétrer. Comme le god la pression me fit gicler, en fait comme je bandais que j’étais a quatre patte les jets arrivait sur ma poitrine ou mon visage encagoulé. On me défonçais, je me pissais dessus et j’étais dans une sorte de jouissance permanente que je n’avais jamais connue.
Maryvonne avait enlevé le god et s’installa assise devant ma tête les cuisses écartées. Elle me prit la tête et me guida vers sa chatte.. suintante, pour se faire lécher.. Comme Pat me travaillais toujours le cul, Maryvonne fut aspergée je léchais sa chatte, ma pisse qui dégoulinait entre les cuisses de Maryvonne. Tout çà devenais torride.. Pat donnais des coups désordonnés car elle aussi était dans un état d’excitation incroyable.
J’entendais gémir tout autour de moi. Je ne voyais rien ou presque mais on était maintenant au stade de l’orgie. Les spectateurs avait succombé et tout en se délectant du spectacle que nous donnions, ils étaient devenus acteurs.
Je sentis une main s’emparer de ma queue, cela me fit un mal de chien, les coups que j’avais reçus sur la queue avait été si violent que j’avais deux grosses boursouflures d’où perlait un peu de sang. La main menue.. me caressais j’avais vidé ma vessie et déjà je sentais bouillonner mon sperme dans mes couilles. En me tordant le cou je vit la jeune femme que j’avais vu dans l’assistance qui était accrochée à mon sexe. Elle me palpait m’astiquais et de son autre main elle pressait mes couilles. Pat enfonçais sa main dans mon anus, encore une fois Maryvonne me passa la fiole de poppers sous le nez, une grand inspiration, mon cœur battait au moins a 150 voir plus.. parcouru de frissons, la sueur ruisselait sur mon torse, mes cuisses engoncé dans la cagoule j’étais comme au bord d’un malaise. Je n’étais plus dans mon corps mais j’en étais sorti.
« Tu va jouir salaud.. tu va gicler encore.. » Criait Pat.
Et pour cause.. son poing entrait et sortait de mon cul. Sans le voir mais j’avais la sensation que cette fois mon anus était comme explosé , à la cadence ou elle me pistonnait, chaque fois qu’elle ressortais mon anus suivait sa main qu’il enserrait et se transformais en un bourrelet de chair rougie, humide qui saillait de façon incongrue entre mes fesses.
J’entendais les commentaires..
« Il est complètement défoncé, regarde elle lui retourne le cul, mon dieu elle va l’abîmer »
Aucune douleur, je ne ressentais aucune douleur.. je savais que l’on avais dépassé les limites depuis un moment mais je me sentais prêt a aller plus loin..
Je réclamais même..
« Encore!! Plus !! Défonce moi tout!! Prenez moi tous!!! »
Ma queue me faisait mal, la fille l’astiquais comme une folle sans se rendre compte que j’étais abîmé mais les frissons étaient trop bons. Maryvonne avait jouis sur ma langue sa chatte était maintenant crémeuse. Patricia maintenant avait pris une bouteille de champagne et elle commençait à l’introduire , a tenter de l’introduire dans mon cul. Je criais, cette fois a la fois de plaisir et de douleur car la bouteille c’est dur et surtout il faut arriver à trouver le bon angle. Maryvonne me prit la tête et me fit respirer le poppers , comme un coup de fouet… je commençais à agiter mon cul pour aider à la pénétration, je poussais comme un fou, je sentis couler mon cul.. a force de me défoncer , mon anus était humide, suintant une sécrétion , mêlée au lubrifiant me remplissait et s écoulait.. Pat senti soudait mon anus s’ouvrir et elle accompagna le mouvement. La bouteille de champagne était entrée, mais par le gros bout.. pas le goulot.. J’avais l’impression que mon anus allait exploser.. distendu à l’extrême une bouteille de champagne c’est plus de 8cm de diamètre. Pat la faisait pénétrer, lentement, ressortant presque totalement pour replonger un peu plus.. J’étais agité de frissons, de spasmes même.
Ma queue toujours dans la main de la jeune femme qui maintenant était allongée presque sous moi pour pouvoir lécher mon gland. Elle le gobait, le léchait sa main serrée sur ma tige me faisait mal. Elle avait les doigts rougis car les coups avait fait s’ouvrir la peau fragile et je saignais un peu. Elle ne semblait pas le remarquer quand elle me prenait dans sa bouche. Sa respiration haletante en disait long sur son état, et son compagnon s’agitait entre ses cuisses.
Ma tête bourdonnais, je me sentais sur le point de m’écrouler. Un tremblement continu agitait tout mon corps, je perdais lentement pied, l’impression d’être dans du coton. Je sentais ma queue tressauter alors que mon sperme giclais sur la langue de la belle inconnue .. tandis que Pat retirait vivement la bouteille.. J’entendis une clameur.. un grand hooo.. et je m’effondrais sur le côté terrassé par un voile noir.. plus rien.. je sombrais je mourrais de plaisir car j’étais en plein orgasme je n’en avais jamais connu d’aussi fort.. mon cœur s’arrêtait.. du moins ce fut ma sensation..
Je sentais qu’on s’agitait autour de moi, Maryvonne était là je reconnaissais son odeur.. Mais j’avais l’impression de m’enfoncer dans du coton.. le plaisir m’envahissait.. je glissais doucement dans l’inconscience.
Une cuisante douleur me sorti de ma torpeur.. j’étais sur le dos, et Pat avait posé son pied sur mes couilles, les écrasant vraiment.
La douleur irradiait dans mon ventre, j’étais au bord de la nausée.
« Debout chien » hurlait Pat totalement hors d’elle, la main entre les cuisses elle glissait ses doigts dans une fente trempée, mousseuse de son jus.. Son clito saillait véritablement. Un des spectateurs tendait une main vers son cul luisant de sueur il prit un coup de cravache sur la main. Pat me fit remettre debout.. je tremblais sur mes jambes, je ruisselait de partout, ma queue était luisante gonflée, le sperme la recouvrait en partie. On me fit installer dans le sling, Pat et Maryvonne verrouillèrent mes chevilles et mes poignets.. J’étais offert simplement soutenu par cette bande de cuir. Mon cul largement ouvert, ma queue toujours serrée dans les anneaux.
Maryvonne me susurra à l’oreille
« tu est sur que tu veux pas arrêter? » je fis non de la tête car j’aurais été incapable de parler.
J’avais le cœur qui battait, tout mon être appelait de ses vœux les sévices promis
Pat se tourna vers l’assistance et annonça
« Il est à vous comme promis, femme et hommes sont les bienvenus »
Au début les participants tous plus ou moins engagés, a deux ou plus dans des jeux plutôt débridés ne semblèrent pas s’intéresser à moi. Puis je senti une main qui me tournait la tête, et je vis un black très grand et musclé approcher de moi une queue impressionnante. Il m’ouvrit la bouche avec son gland et poussa d’un coup plus de la moitié de sa queue dans ma bouche, enfin dans ma gorge serait plus juste. J’eus un haut-le-cœur, je manquais de vomir mais trop excité je commençais à le sucer. Il me retint la tête, je compris qu’il avait envie d’autre chose.. je ne bougeais plus et il se mit à me baiser la bouche a grand coup, je bavais, mouillais cette queue pour aider, il était tellement épais que j’en avais mal à la commissure des lèvres. Mais la situation m’excitait terriblement.. Un black en plus ceux qui me connaissent vont grimper au rideaux!!
Ma queue se tendait de plus belle, elle avait une drôle d’allure car les coups m’avaient marqué, et sur le dessus de la verge au milieu et prés du gland deux bosses la déformait prés du gland la peau avait éclaté de chaque côté et un peu de sang perlait , mais comme on m’avais astiqué largement ma queue était rougie, couverte de sperme et de sang mêlé, mon gland totalement décalotté semblait avoir doublé de volume et de fait il était étranglé. Mes couilles prises dans les anneaux étaient elles aussi gonflées et tournaient au violet.
JE m’abandonnais totalement, la queue allait et venait entre mes lèvres explosant ma bouche fouillant ma gorge. Par moment je ne pouvais plus respirer. Je sentais le pieu palpiter, le gars prenait son plaisir et poussait de long grognements.
De temps à autre il me disait
« Suce grosse salope »
« Avales ma queue chienne »
Chaque insulte coulait en moi et me faisait frissonner. Puis je sentis deux mains se poser sur mes cuisses, du coin de l’œil car je ne pouvais pas tourner la tête j’aperçus une femme, rousse, d’ âge mûr. Elle caressait mes cuisses puis finit par refermer ses mains sur ma queue et mes couilles les pétrissant serrant, m’astiquant assez violemment pour que mon bassin s’agite. Et je senti des doigts glisser contre mes couilles, puis s’attarder entre mes fesses, taquiner mon trou du cul encore ouvert, elle pénétra ses doigts puis j’entendis Pat qui lui disait
« N’ai pas peur ferme ta main, pousse tu va voir ça va entrer. Tu peux le défoncer il adore çà!! »
Quelques secondes plus tard, la femme poussait son poing en moi.. sans ménagement, je ne pouvais crier à cause de la queue dans ma gorge mais j’aurais sans doute poussé un hurlement, le poing s’enfonçait écartelant les sphincter, douloureuse la pénétration se mua en une vague de chaleur et de plaisir en un rien de temps. La main fermée sollicitais tellement ma prostate et ma vessie que plusieurs jets s’élevèrent retombant sur mon ventre et ma poitrine. C’était fort, jamais je n’avais été aussi sollicité.
J’étais prêt a tout. Le black commençait à arriver au plaisir et il posait sa main sur ma poitrine, la frappant même et cela sur les chaînes qui reliait mes pinces aux tétons je faisait un saut à chaque fois la douleur était atroce, mes pointes étaient écrasées, une goutte suintait à chaque téton tellement il était écrasé.
Au bout d’un moment il senti que ces pinces étaient utiles à mon plaisir. Toujours en me bourrant la bouche, il prit la chaîne entre ses doigts et tira dessus.. je me cambrais oubliant la femme qui me pistonnait avec son poing. En me cambrant je m’ouvris plus grand encore et sa main s’enfonçait encore plus loin ne moi. Pat était à côté et ne perdait pas une miette de mon « supplice » Je ne voyais pas vraiment mais je sentais que rarement voir jamais on ne m’avais pénétré aussi loin.
C’était confirmé par la mine à la fois inquiétée mais aussi excitée qu’avais Maryvonne.
Soudain le black se mit à jouir et ma bouche s’emplit de son foutre épais, il jouissais en grognant, tout en continuant d’aller et venir, il giclais maintenant dans ma gorge poussant à fond , son gland était vraiment enfoncé dans ma gorge je le sentais gonfler, dégonfler au rythme de son orgasme.. Le sperme m’inondais remontant par mon nez.. faisant des bulles. Enfin il se dégagea me laissant respirer largement, encore que le nez et la bouche pleine de sperme ce fut un peu difficile..
La femme me pistonnait le cul maintenant avec force, mon anus semblait avoir renoncé et elle entrait et sortait de moi avec une facilité déconcertante. Maintenant je pouvais la voir, pas loin de la cinquantaine, plutôt pas vilaine, des seins lourds, des yeux bleus elle ne perdait pas une miette de ce que je lui offrais. Son front était emperlé de sueur
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