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Une visite chez le gynecologue (1988)

Une visite chez le gynecologue (1988)



Une visite chez le gynécologue (1988)

Oui… j’avais 26 ans… Lui, il devait approcher les 60, docteur et gynécologue.  Une collègue me l’avait conseillé, mais, elle m’avait prévenue aussi que c’était un homme à femmes, que …

D’entrée, il m’avait posé un tas des questions sur ma grossesse, mais aussi sur ma vie sexuelle, sur ma libido… Avec mes réponses, je pense qu’il avait très bien compris que j’étais une femme plutôt chaude 😉  Ensuite, il m’avait demandé de me déshabiller… Je ne suis pas passée derrière l’écran mais devant lui, tout en lui demandant s’il voulait que j’enlève tout… Il avait mis quelques secondes à me répondre, un petit sourire dessiné sur ses lèvres, oui, s’il vous plait, avait-il répondu… Il m’avait pesée, pris la tension, opiné que j’étais un peu mince pour mon septième mois de gestation et, pour finir, m’avait demandé de m’installer sur le fauteuil gynécologique…

Je dois avouer que, arrivée à ce moment, j’étais déjà toute mouillée d’excitation. En plus, comme il ne faisait pas spécialement chaud dans son cabinet, mes tétons étaient tous dressés et j’avais la chair de poule. Il l’avait aperçu car il s’était frotté les mains avant de commencer à me palper. D’abord, il avait posé ses mains sur mon ventre, et le contact avec sa peau très douce et très chaude, m’avait fait gémir tout doucement. Fanny, dans moi, paraissait apprécier les caresses, car elle s’était mise à gigoter. Le docteur avait fait un commentaire complaisant sur le bébé et m’avait dit qu’il allait vérifier si tout allait bien à niveau de ma poitrine…Jusqu’à ce moment là, il me paraissait très sérieux et très professionnel, il faut dire…

Mais, la palpation de mes seins avait été un peu plus que professionnelle! J’ai toujours eu des mamelons ultra sensibles, mais jamais autant que pendant mes grossesses. Quand il avait commencé à me tortiller et pincer doucement les tétons, j’ai cru que je n’allais pas être capable de dissimuler mon excitation croissante… Vos mamelons sont douloureux, en ce moment?  M avait il demandé. Non, docteur, au contraire, lui avais-je répondu dans un murmure à peine audible… Il avait continué jusqu’à faire qu’un petit écoulement de colostrum soit apparu…  Parfait, tout va très bien, avait il conclu.

Il avait mis un gant en latex et s’était assis sur un tabouret en face de ma foufoune… Avec un sourire un peu sournois, il m’avait dit que apparemment je n’avais aucun souci de lubrification vaginale…Son commentaire ne m’avais pas surpris car je savais à quel point je mouillais et, en plus, je sentais, sans le voir, comme ce liquide était en train de ruisseler entre les lèvres de mon minou. En entendant son commentaire, j’ai eu l’impression que mon clitoris gonflait à vue d’œil et que mon vagin se mettait à palpiter, demandant que quelqu’un l’ouvre, que quelqu’un le fouille…

Et, à ce moment là, je me suis abandonnée. J’ai fermé les yeux et je me suis submergée dans les vagues de plaisir qu’inondaient mes entrailles. Il m’avait caressé le clitoris avec deux doigts de sa main non gantée, tandis que les doigts de l’autre dilataient petit à petit mon vagin. D’abord, un doigt s´enfila dans ma caverne et tout de suite après, un deuxième. Il procéda à me caresser, avec le bout de ses doigts, la paroi rugueuse de mon vagin, cette partie méconnue de beaucoup d hommes, mais que pour certaines femmes, comme moi, nous emmène directement au paradis.

Mais, soudain, il arrêta son mouvement digital. J’étais déçue. Il m’ avait lâchée aux portes de l orgasme. J’ouvris les yeux et le vis se badigeonner sa main gantée d une grande quantité de lubrifiant. « Nous allons bien explorer l’intérieur…Il faut vérifier que tout aille bien, là dedans » dit-il avec un calme extraordinaire. Je fermai les yeux et, d’instinct, je posai mes mains sur mes seins, pinçant mes tétons endurcis du bout de mes doigts .
Quand je sentis que toute sa main était dans moi, je ne pus m’empêcher de lancer un petit cri, étouffé par ma propre main… Je sentais le bout de ses doigts fouiller au fond de ma chatte, toucher le col de mon utérus… Et là, mon orgasme avait explosé, terrible, long, brûlant…

Quelques minutes plus tard, déjà rhabillée, troublée et un peu honteuse car j’avais joui devant ce docteur tout en souhaitant de tout mon corps qu’il me baise, il s’était contenté de me dire que ma grossesse se passait très bien et que j’étais une femme adorable qui devrait rendre très heureux son mari…

Je venais de vivre mon premier fist vaginale et je suis sortie de son cabinet avec une seule idée en tète: tout lui raconter, à mon mari! Je peux vous assurer qu’il en avait été ravi content de l entendre!

Ce même docteur aida Fanny à venir au monde. Je lui en serai, toute ma vie, reconnaissante.

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