Pony girls.
Le lendemain matin, on déjeune chez les mêmes voisins, devant la caravane, au soleil. Comme si on était en vacances en camping (ce que je n’ai jamais fait), avec mes parents (que je n’ai jamais eus… ou à peine !) Les enfants nous apportent du café, des croissants… ça me change. Six me dit :
— On va passer voir le chef, il a un petit fantasme bébête qu’il veut réaliser.
Un fantasme… bébête, de grand matin… ppfff… voilà que le petit déjeuner me semble moins bon. Quel fantasme ?
Mais je ne veux pas griller une question, je n’ai droit qu’à trois questions par jour. Alors, je la regarde, avec les mêmes yeux que votre chien quand vous mangez du poulet, et qu’il a tellement envie que vous lui donniez un petit bout de peau ou un petit os ! Mais Six n’est pas du genre à jeter un bout de peau de poulet à un chien… il mangera après elle, point barre. Et moi, je ne saurai rien, point barre.
Quand on a fini de manger, on embrasse les voisins, parents éloignés de Six, et on va chez le chef. Bon, il n’avait pas l’air méchant, la dernière fois… Il nous attend, il m’embrasse.
Décidément…
— J’ai envie qu’une gadji me suce pendant que je chie ! fait le chef.
Bien sûr ! Quoi de plus normal ! Beeeuuuh ! J’aime pas bien ça, moi !
— Juste vous sucer, chef ? je demande.
Six fait déjà ses yeux méchants. Je vais prendre une claque, c’est sûr !
— Laisse ! lui dit le chef.
Et à moi :
— Oui, me sucer la bite. Tu sais faire ça, non ?
— Oui chef, avec plaisir !
Bon, ça, ça va, c’est le reste que je n’aimerais pas, genre « Oh ! Y a plus de papier-chiotte. »
— J’attends dehors, dit Six.
Et à mon oreille :
— Tu as intérêt que le chef soit content… sinon ça va chauffer pour tes
fesses !
Le chef, il a tout préparé dans ses chiottes : le transistor qui braille, un journal, une tasse de café. Il baisse son pantalon, son caleçon à poche kangourou, s’installe jambes écartées sur le… trône (du chef !). Moi, je m’agenouille entre ses jambes. Vous me direz que ce n’est ni très glamour ni très glorieux… Assurément… mais je vous rappelle que c’est le chef, et que l’après-midi, c’est Six qui tient le manche du fouet. Pour être dans l’ambiance, le transistor passe une chanson de Mireille Mathieu… et ça, c’est vraiment à chier !
Je suis nez à nez avec une bite qui bande déjà. Belle dimension.
Le bout est mouillé, il passe son index dessus, me le fait lécher… Il a beaucoup pensé à son fantasme. J’ai l’habitude de faire ça, je pourrais même écrire « La Fellation pour les nuls ». J’embrasse ses couilles, la hampe de son sexe, puis je fais coulisser la peau, découvre le gland. Bien sûr, il n’y a pas trop de salles de bains dans les caravanes, mais j’ai vu, je veux dire senti, pire, sur le parking. Et puis, c’est le chef !
Il me caresse la joue, je le prends en bouche. Je m’applique à bien le sucer, mon nez dans ses poils, son gland venant me caresser la luette. Le chef pousse… fait :
— Gggggnnnn…
Moi, je suce… lèche :
— Slurp… slurp…
Et venant de la cuvette, on entend :
— Plouf…. plouf !
Tous les bruits classiques d’une fellation dans des chiottes !
Le chef repousse encore, j’accélère le mouvement… il arrive à ce qu’il voulait : envoyer son sperme dans la bouche d’une gadji pendant que de l’autre côté, il envoyait un gros… étron dans la cuvette ! Il y a des mots que j’ai du mal à écrire.
Bref, la chiotte et moi, on a eu la même fonction : avaler ce qu’il expulse. Je suce bien les dernières gouttes en pressant son sexe de la base jusqu’au gland, tout en le regardant. « Mon Dieu, me dis-je, pourvu que ce soit un bon chef, qu’il ne m’oblige pas à un truc trop crade… » Ma prière est presque exaucée, c’est presque un bon chef ! Il prend un rouleau de papier-chiotte, me tend deux feuillets… Il se tourne, se penche, me présentant son cul en gros plan. Je l’essuie soigneusement, pliant mes papiers en deux, puis en quatre. Pas évident avec si peu de papier !
— Voilà, chef !
— Maintenant, lèche ! me dit-il.
OK, dans ces conditions la pilule n’est pas… trop amère.
Je fais un long french kiss à son trou de cul… La langue d’une gadji à cet endroit, il estime que c’est sa place ! Quand j’ai fini, je me relève :
— Merci chef, c’était très agréable de vous servir, et merci pour les papiers.
Il me sourit, je tends les lèvres, mais il m’embrasse sur la joue… C’est vrai que ma bouche et ma langue viennent de sortir d’un endroit qu’il n’a pas nécessairement envie d’embrasser, lui ! On sort de la caravane. Il dit à Six un truc en dialecte, genre :
— Super, pour lécher un cul, cette petite !
On se dirige vers la moto, elle me dit :
— Pourquoi tu tiens ta main comme ça ?
C’est vrai que je tiens ma main les doigts écartés. Je lui montre.
— … Euh… mes doigts sont un peu sales, mais j’allais vous le dire… Maîtresse…
— Tu veux en mettre sur moi, imbécile ? Lèche-les !
Il y a des jours comme ça… je lèche mes doigts.
On va à la ferme en moto. Diane nous guette, accourt, s’agenouille devant Six.
— Et Mia, tu ne la salues pas ?
Du doigt, Six montre le sol entre mes pieds. Diane se précipite, le nez dans la poussière entre mes baskets.
— Bonjour Mia.
— Bonjour Diane, ça va ?
Elle fait un petit « oui ». Ce n’est pas mon truc de dominer, mais c’est grisant de la voir comme ça…
— Ça te plaît, Mia ? me demande Six.
— … Oui… Maîtresse !
Du coup, Diane me regarde depuis le sol, intéressée…
— Bon, assez joué, dit Six, on y va.
Vers l’arrière de la ferme, il y a une ancienne écurie. Diane connaît la marche à suivre, elle se déshabille et me fait signe.
Je fais la même chose. Six amène un grand sac de voyage dans lequel il y a une série d’accessoires avec des grelots : pour le cou, les bras, les poignets, la taille, les chevilles. Diane m’aide à les mettre, je fais de même pour elle. Quand c’est fini, on tinte au moindre mouvement. Un vrai concert à nous deux.
— Maintenant, la queue.
Diane me regarde en faisant la grimace. Il s’agit de plugs qui ressemblent à celui que j’avais mis quand Tin-tin m’avait fait jouer « chien-chien à son maî-maître » ! C’est Diane qui commence, elle se met à genoux sur une table basse, jambes écartées, front contre la table. Elle a des traces de coups sur les fesses. Ce sont les coups de fouet de la veille, qui sont toujours visibles… j’ai les mêmes. Dans cette position, elle ne me cache rien. L’anus de Diane n’a plus de secret pour moi. Six prend un plug… c’est un cône d’environ six centimètres, dans son plus grand diamètre, arrondi d’un côté, aplati de l’autre. De cette extrémité jaillit une belle queue en poils. Au milieu, le plug est plus étroit. Comme vous vous en doutez, le tout est destiné à aller dans le cul de la pony girl. Le problème, c’est que six centimètres de diamètre… ppppfff… faut les gober ! Six prend de la vaseline, en met sur le cône. Avec appréhension, Diane jette un coup d’oeil vers l’arrière. Appréhension justifiée, car elle pousse un cri :
— Ooooh, il est plus gros que d’habitude, Maîtresse !
— Oui, on avait peur que le modèle moyen ressorte du cul de Mia !
Charmant !
— C’est trop gros, Maîtresse, je vous jure… pitié !
Six s’adresse à moi :
— À ton avis, une pony girl, ça a le droit de parler ?
— … Euh… non, Maîtresse.
— Hélas, Diane, je vais devoir sévir ! Non seulement, tu parles, mais en plus, c’est pour râler. Alors, je vais te le mettre dans le cul, mais à la place de lubrifiant, je vais mettre ceci…
Six sort un tube du sac, je vois écrit « Harissa ». Ouch ! Elle va jongler ! Six montre à Diane le cône enduit d’harissa.
— Je t’ai déjà dit qu’une pony girl ne parle pas, peut-être qu’après ça, tu t’en souviendras !
Diane fait « oui » de la tête.
— On y va ! dit Six.
Elle met le plug entre les fesses de Diane, puis commence par caresser l’anus pour l’enduire d’harissa. L’effet est immédiat, Diane fait un bond… elle commence à geindre. Alors, la Maîtresse l’enfonce en force d’un mouvement continu.
L’anus se dilate… ne forme plus qu’une mince bague complètement distendue quand la plus grosse partie du plug s’enfonce en elle. Diane se cabre – normal pour une pony girl… pousse un cri de douleur très aigu :
— Aaaiiiiiiiiiiiii !
— Quel cinéma ! Tu veux que je te le laisse jusqu’à demain ?
Diane fait « non, non, non » de la tête.
— Allez à toi, me dit-elle. Je vais te mettre de l’harissa aussi pour ne pas faire de jalouses !
Je geins :
— Mais, j’ai pas parlé, Maîtresse !
— Ah, non ? Et qu’est-ce que tu fais, là, maintenant ?
Je me mets dans la même position, à côté de Diane. Moi, mon cul… il a déjà bien vu le loup, aussi quand elle l’enfonce d’un coup, je fais un petit bond, mais ne dis rien… pendant quelques secondes… Et puis j’ai l’impression qu’on vient de m’enfoncer un morceau de l’enfer dans le derrière.
— Aaaaaaiiiieeeeee ! Ça brûûûûûûle !
Six me donne une bonne claque sur les fesses :
— C’est le but !
L’harissa me brûle ! Je me remets debout, les grelots font « clink ». Le plug dans le derrière, ça irait, mais c’est l’harissa qui me torture !
— Voilà ! dit la Maîtresse en riant. Maintenant, vous avez le feu au cul pour de bon !
On met des baskets tout en gémissant.
— Et maintenant, les mors.
Je regarde Diane, elle fait une grimace, là aussi. Putain, j’avais oublié ça !
— Ce serait un bon moyen de te faire taire, quand tu poses trop de questions ! me dit Six.
Le mors est en métal recouvert de plastique. Il est assez large, ce qui fait qu’on est obligé de tirer complètement les coins de la bouche. Elle fixe une série de lanières vers le haut et les côtés, si bien qu’il est impossible de s’en débarrasser.
Elle le ferme sur l’arrière de la tête. Je me mets déjà à baver…
Diane a plus l’habitude d’avoir la bouche étirée. Au moindre mouvement, c’est le concert de grelots, on ne cessera pas de tinter ! En nous tenant par les mors, Diane nous amène devant un genre de sulky, la voiture où se met le jockey dans les courses de trotteurs. Ça ressemble aussi aux voiturettes tirées par un homme… Au lieu d’y avoir deux montants entre lesquels la pony se trouve, il y en a quatre, les deux du milieu étant très proches… C’est pour deux ponys. Six fait des réglages pour que nous tenions les montants les bras fléchis, comme on est à peu près de la même taille, c’est facile. Ce sulky est très léger et il a de grandes roues, il est facile à tirer.
La Maîtresse prend son fouet… Ouch ! Elle s’assied derrière nous :
— Vous devez partir de la jambe droite et bien vous synchroniser.
Aujourd’hui, on ne cherche pas la vitesse, mais à ce que vous soyez bien ensemble. Mia, aligne-toi sur Diane !
On sort de l’écurie, je sens qu’on tire sur mon mors à gauche, je tourne à gauche.
— Pas complètement à gauche, stupide a****l ! me crie la Maîtresse, et je reçois un coup de fouet sur les fesses :
— Aiiiie !
On oblique vers une grande piste de sable, comme dans un manège. Au début, ça va, c’est facile à tirer. J’essaye d’imiter ce que fait Diane, mais à un moment, je perds le rythme et… « fffwwwiiii », je prends un autre coup de fouet sur les fesses.
— Aiiiie !
— Synchronise-toi ! crie Six.
« Ffwwwiii », le fouet claque encore…
— Aiiiiie !
Trois fois de suite, jusqu’à ce que je sois synchrone.
Gaffe ! Gaffe ! Mia ! Il faut que je reste concentrée malgré
l’harissa qui me brûle l’anus et le fouet qui me brûle les fesses !
Ça va pendant un moment, on file vite, on tinte, ça a l’air facile… mais à nouveau, je perds le rythme, et le fouet claque quatre fois sur mes fesses. J’ai les yeux pleins de larmes, je ne vois plus grand-chose… Heureusement, elle nous
crie :
— Oooooh ! en tirant sur les mors.
Je freine trop brutalement. Le fouet claque encore une fois :
— Aaaiiiiee !
On souffle, puis Six crie « huuue ! », et on repart… je reçois un coup de fouet sur les mollets.
— Plus haut, les jambes…
Plusieurs fois, elle nous fait arrêter puis repartir. J’arrive enfin à me synchroniser… Ce qui n’empêche pas Six de nous envoyer régulièrement un coup de fouet.
— Pour rester concentrées, dit-elle.
On fait ça pendant une demi-heure, je suis en sueur et épuisée. Diane a plus l’habitude, elle a l’air plus en forme.
Moi, j’ai bien reçu vingt coups de fouet, mes fesses doivent être toutes rouges. Ce sont des marques qui font mal, mais sans que ça saigne, elle sait y faire la Maîtresse, c’est une pro !
Enfin… on rentre à l’écurie. La Maîtresse nous enlève les mors… Ouf ! C’est vraiment très désagréable, j’ai les coins de la bouche meurtris. Ensuite, comme Diane, je me mets à quatre pattes. La Maîtresse retire ma queue lentement.
Oh, que je le sens bien passer ! Je crie :
— Aaaaiiiiiii, tellement mon anus est irrité.
Au tour de Diane. Six enlève la queue très lentement aussi, s’arrêtant lorsque le plus grand diamètre du plug passe l’anus, qui ne forme plus qu’un tout mince anneau. Diane n’aime pas, elle crie ! On peut aller se soulager à la toilette et s’asperger d’eau. J’aurais besoin d’une douche, mais ça n’a pas l’air prévu au programme. J’ai l’impression d’avoir couru le marathon.
— Alors, me dit Six, ça t’a plu ?
— … Euh… vous êtes une très bonne driveuse, Maîtresse.
— Bien répondu, Mia. Et toi, Diane ?
— J’adore courir pour vous, Maîtresse.
Que répondre d’autre ? Six est satisfaite de nos réponses.
— Bien, les petites…
On retourne à la grande table, Six envoie Diane chercher trois bières. Je m’assois avec précaution, en faisant la grimace.
Diane apporte trois bouteilles. On boit… Aaah, ça fait du bien, on est ravies de boire.
— On va y aller, dit Six.
Diane vient contre elle. Six lui caresse les fesses :
— Faut te contrôler ma belle, pour le plug.
— Oui Maîtresse.
Diane tend ses lèvres avec soumission, mais aussi avec plaisir, me semble-t-il. Six l’embrasse. Diane vient m’embrasser aussi, un vrai baiser avec échanges de salive et d’ADN, et les langues qui font connaissance. J’ai l’impression qu’elle doit être très câline, cette fille.
On repart en moto.
— Aïe, aïe, aïe ! Je sens les bosses de la route ! Je me colle à Six… je ferme les yeux…
On s’arrête dans un routier pour manger. On parle. Six est détendue, si ce n’est qu’elle m’oblige à finir ce que j’ai dans mon assiette. On rentre au camp, et on va dans sa caravane. Je lui demande :
— Je peux dormir, Maîtresse ?
— Oui, mais au camp, tu m’appelles Madame ou Six ou Shana, mais pas Maîtresse.
— D’accord. Bonne nuit… Shana.
Ça fait bizaaaarre !
— Bonne nuit, petite pouliche.
Je me couche sur le matelas par terre près de son lit… Je bâille. Les pony girls ne doivent pas connaître l’insomnie, car je m’endors immédiatement…
Un bouquet d’orties
Le lendemain, je suis réveillée par le pied de Six qui me botte les fesses.
— Viens dans mon lit ! dit-elle.
Elle est nue, moite… elle a des poils sous les bras et sur le pubis. Sa chatte est très noire. Les poils débordent sur ses cuisses et remontent en une mince colonne vers le nombril.
— Montre-moi ce que tu sais faire !
Là, ça me réveille vraiment ! Il faut que je fasse tout pour la satisfaire !
Six sent la gitane qui a dansé le flamenco par un soir d’orage avant l’orage. Une odeur sauvage mi-a****le, mi-végétale.
C’est trop puissant pour moi… mais bon… Je l’embrasse sur la bouche. Je ferme les yeux, elle pas. Nos langues font connaissance… Après ce premier baiser, je descends vers ses seins et suce les bouts très bruns, presque noirs. Sa peau est salée… le savon, elle ne connaît pas ? Elle pousse ma tête vers le bas. OK, message reçu ! Je préfère ne pas la faire attendre, elle n’apprécie pas ! Lécher, là je suis bonne, que ce soit un homme ou une femme. Je la lèche comme une esclave se doit de lécher sa maîtresse, le mieux possible, même si j’ai l’impression d’être dans une poissonnerie portugaise ! Elle manifeste son plaisir avec retenue, Maîtresse oblige. Par contre, son plaisir me mouille le visage.
Quand elle a joui, et que j’ai bien nettoyé sa chatte, elle me dit :
— Eh bien, voilà, t’es bonne pour deux choses : poser des questions et lécher une chatte…
Quand on est prêtes et qu’on a déjeuné, Six me dit :
— Je te dépose chez Sarah, la belle-fille de Diane, elle a envie de te connaître. Tu resteras jusqu’à l’entraînement de cet après-midi.
Ouch ! Elle me fait peur, celle-là, à voir la façon dont elle a dressé Diane. Je reste là sans bouger devant la moto, je ne veux pas y aller ! Je sais que ça va énerver Six, mais bon, j’ai envie de pleurer et j’ai une boule dans le ventre. Six soupire.
— Arrête de paniquer, Mia… tu n’as rien à craindre à part quelques coups de fouet ! Elle veut être sûre que tu es tout à fait soumise, elle va jouer avec toi…
Je répète :
— Jouer, Maîtresse !
— Tu commences à me casser les pieds ! Tu veux que je lui dise de te filer une bonne correction ?
En un clin d’oeil, je prends le casque, le mets, saute sur la moto. Je me colle à elle. On arrive à la ferme. Je dois faire pipi de frousse. Je reste sur la moto, j’ai la trouille !
— Agenouille-toi, comme Diane, quand elle arrive.
Sort du bâtiment une rousse auburn, jean, tee-shirt, chemisier noirs… bottes… rouges. Elle a un joli visage, des yeux bleus, des lèvres très rouges. Je fais ce que Six m’a dit, je m’agenouille devant elle, le visage entre ses bottes, le nez dans la poussière. Elle ne dit rien, c’est comme si je n’existais pas. Six et elle s’embrassent, puis elle met son pied sur ma nuque… elle pousse.
— Bonjour Mia…
— Bonjour Maîtresse, je gémis la bouche dans la poussière.
Elle enlève son pied.
— Mets-toi à genoux.
Je me redresse, le visage tout barbouillé de poussière à hauteur de son pubis. Je garde les yeux baissés.
— Il paraît que tu as besoin d’une petite leçon, pour t’apprendre à obéir sans discuter, sans souffler, sans lever les yeux au ciel. Tu fais tout ça ?
Six m’avait dit que je devrais juste me montrer soumise !
— Oui Maîtresse.
Elle demande à Six :
— Quel genre de punition ?
— Tu pourrais lui faire un petit traitement aux plantes, par exemple ?
Elles rigolent toutes les deux.
— À tout à l’heure, je reviens pour l’entraînement.
Sarah me relève la tête.
— Tu as déjà été punie avec des orties ?
— Non Maîtresse.
— Tu pourras faire un voeu ! Les orties, au début, c’est supportable, et puis ça devient de plus en plus désagréable, et ça brûle pendant des heures, mais le lendemain, on peut recommencer. Je vais te frotter les oreilles, les seins, les fesses, la chatte…
Comme d’habitude quand le stress est trop fort, je me mets à pleurer. Sarah m’att**** par une oreille.
— Aiiiie !
— T’es une vraie trouillarde, toi… tu veux le fouet après les orties ?
— Nooooonn… Maîtresse, pardon !
On va à l’étable. Là, il y a une table gynéco, c’est assez surprenant.
— Déshabille-toi.
Quand je suis nue, je croise les poignets dans mon dos.
Elle m’examine, me tâte. Elle appelle Diane. Celle-ci arrive en courant, elle apporte un panier avec des orties fraîchement cueillies.
— J’en cultive, me dit Sarah. Pour faire de la soupe, et pour punir les filles qui ne sont pas obéissantes.
Elle demande à Diane :
— Ç’a été pour les cueillir ?
— Euh… oui, Maîtresse.
— Tu n’as pas de traces sur les mains, tu as pris quelque chose pour les cueillir ?
Diane devient toute rouge.
— Oui Maîtresse.
— Sans ma permission, bien sûr… on va arranger ça, tends les mains.
Elle met des gants de cuisine en caoutchouc (jaunes !), prend une poignée d’orties par les tiges. Elle frappe la paume des mains de Diane jusqu’à ce que les tiges n’aient plus de feuilles. Diane fait des grimaces, mais elle ne dit rien. Sarah prend un autre bouquet de feuilles. Sans qu’elle le lui dise, Diane présente le dessus de ses mains. Sarah frappe jusqu’à ce que toutes les feuilles soient parties. Diane se mord les lèvres, des grosses larmes coulent sur ses joues.
— Merci Maîtresse.
Ses mains sont devenues rouges, couvertes de cloques.
— Qu’est-ce que tu en penses, Mia ?
— Ça me fait terriblement peur, Maîtresse !
— Bah… ça pique, c’est tout !
Tu parles !
— Assieds-toi et dégage tes oreilles.
Elle prend un petit bouquet de feuilles, me donne un coup pas trop fort sur l’oreille. Aussitôt, ça brûle, puis un autre, je ferme les yeux, elle accélère. La brûlure et les démangeaisons se font plus intenses. Elle passe à l’autre oreille, plusieurs dizaines de coups rapides, ça brûûûûûule ! J’ai les joues pleines de larmes, moi aussi. Elle arrête enfin… mes oreilles sont en feu, je ressens de cuisantes démangeaisons.
— On a les oreilles bien chaudes, Mia ?
— Oui, merci, Maîtresse, pitiéééé !
Elle passe aux seins. Sarah fouette lentement, en y mettant peu de forces, les aiguillons très fins des orties pénètrent tout seuls dans la peau. Je ressens une cuisson, des démangeaisons intenses, comme si des milliers de fourmis légionnaires mordaient mes seins. Je geins, murmure :
— Je vous en supplie, Maîtresse…
— Tu dis quelque chose ? demande Sarah en accentuant la pression sur le bout de mes seins.
— Non, Maîtresse.
— Tant mieux, parce qu’il reste beaucoup d’orties dans le jardin.
J’ai tellement envie de mettre les mains sur mes seins, imaginant que ça calmerait les démangeaisons ! Enfin, elle s’arrête ! Elle passe ses doigts sur mes seins pour se rendre compte des petites boursouflures.
— Merci, Maîtresse et je… dois faire pipi… Je ne peux plus me retenir !
Elle dit :
— Diane !
Celle-ci accourt, se couche par terre devant moi bouche ouverte. Comme un vrai W-C portatif ! Je m’accroupis au-dessus de sa bouche, je me laisse aller. Diane avale ce qu’elle peut, mais mon jet est puissant : elle en a plein le visage et les cheveux. Quand j’ai vidé ma vessie, elle sort la langue pour m’essuyer. Elle continue à me lécher jusqu’à ce que Sarah dise « ça suffit ! ». Puis, à moi :
— Mia, couche-toi sur la table.
Je mets les pieds dans les étriers, qu’elle écarte au maximum.
Ma chatte se trouve offerte à ces saloperies de plantes.
Je la vois lever un bouquet d’orties entre mes cuisses et « sswwwitch », elle frappe plus fort que sur les seins… Puis les autres suivent rapidement.
— Aiiiiiie ! ! J’ai le feu dans toute ma chatte !
Une chatte, même épilée, c’est moins sensible que des seins, mais je n’en peux plus, je pleure, gémis sans arrêt !
— Pour les fesses, on va faire un truc marrant, dit Sarah.
Ah, d’accord, elle va se marrer, mais moi, ça m’étonnerait ! Elle prend une grosse poignée d’orties, les dispose sur une chaise.
— Assieds-toi lentement.
Je m’assieds, et aussitôt mes fesses sont envahies de brûlures.
— Debout !
Elle remet une poignée de feuilles.
— Plus lentement maintenant…
Je descends lentement et je sens les feuilles me brûler… lentement… Jusqu’à huit fois… J’ai les fesses en feu !
— Ça va, Mia ? me demande Sarah.
— Ça me brûle terriblement, Maîtresse…
— Alors on arrête… à condition que tu me remercies avec… chaleur.
Je me mets à genoux, je tends les mains jointes vers elle :
— Merci Maîtresse de m’avoir punie.
Sarah me regarde, de haut fatalement, me traîner à ses pieds, la remercier maladroitement d’une punition injustifiée.
— Tu fais ça sans beaucoup de conviction, va t’asseoir dans le panier sur ce qui reste d’orties.
Je la regarde. Elle plaisante ou quoi ? Oh non ! Je vais m’asseoir en gémissant, remets les fesses dans les feuilles.
Elle m’y laisse quelques minutes, puis me dit :
— Remercie, maintenant !
Je me dépêche de me relever, me précipite à ses pieds, et je lèche ses bottes en remerciant de la façon la plus servile possible. En fait, c’est vrai, je la remercie beaucoup mieux que la première fois !
— Voilà, c’est mieux. Maintenant, on va faire quelque chose pour calmer les démangeaisons.
Aïe ! Qu’est-ce qu’elle va encore inventer ? Je la regarde.
Elle fait signe à Diane, qui sait de quoi il s’agit, et enlève son jean. Sarah fait de même.
— Couche-toi sur le dos.
Diane se met au-dessus de moi. Elle me regarde, puis ferme les yeux. Je ferme les yeux, moi aussi. Elle se met à pisser, debout, sur mes seins et mon visage.
Mais pourquoi faire ça ? Et puis je me souviens : l’urine contient de l’ammoniaque et calme les piqûres de méduse, par exemple. Cela fonctionne aussi pour les orties. Les démangeaisons s’atténuent progressivement. J’ai de la pisse partout, mais ça me soulage. Quand Diane a fini, Sarah vient se placer au-dessus de moi… elle a une chatte rousse.
Elle pisse sur mon sexe, puis remonte vers mon visage.
— Ouvre la bouche !
— OK.
Quand elle a fini, elle me dit :
— Alors ?
— Ça calme les démangeaisons… merci, merci… Maîtresse !
Elle s’accroupit sur mon visage, colle sa chatte mouillée à ma langue, que j’ai sortie. Sarah change de position, elle met les genoux de chaque côté de mon visage, s’abaisse, frotte sa chatte sur mon visage, en particulier sur mon nez.
C’est comme si mon visage ne formait plus qu’un avec sa… vulve mouillée. Elle fait durer jusqu’à ce qu’elle jouisse !
A suivre.
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