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Chroniques d’Xhamster – Marie (4)

Chroniques d’Xhamster – Marie (4)



Partie #4

Petite nuit. Toute petite nuit. 8h du mat, le réveil qui sonne. Ça pique. Je dois être au taf’ à 9h30… ça va pas le faire… Employé modèle, jamais à la bourre, jamais malade… merde, je peux me permettre un petit écart pour une fois. François, mon boss, m’a à la bonne… il va pas en faire un drame. Juste un sms…
« François, je me sens pas bien. J’ai vomi toute la nuit. Je vais pas pouvoir venir aujourd’hui. Je suis désolé. » Un bon gros mytho des familles.
Quelques minutes passent. J’allais juste me rendormir quand je reçois sa réponse.
« OK, soigne toi bien. »
Déjà un problème de moins… Je vais pouvoir dormir encore un peu… juste un peu…

Toc. Toc. Toc.

Toc. Toc. Toc. Réveil en sursaut. Merde, quelqu’un frappe. Un coup d’œil rapide à mon tel et je découvre avec stupeur qu’il est déjà 13h passée. J’enfile un boxer en vitesse et me dirige vers la porte. Je regarde par l’œilleton et, surprise, un visage familier… enfin, le visage de quelqu’un que j’ai rencontré hier pour la première fois pour être plus précis. Sarah, AKA. la fille du Monop’, fait le pied de grue devant ma porte. Des baskets, un jean moulant, une veste bleu et un chemisier blanc. A la main, un sac en tissus.

-« Je sais que t’es derrière la porte, je t’ai entendu débouler derrière, banane ! Je viens aux nouvelles… et je t’ai même apporté à manger. » Et elle conclue en me tirant la langue.

J’ouvre la porte. Elle sourit en me voyant. « Pas de serviette autour de la taille pour m’accueillir aujourd’hui… mais torse nu et en boxer… décidément tu t’habilles jamais toi ! ».
« Rentre », lui dis-je. Elle s’exécute, tout en me dévisageant de haut en bas. Je referme la porte derrière elle.
-« C’était l’heure de la pause déj et notre petite aventure d’hier soir m’a pas mal fait cogiter, tu vois… j’avais très envie de découvrir ce qu’il y avait dans la lettre que je t’ai apporté. » Sarah me parle en déambulant dans mon salon comme si elle était chez elle. « Tu as mangé ? ». Me demande t’elle en s’asseyant sur mon canapé.
-« Non, pas encore. Je viens juste de me lever. » Je n’ai même pas le temps de finir ma phrase, qu’elle reprend : « Parfait ! J’ai apporté des sandwichs et des viennoiseries. Tu me fais un p’tit café ? » Je n’ai même pas la force de lutter. Son enthousiasme est assez communicatif je dois dire.
– « C’est bon tu as gagné. Tu veux un allongé ou un expresso. Moi je vais prendre un double… j’en ai bien besoin. »
-« Pour moi ce sera allongée et de préférence une double, mais si possible pas trop expresso ! » Me lance t’elle en s’esclaffant. Je ne peux pas m’empêcher de sourire. « Un expresso, s’il te plait », fini t’elle.

Depuis ma cuisine américaine, je la vois qui se déchausse et met les pieds sur ma petite table. C’est qu’elle prend ses aises, la miss. Elle sort de son sac deux croissants et deux pains au chocolat. Un coup d’œil en direction de ses orteils et je constate que ses ongles sont vernis (en rose, comme sa mèche). Elle détecte mon regard et me lance une remarque concernant ma potentielle passion pour le fétichisme des pieds. Et elle me défie en attrapant son pied gauche et en le plaçant derrière sa tête. « Tu n’as pas pu t’en rendre compte hier soir, mais je suis très, très souple. » Son rire raisonne dans mon salon. Je suis tombé sur un sacré phénomène. Sa spontanéité, son humour, son coté sans gène… je suis fasciné. Je reviens dans le salon avec nos deux cafés. Je m’assois sur un tabouret, face à elle. Je réalise que je suis toujours en boxer, torse poil. Ça n’a pas l’air de la gêner plus que ça… pourquoi m’habiller du coup ? Je lui donne son café et je prend un pain au chocolat fort appétissant. Sarah prend alors un air sérieux et me lance :
-« Bien, il me reste 55 minutes de pause. Et si tu me racontais ce qu’il y avait dans la lettre que je t’ai donné hier ? Je meurs d’envie de le savoir ? »

Ce que j’ai découvert cette nuit, une fois la lettre en ma possession, c’est tellement dingue et limite invraisemblable que je ne me vois pas en parler avec un ami. Même avec Marc, mon meilleur pote. Trop gênant. Trop perso. Trop pervers même. Mais tellement fou que j’ai pourtant envie de le crier sur les toits. Putain, c’est digne d’un scénario de film de cul… mais dont je serai le héros. Sarah tombe à pic. J’ai trouvé ma confidente. Mon « partner in crime ». Une complice déjà mêlée à toute cette histoire. Et puis elle m’a apporté le p’tit déj, quand même… je lui dois bien quelques explications.

Présentation de Marie. Sa « disparition ». La lettre. Xhamster. Son profil sur le site. La discussion en cam’ avec Vivi. Le plan de Marie. Ma première épreuve… Je lui dit tout. Dans les moindres détails. Sarah est captivée par mon histoire. Elle m’écoute religieusement. Par moment, elle me lance un « C’est pas possible ? » ou un « Quand même pas ! » et même plusieurs « Tu as osé ? » Je m’amuse à décrire dans les moindres détails ma session webcam hot avec Vivi. Je vois ses yeux qui pétillent et ses joues qui rougissent au fur et à mesure que je lui décris ma nuit.

-« Puis elle s’est déconnectée, juste après m’avoir indiqué que je recevrai mes prochaines instructions sur le site, aujourd’hui. » Sarah me regarde avec des yeux tout ronds et me lance :
-« Et alors, tu t’es connecté pour voir si tu as reçu un message sur le site ? »
-« Non, je n’ai pas encore eu le temps.
-« Mais qu’est ce que tu as attends ? Allez, connecte-toi ! » Elle relève l’écran de mon mac qui était resté sur la table et appuie sur le bouton ON. « Viens t’asseoir à coté de moi et fait moi découvrir ce fameux Xhamster. » Je ne me fais pas prier. Je meurs d’envie de voir si j’ai reçu un message ou un indice. Quelle va être la prochaine épreuve de Marie ? Je commence à pianoter sur mon ordi. Direction Xhamster. Login. Mot de Passe. J’y suis.

Sur la barre, tout en haut, deux icônes clignotent. La première semble m’indiquer que quelqu’un m’a rajouté en « ami ». La deuxième représente une enveloppe. Il s’agit d’un message privé. Je clique sur la première icône. « Voulez vous rajouter Vivi en tant qu’ami(e) ? ». Sarah hoche de la tête. Je clique sur « Oui »et je me retrouve sur son profil. Son avatar, une paire de sein en noir et blanc. Subtile. Difficile de déterminer si ce sont bien les siens, mes souvenirs de cette nuit sont tout de même assez vaporeux. Sous son pseudo, son dernier statut : « Belle perf’ cette nuit, Bob. » Merde c’est mon pseudo. Elle parle de moi. Je parcours rapidement sa description quand tout à coup Sarah s’agite en pointant du doigt la partie droite du profil de Vivi : « Putain, mais c’est pas toi sur la vidéo, là ? ». Dans l’onglet « Dernière ajoutée » de la partie « Vivi vidéos », une miniature animée d’un homme assis sur un canapé, en pyjama, braguette ouverte, la bite en main. En bas à droite de la miniature, en tout petit, une femme masquée, les jambes écartées, un gode profondément enfoncé dans sa chatte. Le doute n’est pas permis. En dessous, la description de la vidéo : « Bob fait son show (chaud 🙂 ! » Stupeur. Silence gêné. Sarah me regarde droit dans les yeux et me dit : « On dirait que ta prestation a été, comme qui dirait, immortalisée pour la postérité. » Comment ai-je pu me faire avoir comme ça ? Un vrai noob. Je sais très bien qu’il existe des logiciels qui permettent de faire des captures vidéos d’écrans d’ordi… mais pas à un seul moment j’ai pu imaginer que Vivi aurait fait ça… Sarah me prend l’ordinateur des mains et clique sur la vidéo. « Voyons voir si ça correspond à ce que tu viens de me raconter. » Je n’essaye même pas de l’en empêcher. A ce stade, c’est trop tard… et j’ai besoin de voir ce qu’elle a posté.

La vidéo se lance en plein écran. Il n’y a pas de son. La vidéo a été montée et commence au moment où je me caresse. Mon visage a été flouté. Je pousse un soupir de soulagement. Un coup d’œil rapide et je me rend compte qu’il n’y as pas moyen de deviner qu’il s’agit de moi sur la vidéo. Derrière moi, un mur blanc. Pas d’objets reconnaissables en vue. C’est bien moins grave que je le craignais. Elle a rajoutée la chanson « Don’t stop me now » de Queen en fond sonore. Bon choix, je le concède. Sarah hallucine. Un sourire coquin se dessine sur son visage. « Et bien, tu t’es bien amusé j’ai l’impression. » Mon angoisse laisse petit à petit la place à l’excitation… l’excitation d’avoir été exhibé. L’excitation de voir Sarah me mater. La vidéo me met assez bien en valeur, je dois l’avouer. Cette excitation finie par se ressentir dans mon boxer. Cela n’échappe pas à Sarah qui s’empresse d’écarter ce dernier pour libérer mon sexe tendu comme un « i ». Tout en me matant sur l’écran de mon ordi, elle saisit ma bite avec vigueur et commence à la branler, s’adaptant au rythme de mes mouvements dans la vidéo. Je me laisse bien sûr faire avec plaisir. La vidéo s’arrête juste après mon éjaculation et se conclue avec un écran noir et l’inscription suivante : « Merci pour ce moment… Bob. » Une deuxième vidéo se lance alors automatiquement. Cette fois, c’est une vidéo de Vivi en train de danser en sous vêtements dans son salon. Elle porte le même masque qu’elle avait hier soir. La chanson : « This is What you Came For » de Calvin Harris et Rihanna.

Les yeux rivés sur l’écran de l’ordinateur, Sarah fouille dans son sac et en sort une capote. Sa main gauche continue de me caresser. D’un coup de dent, elle retire le préservatif de son emballage et, sans un mot, le déroule lentement sur mon sexe. Elle me regarde et pose son index devant sa bouche me faisant mine de me taire. J’obéis. Elle se débarrasse de son jean et de son string et vient s’asseoir sur moi. Elle me tourne le dos. Ma queue s’enfonce avec une insolente facilité. Je la prend par la taille. Elle se penche légèrement en avant, les mains sur les cuisses, et sans quitter les yeux de la vidéo de Vivi, elle me chevauche avec fougue. Mon plaisir est total. Je remonte ma main droite le long de sa colonne et empoigne sa nuque, puis son cou avec fermeté. Au fur et à mesure que ma main se resserre je sens ses va-et-vient qui s’accélèrent. Sur la vidéo, Vivi, à présent nue, à quatre pattes et son cul face caméra, se doigte avec frénésie.

Exhibant ainsi son trou du cul béant, sa chatte bien ouverte… Vivi gémit avec force… Sarah la fixe avec une intensité non dissimulée. Sa respiration est de plus en plus forte. Ses mouvements de plus en plus forts. « Oui… Hannn… Oui… » Elle impose sa cadence et me chevauche avec envie. « Je te sens si bien… » Elle saisit ma main gauche et la dirige vers sa chatte. Elle oriente mon majeur sur son clitoris et pilote mon doigt de haut en bas. Je m’exécute et la branle avec énergie. Elle se penche alors en arrière, son dos se collant contre mon torse et relève ses jambes pour poser ses pieds sur mes cuisses. « Oui… Oui… continue… » Les mouvements se font plus appuyés, plus intenses. Tout à coup ses orteils se recroquevillent, ses ongles de pieds me griffent les genoux. Ma main est trempée. Sa chatte est trempée. Ses mouvements ralentissent. Je sens sa mouille couler le long de mes bourses. « Putain… » s’écrit t’elle. « C’était bon ! » Un petit mouvement latéral et elle se rassoit à coté de moi. Ma bite dressée demande clairement son reste. Elle retire la capote et la fait valser dans mon salon en tirant dessus comme sur un élastique, finissant ainsi collée sur mon écran TV, en face du canapé. « J’ai sauté sur l’occasion… tu m’en voudras pas ? Mais par contre, tu vas devoir te finir tout seul car je dois être de retour au taf dans dix minutes. » Non je ne lui en veux pas. Pas le moins du monde. Je continue de nager en plein délire.

– « Si je comprend bien, le p’tit déj, je te l’ai payé en nature donc ? »
– « On peut dire ça… Mais avoue que ça t’a fait kiffer. » Me lance t’elle, le sourire en coin et les yeux pétillants de malice.
–  » Disons que je me suis laissé faire avec plaisir… Mais tu aurais pu finir le travail quand même. »
– « Alors là je t’arrête tout de suite. Rappelle toi que tu t’es déjà vidé deux fois en moins de 24h. Dont une entre mes seins, pas plus tard qu’hier soir dans le couloir de ton immeuble. Je pense que j’ai suffisamment « travaillé » (elle mime les guillemets avec ses doigts) pour toi aujourd’hui. »
Je ne peux qu’acquiescer. Elle ramasse son jean et l’enfile… sans manquer de me foutre son cul contre le visage. Mais quelle putain d’allumeuse. J’y crois pas. Elle saisit ensuite son string et me le jette à la figure. « Tiens t’auras qu’à te masturber avec, ça te fera penser à moi. » Et elle poursuit : « Bon, avant de partir j’aimerai bien lire le message que tu as reçu sur le site. »

Le message. Putain, je l’avais oublié. Sarah se re-colle contre moi. Je clique sur l’enveloppe. L’interface de chat apparaît. Un nouveau message de Marie. Un lien html et le mot « webcam ». Je clique sur le lien et j’arrive sur une nouvelle page Xhamster avec le message suivant : « Cette vidéo nécessite un mot de passe. Téléchargé par Marie ». Je tape le mot « webcam » et presse le bouton OK.

Une vidéo se lance. C’est Marie. Face caméra. Un plan rapproché de son visage. Derrière de la végétation. Elle semble se filmer avec son téléphone portable dans un parc.

« Vivi m’a tout raconté. Tu as réussi ta première épreuve avec brio. Pour me retrouver et remporter ta récompense, il te reste 6 défis à relever.
Ta prochaine mission est de participer à un trio sexuel Homme, Femme, Femme. Tu as 72 heures pour réussir ce défi. Il ne sera validé que si tu fournis une preuve photo ou vidéo de ton exploit. Bonne chance. »

Et la vidéo s’arrête. Sarah se tourne vers moi et me lance : « Tu as du pain sur la planche, Rocco. »

[A suivre]

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