-EXCUSEZ MOI POUR LES FAUTES, MAIS JE DETESTE ME RELIRE- Dominique
-« Je roule depuis 6 heures, chérie, je vais m’arrêter à la prochaine station, c’est dans 5 bornes, tu n’as pas soif ? La voiture si… »
-«Oui mon chéri, on fait une pause, j’en ai marre aussi, il reste encore bcp de route »
L’aire des Corbières sur l’A61, encore 3 minutes et nous y serions.
-« je dois me rhabiller tu crois ? » dit ma femme, en me regardant, depuis le siège passager, complètement couché.
– « je pense que tu peux à minima remettre ta robe, je sais qu’il fait chaud mais bon, le monde n’est pas naturiste, hélas.. »
Le siège électrique de la BM la remonta doucement et ma belle se réveilla un peu plus. Elle dormait, nue, juste sur une serviette de plage pour se protéger du cuir des sièges pas toujours agréable directement sur la peau, depuis Toulouse. Sa robe et son soutien gorge jetés sur les siège arrières de la voiture. Elle se retourna, se mit à genoux pour récupérer sa robe, je lui passait la main sur ses fesses rebondies, descendant sur les cuisses, et remontant vers sa petite chatte entièrement épilée.
-« hum, arrête, j’ai trop envie de caresses, ce soleil qui me chauffe, c’est comme une sorte d’enveloppe de sensualité. »
Je ralentis alors pour m’engager sur la voie d’accès à la station.
Comme toujours lors des départ ou retour de congés, une file de 4 ou 5 voitures attendant à chaque pompe nous promettaient un arrêt plus long que prévu.
– « veux tu faire un tour dans la station pendant que je fais le plein, je te rejoins ensuite pour manger une glace ? »
– « oui, rejoins moi vite, je vais aux toilettes me rafraîchir »
Sa robe boutonnée et ses mules enfilées la voilant descendant de voiture, sans rien d’autre que le tissus fin, blanc et vaporeux.
« Au moins comme ça aucune chance qu’on voit les marques de soutien gorge » pensais-je.
La regardant s’éloigner, je la trouvais encore plus belle, plus belle que la veille, plus belle chaque jour. Elle se retourna pour me regarder après quelques mètres, elle savait que mon regard ne la quittait pas, que son imposant fessier me tenait en haleine tout le temps. Elle passa sa main sur ses hanches pour les descendre vers ses fesses, comme dans une promesse d’un moment suave et chaud.
Je pense que ce geste n’échappa pas au conducteur de la voiture placée à ma gauche, ni a sa femme, qui par ce qu’il souriait à ce geste sensuel, l’engueula sérieusement. Il me jeta un regard furtif par dessus l’épaule de sa femme, et je vis toute la détresse de l’homme incompris, et malheureux malgré l’amour qu’il porte sûrement à sa compagne.
La radio annoncé des temps de parcours beaucoup trop long à mon goût, je cherchais donc via mon smartphone une étape pour dormir ce soir ; nous partirons tôt demain matin, pour être à l’heure à notre rendez vous, tant pis.
Ce sera vers Sérignan.
La file avançait doucement, mon tour fini par venir, après 10 bonnes minutes d’attente. La voiture n’avait plus soif, je la garais donc à l’ombre.
La station service ressemblait plus aux Grands Magasin parisiens les jours de soldes qu’un un simple relais d’autoroute, j’eu du mal à retrouver ma belle.
« Alors cette glace chéri, on la mange ?»
« Oui, bien sûr, il va falloir encore faire la queue ! » lui dis-je
« oh, moi j’aime bien faire la queue, surtout avec toi. » me dit elle au creux de l’oreille, en se collant à moi et en glissant une main vers mon sexe.
« ah oui ? Toi tu t’es faites draguée par un mec qui te plait…. »
« non, tu te trompes »
« pourtant j’aurais juré… alors c’est quoi ? »
« par 2 mecs, 2 beaux jeunes hommes, des auto-stoppeurs qui demandent aux clients s’ils ont 2 places pour Montpellier. Il m’ont flattée, en me disant que si j’étais fatiguée, ils peuvent conduire. Je leur ai dis que mon mari est un superman du volant. Ils avaient l’air déçus »
« oh dommage, hein » dis je sur un ton faussement ironique.
« Ils sont trop jeunes pour moi, chéri, tu sais que ce n’est pas mon truc, mais ils etaient sympa en tout cas. »
Devant le glacier, le choix etait assez limité.
« Sorbet Framboise et citron pour moi et glace café et noix de coco pour ma femme s’il vous plait ».
« Allez vous installer on vous apporte ça, il y a de la place dehors à l’ombre des arbres. »
La glace etait bien rafraîchissante et assez bonne pour une glace d’autoroute.
« Je pense qu’on va s’arrêter en route ma chérie, ils annoncent de gros bouchons vers montpellier et on ne sera pas chez nous avant tard dans la soirée vu le rythme, je te propose un arrêt ver Serigan, un bain de mer et on décolle tôt demain matin, il restera 2h30 de route pour être à 9h à Aix en provence. »
« Yessss ! c’est encore un peu les vacances, je ne connais pas Sérignan, on pourra trouver un coin naturiste tu crois ? »
« Oui sans problème, on s’écartera un peu de la foule et trouvera bien un coin tranquille, de toute façon en fin d’après midi sur la plage c’est plus calme »
« calme, calme, c’est une question de point de vue, si tu veux dire qu’on ne risque pas un ballon dans la tête ou mamie et ses mots croisées, ok, par contre tu sais que c’est à cette heure que sortent les loups. »
« Oui, je sais, mais là un dimanche de fin de vacances, au mois d’aout, ils vont tous être avec bobonnes. »
« peut être, ou pas. Mais en tout cas, j’ai surtout envie de me baigner, et d’avoir la paix. On y va ? Tu as fini ? »
Nous marchâmes vers la voiture, mon bras droit enlaçant les hanches de ma belle, puis descendant vers ses fesses pour les flatter à travers le tissus, et faire un peu de provocation à tous ceux qui nous regardaient.
« humm, j’adore quand tu me touches les fesses »
« et moi j’adore te les toucher. »
Malgré l’ombre, la voiture etait chaude, nous descendîmes les vitres afin de la ventiler en sortant du parking, via le parcours en double chicanes.
« Tiens chéri, ils font du stop, les 2 jeunes de tout à l’heure. Tu les vois là bas ? »
« oui je les vois, tu veux que les prennent ? »
« je ne sais pas trop, j’aime bien être tranquille en voiture, et à l’aise. »
« comme tu veux. »
« bon, allez vas y, prenons les, ils avaient l’air sympa. »
Arrivés au niveau des 2 jeunes, nous ralentîmes. La vitre toujours ouverte, ma femme leur dis :
« on va vers Montpellier, Sérignan en fait, si vous voulez on a de la place. »
Ils la reconnurent de suite, et leur franc sourire en dis long sur leur soulagement.
J’ouvris la malle arrière de la voiture, fis de la place pour leurs sac, et les invitais à charger.
« Dominique, bienvenu à bord »
« Loic et Jérome, merci de votre gentillesse, on commençait à perdre espoir, car toutes les voitures pleine de familles n’ont aucune place pour nous. »
« Enchantée, moi c’est Christiane, j’espère que vous êtes bien installé à l’arrière ? »
« Oui, merci, super voiture, il y a beaucoup de place à l’arrière, et c’est très confortable »
« ah oui, on a pas souvent l’occasion de monter à l’arrière, c’est bien de le savoir. » dit ma femme en me lançant un regard complice.
Nous échangeâmes des banalités sur nos vies, leurs fin d’études, ils venaient de terminer un voyage de 2 ans à l’étranger après leur école d’ingénieur. Ils se faisaient une semaine de vacances dans le sud avant de reprendre le boulot sur Paris.
Je leur dis qu’ils pouvaient dormir car nous allions rouler doucement, vu la densité du trafic.
Ma femme demanda, si elle pouvaient un peu coucher son siège pour somnoler, la réponse fût bien sur positive, vu la place à l’arrière.
La boite automatique a des vertus sympathiques, en particulier celle de pouvoir avaoir toujours la main sur la cuisse de ma femme, les vitesses passant toute seules.
J’aime, lors que je conduit, poser ma main sur sa cuisse, qu’elle soit en pantalon, robe, jambes nues ou gainées de soie ou nylon, j’aime ça. J’aime la caresser doucement.
Ma main se posa donc sur sa jambe,entre le tissus et la peau, elle me la pris me la caressa, et la fi remonter un peu, et la déplaça vers l’intérieur de sa cuisse.
La BM a de grandes places à l’arrière, mais aussi et surtout à l’avant, je dois me déplacer légèrement afin de pouvoir atteindre l’intérieur des cuisses de ma belle.
Je jette un œil dans le rétro intérieur, et je vois que le jeune homme derrière moi regarde la cuisse dénudée de Christiane, quand il s’aperçoit que je le vois, il détourne le regard. J’attends qq seconde, puis nos regards se croisent à nouveau dans le miroir, je souris d’un air complice avec un imperceptible hochement de tête, il comprend alors qu’il peut regarder avec ma bénédiction.
Il se déplace un peu dans le cuir du siège comme pour chercher une position confortable, mais surtout pour mieux voir les cuisses dorées de ma belle.
Son ami s’est endormi sur le siège derrière Christiane, il respire fort, preuve sûrement de la fatigue du voyage.
Je tourne la tête vers Christiane, lui fait un signe de tête pour lui indiquer de regarder derrière tout en en lui caressant la cuisse plus haut afin de lui dénuder encore plus. Elle se retourne, et sourit à Jérome. Avant de se recoucher dans le siège, elle abat le pare-soleil et ouvre le miroir de compagnie, sous le prétexte de se recoiffer, puis le dirigeant vers ses cuisses, afin de facilité la vue à notre complice, s’il jamais il a envie de regarder, me prononce dans un murmure, un « il fait chaud ».
Elle tourne un peu plus les jambes vers moi, déplace son dos vers la portière, et ouvre les 3 boutons du bas de sa robe. Je caresse la peau douce et fine de l’intérieur de ses cuisses, ma main remontant vers haut, mon petit doigt venant parfois effleurer ses grandes lèvres. Elle ne jette aucun regard vers jérome , elle sourit, les yeux mi-clos et le sourire ravageur. On ne peut rien lui refuser dans des moment comme ça. Elle se tortille doucement sur le siège comme une ondulation lente, et infiniment gracieuse.
Elle ouvre la boite à gants, sort un vibro de poche et de l’huile de massage, remet le vibro à sa place, non s’en l’avoir exposé ostensiblement à la vue de jérome.
Elle ouvre la flacon d’huile, en dépose quelques gouttes sur ses cuisses pour facilité la courses des mains.
La mienne court lentement sur sa cuisse évitant son intimité pour le moment, en y frôlant juste l’entrée, par moment.
Autour de nous dans les bouchons, les gens font la gueule, nous sommes hors du temps et du lieu.
Elle ouvre maintenant entièrement sa robe, dépose encore de l’huile sur sa poitrine généreuse et commence à la masser, elle remonte le pare soleil pour croiser le regard de notre voyeur, elle lui sourit.
Dans un petit signe de la main, elle l’invite à se rapprocher. Il hésite, cherchant à comprendre ce qui lui arrive (nous saurons plus tard que c’est une première pour lui), et à ne pas réveiller son compagnon de route.
Il détache la ceinture de sécurit pour s’approcher et regarder de plus prêt, à quelques centimètres maintenant.
Ma femme ouvre alors le flacon et lui fait signe de tendre la main. Il s’exécute.
Les gouttes d’huile qui tombent vers sa main semble être une éternité.
Elle referme le flacon le place dans le vide poche revient vers notre jeune ami, lui prend la main et la guide vers sa poitrine.
La main ouverte, comme pétrifié, il se laisse guidé. Elle a emprisonné son poignet, et se sert de sa main comme un gant de velours pour parcourir ses seins. Elle se caresse à travers lui pendant plusieurs minutes, les yeux fermés, la langues passant légèrement pour mouiller ses lèvres.
Elle fait descendre sa main sur son ventre rond comme pour s’assurer qu’il aime ça, puis ses hanches. Elle le libère, et me regarde en se mordant la lèvre inférieure.
La main de Jérome hésite toujours, elle va doucement, effleure plus que ne caresse.
Petit à petit, il prend de l’assurance.
Devant moi ça freine fort même si je suis très attentif, je dois freiner plus fort que prévue,dans mouvement un peu plus brusque se cogne à Loic, qui se réveille, et commence à parler, Jérome lui fait signe de se taire, et se replace au fond du siège, la magie retombe.
C’est là que ma femme est une merveille, se tournant vers Loic, elle lui dit :
« tu veux me masser aussi avec de l’huile ? »
Ne comprenant pas tout de suite de qu’elle voulait dire, il chercha du regard de l’aide, une explication.
« Elle adore ça, et moi je tiens le volant, la route va être encore longue alors si ça ne vous dérange pas de vous occuper de ma femme, ce sera un plaisir pour elle.»
Je sais par expérience que beaucoup d’hommes jeunes aiment les femmes plus âgées, c’était mon cas déjà tout jeune. Aimeront-il une femme pulpeuse et ronde ? j’en suis sûr, rares sont ceux qui ne sont pas sensible à la volupté affichée de mon épouse dans ces moments là.
Jérome reprend alors sa place, Christiane se replace au centre de son siège, att**** l’huile, remet en place la serviette de bain entre son dos et le cuir, et dit à Loic :
« ouvre ta main, ça glisse mieux avec ça, et puis tu as la meilleur place pour me masser le devant des épaules et les seins, non ? »
c’est là que tout le sens du mot abasourdit prend son sens : comme figé, la bouche ouverte, débarquant d’on ne sait où Loic ne bouge plus, ne parle plus, ne pense plus.
« Loic, houhou, revient à toi, si tu ne veux pas laisse moi ta place. » lui dit Jerome.
« Euh non, non, mais, comment dire, je .. »
« Ne dit rien, occupe toi de Christiane, et fais silence, je sais que ça va être dur pour toi ! »
Petit moment de rire, qui détend l’atmosphère, nous avions remarqué que Loic etait très volubile et très cultivé, très intelligent, j’ai vu des le début que c’est lui qui plait le plus à ma douce, avec en plus son physique de rugbyman.
« Bon, moi je me laisse faire, je profite du voyage et de la compagnie de ces jeunes gens. J’espère me souvenir longtemps de ce voyage, messieurs. »
à suivre…….
La suite svp. 🤗