En 2003, on squattait le cybercafé municipal et du coup, on allait entre autre sur le chat de caramail. Connectés, Aziz envoie un « J’ai envie de niquer » et on ne s’attendait pas à ce qu’une femme réponde. Quelques secondes après, une personne sous le pseudo « réunionaisedu49 » nous répond : « Moi aussi » et on a commencé à discuter avec elle.
Elle nous donne rendez-vous la semaine prochaine sur Cholet mais aucun de mes potes ne voulaient y aller. Elle nous file son numéro de téléphone et m’envoie une photo d’elle. Pendant toute la semaine, elle m’a adressé des messages hot et je pensais que ce n’était que de la gueule.
Du coup, c’est seul que j’ai pris bord dans le TGV en direction de Nantes. Je me suis arrêté à Angers, puis j’ai pris le TER en direction de saumur et je suis descendu à Cholet.
Sur le quai, elle m’attendait effectivement sur le quai de la gare. Elle me voit puis viens à moi, me salue et me tire en dehors de la gare. Puis, elle m’invite à entrer dans sa voiture avant de me lancer que sa chatte avait pleins de toiles d’araignée et qu’elle comptait sur moi.
Je ne savais pas si je devais rire ou si j’étais tombé sur une psychopathe.
Elle sort du parking de la gare et se met en direction de chez elle. Elle m’explique que ses parents sont sortis et qu’on aura la maison pour nous tout seul. Par contre, elle me met en garde qu’elle n’aime pas les petits puceaux qui giclent au bout de 10 secondes.
Elle pose sa main sur ma cuisse mais je n’étais pas totalement à l’aise avec elle. Pourtant, ses gestes ont provoqué une érection de mon sexe sur lequel elle commençait à poser ses doigts.
Elle me regarde et me lance, on dirait que le petit oiseau est de sortie. Puis, ajoute que ce qu’elle aime, c’est les grosses teubs.
Après 10 minutes de trajet, on arrive chez elle et elle me dit qu’on va entrer par le bas qu’elle me fait visiter. Elle fait un crochet par sa chambre pour prendre des capotes et m’invite à monter à l’étage. Une fois sur place, elle me lance que ce qu’elle aime, c’est d’être prise comme une salope sur la table.
Elle s’agenouille devant moi et baisse mon short pour me sucer la bite. Et, il faut bien reconnaître qu’elle savait bien s’y prendre. En moins de deux minutes, j’avais une bite toute dressée. Elle me met une capote et me lance un regard de braise qui voulait tout dire.
Elle se relève et met son vagin au niveau de ma bite. Mon sexe entre en elle sans aucune difficulté et je commence à faire des vas et vient en elle. Je commence à l’entendre à gémir et elle me lance qu’elle aime trop la bite. J’étais plus à l’aise qu’au début mais j’étais concentré sur ce que je faisais. Au bout de 10 minutes, je jouis dans la capote et elle me dit que pour un gars qui avait envie de niquer, j’étais endurant.
Elle me regarde et me demande ce qu’on pouvait bien faire ensemble. Ce à quoi, elle m’a répondu qu’elle savait ce qu’on allait faire.
On sort à pied et m’entraîne dans des ruelles jusqu’à arriver dans un champ. A ce moment-là, elle me lance que moi, le banlieusard, ne dois pas avoir l’habitude de me faire sucer dans un champ. Puis, elle me prend la main et s’y engage. Au milieu, elle s’agenouille à nouveau et baisse mon short puis, elle prend mon sexe qu’elle met entière dans la bouche. Elle a une façon bien à elle de passer sa langue sur mon sexe. Je prends du plaisir au milieu de nulle part et elle en prend à m’en donner. Elle me regarde tout en me suçant puis d’un coup, me dit qu’elle a envie que je gicle dans sa bouche. Sa demande m’a surprise car à 19 ans, ce n’était pas quelque chose à quoi j’aurai pensé pendant l’acte. Elle commence à accélérer que j’ai du mal à me retenir. Elle le sent et pose sa main sur mes fesses pour être sûre de ne pas louper une goutte. Quant à moi, je n’étais pas à l’aise mais que c’était agréable ses coups de langue sur mon sexe après avoir joui.
Elle se relève et me dit que mon sperme a un bon goût et qu’elle commence à aimer mon sexe. Puis, elle décide de rentrer chez elle. Je la suis, puis elle me fait entrer dans sa chambre où elle me raconte sa vie. Puis, elle s’arrête et me lance qu’elle va prendre une douche.
Sans un mot de plus, elle se dirige vers la salle de bain. Puis, je commence à entendre l’eau couler avant de l’entendre m’appeler. J’arrive et devant son invitation, j’enlève mes vêtements. Je bande bien fort et elle l’observe avec soin et gourmandise.
Le temps se fige que j’ai l’impression d’être en apesanteur, d’observer un rêve. Mais non, je ne rêve pas !!! Les images qui m’ont torturé toutes les nuits précédentes sont en train de se réaliser.
Elle est magnifique, désirable à souhait et l’eau qui coule sur son corps met parfaitement en valeur ses seins. Elle est toute nue devant moi, me dévoilant ainsi son sexe rasé.
Cette vision donne à mon érection une toute autre ampleur. Voyant cela, Laurence se colle à moi. Puis elle saisit mon sexe tout en m’embrassant. Sa peau contre la mienne, nos caresses décuplent notre excitation.
Son regard parle pour elle. Je la laissai donc prendre les rênes pour le moment.
Elle s’accroupit et me prend en bouche. J’aime sentir sa langue jouer avec mon gland. Mon sexe continue de grossir et de bander grâce à la douceur et à l’expertise de ma tortionnaire !
Oui tortionnaire, car c’est un supplice de résister aux caresses qu’elle m’offre, tant avec sa langue, qu’avec ses mains qu’elle promène sur mes fesses et mes testicules qu’elle fait rouler. Le plaisir est divin, et il faut que je me concentre pour ne pas jouir de suite au fond de sa gorge.
Après dix minutes de ce traitement de choc, je finis par craquer. Je sors de ce doux fourreau, crie mon plaisir et jouis. De grands et longs jets de sperme viennent s’écraser sur ses seins. Elle me sourit et me reprend en bouche pour extraire les dernières gouttes.
Je veux moi aussi lui donner du plaisir, je la relève donc et la colle contre le mur carrelé de la douche. Puis je descends doucement au creux de son entrejambe pour y introduire ma langue. Ses lèvres sont gonflées et toutes humides. Son clitoris est tendu d’excitation. Chaque coup de langue sur celui-ci lui provoque des tremblements. J’aime la sentir frémir sous les caresses précises que je lui procure.
J’introduis maintenant un doigt dans son anus. Elle crie son plaisir. Ses jambes ont du mal à la tenir. Elle s’assoit sur mon visage une main contre la paroi de la douche, l’autre plaquant ma tête contre son sexe. Des spasmes la traversent, et un énorme orgasme la fait hurler. Mon visage est couvert de mouille, je m’en délecte. J’aime son goût légèrement amère et salé qui envahit mon palais.
Laurence reprend lentement ses esprits et elle me relève. Nous sortons de la douche, et d’un simple coup d’œil, elle constate en souriant que mon sexe est de nouveau opérationnel. Elle a sans doute, je le vois dans son regard gourmand, envie de me sentir en elle. Mais n’a pas le temps de me le dire, préférant laisser parler ses yeux.
Je l’ai déjà collée contre le miroir de la salle de bain et la pénètre sans peine tant elle est humide. Elle sent mon sexe envahir le sien doucement, centimètres par centimètres, pour atteindre le fond de son vagin. Je commence de longs et doux vas-et-viens, mais très vite elle me demande de ressortir et de changer de position car elle sent un nouvel orgasme monter : « je ne veux pas jouir trop vite, Ahmed ! » murmure t-elle.
Je m’exécute et je la prend dans une position qu’elle aime. Elle me l’a confié plusieurs fois par texto pendant toute la semaine d’attente. Je la soulève, elle s’accroche à mon cou, comme suspendue dans les airs. Je la maintiens grâce à mes mains sous ses fesses. Elle sent mon gland à l’entrée de son vagin, et je la laisse descendre dessus et s’empaler. Elle sent toute ma longueur l’envahir. L’intérieur est bien chaud.
Je commence alors un mouvement de branle en elle, en la soulevant et en accélérant la cadence. Les frottements s’accélèrent. Cinq minutes de ce traitement et nous changeons de nouveau de position pour les mêmes raisons, à la différence que cette fois-ci moi aussi je me sens au bord de l’orgasme !
Je sors d’elle et la soulève dans mes bras pour la mettre en appui sur le lavabo. Je sens son vagin se contracter autour de mon sexe. Elle entre ses ongles dans mon dos. Elle se cambre et jouit en me regardant droit dans les yeux. Cela a pour effet immédiat de me faire jouir, en osmose avec elle. De longs spasmes, on se regarde dans les yeux… Puis je me retire d’elle et elle s’accroupit et vient de nouveau avaler les dernière gouttes de sève qui s’écoulent de mon sexe, et ça m’affole, cette fille m’affole !
Après une douche rapide, chacun, nous sortons de la salle bain fourbus mais pas éteints. Nous allons dans ma chambre nous reposer, savourer.
Heureux nous nous endormons l’un contre l’autre.
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