Je suis le sultan Rachid El Zeb, connu pour sa sagesse, ses connaissances et sa soif de sexe. Comme tout sultan qui se respecte, je possède un harem avec des femmes venant des 4 coins de la Terre. J’aime venir me ressourcer ici dans ce harem aux fresques avec des arabesques multicolores, des matelas rouge en satin et une piscine. J’ai ma favorite, elle s’appelle Mélina, une femme de couleur mate, des cheveux auburn et des yeux noirs qui me font fondre de plaisir, je fais souvent l’amour avec elle, beaucoup plus souvent qu’avec les autres créatures de rêve du harem. Pourquoi ? Mais parce qu’elle adore le sexe et moi aussi, les autres sont plus réticente, avec elle je peux me lâcher. Tenez ! Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé la dernière fois que je couchais avec Mélina.
Je revenais d’un voyage dans mon royaume et cela faisait quelques jours que je n’avais pas fait l’amour, et cela me rendait totalement excité. Arrivé au palais, je courus directement dans le harem pour aller me faire une des courtisanes. Par bonheur, je suis tombé sur Mélina. Je l’ai pris par la main et nous allâmes rapidement dans ma chambre, où il régnait des parfums, des senteurs de gingembre, de ginseng, etc. J’étais excité, mon sexe me faisait mal, et Mélina me voulait aussi. Je la jetais sur mon lit et je me suis mis à arracher sa robe, je voulais sa chatte, je la voulais par-dessus tout. Je lui écartais les jambes pour découvrir son pubis rasé, je lui léchais la fente en décalottant son clito. Elle gémissait, elle me disait :
– Seigneur ! Faites-moi plaisir ! Je vous veux !
– J’ai envie de toi Mélina ! Ta mouille me manquait dans mon lit de camp.
Je pénétrais ma langue entre ses lèvres alors que je lui palpais les seins, pinçant les tétons pour la faire gémir. Elle criait à chaque coup de langue que je faisais, lorsque j’aspirais son clito et je léchais son pubis. Elle prenait ma tête à deux mains, voulant encore plus.
– Je veux votre sexe, mon sultan. Votre grosse et majestueuse verge.
Sans prier, je me défis de mes vêtements, exhibant une bonne matraque veineuse à faire pâlir certains. Mélina se mit à genoux et commençant à me lécher le gland, je gémis de plaisir et un peu de liquide séminal gouttait au niveau du petit trou. Elle léchait cette goutte et l’avala avec plaisir. Elle me massait les couilles comme une experte tout en gobant de plus en plus ma verge et la masturbant avec sa main libre. Elle me regardait les yeux dans les yeux, comme une vraie salope et çà la faisait mouiller. Elle arrêta de me masser les burnes pour prendre à deux mains mon membre et se mit alors à faire des va et vient dessus, en allant de plus en plus loin dans sa gorge. Je voyais une partie de mon sexe disparaître dans sa bouche, sentant sa langue faire des rotations dessus, j’étais en extase. Elle mit une de ses mains sur son pubis et se masturba encore, montant l’excitation pour nous deux, un filet de bave sortait de sa bouche pulpeuse, continuant malgré la taille de mon pénis à le gober comme une gourmande.
– Allez ! j’ai envie de te prendre la chatte.
– Oui, seigneur ! Faites moi jouir ! J’ai envie de vous dans mon ventre.
Je la mis sur le dos, je voulais voir son plaisir. Je mis ses jambes sur les côtés et je me suis allongé sur elle – c’est la position du tigre dans le Kâma-Sûtra. Je présentais ma verge devant l’entrée de son intimité, titillant avec mon gland son clito et ses lèvres. Je rentrais en elle et là on s’est mis à gémir tous les deux, c’était bon. Je me suis activé dans son ventre, allant de plus en plus vite et profondément, je lui léchais les seins pendant que je la culbutais. Elle me griffait le dos comme une tigresse, c’était le cas de le dire vu la position. On s’embrassait fougueusement, nos langues se cherchaient pendant que je pénétrais comme un fou, elle me mordillait les lèvres tellement qu’elle prenait du plaisir.
– Hann ! Oui ! Seigneur ! Baisez moi comme un a****l !
– Rrrrr ! Oh oui ! Je te veux depuis des jours !
– Aaaaaaahh ! OOOOOhhhhh ! Encore ! ENCORE !
– Tu vas avoir ce que tu mérites, ma petite garce !
Je voulais changer de position, je la mets en levrette. Je veux son cul. Je remets ma verge dans sa chatte et je continue mon pilonnage. 5 jours d’abstinence et je suis fou. Son cul me rend fou, je lui fous des claques, auxquels elle répond par des cris de jouissance et de douleurs. Sa petite rondelle rose est trop joli, j’ai envie de lui mettre un doigt tout en la fessant. Elle fut surprise lorsque je plongeais mon doigt dans son anus mais le plaisir a repris le dessus. Mais je ne voulais pas l’enculer, je savais qu’elle ne prenait pas de plaisir par derrière. Je continuais alors de la prendre en levrette, claquant mes couilles sur son pubis tout en lui foutant des claques sur le cul, ma bite était toute dure, comme du roc tellement j’étais excité. Je lui pris les cheveux comme pour la guider et aller encore plus vite en elle.
– Aaaaaaaaah ! çà fait mal !
– J’ai trop envie, je veux te baiser comme un diable !
– OOooooh oui ! Seigneur ! Mon dieu ! Oui !
– AAAAAhhh ! C’est trop bon !
Je sortis ma bite pour me masturbais la verge sur la raie des fesses. Je lui pris chaque fesse dans chaque main et je serrais sur ma verge que je balançais de haut en bas. Elle se reposait un peu après la fête que je venais de lui mettre. Je remis ma bite dans sa chatte endolorie et juteuse et je remis le couvert. Mon cul balançait sur le sien, je sentais ma bite percutait son intérieur continuant de la martyriser en lui tirant les cheveux !
Je voulais revoir son visage gémissant de plaisir. Elle se mit sur moi, dans la position d’Andromaque, elle s’empala sur mon pieu, je sentais sa mouille couler sur moi, je me suis mis à lécher cette cyprine que j’avais sur les doigts, c’était sucré et chaud, un délice. Elle bougea son bassin, et se remit à haleter de plaisir à chaque fois que son cul claquait sur mon bassin. Ses seins magnifiques m’appelaient, je les prenais à pleines mains, ces nichons qui se synchronisaient avec son mouvement, je lui pinçais les tétons, elle cria :
– Aaaaaaah ! Non ! Mes tétons sont durs ! J’ai mal !
– Attends ! Je continue !
– Nonnnn !! Aaaaahhhh ! Mon dieu !
– Tes seins sont délicieux, ils sont très durs eux aussi. Tu aimes que je les lèche ?
– Oui seigneur ! Faites ce que vous voulez de mes seins !
C’est ce que je fis, je les tirais dans tous les sens. Tout mouvement lui procurait plaisir et gémissements continus. Je mettais mes pouces sur ses tétons pendant que je prenais tous seins dans chaque main. Je les gobais avec plaisir, ma langue titillait le téton qui se présentait à moi. Elle continuait à me chevaucher, mouillant mes draps de son jus sucré. On n’entendait que nos râles barbares dans la pièce, les serviteurs devaient nous entendre à des mètres aux alentours, et çà m’excitait encore.
Je changeais encore de position, je voulais encore effectuer d’autres positions.
– Mets toi sur le côté ! J’ai envie de te prendre comme çà.
– D’accord seigneur !
Elle me souriait à chaque fois que je lui ordonnais de faire un truc. Ce sourire ravageur qui pourrait faire bander un mec homosexuel, c’est pour çà que je pouvais tenir longtemps avec elle, les autres c’était plutôt une affaire de quelques minutes et basta. Mais avec elle, je peux passer des heures à la baiser et la lécher, et nous faisions l’amour plusieurs fois de suite.
Je lui soulevais la jambe pour pouvoir la pénétrer de nouveau. Mon autre main palpait ses seins et je l’embrassais. Nos lèvres se trouvaient et nos langues se tournaient autour, on gémissait l’un dans l’autre, alors que je malaxais comme un malade ses nichons et je la défonçais (c’est le mot), cette petite chatte. Je balançais encore mon bassin !
– Oooouii ! ouiii ! Encore ! Que cette bite est grosse !
– T’en veux toujours plus hein !!!
– Oui ! Continuez maître !
– Je vais encore te baiser, ma petite salope ! Tu le mérites !
– Ooooooui ! Hhhhannn ! hhhhann ! Ma chatte me brûle !
Je lui prodiguais des caresses pendant que je la baisais. Ses cheveux de feu me rendaient fou, son sourire, ses formes, j’étais fier de l’avoir choisi comme favorite. Sa mouille continuait d’inonder notre lit d’amour, coulant sur ses cuisses et les miennes.
Je la pris sur moi, pour faire une posture plus calme car je sentais que j’arrivais vers la fin. Elle se mit de nouveau sur moi, mais j’avais le dos posé sur le mur. Je pouvais alors continuer à lui malaxer les seins pointus pendant qu’elle allait et venait sur mon chibre. Je lui embrassais le cou et je l’écoutais gémir et haleter de plaisir.
– Seigneur ! J’aime votre bite !
– Je sais, on voit que tu prends plaisir à me chevaucher !
– Ooooouiii ! C’est trop bon ! Je mouille comme une chienne en chaleur !
– Mais c’est ce que tu es ma petite salope ! Une chienne en chaleur !
– Oui seigneur ! Continuez de me baiser, j’ai trop envie !
Elle continuait alors de basculer et elle balança de plus en plus rapidement son bassin sur ma verge. Elle se mit plus en avant les mains au niveau de mes pieds pour que ma bite aille explorer des coins moins propices à la baise verticale. Je voyais son cul se trémoussait sur mon engin, et ses fesses rouge de douleur qui continuaient à suinter de sueur et de mouille mélangées. Que c’était bon !
Çà y est ! J’en peux plus, je vais éjaculer si çà continue. On changea une dernière fois de position, celle que j’appelle la posture de la courtisane. Elle se mit devant moi sur le bord du lit, moi à genoux je la pénétrais de nouveau. On s’embrassait comme des jeunes amoureux pendant que je lui enfournais ma bite de plus en plus vite, j’en pouvais plus, j’allais exploser. On gémissait par saccades tellement qu’on se balançait et j’accélérais de plus en plus. Soudain j’ai émis un râle a****l :
– Aaaaaaaaah !! Je jouisss !
Mon sperme se déversait dans sa chatte mais 5 jours d’abstinence ont fait que j’étais bien rempli. J’avais l’impression que mon éjaculation ne se terminerait jamais, les jets se suivaient les uns après les autres, le minou de Mélina débordait de semence blanche qui se mélangeait avec la sueur, la cyprine et la salive des rapports précédents. Je me suis effondré sur elle, toujours avec le sexe en elle, continuant de spermer encore et encore. On s’embrassait et se caressait, je t’aime ma courtisane, je t’aime.
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