La nouvelle voisine
Il faisait froid cette journée là. Les feuilles de couleur jaune et rouge tombaient abondamment à cause du vent de plus en plus fort au fil que les journées d’octobres se suivaient. L’automne nous avait tous pris par surprise cette année, en moins d’une semaine la température estivale chaude et humide de ce superbe été avait laissé place au dure retour à la réalité d’un hiver précoce et glacial.
J’étais habillé de mon habituel manteau à carreau bleu et noir, d’un bon jeans, d’une paire de gant de travail, d’une paire de botte de construction bien chaude et de ma tuque préférée (en raison d’une calvitie qui est apparu dès l’âgé de 19 ans, je n’ai d’autre choix que de protéger du froid cette tête rasée fréquemment à l’instant où la température se refroidi un peu). Un râteau à la main, des sacs poubelles près de moi je me tuais à la tâche de ramasser toutes ces feuilles morte sur le terrain.
Ma femme et mes enfants parties très tôt ce matin en visite chez leurs grands-parents j’avais décidé de rester et de commencer la préparation du terrain pour l’hiver. Soit, ramasser les feuilles mortes, ranger la tondeuse à gazon, m’assurer que la souffleuse à neige soit opérationnelle, etc. j’avais décidé dès le départ que j’arrêterais mes corvées vers midi, une bonne partie des travaux allaient être terminé et je savais que d’autre feuilles allaient finir par remplacer celles que j’avais ramassé ce matin. Allant me chercher une bière je m’installe alors sur la véranda et déguste mon breuvage tout en regardant le quartier tranquille dans lequel je vis depuis plus de 7 ans.
Suite au décès de sa femme, mon voisin avait décidé de vendre sa maison maintenant trop grande pour lui et je savais qu’au prix qu’il demandait, peu de temps allait s’écouler avant l’arrivé de nouveau visages dans le rue. En fait, ils étaient déjà installés depuis plusieurs jours, mais je n’avais pas encore eu la chance de les rencontrer.
Il s’avère qu’aujourd’hui était ma chance car justement je remarquai que la femme avait décidé, elle et sa petite fille, d’aller faire un petit tour du cartier. J’ai donc saisi cette chance pour faire mes présentations et les accueillir dans le quartier.
Je décide de lui faire signe de la main et de m’approcher d’un pas non chaland. Habillé de manière décontracté, cheveux blond châtain allant jusqu’au début du dos, plus je me rapprochais, plus j’avais la sensation de l’avoir déjà vue quelque part. Arrivé à quelques mètres d’elle, il ne fait aucun doute que ma nouvelle voisine n’est nul autre que mon ancienne amoureuse d’il y a plusieurs années. Bien que plus vieille à présent, elle représente encore, selon moi, un modèle de beauté à coupé le souffle. Grande, ni grosse, ni maigre, juste parfait, les yeux perçants, une voix mielleuse et un sourire radieux. Cette dernière me reconnait aussitôt et m’embrasse sur la joue en signe de salutation. Plutôt surpris de la voir ici. Je reste sans voix, moi qui suis généralement bien dégourdie. Finalement, elle brise la glace et la conversation commence. J’apprends qu’elle vient d’acheté la maison, elle et son conjoint, car son appartement devenait trop petit pour leur famille. Depuis qu’ils avaient emménagé mais, elle n’avait pas eu la chance de visité le coin et elle s’apprêtait à le faire au moment où je suis venu la voir.
Plutôt que de rester sur le trottoir j’ai donc décidé de m’offrir en tant que guide. Pendant la visite du quartier, nous nous racontons les évènements qui se sont passé après notre rupture de l’époque. Je dois spécifier quelque chose, notre rupture n’était pas dû à un manque d’émotion de part et d’autre mais bien parce que nous n’étions plus au même stade de notre vie. Ce qui ne fait aucun doute que mes sentiments pour elle ont toujours été forts.
Au retour de la visite je constate que la voiture de ma conjointe est dans le stationnement de la maison, je lui dis au revoir pour finalement retourné chez moi avec le sourire aux lèvres.
Les jours ce suivent et rapidement la moitié du mois d’octobre est passé. Assis sur un banc de parc à lire mon livre pendant que mes enfants jouent dans les aires de jeux, je prends cette journée de congé comme une véritable bénédiction. Ma conjointe est présentement en voyage pour son travail et je dois m’occuper des tâches à maison tout seul, sans compter mon travail et les aides au devoir de mes enfants. Une chance, ces derniers peuvent très bien se débrouiller seul malgré leur âge.
Après avoir pris une petite pause de lecture et profiter de la dernière journée chaude d’automne. Je remarque que ma nouvelle voisine est venue, elle aussi, avec son enfant profiter de cette journée magnifique. Sans attendre, elle s’assit près de moi et commence la conversation, pendant que nos enfants décident de jouer ensemble. Pendant près d’une demi-heure nous échangeons verbalement pendant que nos enfants s’amusent comme des petits fous.
L’après-midi commençant à décliné nous décidons qu’il est temps pour nous de rentrer. Arrivé près de nos maisons respective, je décide de lui proposer de laisser nos enfants s’amuser entre eux encore un peu et de lui montré, a elle, la vue magnifique de la mer de l’autre coté du sous-bois prêt du parc.
Une bonne quinzaine de minutes de marche, de la maison, en passant par le parc et a traverser le sous-bois nous arrivons enfin sur le bord de la mer. Ce n’ai rien d’extraordinaire, une simple falaise de plusieurs mètres de haut avec aucune accessibilité pour ce rendre plus bas. Je regard au loin en silence l’étendu liquide et j’admire le couché de soleil. Je regarde mon amie et je la vois, elle, assise sur un tronc d’arbre en silence, sereine, qui fixe l’horizon. Et me regarde avec un joli sourire et me propose de m’installer près d’elle. Sans hésiter je m’exécute et fixe moi aussi la nature. Plusieurs minutes s’écoule sans un mot, je m’aperçois que je luis tiens la main, depuis quand? Je l’ignore mais son contact me réconforte, elle ne semble pas du tout gêner ou contrariée non plus. Je me retourne pour la regarder, elle fait de même, nous nous fixons droit dans les yeux, d’un air des plus sérieux j’approche mon visage du sien doucement. Elle continue de me regarder, elle me fixe, visage impassible, elle attend je ne sais quoi, je m’approche encore, je suis a quelques pouces d’elle, une voix dans ma tête me dit de reculer, je ne peux pas, c’est impossible, c’est plus fort que moi. Un instant plus tard je l’embrasse, nerveusement, maladroitement. Suivie d’un autre baisé plus assuré, suivie de plusieurs autres. Elle accepte chacune de mes caresses avec un calme et une sérénité hors du commun. Nous continuons ainsi pendant plusieurs minutes, mais je ne tien plus j’en veux plus, mes mains se balade sur partout sur son corps, je passe mes mains sous son chandail et lui masse amoureusement les seins d’une main tandis qu’une autre la soutient au niveau de la tête pendant que nous nous installons sur le sol.
Nous continuons à nous caresser de longue minutes, nos mains se baladent sur le corps de l’autre, je ne tien plus, je là veux, tous de suite, là sur le sol et sans plus attendre. Je commence à retirer mon pantalon, elle fait de même de son côté, l’air est un peu frisquet mais je n’en n’ai cure. Mon membre est bien dure et mon gland mouillé de désire, je la regarde, elle, couché sur le sol, entouré par la nature mourante de l’automne, à moitié nue, elle m’attend, je vois son désire dans ses magnifiques yeux. Je m’approche d’elle, m’installe du mieux que je peux et entreprend de faire pénétrer ma verge dans son antre chaud et ho combien mouillé, pendant que je la pénètre tout doucement j’embrasse ses lèvres pulpeuse et douce et entreprend un mouvement de va et viens lent et emplie de tendresse.
Pendant que mon membre se fraye lentement un chemin en elle, je l’embrasse dans le coup, prêt des oreilles et partout où je savais, qu’à l’époque, pouvais la noyer dans un torrent de sensation. Mes efforts ne sont pas vains, mes mouvements de bassin et mes caresses lui procure le plaisir que j’espérais, de petits cris de jouissances accompagne chaque fois que je la pénètre, ses mains caresse ma tête tandis que je l’embrasse à la base du coup, les sensations sont sublime, le monde n’existe plus, elle est le centre de mon univers, j’oublie où nous sommes, l’heure et tout le reste, pendant de longue minutes mon corps n’a qu’une fonction, celle de faire l’amour à ma partenaire ici présent. Notre débat amoureux touche à sa fin lorsque je sens la pression monté au tréfonds de moi, mes cris de jouissance deviennent de plus en plus forts. Je me retire quelques minutes après j’éjacule sur la pelouse et les feuilles mortes à coter de nous.
Sitôt mon orgasme passé, je remarque que le ciel s’assombrit, il nous faut retourner chez nous afin de s’occuper de nos enfant respectif. Pendant notre retour nous discutons peu, nous nous remettons de cette expérience hors du commun. Arriver près de nos maison, sachant qu’elle n’a pas atteint l’orgasme je lui explique mon désappointement sur ce manque d’attention de ma part. En guise de réponse, mon amoureuse d’un soir me souris tendrement, me donne un baisé sur la joue et me murmure a l’oreille que peut être une prochaine fois ce sera différent. Suite a cette déclaration, et se retourne et part vers sa maison en me laissant là, en train de digérer sa dernière remarque et espérant ne pas avoir rêvé.
Les jours passent et je n’ai pas revue ma voisine depuis notre promenade sur la falaise. Je me dit que ce n’était qu’une aventure et que rien n’arrivera par la suite. Il fallait s’y attendre, nous sommes tout deux unis à quelqu’un. Mais pourquoi était-ce si bon! Pourquoi, malgré ce sentiment de culpabilité si oppressant je désire encore unir mon corps avec les sien, la prendre de tout mon être, fusionner ma jouissance à la sienne. Cet après midi fatidique me hante encore l’esprit, quand je suis seul et que j’y repense je ne peux m’empêcher de prendre mon sexe dans mes mains et de le caresser tout en imaginant que c’est elle qui le fait. Je pense à son corps nu devant moi, prête pour moi. Je l’imagine à quatre pattes sur mon lit et moi derrière elle en train de la prendre comme un sauvage, un doigt dans son anus et la baiser durant des heures et venir décharger mon sperme sur ses belles fesses. Ou bien Je l’imagine en train de prendre mon membre dans sa bouche et faire allé sa tête d’un va et viens érotique jusqu’à l’explosion. Et soudain je me rends compte que je suis seul dans mon lit, nue, mon membre ramolli et mes mains et mon torse plein de sperme encore chaud.
Après une bonne douche je m’apprête a aller me coucher quand j’entends qu’on cogne à la porte d’entré. Une fois habillé, j’ouvre sans voir personne hormis une enveloppe sur le parquet d’entré. Sans hésité j’ouvre la missive…. C’est une invitation, à mon intention seulement, à une soirée qui se déroule la journée après l’Halloween à une adresse que je ne connais pas. En temps normal je me serais désisté mais j’avais le sentiment que je devais m’y rendre.
Quelques arrangement afin de faire garder les enfants pour la fin de semaine de cette date et j’étais fin prêt. La lettre me disait d’être à l’heure précise indiquée et d’être habillé convenablement rien de plus. En me rendant au dit lieu je remarque que l’adresse écrite dans le message me mène tout droit vers un coin de la ville où nous pouvons louer, à prix modique, un chalet sur le bord d’une plage privé. Ces types d’habitations sont généralement louer pour les familles et les touristes durant la saison estival, au moment où la température ce refroidi les tarifs deviennent plus abordable. L’adresse en question est un chalet assez grand de type moderne. Une façade bien ordinaire sans grande finition détailler cependant de gigantesques fenêtres couvre la totalité du mur qui fait face à la mer. Celles-ci sont conçue pour que nous puissions très bien voir à l’extérieur mais pas inversement. C’était un excellent emplacement pour ce soir. Le ciel était dégager et un magnifique levé de lune se présentait au loin. Tel qu’écrit dans la missive je devais sonner et deux fois et entré, ce que je fie.
La pénombre envahissait la totalité du hall d’entré, seul un peu de lumière venant de la pièce a l’arrière du chalet m’aidait à me situer. Je tourne le coin du mur et je me retrouve face à une scène des plus inusités. Dans la pièce, un grand lit king est entouré d’une dizaine de chandelles allumé sur les nombreux meuble qui décorent la pièce, les rideaux de la grandes baie vitré sont ouvert afin d’admirer la lune qui se lève au loin, nous pouvons entendre le bruit des vagues qui s’échouent sur la plage, l’aire est imprégner d’un parfum doux à saveur de fruit et sur le lit, qui est en parallèle à la bais vitré se trouve une douce créature qui n’est nul autre que ma voisine couchée sur le coté. Me voyant entré dans la pièce elle se lève tout doucement et j’admire la vue qu’elle me présente. Comme vêtement Elle ne porte qu’un déshabiller de satin noir qui lui moule les courbes prononcer de son corps. Le satin est orné de dentelle blanche qui met le buste en valeur. La dentelle crée une finition parfaite qui se marie bien avec la couleur de sa peau.
J’étais bouche-bé je n’arrivais pas a croire ce que je voyais. Plusieurs seconde se sont écoulé avant que je reprenne mes esprits et la complimente sur son corps parfais et excitant. S’approchant de moi tout doucement elle m’interrompt en plaçant son index sur mes lèvres, je compris aussitôt, nos corps allaient parler d’eux même.
Plaçant mes deux mains de chaque coter de sa taille je m’approche d’elle et l’embrasse doucement. Ses bras se referment autour de mon coup et nous colons nos corps l’un contre l’autre tandis que nous continuons à s’embrasser. Ses lèvres sont douce et chaude, le simple fait de l’embrasser tendrement réveille en moi une libido débordante difficile à contrôler. Sa langue caresse la mienne, nos baiser deviennent plus intense, je promène mes mains partout sur son corps, empoignant ses fesses fermement et faisant glisser mes mains sur son ventre pour aller jouer avec ses seins par-dessus son magnifique déshabillé. Ses mains me caressent le visage, le coup et même la tête. Nous n’en pouvons plus, pendant que nous continuons à nous embrasser vigoureusement, nous nous dirigeons vers le lit et commençons à nous installer, elle, coucher sur le dos, moi sur elle, après un temps je me retire de ses lèvre généreuses et descend mes lèvres au niveau du coup, de la poitrine, le ventre, le bas ventre, tandis que elle, les yeux fermé me caresse tout doucement la tête. Tout en l’embrassant, de mes mains je commence à lui retirer sa culotte et lui écarte les jambes afin de continuer mes baisers sur son sexe magnifique.
Voulant à tous prix lui démontré ma tendresse, j’embrasse tout doucement ses lèvres inférieures et de ma langue, lèche avec vigueur son clitoris tandis que mes doigts commencent à la pénétrer lentement. Chaque coups de langues, chaque mouvement de mes doigt est calculer en fonction des besoins de ma partenaire, j’accélère le rythme lorsque sa respiration ou le mouvement de son bassin accélèrent aussi, je ralentie lorsque ceux-ci font de même, hormis le bruit des vagues au loin je ne distingue que le son de l’acte que j’offre à cette belle créature.
Après de longues minutes à lui faire amoureusement un cunnilingus je ne tiens plus, j’ai besoin d’elle. Je retire ma tête d’entre ses jambes et commence à enlever mes vêtements. Tout en me regardant me dévêtir, elle, de son coter me fixe et commence à se masturber, ça y est je n’en peux plus, je me presse de retirer mes derniers vêtement et là rejoint dans le lit, m’installe entre ses jambes qu’elle écarte en guise d’invitation. Tout en continuant de jouer avec son bouton d’amour je place mon sexe à l’entré du sien et j’entre tout en douceur. Je la regarde droit dans les yeux et j’entame un mouvement de va et viens qui fait entré un peu plus mon membre très dure et bien droit en elle. Pendant qu’elle continu à jouer avec son clitoris je continu a lui faire l’amour et l’embrasse dans le coup. Silencieux comme une tombe, je continu à la pénétrer au même rythme que bouge ses doigts. J’ignore combien de temps dure notre relation, j’en ai cure, tout ce que je veux c’est rester éternellement dans cette position et être envahie par des milliers de sensations qui me fait monté jusqu’au nirvana.
Au bout d’un moment, je la sens plus rigide, elle se doigte plus vite, son vagin devient plus serré et ses yeux sont fermés. Je continu à la pénétrer au même rythme qu’elle jusqu’à ce qu’elle relâche un crie de jouissance magnifique, sa voix aigue, ses tremblements, sa respiration rauque et laborieuse, son sexe de plus en plus serré autour du mien. Je la regarde, elle est belle, elle à l’aire heureuse et sereine, même si je n’ai pas encore jouis, la nuit est jeune et je décide de me retiré d’elle et de me coucher à ses coter. Je lui demande si c’était bon, sachant pertinemment la réponse, en guise de réponse, place un doigt sur mes lèvres et met sa tête sur mon torse. Nous restons là coucher sur le lit à écouté la mer. Pendant de longue minutes je passe mes doigts dans ses cheveux ou les promènent sur son dos tandis qu’elle passe sa main sur mon torse velu et sur mes cuisses.
Mon sexe encore bien dure, après quelques instant, elle décide de le prendre entre ses doigts et de le caresser. Amoureusement, elle porte toute son attention sur mon gland gonflé de désir, ses caresses finissent par me faire mouiller et une fois bien lubrifier, ma partenaire entame un va et viens lent tout le long de mon pénis. Plusieurs minutes s’écoulent, mon bassin bouge de lui-même, je me sens proche de l’orgasme. Je l’oblige à retirer sa main, je ne désire pas jouir de cette façon, je lui relève le menton et l’embrasse fougueusement. Mais avant que je lui donne un second baisé, elle se retire de mes lèvres et descend sa tête au niveau de mon entre-jambe. Plaçant ses cheveux de manière à ce qu’ils ne la dérangent pas, elle me fixe droit dans les yeux et prend ma verge dans la bouche. La chaleur de celle-ci, ses lèvre pulpeuse et douce et sa langue habile m’empêche de rester silencieux, je laisse sortir mes cris de jouissances tandis qu’elle s’affaire à engloutir complètement mon sexe. Le bruit de sa fellation baveuse et profonde, mes cris de jouissances et le bruit des vague envahie la pièce.
Je lui annonce mon orgasme prochain quand soudain elle se retire. La sensation lorsque je suis sur le point de jouir me fait quasiment souffrir, mais par chance, ma partenaire dans un élan de pitié s’installe sur moi, les jambes de chaque coter et s’empale elle-même sur ma verge. La scène est dès plus érotique, toujours avec son déshabiller, elle me chevauche vigoureusement pendant qu’elle se masturbe tout aussi frénétiquement. J’essaie de tenir le plus longtemps possible mais la pression devient trop dure a contenir, elle se rend compte que mon orgasme est proche, elle décide donc de me chevaucher plus vite. Mes mains sur ses hanches, mon corps crispé, ma respiration irrégulière j’atteins l’orgasme le premier. J’éjacule en elle à grand jets vigoureux, mon orgasme dure, selon moi, une éternité et pendant que je répands ma semence au creux de ses reins, ma partenaire, de son coter, relâche un cri de jouissance et vient violemment, nos cris de jouissances atteint leur paroxysme, la pièce est envahie par le son et l’odeur de notre plaisir.
Après avoir aspiré en elle tout ce que j’avais de semence, ma partenaire s’effondre littéralement sur moi, couché un sur l’autre nous essayons de récupérer du mieux que nous pouvons. Plusieurs minutes s’écoule et pourtant aucun de nous ne bougeons, le bien être est total. Nous écoutons la mer, et discutons un peu, rien de bien important. Finalement elle se lève et m’annonce qu’elle va dans la douche et tout en jouant avec mon sexe, elle me regarde et me demande si je veux l’accompagner, sans hésité je me lance à sa suite car comme je l’ai déjà dit, la nuit est jeune, mais ça c’est une autre histoire.
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