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Ma belle-mère autoritaire

Ma belle-mère autoritaire



Depuis le début de l’été, je passais de longues heures allongé au soleil, entièrement nu. Il faut dire que j’avais la chance, en me mettant suffisamment près de la fenêtre, de pouvoir bronzer dans la tenue d’Adam. J’adorais la sensation de chaleur que le soleil me procurait notamment lorsque ses rayons venaient frapper sur mon anus. De plus, la couleur brune et mate de mon postérieur avait pour effet de doper la libido de ma copine.
J’étais donc couché sur une serviette, les fesses à l’air, les jambes écartées et somnolant à moitié. De par l’effet de la chaleur ou de par une douce rêverie érotique, j’avais une forte érection.
Soudain, la porte s’ouvrit. Je me réveillais doucement, pensant qu’il s’agissait de ma copine. Mais ce n’était pas elle : c’était sa mère.

Sa mère était une femme à l’allure un peu stricte, au maquillage un forcé mais elle était très sportive. Elle était comme toujours vêtue, d’un pantalon de toile et surtout d’un chemisier vaporeux qui laissé deviner et même parfois de voir franchement son soutien-gorge bien rempli. Il faut dire que malgré ses 62 ans, ma belle-mère semblait encore bien faite. Elle entretenait sa forme par une pratique assidue du sport et surtout sa poitrine aurait encore fait rêver plus d’une adolescente tant elle était généreuse. Bien que je ne l’ai encore jamais vue nue, ma copine m’avait révélé que sa poitrine et ses jambes étaient encore bien fermes.

Elle était donc là, face à moi, nu comme un ver et semblait se délecter du spectacle offert. Une fois la surprise passée, son regard s’était illuminé d’une certaine lubricité. Elle me gratifia d’un bonjour retentissant et autoritaire. Je répondis à son bonjour, extrêmement gêné par la situation. Elle me relança un nouveau bonjour, plus sec en s’avançant vers moi et je compris ce qu’elle attendait…
Elle voulait que je me lève et vienne l’embrasser. Ainsi, elle pourrait me contempler dans toute ma nudité. Je ne pouvais manifestement m’exécuter car non seulement j’aurais montrer mon cul à tous les habitants de l’immeuble d’en face mais en plus, elle aurait vu mon sexe tendu. Je la regardais, pétrifié et ne sachant que faire.
– « Mais je vais lui apprendre la politesse à ce vilain garçon mal poli. »
Tout en disant cela, elle plaqua ses genoux sur mes épaules et je sentis une très forte douleur sur les fesses. Elle était en train de me donner une fessée. Je dois dire que les premières claques furent plutôt désagréables mais rapidement mon état d’esprit changea.
– » Tiens, prends-ça ! Celle-ci pour traîner nu chez toi ! » Clac.
-« Celle-ci pour ne pas dire bonjour à Marie-Claire !

Clac. Je ne suis pas un spécialiste mais il semble qu’elle avait l’habitude d’en donner car elle variait très bien l’intensité et changeait de fesse régulièrement afin que l’effet se fit mieux sentir sur chaque.
L’effet de la fessée combiné au frottement de mon gland sur la serviette avait maintenu mon érection intacte et à la douleur des coups sur mon cul s’ajoutait celle de l’irritation sur ma bite.
Aussi levais-je légèrement mon arrière-train. Cela n’échappa à ma correctrice.
-« Mais c’est qu’il aime ça en plus. Il va au devant de mes mains. »
Elle glissa sa main en dessous pour tirer mes fesses en arrière. Elle sentit alors mon sexe raidi et le caressa un peu avant de me mettre à quatre-pattes.
-« Il bande même quand on lui met une fessée. C’est un sacré petit vicieux. »

Mon érection prit une nouvelle vigueur. Non seulement ses paroles m’excitaient mais je venais de prendre conscience que dans cette position, les habitants d’en face devaient se régaler de me voir prendre une fessée déculotté comme si j’avais 5 ans. Ils devaient même probablement voir que j’aimais ça.
Ma fesseuse continua à distribuer les coups mais je l’entendais qui fouillait dans son sac. J’essayais de voir ce qu’elle cherchait mais dans cette position, je ne pouvais rien voir.

Soudain, les claques cessèrent et je crus que ma belle-mère avait décidé d’arrêter sa punition… En fait, je sentis soudain un sentiment de fraîcheur sur mon cul qui devait être bien rouge. Après cet échauffement, cette sensation était particulièrement agréable. Elle appliqua une crème sur mon postérieur mais il me sembla qu’elle l’appliquait surtout autour de mon anus. Soudain, je sentis un doigt pénétrer mon intimité.
-« Je suis sûr que tu vas aimer aussi ta prochaine punition tellement tu es vicieux! »
Elle enfonça deux puis trois doigts dans mon petit trou qui loin de serrer ses doigts s’écartaient au fur et à mesure qu’elle les introduisait.
-« Mais ce n’est pas la première fois, qu’il se fait fister ce petit cochon. Et, il aime ça en plus! »
Elle avait descendu son autre main sur mon sexe qui n’avait pas débandé, au contraire. Elle fit un mouvement de va et vient avec ses deux mains et je faillis décharger mon foutre sur la serviette mais elle le sentit et serra ma bite pour retenir mon éjaculation.
Elle attrapa une bougie et me dit :
-« Je vais te goder le cul avec ça. Tu vas voir, tu vas adorer te faire enculer comme une chienne. »
Ses paroles m’excitaient .J’avais déjà connu la sensation de me faire enculer mais là tout le monde pouvait me voir. Elle tournait la bougie dans mon cul et j’étais au paroxysme de l’excitation.
Soudain, le mouvement cessa mais l’objet était toujours dans mon cul.
-« Lèche-moi les seins. »

Je déboutonnais son chemisier, très désireux de voir enfin cette magnifique poitrine que je ne faisais qu’ent****rcevoir d’habitude. Ses seins me jaillirent au visage dès que j’eus dégrafé son soutien-gorge. Ses seins avaient les tétons durcis par l’excitation. Je m’appliquais à les lécher, à les palper, à les caresser non seulement pour satisfaire ma belle-mère mais aussi par plaisir car ils étaient magnifiques.
-« T’aime ça, gros dégueulasse. Lécher les seins de ta belle-mère. Ils t’excitent mes gros seins. Je le sais car je te vois souvent les regarder quand tu viens chez moi. »
Pendant ce temps, elle caressait mon sexe et mes boules.
-« Alors c’est ça qui rend ma fille si heureuse, cette grosse bite bien large. Avant que j’y goutte, tu vas me bouffer la chatte. »

Dans son délire, elle devenait de plus en plus grossière.
Elle baissa son pantalon et j’ôtais sa petite culotte de dentelle qui était bien trempée.
-« Il n’y a pas que moi qui aime ça, apparemment. »
Elle plaqua ma tête contre son sexe qui mouillait abondamment. Son sexe dégageait une forte odeur mais je me mis à le laper avec avidité. Ma langue jouait avec son clitoris déjà bien sorti. Sa respiration s’accéléra au fur et à mesure que je la léchais.
-« Ouuui ! Tu me fais jouir, je jouis comme une folle de la bouche de mon gendre. Je suis une grosse salope qui me fait brouter par un petit jeune »
Elle explosa, déversant dans ma bouche un liquide visqueux et odorant. Son corps fut remué par de nombreux soubresauts.

Une fois remise de son violent orgasme, elle s’agenouilla devant moi.
– » A mon tour de te donner du plaisir. Tu vas voir ce que sait faire une vieille cochonne comme moi avec sa bouche. »
Elle embrassa mon sexe, le lécha puis l’enfourna dans sa bouche. Elle suça d’abord mon gland puis enfonça un peu plus mon sexe dans sa bouche jusqu’à pouvoir lécher mon frein. Elle suçait admirablement et mon sexe semblait se liquéfier dans sa bouche. Elle enfourna encore plus loin ma bite dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle disparaisse jusqu’à la garde. Je bandais comme un taureau de la voir me sucer goulûment, déposant son rouge à lèvre le long de mon sexe.
Ma bite fit quelques allers et retours dans sa bouche pendant qu’avec ses mains, elle me caressait les couilles. Elle remonta le long de mon sexe et tout en me suçant le gland, elle effectua un mouvement de va et vient avec la bougie qui était toujours dans mon cul.
Elle s’arrêta au moment où j’allais jouir.
-« Maintenant, je veux sentir ta bite dans mon ventre, je veux que tu me défonce et que tu me remplisse de sperme. »
Entendre ma belle-mère parler ainsi, m’excita tellement qu’à peine je la pénétrais que j’éjaculais longuement en elle. De longues giclées de foutre se répandirent en elle.

Lorsque ma belle-mère partit, je vis par la fenêtre une jeune fille qui me regardait, une main dans la culotte. Elle avait sans doute tout vu.

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