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Elle aime etre sodomisée

Elle aime etre sodomisée



Je vais vous narrer un des plaisirs de ma copine Solène.

Solène aime se faire sodomiser et se retrouver à quatre pattes, les fesses en l’air, offerte et cambrée pour se faire prendre comme une chienne en chaleur. Elle se retrouve à hurler son plaisir dans la tait d’oreiller, haletante sous les coups de reins effrénés que lui administre son amant. Son anus ne se contracte plus pendant la pénétration tant il l’a dilaté. Plus de douleur, uniquement le plaisir inouïe de sentir un sexe remplir son cul.
Bien sûr, les préliminaires y sont pour beaucoup. Elle aime la sensation que lui procure les doigts de son amant qui la fouille. Tous ses sens sont en éveil. La furie des hormones en ébullitions, l’odeur de la sueur et des sécrétions sexuelles, la mette dans tous ses états.
Après un doigt, puis deux, voire trois, son amant prend alors le chapelet anal. Il commence par étaler du lubrifiant sur sa rosette avec le bout le plus petit, puis prend soin de lubrifier la tige en entière. Il suffit d’une minuscule pression pour que les trois premières boules pénètrent l’anus de Solène sans difficulté accompagnés de gémissements de plaisir.
Puis l’amant enfonce les boules une par une, en prenant plaisir à observer l’orifice de Solène s’écarter, se dilater, s’offrant aux pressions successives exercées par l’objet. Les boules disparaissent à l’intérieur, comme happées par l’anus. Par moment, son amant fait des va et vient, en retirant la boule qu’il vient d’insérer puis en l’insérant de nouveau. Mais elle préfère sentir l’objet s’enfoncer progressivement dans ses entrailles.
A la fin, les dernières boules forcent un peu l’orifice de Solène pour son plus grand plaisir. C’est pour tous les deux une sensation très étrange. L’amant a le sentiment de jouer avec le corps de sa salope de Soléne, de la maîtriser et la manipuler.
Au paroxysme de l’excitation sexuelle de la belle, tout y est malléable, pétrissable, du ventre aux seins, des cuisses à sa chatte. Ensuite, il retire le chapelet doucement de l’anus, se délectant des râles de plaisir de la belle.
Elle est en extase. Il est très attentif aux changements de diamètre de l’orifice rosé à chaque passage d’une boule. Son anus est soumis à toutes les fantaisies. Aucune souillure n’est présent sur le chapelet, il ressort brillant des reflets du lubrifiant. Solène prend le soin de bien se faire un lavement avant ses rendez-vous galant.
L’anus de Solène bien travaillé, l’amant vient y fourrer son sexe en érection, brisant les dernières faibles résistances de l’orifice. C’est alors pour elle de longues minutes de plaisir intenses, la menant souvent jusqu’à un orgasme puissant.
A chaque fois, que le membre pénètre son anus, une puissante chaleur lui parcoure le dos. Elle se laisse aller, hurlant de plaisir tout en bavant, dans un état second.
Son anus est grand ouvert, rougeoyant tirant sur un noir béant, qui suggérait un abysse de plaisir sans fin.
Solène n’assume sa sexualité la plus brute, la plus archaïque, que depuis peu de temps seulement. Solène a toujours eu des fantasmes envahissant plutôt déviant, et cela depuis toute jeune. Le copain de Solène lui mène la vie de Jade d’une main de fer et aime la traiter en salope. C’est un homme rude, macho et autoritaire qui prend sa source de pouvoir dans le seul fait d’être un homme. Il aime la prendre quand il veut, comme il veut, où il veut et par qui il veut. Pour répondre aux demandes de sa libido excentrique, Solène doit se plier, à son grand bonheur, à ses délires les plus fous. Cela lui est même arrivé de le faire au bureau devant ses collègues.
Il lui a acheté une vitro-masseur, qu’elle doit utiliser devant lui.
Quand elle est seule chez elle reste nue et se donne se donne du plaisir, rien que pour elle.
Sa peau est douce, ses doigts glissent comme sur du satin. Elle caresse ses seins, puis ses mains descendent vers l’intérieur de ses cuisses.
Elle rentre un doigt dans sa cavité anale, s’y attardant quelques instants avant de remonter vers son sexe. De ses doigts, elle masse chaque recoin de son intimité et titille son clitoris, qu’elle fait ressortir en écartant les grandes lèvres.
Elle appui alors sur ce morceau de chair et commence à mouiller. Elle se doigte assez rapidement. Sa masturbation fait un léger bruit de clapotis avec sa mouille.
C’est alors que le vibro rentre en scène. Elle l’allume et le son discret de vibration la met déjà dans un état d’extase avancé. Solène le dirige vers son clitoris puis le fait pénétrer dans sa chatte dégoulinante. Elle ferme alors les yeux pour mieux faire fonctionner son imagination et se fait jouir en pensant qu’un public de mâles la regarde s’exhiber.
L’autre jour, elle s’est aventurée sur internet pour dénicher un amant. Elle n’a pas eu de mal à en trouver plusieurs. Elle me fait partager ces moments de délires.
Son désir sexuel semble sans limite. Bien sûr, elle ne néglige pas pour autant ses moments de plaisirs intimes avec moi. Elle s’abandonne entre mes cuisses.
Elle a trouvé un homme qui l’initie au BDSM. C’est ainsi qu’un soir, elle est venue me voir avec les fesses rouges écarlates.
Elle m’a montré en photo la collection de matériel SM qu’il avait. Plug, chapelet, pinces, vibro, cravache….. tout était à disposition pour explorer les bas-fonds du plaisir charnel. Cela m’a impressionné.
Solène me raconte qu’elle en a largement profité.
Elle a subit dans ce donjon les pires outrages à son grand bonheur.
Elle me raconte en détail les scènes.
Son dresseur l’a amené devant ses potes et l’a mise nue le groupe de jeunes loubards.

Elle a eu honte à en pleurer de cette humiliation mais en même un plaisir confus s’immisce en elle à ce moment.
Elle a dû leur montrer elle-même son intimité où son Maître lui avait inséré un gode.
Ensuite elle s’est fait tripoter par tous très fermement. Ils l’ont pénétré durement avec leurs mains.
Elle a dû tous les sucer et le masturber.
Elle s’est faite défoncer le cul brutalement et même si elle aime çà, elle a crié de douleur.
Mais cette douleur transcendait sa jouissance.
Ils se sont tous terminé dans sa bouche et en me disant çà elle m’embrasse pour me faire partager le goût de tous ce sperme qu’elle a encore dans la bouche. Elle me dit avoir tout avalé.
Mais pour elle, ça ne remplace pas le plaisir d’être avec homme, de sentir un corps sur elle, de partager la douceur des peaux. Rien de tel que les puissantes giclées de sperme qui coule jusqu’à son utérus puis ressortent dégoulinantes à l’intérieur de ses cuisses. Cet ultime acte de la pénétration est euphorisant pour elle.
Plusieurs jours après cette aventure, son Maître lui prépare une surprise. En fait, il souhaite la dressé dans un centre spécialisé. Il vient la chercher et lui met un bandeau sur les yeux et l’a fait entrer dans une voiture. Elle est vêtu d’une petite robe et Solène est nue dessous.
Son Maître lui enlève le bandeau et la lumière lui fait plisser les yeux. Par la vitre, défile un paysage de campagne brumeux. Ils roulent sur une route cabossée.
Elle veut poser une question au chauffeur. Mais une vitre l’en empêche. Une profonde torpeur alourdit tout son corps. Résignée, elle se laisse alors aller au fond du siège et se rendort vers cet horizon inconnu. Arrivée à destination, elle découvre un vieux bâtiment isolé. De chaque côté, deux tours dominent le terrain. L’entrée est surmontée d’une grande pancarte courbée dont l’inscription est effacée par le temps. On ne discerne que des bouts de lettres, le reste est rouillé et illisible. Le grand portail, s’ouvre automatiquement quand le chauffeur appui sur l’interphone. Le cœur de Solène se soulève et elle a presque la nausée quand la voiture pénètre dans le lieu.
Elle aurait voulu que ce trajet en voiture ne finisse jamais, qu’elle puisse rester dans la chaleur de l’habitacle, à contempler les minuscules gouttes de pluie sur le gris de la vitre arrière. Mais il n’en est rien. La voiture s’arrête devant les marches bâtiment. Elle est alors emmenée devant une porte monumentale par le chauffeur qui repart aussitôt. L’incompréhension saisie et paralyse Solène. Elle se retourne et voit la voiture sortir et s’en aller au loin avec son Maître. La pluie s’intensifie. Solène décide de frapper à cette porte. Personne ne répond. Elle entre alors pour se protéger de la pluie. Sa petite robe sous la pluie battante est devenue transparente.
Le hall est d’un silence abyssal. Le sol est en pierre, le plafond haut et une grande serre surplombe ce hall. A la droite de Solène, un escalier en colimaçon mène à un étage. A sa gauche, le vestibule d’accueil est fermé par un rideau vénitien. Solène repère alors une petite caméra de surveillance dans un coin en hauteur. La petite machine semble l’observer. Curieusement, ses pulsions sexuelles s’étaient apaisées. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive, c’est comme un cauchemar. Où est-elle ?
Elle entend alors des bruits de pas. Des talons claquent en rythme rapide et croissant. La porte en face d’elle s’ouvre et Solène est accueillie par une infirmière. Aucun badge n’indique son nom. La femme ne prend pas la peine de saluer Solène. L’accueil est austère.
« Puis-je savoir où suis-je ? demande finalement Solène.
L’infirmière ne répond pas. Elle prend l’identité de Soléne et rempli des cases sur un papier à l’aide d’un crayon de bois.
« S’il vous plait où suis-je ? » implore-t-elle
«  Nous allons vous expliquer si vous vous tenez tranquille pour le moment »
Solène se résigne. Au moins, elle n’est pas dans une cellule. L’infirmière fait l’inventaire de ses affaires. Elle étale sur une table, tee-shirts, pantalons, strings. C’était très humiliant cette exposition de son intimité, que l’infirmière semblait faire de manière délibérée. Solène rougit mais tente de garder la face. L’infirmière regarde Solène de bas en haut en fronçant les sourcils.
« Vous avez conscience que ces sous-vêtements vous seront parfaitement inutiles ici ? » dit l’infirmière d’un air sévère.
Solène ne comprend pas de quoi l’infirmière veut parler. Comble de l’impudeur, elle examine le fond de l’une d’elle. Une légère tâche jaune clair y figure, reste de cyprine bien incrusté malgré les lavages réguliers. Elle jette alors un regard suspicieux sur la jeune femme qui se tient devant elle.
« Suis-moi ! »
L’infirmière marche d’un pas énergique. Elles quittent le hall d’accueil et pénètrent dans un long couloir. Des portes sont numérotées de chaque côté du couloir. Derrière la minuscule fenêtre de chaque porte, Solène distingue des visages de femme. Elle frémit.
L’atmosphère est glaciale. Elles s’arrêtent devant une des entrées, la numéro 69.
«  C’est votre chambre »  dit l’infirmière.
Elle ouvre la porte, qui grince et Solène découvre sa chambre. Ce n’est pas à proprement parlé une chambre mais plutôt une cellule, composée de toilettes, d’un lit et d’une petite fenêtre. Elle a ce moment l’impression d’être dans un asile. Sur le lit, une blouse et un nécessaire de toilette y sont aligné de manière stricte.
« Déshabille-toi et enfile cette blouse, ça sera ton seul vêtement. Elle sera changée tous les jours. »
Solène a peur. Elle se met nue et enfile la blouse. L’infirmière reste sur le pas de la porte.
« Dépêche-toi, le docteur en chef t’attend »
Une fois de plus, l’infirmière n’a que faire de sa pudeur et de son intimité. Si Soléne cassait ses barrières facilement dans le cadre d’un adultère sauvage, elle avait ici regagné la décence de se montrer pudique. Surtout, cette infirmière la terrifiait.
Elle n’avait aucune envie de se dévoiler à elle. Pourtant, elle comprend rapidement qu’on ne lui laissait pas le choix et qu’obtempérer était la meilleur solution, afin d’échapper à des choses qui lui échappaient. Au moment de prendre la blouse pour l’enfiler, l’infirmière l’interrompit :
« Ta culotte salope, enlève-là avant d’enfiler la blouse »
Solène regarde l’infirmière et pousse un soupir.
« Bien suis-moi maintenant »
Solène sort de la cellule et l’infirmière ferme la porte à clé. Elles franchissent la grande porte vitrée pour sortir du couloir et s’arrêtent dans un petit bureau. Elle emporte le dossier de Solène où elle avait indiqué son identité à l’accueil. Les deux femmes se rendent ensuite dans une salle sans fenêtre où se trouve une douche et une table d’examen d’un cuir noir épais avec des sangles en cuir marron au niveau des mains et des pieds. A côté, des instruments sont posés sur un chariot. Au fond, une deuxième infirmière nettoie des instruments.
« Nous allons te nettoyez avant ton entrevue avec le médecin de l’établissement. A poil ! Entrez dans la douche »
Solène obtempère timidement. Elle se met nu et serre le bas de ses jambes en tentant de masquer sa poitrine afin de préserver au maximum son intimité.
Elle s’était pourtant déjà mise à nu devant des médecins, mais là, c’est différent, plus intrusif, et surtout inattendu. Elle ignore ce qu’on attend d’elle. Ses fesses blanches et rebondies sont à la vue de l’infirmière, qui dirige le jet vers le corps de Solène en visant les endroits sensibles.
« Ah ! C’est froid ! » crie Solène
L’infirmière continue à parcourir le corps de Solène avec le jet. L’eau, propulsée puissamment, fait soulever les fesses de la captive et la déséquilibre. Solène doit lutter pour ne pas tomber.
L’infirmière demande à Solène de se retourner.
L’infirmière lui tatoue alors un numéro sur la fesse et lui injecte une puce sous la peau.
« C’est ton numéro d’identification. Tu es désormais n°511. Cette puce enregistre ton traitement, mais t’empêchera aussi toute tentative d’évasion. »
Tout cela prend une allure de plus en plus folle et insensée. Est-elle le cobaye d’une expérience malsaine ? L’infirmière pousse Solène à s’allonger sur le dos et écarte ses jambes pour les attacher à la table d’examen.
Le pubis de Solène n’avait pas été épilé depuis longtemps. L’infirmière posa ses doigts sur la toison pour l’explorer, son majeur et son index longèrent les petites et grandes lèvres. Elle enfile alors des gants et entreprend de raser la belle.
L’infirmière tamponne l’ensemble du sexe avec une compresse et passe un spray rafraîchissant. La deuxième infirmière intervient pour soulever un peu plus haut les jambes de Solène. Elle sentit les mains de l’une d’elle lui écarter les fesses. Elle les laissa ainsi ouverte quelques instant en faisant bailler les orifices de Solène avant de les relâcher.
« Met-toi à 4 pattes ! Nous allons te faire un lavement pour l’examen avec le docteur » dit l’infirmière.
Solène s’étonne une fois de plus mais se met dans la position, aidée par l’infirmière. Elle connait les sensations que procure un lavement, puisqu’elle s’en administre avant d’aller voir son amant. Mais elle n’en avait jamais reçu d’une tiers personne. Le matériel présent est différent. Une infirmière rempli le sac d’eau tandis que l’autre injecte une solution saline dans le rectum de Solène, à l’aide d’une seringue lubrifiée. Solène émet un gloussement en sentant la seringue pénétrer en elle.
« C’est une solution saline pour faciliter l’expulsion et favoriser la purification »
En insérant un doigt dans le rectum de Solène, elle guida la canule aussi loin qu’elle pouvait. Puis elle retira son doigt tout en maintenant la canule en position avant de libérer le liquide retenu dans le tuyau. Solène sent alors l’eau tiède envahir son rectum. L’infirmière aide Solène à s’allonger et lui ramène les jambes vers le bassin. Elle lui appui alors sur le ventre, qui était bombé sous le poids de l’eau. Elle-même ne s’était jamais remplie autant.
« Retiens-toi encore un peu » dit l’infirmière d’un air ferme
« Bien, tu peux te libérer »
Solène relâche ses sphincters avec soulagement et l’eau coule en un long flot.
Quelle était la suite des réjouissances pour Solène?
«  Maintenant, dit-elle, pisse dans ce bocal puis tu seras fin prête pour ta rencontre avec le médecin chef. »
Lorsqu’elle a terminé d’uriner, Solène remis aux infirmières, la tête baissée, le petit bocal en plastique empli du liquide jaune.

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