Quand on parle de période de « rut » pour certains êtres je sais ce que c’est car régulièrement à une certaine période de l’année j’avais des envies irrésistibles de sexe.
Dans ces moments la mon mari m’appelait « la chienne en chaleur » à juste titre.
Pendant ces périodes il me fallait beaucoup de sexe et surtout de la jouissance.
Je harcelais mon chéri et quand il était en déplacement pour son travail je multipliais les rencontres .
Je vais narrer un épisode qui résume ces périodes d’intense activité sexuelle.
Depuis quelques jours mes sens sont exacerbés, l’envie de sexe masculin ne me quitte plus et les relations sexuelles que j’ai avec des amants qui me trouvent très ardente ne m’ont pas apaisée.
Je me masturbe mais c’est loin d’être suffisant, ça ne remplace pas ce que peut me faire un homme attentionné.
Je ne parle pas des hommes avec qui je couche pour la rémunération car avec eux mon plaisir est infime voire nul, je fais en sorte de leur leur vider plusieurs fois leurs bourses en leur procurant le plaisir qu’ils attendent sans chercher à en prendre car ce n’est pas le but.
Ce vendredi soir mon mari vient de rentrer à la maison.
Comme d’habitude je vais vers lui pour l’embrasser mais je ne me contente pas d’un simple baiser sur les lèvres. Je me colle et me frotte contre lui comme une chatte en chaleur pendant que je mets mes bras autour de son cou. Je l’embrasse, ma langue lutte avec la sienne dans un baiser passionné interminable.
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Il me connait bien, je le détrompe.
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Il glisse sa main dans ma culotte.<
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Il met ses mains sous mes fesses et me soulève, je mets mes jambes autour de sa taille et me cramponne à son cou puis il se dirige vers le salon tout en m’embrassant.
Il me pose au sol et nous restons debout.
Il déboutonne ma robe qui tombe à mes pieds, il retire mon soutien-gorge, caresse mes seins et triture sans ménagement les tétons puis les tord et tire dessus, je pousse des cris car c’est douloureux.
Il s’occupe un bon moment de ma poitrine avec ses mains et sa bouche qui lèche, suce et ses dents qui mordent les tétons maintenant bien érigés.
Sa bouche descend sur mon ventre, je frissonne.
Une main baisse ma culotte, la fait glisser le long de mes jambes, je lève les pieds pour me débarrasser du vêtement bien humide puis j’écarte les jambes.
Sa bouche embrasse et lèche mes cuisses puis mon sexe. Sa langue s’insinue dans mon intimité et l’explore pendant qu’un doigt caresse mon anus et commence à le pénétrer.
Oh que c’est bon, mes mains appuient sur sa nuque pour qu’il aille plus profond.
La position est inconfortable et je me retrouve allongée sur le dos sur la moquette un coussin sous les fesses pour les surélever.
La il se déchaîne avec sa langue qui lèche ma chatte et mon anus, ses doigts qui s’activent dans mon intimité puis dans mon anus dont il élargit l’ouverture ainsi que sur mon clitoris qu’il masturbe pendant un bon moment énergiquement, je mouille beaucoup.
Avec mes envies et le traitement qu’il m’inflige surtout qu’il connait bien mes points faibles (en particulier mon clitoris) je ne résiste pas longtemps, mon bassin se soulève et prise de spasmes j’atteins l’orgasme en gémissant, des jets de cyprine sortent de mon vagin et arrosent ses mains et la moquette.
Après s’être déshabillé il se positionne pour que j’aie accès à son pénis.
Il recommence à martyriser tour à tour ma chatte, mon clitoris et mon anus avec les doigts d’une main pendant que son autre main caresse ma poitrine et triture les tétons.
Je caresse son ventre, ses cuisses et son sexe qu’ensuite je lèche avec fougue partout en m’attardant sur le gland puis je lui fais une fellation en veillant à faire pénétrer au maximum le pénis dans ma bouche tout en malaxant ses testicules, il se retire quand il sent qu’il est au bord de l’éjaculation.
Il s’active longtemps et énergiquement, il m’amène plusieurs fois à la jouissance sans m’avoir encore pénétrée, c’est vrai qu’il connait bien mon corps et mes réactions.
Plusieurs fois ma bouche abandonne sa queue sous l’effet du plaisir mais je finis quand même par le faire jouir, avec des soubresauts sa verge qui a encore pris du volume laisse échapper des jets de sperme qui éclaboussent le fond de ma gorge, j’avale.
Je continue à sucer pendant qu’il toujours occupé à me procurer du plaisir et continue à me faire jouir avec ses mains.
De temps en temps une claque s’abat sur ma chatte ce qui me fait sursauter et crier de douleur mais ensuite cela augmente mes envies.
Je suis dans un état second à cause des orgasmes répétés quand il s’allonge sur moi et me pénètre, il me défonce à grands coups de reins et je l’accompagne le mieux que je peux pour ressentir encore plus de plaisir. Ce sont mes seins et les tétons qu’il martyrise sans ménagement tout en m’embrassant par moments.
Je me retrouve à genoux cuisses écartées, courbée, la tête posée sur mes bras repliés et appuyés sur la moquette. Il introduit sa queue dans mon cul et tout en me sodomisant masturbe mon clitoris pendant qu’une de mes mains caresse et triture ses testicules. Il me fait jouir avant de se soulager dans mes intestins.
C’est l’accalmie, nous dînons puis assis sur le canapé je me colle contre lui, nous regardons la télé en nous caressant.
Une fois couchés j’ai récupérée et je repars à l’assaut.
Je l’embrasse puis je me positionne tête-bêche au dessus de lui, je lèche puis suce sa verge pendant que sa bouche et sa langue s’occupent de mon intimité, plusieurs doigts font des va-et-vient dans mon anus déjà agrandi. Ensuite des doigts s’occupent de fouiller ma chatte et de masturber frénétiquement mon clitoris jusqu’à ce que je jouisse.
Il s’allonge sur moi, il me prend jambes repliées et relevées et me défonce la chatte et le cul jusqu’à ce qu’il se vide en moi indifférent au plaisir qui m’emporte.
Nous nous endormons collés l’un à l’autre.
Pendant la nuit je me glisse sous les draps et je le masturbe jusqu’à ce qu’il soit en érection, il me traite de salope qui n’en a jamais assez
Après une courte fellation je m’empale sur son pénis à califourchon sur lui.
Je remue, les clapotis de ma mouillure accompagnent les aller-retour de ma chatte sur sa verge pendant que mon clitoris et mes seins souffrent à cause de ce que ses mains leur font. Invariablement je finis sous lui, il alterne les pénétrations de mon vagin et de mon anus. Il est long avant d’éjaculer et j’ai le temps de bien jouir.
Le lendemain c’est relativement calme le matin car généralement nous sommes occupés même si ça me démange.
Après le repas du midi comme à son habitude il s’installe dans un fauteuil pour lire le journal, je me déshabille du peu de vêtements que j’ai enfilés le matin puis je viens m’asseoir sur ses genoux. Je l’étreins et l’embrasse.
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Il caresse mon corps en prenant son temps. Nous finissons par nous retrouver sur la moquette.
Je déboutonne et retire son pantalon puis son slip avant de m’attaquer à son sexe avec ma langue et ma bouche. Je sais qu’il adore les fellations alors je ne me prive pas de lui en prodiguer une énergique pendant qu’il fait encore monter la température dans mon corps avec ses mains et ses doigts jusqu’à me faire jouir avant d’arroser ma gorge de sa semence.
Comme il me connait bien et sachant à quoi s’en tenir il a préparé des gadgets sexuels.
Je ne contrôle plus la situation même s’il me laisse m’occuper de sa queue sauf en se dérobant quand il sent qu’il est au bord de l’éjaculation. Il ne jouit qu’une fois dans ma bouche.
Sans ménagement il accroche des pinces sur mes tétons, je serre les dents car c’est douloureux.
Je me retrouve avec un gode dans le cul, il en ajoute un autre à piles dans mon vagin puis tour à tour ou en même temps il leur donne un mouvement de va-et-vient.
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Il s’en donne à coeur joie alternant avec la masturbation du clitoris, souvent il m’embrasse et scrute mon visage pour y voir les ravages des tortures qu’il m’inflige.
Il oeuvre très très longtemps, je suis dans un état second à force de jouir et quand il me laisse je reste là à récupérer avec les godes plantés dans mes orifices.
Le soir dans le lit il continue à arroser mon vagin et mon cul tout en ne se ménageant pas pour me donner beaucoup de plaisir, mon clitoris, mon vagin et mon cul peuvent en témoigner.
Dans la nuit je ne vais sous les draps ranimer son sexe puis après m’avoir bien masturbée il plie et relève mes jambes et me prend alternativement par les deux orifices pour finir par jouir dans mon cul ou mon vagin.
Le dimanche quand nous sommes invités ça fait un peu de repos pour mon mari et je reste avec mes envies toute la journée.
Le soir dès que nous sommes rentrés pendant qu’il range la voiture je retire ma culotte qui est bien humide puis dés qu’il entre je ne lui laisse pas de répit, je me colle à lui, je m’attaque à son pantalon et sors son pénis. Je passe mes bras autour de son cou et essaie de me hisser sur lui, il comprend ou je veux en venir et me soulève pour me planter sur son pieu bien dressé.
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A l’aide de ses bras il me monte et me descend sur son sexe qui vient taper au fond de mon vagin, les jambes autour de sa taille je l’aide en me servant de mes bras. Il ne met pas beaucoup de temps avant d’éjaculer dans ma chatte gluante.
Après un dîner léger direction le lit ou après de longues caresses pendant que je lui fais une fellation appliquée il introduit des godes dans mon vagin et mon cul.
La masturbation de mon clitoris plus les mouvements de va-et-vient qu’il donne aux pénis de substitution m’amènent rapidement à l’orgasme.
Il jouit une fois dans ma bouche pendant que je suce sa verge, il me martyrise le temps qu’il faut pour que j’aie plusieurs orgasmes.
Pendant la nuit après que j’aie ranimé son pénis il me prend soit en levrette ou soit allongé sur moi n’oubliant pas de me faire jouir.
Par contre si nous n’avons rien de précis à faire le dimanche il introduit dans mon intimité un gode fixé à une ceinture qu’il attache à ma taille puis nous allons nous promener et marchons beaucoup en forêt ce qui me met dans un état pas possible.
Ensuite debout je m’adosse à un arbre et il retire l’engin qui sort très gluant de mon vagin puis il me fait jouir en me caressant et me masturbant avec ses doigts, les jambes molles je finis assise sur le sol les jambes repliées pendant qu’il continue à martyriser mon sexe. Nous rentrons après qu’il m’aie prise en levrette ou couchée sur le capot de la voiture ou debout.
Ensuite dans la semaine quand mon mari est en déplacement et tout le temps que je suis « en rut » je multiplie les rendez-vous avec des amants et même je drague ouvertement des hommes dans la rue pour qu’ils me sautent mais le problème c’est qu’ils pensent souvent plus à leur propre plaisir et me laissent inassouvie.
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