Chapitre 14 : Ma fille fait connaissance de mon voisin.
Le lendemain je me lève tard et ma fille n’est plus à côté de moi. Je descends en bas et je vois ma petite fille habillée, à côté de sa mère qui prend son café en chemise de nuit.
– Déjà habillée, Laurine ? Ou vas-tu comme ça ?
– Chez Blandine. Elle m’a invitée quelques jours. Et après ce que j’ai vu cette nuit, je pense que c’est mieux de te laisser seul avec maman qui a sûrement plus besoin de toi que moi. Fais lui oublier complétement son chagrin. Montre lui comment un père peut aimer sa fille.
« La coquine ! Elle était bien derrière la porte de ma chambre à nous espionner. »
Ma fille a le nez dans son bol mais je vois ses joues rosirent.
– Tu vas me manquer ma puce…
– Ce n’est que pour quelques jours et je suis sûre que maman va bien s’occuper de son papa.
Répond-elle avec un sourire espiègle avant de sortir.
Je prends mon café avec ma fille, qui enfin relève sa tête, m’observe un instant, et murmure.
– Papa…je…cette nuit…je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris.
– Chut, Martine…tu n’es pas obliger d’en parler. Détends-toi. Si ça peut t’aider je ne regrette rien. Tu as été merveilleuse et si tu veux en rester là…pas de problème.
– Non papa ! C’est bien là le problème ! Moi aussi je ne regrette pas du tout ! J’ai même envie de recommencer ! Je n’ai jamais eue autant de plaisir !
Je me lève pour l’embrasser tendrement en caressant sa langue avant de dire.
– Mon petit cœur d’amour, je t’aime et je crois que je vais avoir du mal à te résister !
– Alors… vient, papa.
Elle m’entraîne sur le divan du salon, devant la porte fenêtre, retire sa robe de chambre pour apparaître nue, merveilleuse, désirable. Les seins arrogants aux tétons tous durs.
Nous faisons l’amour, tendrement, voluptueusement, jusqu’à notre orgasme mutuel ou je me vide dans son ventre, dans son vagin qui emprisonne mon sexe..
A travers la fenêtre, j’aperçois, au loin, Claude mon voisin qui nous observe avec ses jumelles.
Décidément il n’a rien d’autre à faire que mater ses voisins dans leurs ébats sexuels.
Dans l’après-midi, j’aperçois ma fille qui discute avec lui et quand elle me rejoint elle me dit.
– Ton voisin et son amie nous invite ce soir. J’ai accepté. Je ne pense pas que ça t’ennui ?
– Pas du tout chérie, ça me permettra de faire connaissance de son amie que je ne connais pas.
« Non de dieu ! Il ne perd pas de temps ce salaud. Qu’est-ce qu’il a en tête ? »
– Ah, oui, papa. Je ne lui ai pas dit que j’étais ta fille. Je suis juste une amie qui vient se détendre. Comme ça si on est un peu trop proche ça ne choquera personne.
– T’as bien fait, petit cœur
(Surtout après notre exhibition de ce matin dont il a été spectateur)
Le soir, on parle de choses et d’autres sans grande importance sauf les soucis du genre chauffe-eau qui ne fonctionne plus.
Ma fille en regardant Chantal dit tout de suite.
– Oh, mais Daniel est un bon bricoleur ! Je suis sûre qu’il peut vous réparer ça ! Tu peux jeter un coup d’œil pa…Daniel.
Je peux difficilement refuser et Claude demande à Chantal de m’emmener dans le garage attenant à la maison, ou se trouve le chauffe-eau.
J’examine celui-ci et il me semble qu’il y a un problème de surpression qui fait disjoncter le chauffe-eau.
Je ne devrais pas en avoir pour longtemps à le réparer mais Chantal insiste lourdement pour que j’intervienne tout de suite pour qu’elle puisse prendre des douches.
-Je vais prévenir Claude et ton amie que tu répares ça maintenant et que ce ne devrais pas être long.
Je suis toujours trop optimiste et ce n’est qu’un bon quart d’heure plus tard, avec Chantal derrière moi qui me passe les outils, que je viens à bout de cette panne.
Elle m’embrasse en guise de remerciement en frôlant mes lèvres.
Lorsque nous revenons dans le salon, je ne vois pas ma fille Martine et Chantal me sert une flûte de champagne en remerciement de mon travail, accompagnée d’une bise plus appuyée que précédemment.
Martine et Claude réapparaissent et elle dit.
– Vous avez une très belle maison Claude. La véranda est magnifique !
Puis après une conversation des plus banales et quelques plaisanteries, on rentre se coucher.
Martine se blottie contre moi et m’embrasse. Sa main se pose sur ma queue qui, à chaque fois qu’elle m’embrasse, se met immédiatement au garde à vous. Elle commence à la branler doucement en continuant de m’embrasser amoureusement.
Puis, elle grimpe sur moi et s’empale sur cette queue qui n’attend que ça.
Les yeux fermés, elle monte et descend sur ma bite, et d’un seul coup elle s’arrête !
-Papa… Je n’ai pas été très sage ce soir.
– Que veux-tu dire chérie…
– Promets-moi de ne pas te fâcher.
J’acquiesce de la tête et je crains le pire connaissant bien mon voisin Claude.
– Tu dois tout dire à ton Papa d’amour. Raconte !
Bien ancrée sur ma queue, Martine me raconte ce qu’elle a fait.
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Quand tu es parti avec Chantal voir le chauffe-eau, Claude m’a proposé de me faire visiter sa maison.
Arrivé dans une grande chambre, il a fermé la porte et il a commencé à me caresser
– Quoi !
– Papa ! Tu m’as promis ! Ne dis rien !
Je commence à deviner la suite connaissant le bonhomme, mais est ce que je connais bien ma fille ?
– Il m’a prise dans ses bras et il m’a dit.
– J’attends ça depuis ce matin.
Il m’embrasse sur la bouche et sa langue caresse la mienne pendant qu’il pelote mes fesses et écrase mais seins contre sa poitrine.
– Et tu t’es laissé faire !
– Papa !
– Bon, je ne dis plus rien.
Il embrassait bien et je n’ai pas résisté d’autant qu’il a passé une main sous ma robe et glissé un doigt dans ma chatte par le coté de mon string.
Mais c’est de ta faute ! Depuis que tu m’as fait jouir comme une folle, je ne pense qu’à ça ! Ma chatte s’est mise à mouiller et à devenir toute chaude.
Une de mes mains c’est posée sur la bosse que je sentais bien et il a baissé immédiatement son pantalon. Je suis restée figée un instant devant sa bite dressée.
– Papa, il a une bite énorme ! Pas beaucoup plus longue que la tienne…mais plus grosse ! Je n’ai jamais vu une queue pareille ! Mais avant d’avoir peur de son monstrueux sexe, il a appuyé sur mes épaules et il m’a dit.
– Suce ! Suce ma bite sinon je défonce ta petite chatte !
Et j’ai obéi comme une putain. Par peur ou par envie, je me suis mise à genoux et j’ai sucé sa bite en prenant dans ma bouche le plus possible ce sexe incroyable. Quand j’ai masturbé ses couilles en même temps, il a joui et rempli ma bouche de son sperme épais.
Et nous vous avons entendus revenir. Je me suis rafraîchie la figure et on vous a rejoints.
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Moi je sens ma bite qui avait un peu débandé reprendre de la vigueur en entendant sa confession. Ma fille le sent car.
– Papa… je sens ta bite qui frémit dans ma chatte ! Huuummm, c’est bon ça !
Elle ondule du cul pour accentuer les frottements de ma queue dans son conduit vaginal, pendant que je l’imagine avec la queue de Claude, (que je connais bien), dans sa bouche déformée, en train de gicler son foutre dans la gorge de ma fille.
Puis Martine se baise toute seule, de plus en plus vite, et elle jouit sous un énorme orgasme. De raconter sa débauche avec le voisin doit sacrément l’exciter car elle n’a pas mis longtemps à jouir. Elle ratt**** le temps perdu avec son mari qui ne la faisait plus jouir.
Je la maintiens sur moi pendant son orgasme et rien qu’avec les spasmes de sa chatte sur ma queue, elle arrive à me faire jouir aussi.
Elle soulage un peu mon corps en glissant sur le côté mais ma queue sert de pivot et je reste en elle.
– Tu n’es pas en colère papa ?
– Non mon petit cœur, tu redécouvres les plaisirs du sexe et je suis mal placé pour te faire la morale après ce que j’ai fait avec ta fille et avec toi.
On s’embrasse fougueusement et on reste emboîté l’un dans l’autre en se caressant mutuellement. Puis je pose la question qui me démange.
– Chérie… tu aimerais te faire baiser…par Claude.
Elle sursaute et hésite à répondre.
– Ben…d’un côté…oui… Mais de l’autre… j’ai un peu peur de son monstre.
– Et bien… tout ce que je peux te dire, c’est que…ta fille…elle a apprécié !
– Quoi !! Laurine ! Elle s’est fait baiser par ce monstre !
– Oui mon petit cœur. Elle a même remis le couvert avec son fils qui est presque aussi bien membré que lui.
– Papa ! Ce n’est pas possible ! Ma petite fille ! Non !
– Et si ma chérie. Laurine est nympho ou accro à la bite, ou les deux, et dès qu’elle peut se taper une belle queue, elle n’hésite pas. D’ailleurs en ce moment je suis sûr qu’elle se fait prendre par tous ses trous à bites.
– Papa ! Tu n’as pas honte de parler comme ça de ta petite fille ! De ma fille !
– Pas du tout mon petit cœur ! Elle est peut-être encore plus gourmande que toi quand on lui présente un beau sexe !
Ma fille se met à pleurer dans mon cou mais ce n’est pas pour autant qu’elle lâche ma bite coincée dans sa chatte. Elle se calme et s’endort d’un seul coup.
Le lendemain elle disparaît un bon moment et quand elle revient elle est un peu bizarre. Comme si elle avait pris un euphorisant. Elle monte dans la chambre et s’écroule sur le lit.
Inquiet je la suis et je lui demande si ça va.
– Oui papa. Ne t’inquiète pas. J’ai besoins de me remettre de mes émotions.
– Et pourquoi ?
-Et bien…Après ce que tu m’as dit hier soir sur ma fille et ton voisin…j’ai voulu en avoir le cœur net. Viens près de moi, papa.
Lorsque je suis devant ma fille, elle soulève sa petite jupe. Sa chatte est trempée et je sens cette odeur incomparable d’une chatte fraîchement baisée. Son pubis est recouvert d’un mélange de sperme et de cyprine.
– Je vois… ma petite Martine, mon amour de fille, s’est fait baiser par mon salopard de voisin.
-Oui, papa.
Elle m’excite tellement avec sa chatte à l’air, dégoulinante de jus et encore bien ouverte que je lui dis.
– Raconte, petite salope !
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Eh bien, du salon je regardais le jardin et je l’ai aperçu à sa fenêtre qui regardait dans ma direction. Il m’a fait signe. J’ai hésité une seconde et me rappelant ce que tu m’as dit sur ma fille et les voisins, j’ai eu la vision de Laurine avec Claude et son fils.
Sans bien m’en rendre compte je suis allé chez lui. Sans attendre, il m’a tiré vers le divan pour me coucher dessus. Je n’ai pas réagi quand il a baissé son pantalon intérieur pour exposer son sexe à ma vue. Il bandait comme un taureau ! Malgré ce que tu m’avais dit je ne m’attentais pas à ça ! Il a vraiment une grosse et belle bite ! Il m’a dit.
– Ta fille adore ma queue. J’espère que sa maman va aussi l’apprécier qu’elle… Mais avant montre-moi ta chatte.
Il m’a retiré mon slip sans que je l’en empêche car mes yeux étaient fixés sur sa bite en érection. Il m’a dit.
– Tu as une belle chatte avec de plus belles lèvres que ta fille. Elle doit être aussi bonne…peut être meilleure….
Il écarté mes cuisses et il m’a brouté le minou. Il a une sacrée langue Claude. Comme sa bite ! Grosse et longue. Elle me fouillait profondément la chatte et en plus il mettait ses doigts dedans.
Puis il écarte encore plus mes cuisses et embrasse et lèche ma chatte humide pour déguster mon jus de chatte.
Tout mon corps frissonnait mais il m’a fait sourire en me disant.
– Excellent ! Un vrai nectar avec un peu plus de bouteille que ta fille. Un grand cru !
Ensuite il se positionne à genoux entre mes cuisses et caresse ma chatte de son gros gland pointu. Tout mon corps se crispe à la pensée de cette énorme bite qui s’apprête à entrer dans ma chatte nouvellement remise en activité par mon petit papa.
Claude écarte de nouveau mes cuisses que j’avais resserrées instinctivement quand son gland écartait mes grandes lèvres trempées. Il se penche pour glisser son gland dans ma chatte palpitante. Je sens son gros nœud qui passe entre mes lèvres et qui pénètre en moi, dans ma gaine vaginale qui se dilate, mais qui enserre étroitement sa grosse queue à tel point que j’ai l’impression d’être dépucelée comme une jeune vierge.
Quand je pousse un petit couinement de plaisir qu’il prend pour un cri de douleur, il s’arrête immédiatement. Ça permet à ma chatte de s’adapter à son engin de taille hors du commun.
Quand il me voit sourire et mettre mes mains sur son cul pour l’attirer vers moi, ses yeux rayonnent de luxure car dans sa tête il doit sûrement penser qu’il est en train de baiser la fille de son voisin après avoir baisé sa petite fille.
Quand sa queue progresse encore en moi, je redresse ma tête et je gémis de plaisir comme une bonne pute professionnelle, sauf que je ne fais pas semblant, je jouis presque en regardant sa grosse bite s’enfoncer en écartelant affreusement ma chatte. J’att**** la base de sa queue pour l’arrêter encore un instant et profiter de cet instant extraordinaire que je n’ai jamais connu dans ma vie de femme.
Ne te vexe pas papa mais se faire baiser et s’empaler sur un sexe de cette longueur et aussi grosse ça ne doit pas arriver souvent !
Il me reste encore un bon tiers de sa bite à prendre en moi et je la veux toute en moi ! J’att**** mes jambes par le dessous de mes genoux et je tire mes cuisses bien écartelée sur ma poitrine en gémissant.
– Vas-y défonce-moi !
Mais ce n’est pas une brute ! C’est seulement après 3 ou quatre aller-retour, en s’enfonçant un peu plus à chaque fois, que je sens son pubis contre le mien et que j’ai l’impression que ma chatte va exploser tellement elle est pleine et tendue à ses extrêmes limites.
Claude, sa bite entièrement en moi, surveille mes réactions et reste immobile un bon moment pour laisser ma chatte s’habituer à son monstre et reprendre mon souffle.
– Ça va ma belle ?
Je souris et je réponds.
– Putain ! T’as vraiment une grosse bite ! Je ne croyais pas pouvoir absorber tout ça ! Je ne me suis jamais sentie aussi rempli par une queue ! J’ai failli jouir tout de suite !
« C’est moi qui vais jouir, car tout en racontant son exploit de salope qui s’ignorait, elle masse ma queue en la pressant différemment suivant les mots qui sortent de sa bouche »
Quand il recommence à bouger pour me baiser, je ferme mes yeux et je profite du plaisir que provoque sa queue qui va et vient en moi, de plus en plus facilement au fur et à mesure que mon vagin prend la dimension de sa bite.
Il me baise lentement et je n’arrête pas de gémir ou de geindre quand il fait mine de se retirer en allant trop loin.
– Ouiiiiiiii, c’est booonnnnnnn. Encore, Ooooohhhhhhh, oohh, non, revient…Ouiiiiiiii. Continue, ouiiiiiiiiiiiii….
Il sait baiser une fille et il jubile ne me regardant gémir et rouler ma tête de droite à gauche. Quand il se retire de trop, j’arque mon corps, puis je soulève mon cul pour reprendre sa bite en moi, et il m’accompagne en claquant ses couilles sur mon cul. C’est merveilleux, unique ! Incroyable ! Je suis comblée au-delà de mes espérances et je sens que je vais réellement m’éclater !
En plus, il ne me baise pas. Non… il me fait l’amour, pour que mon plaisir soit parfait. Mon corps tremble et je gémis de plus en plus fort, Nos yeux ne se quittent pas et ma chatte arrive même à se resserrer sur sa bite. Il accélère un peu et frotte mon clito avec son pubis quand il me clou sur le lit de son pieu.
– OOOOOooohhhhh, je vais jouiiiiirrrr ! AAAAAaaaaahhhhh, je jouiiiiiiiiiisssssssss !
Je ne contrôle plus rien et j’entre en transe quand je sens des giclées de sperme chaud frapper mon utérus malmené et remplir ma chatte. Il me remplit tellement que malgré que ma chatte soit crispée sur sa bite, son sperme, mélangé à mon jus, arrive à passer entre mes chairs distendues et sa queue pour couler sur mon cul, qui est lui aussi, prit de crispations spasmodiques.
Claude libère mes jambes qu’il tenait et me laisse jouir sous mon orgasme qu’il entretient en bougeant sa queue en moi.
Quand il retire sa bite trempée, je suis vidée. Vidée dans ma tête mais surtout vide dans ma chatte. J’ai l’impression qu’il me manque une partie de mon corps !
Après quelques minutes, quand tous les deux nous avons récupéré, je lui dis en caressant sa bite encore à moitié bandée.
– C’est génial ! Je n’aurais jamais cru prendre une si grosse bite dans ma chatte ! Je découvre à 38 ans que j’adore le sexe ! Mais sentir ça qui entre en soi… c’est indescriptible comme sensation. Et toi tu as aimé ?
– Oui, madame ! Je vais avoir du mal oublier cette chatte si chaude et si gourmande. J’ai aimé la chatte de ta fille mais je suis fou de la tienne !
– Comment…Ma fille… Je ne suis pas…
– Arrêtes ! Quand je te regarde…je vois Laurine avec quelques années de plus ! La ressemblance est frappante ! Et en plus avec un corps fabuleux de femme mûre !
Je ne réponds rien car il m’embrasse passionnément avant d’ajouter.
– Et quand je t’ai aperçue hier, te faire baiser par ton père, J’ai tout de suite envie de toi car je me suis dit que si la mère est aussi chaude que la fille, ça doit être inimaginable ! Et je ne me suis pas trompé. J’espère te voir souvent chez moi si ton père n’est pas trop jaloux.
– Oh, je ne crois pas ! Mais entre toi et Daniel il va falloir que je me partage ! Je sens que je vais rester un peu plus longtemps que prévu.
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– Voilà, papa. Tu sais tout. Je me rends compte que je suis comme ma fille ! Perverse et un peu nympho… Et rien qu’à te raconter çà, je suis toute excitée. Tu veux voir quelque chose, papa ?
– Bien sûr, mon petit cœur dévergondé.
Les cuisses bien ouvertes, elle écarte largement de ses doigts les lèvres de sa chatte. Ma bite fait un bond en voyant la chatte de ma fille encore toute ouverte d’avoir été ramonée par la bite de mon voisin Claude. Elle est encore pleine de son sperme, épais et collant. Comme elle maintient sa chatte grande ouverte un filet de sperme coule vers son cul.
– Tu vois ce qu’il m’a mis, papa. Il éjacule énormément. Et encore, j’en ai perdu en cours de route !
Je n’ai jamais vu ma fille dans cet état ! Je ne la reconnais plus ! Une superbe salope et en plus exhibitionniste !
En regardant le foutre qu’a laissé Claude dans la chatte de ma fille je suis super excité et en même temps un peu vexé car je n’ai pas la puissance sexuelle de mon voisin.
– Tu veux me lécher, Papa…
– Quoi ! Tu veux que…
– Oui, ma chatte me démange. Depuis que tu m’as fait si bien jouir j’ai toujours envie de me faire baiser.
Elle est quand même gonflée de me demander de sucer sa chatte rempli du sperme de mon voisin. Mais en repensant à ma petite-fille et la partie de baise avec Claude et son fils, je me dis que ce n’est pas pire.
Je me couche entre ses jambes et Martine écarte encore plus ses cuisses et je commence à lécher avant de sucer son clitoris.
– Ouiiiii, papa ! Comme ça….ouiiii c’est booonnnn…
Halète ma nouvelle salope.
Elle halète de plus en plus rapidement et couine de plus en plus fort au fur et à mesure que je nettoie sa chatte et puis elle crie.
– AAAAaahhhhh, baise-moi papa ! Vite ! Mets-moi ta bite !
Je la prends presque brutalement et quelques minutes après elle jouit sous un orgasme qui fige son corps avant de trembler et de geindre de plaisir.
– Papa ! Papa ! Continue…encore…encore…et ne t’arrête pas. Ouiiiiiiiiiii…
Et je l’ai baisée jusqu’à ce que moi aussi, je la remplisse de foutre sous ses cris d’une nouvelle jouissance.
A suivre…
Phantome
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