Ce récit est atypique, il est plus intime, plus personnel mais j’ai eu envie de partager avec vous. Peut être un exhibitionnisme sentimental. Mais j’avais besoin de l’écrire ce texte. Ces événements sont récents (21 Septembre exactement) et importants.. pour elle et moi.. Si vous être plus friands d’histoire de sexe… attendez la seconde partie vous en aurez.. Je viens de me rendre compte que c’était long déjà .. alors je scinde en deux le récit.
Merci à tous ceux qui commente, n’hésitez pas à le faire.
Depuis ma rencontre avec Nomi il y a plus d’un an, les choses ont évoluées. Cette relation à bien changé de forme. Si au départ ce n’était que totalement physique et sexuel. Je ne suis plus maintenant dans cet état d’esprit. Non pas que je regrette le changement loin de là, mais j’ai eu du mal à admettre ce changement, enfin surtout à me l’avouer et l’avouer à Nomi.
Lors de nos premières rencontres une complicité sensuelle était née entre elle et moi. Elle qui se cherche qui doit affronter tellement d’obstacles. Vivre ce qu’elle vit n’est pas anodin. Se sentir piégée dans un corps, un rôle qui n’est absolument pas celui qu’elle est en elle. Essayer d’imaginer moi j’ai beaucoup de mal a tout appréhender alors que je suis si souvent auprès d’elle. De plus en plus même. Nos rendez vous avaient un caractère ponctuel, elle avait envie ou j’avais envie on se passait un petit coup de fil, on se voyait. Aujourd’hui il ne se passe pas une demi journée sans au moins un coup de fil et aucune semaine où l’on ne se retrouve au moins deux fois. Quand on le peut notre grand plaisir c’est passer la nuit … là c’est une récompense. Nous avons passé ce stade ou l’on doit absolument avoir une action sexuelle . Maintenant le simple fait d’être deux et de se câliner remplit nos vies.
C’est assez récent si moi surtout j’ai fini par comprendre ou du moins soyons honnêtes que j’ai fini par admettre qu’au delà des frasques que nous commettons, des sentiments sont là et bien là. Depuis notre week end chez nos amis Nathalie et Eric j’ai pris conscience que Nomi et moi c’était bien autre chose qu’une affaire de cul.
Pendant un long moment j’ai masqué cela en me disant que j’avais de l’affection pour cette gamine. Je n’ai pas d’enfant, j’ai reporté mon affection sur elle car si je dois être totalement honnête cela me manque quelque part. Nomi avait besoin de soutien, d’aide je suis là pour elle comme un père devrait l’être. Mais Nathalie m’a fait prendre conscience que je suis bel et bien tombé dans le piège… le seul piège qui nous manque quand on ne tombe pas dedans, c’est l’amour. Je n’ai plus peur de le dire j’ai fini par tomber amoureux de Nomi.. moi 60 balais avec une santé qui commence à se dégrader.. moi qui ai quand même roulé ma bosse , bourlinguer un peu partout.. me voilà tombé sous les charmes de cette petite femme particulière. Amoureux d’une petite très jolie, bien plus féminine que nombre de femmes que je connais .. et elle à ce petit plus entre les cuisses, cette petite chose qui fait d’elle un être aussi particulier qu’elle peur la faire souffrir mille maux. Une fois cette prise de conscience arrivée jusqu’à mon putain de cerveau qui refusait l’évidence.. il fallait l’admettre et le dire.. et çà croyez moi ce n’est pas forcément facile.
Il y a peut de temps au début de la semaine passée dans la journée Nomi m’a passé un de ces appels dont elle à le secret comme j’étais en réunion elle m’a laissé un message.
– Allô mon chéri, je ne suis pas bien, je suis en cours j’arrête pas d’y penser je suis mal, mal tu viens me chercher ce soir je termine a 17h00. J’ai vraiment besoin que tu sois là.
Quand Nomi me dit j’arrête pas d’y penser cela veut dire qu’elle est en proie a des envies, des pulsions sexuelles fortes. Elle focalise son esprit sur le sexe et n’arrive plus à se sortir çà de la tête. Comme vous l’imaginez elle est suivie par une cohorte de toubibs, depuis le généraliste en passant par l’endocrinologue et le psy. Il semble que ces réaction son atypiques et ne font pas partie des travers habituels de sa condition. J’ai souvent envie de tout foutre en l’air ces clowns ne servent pas à grand chose sinon a brouiller les cartes à mon avis. Mais Nomi à des parents si tout n’est pas au beau fixe ils la font suivre tout de même. Je serais d’avis de changer ces praticiens mais chaque chose en son temps.
Ma petite chérie était donc mal dans sa peau ce lundi. Pas question pour moi de me dérober je n’en ai aucune envie et passer du temps avec elle c’est mon soleil. Je n’ai rien dit mais j’ai prévu de passer la nuit avec elle. Ce sera sûrement le meilleur moyen de calmer ses angoisses.
17H00 Je suis garé devant la boite privée dans laquelle elle continue d’étudier, compte tenu de sa situation elle s’en sort pas si mal. La voilà qui arrive seule comme toujours, jamais je ne l’ai vue avec une copine. Ah bien sur la Nomi qui arrive n’est pas du tout la fille pétillante et japonisante qu’elle peut être parfois, ou la punk.. ou je ne sais quoi encore comme look.. c’est mon petit caméléon également. Oh mais elle est tout de même sexy, mais plus sage que d’ordinaire, ses cheveux de toute façon sont toujours colorés mais je l’aime bien comme çà. Elle repère vite la Mercédés petit signe de la main, trois foulées elle ouvre la porte jette ses affaires sur la banquette et se jette sur le cuir beige. Je vois tout de suite qu’elle a pleuré. Elle se penche me tends ses lèvres. Je l’attire doucement vers moi et sans nous soucier des passants on échange un baiser qui ne souffre d’aucune équivoque sur sa nature. Elle tremble un peu, elle me paraît fébrile. Nos lèvres se détachent, j’ai une petite main froide entre mes grosses paluches. Je caresse doucement les petits doigts.
– Alors.. ma douce raconte moi… dis je
– Tu sais ce que c’est toute la journée je n’ai pas arrêté de penser, d’avoir envie, j’ai des images qui passe dans ma tête j’arrive pas à me concentrer.. Je pense à toi, j’ai repensé a Nathalie et Eric c’était tellement bien mais çà me perturbe. J’ai tellement bandé que ç’a c’est décroché. J’en ai marre d’être comme çà tu sais… marre.. dit elle éclatant en sanglots.
Je l’attire à nouveau contre moi, c’est horrible de se sentir aussi désemparé, aussi inutile. Je n’ai pas beaucoup de solution à part la serrer contre moi la laisser pleurer en caressant sa nuque. Elle se serre contre moi , sa tête au creux de mon cou , ses larmes ruissellent sur ma veste, ma cravate. Peu importe. C’est elle qui m’importe, c’est cette petite fille paumée qui est le centre de mon monde et de plus en plus elle devient l’unique objet de mes pensées. Une petite fille qui me retourne les tripes.. me fait pleurer.. Oui moi le vieux, le boss d’une société sérieuse, l’ancien militaire le mec qui a traîné un peu partout dans le monde en faisant le coup de feu. Je suis là avec une gamine en larmes dans les bras et il n’y a qu’elle qui compte. Le reste du monde peut crever, exploser à cet instant il n’y a sur la planète que elle, son chagrin et moi. On rêve toujours de prendre la douleur de ceux qu’on aime à son compte hélas c’est impossible.
Et là alors qu’elle sanglote contre moi, je me rends compte que depuis un an que nous partageons complicité et moments coquins , jamais je ne lui ai dit ce que je ressens. Je sais à cet instant même que le moment est venu de dire les choses. Je ne sais pas si le fait de dire ces choses amélioreront sa vie ou feront s’apaiser les angoisses. Mais je sais maintenant que je ne pourrais pas la quitter sans lui avoir dit.
Nomi se calme et relève le nez.
– Me regardes pas ! Je dois être horrible maintenant ! Dit elle
– Tais toi petite fille tu est toujours la plus belle même avec tes yeux de panda comme maintenant… dis je en lui tenant le menton.
– T’est trop gentil puis elle baisse la glace pour se mirer dedans.. Oh la la tête de folle que j’ai !!
– Ma chérie je t’emmène quelque part ? Ce soir restaurant ?
– Non on va chez moi je veux rentrer
Ses désirs sont des ordres et je prend la direction de son appartement. J’ai préféré lui trouver un appartement dans une résidence potable, que le petit appart qu’elle avait avant. Elle est chez elle c’est calme bien situé, j’ai eu du mal à la convaincre car elle ne voulait pas que je paye. J’ai réussi cette fois là a emporter la décision en lui disant que c’était comme si je payais l’appartement de ma fille. Et c’est tout a fait ma démarche.
C’est vrai que mon attitude est peut être une forme de perversion, la considérer comme ma fille et vouloir pour elle tout ce qu’un père peut désirer et d’un autre côté c’est ma maîtresse, pire parfois mon jouet sexuel soumis à mes caprices. Et maintenant je sais que mes sentiments sont de la partie. J’ai toujours eu le chic pour me foutre dans les pires emmerdements. Peut être une seconde nature.. il faut bien avouer que dans ma jeunesse en opération combien de fois je me suis retrouvé dans des situations délicates car j’avais foncé et pris des décisions à l’emporte pièce. J’assume. J’en suis toujours sorti.. alors là ce n’est pas ma peau qui est en jeu. L’enjeu est bien plus grand, bien plus important c’est le bonheur, les espoirs, l’avenir d’une petite fille un peu particulière et croyez moi je vais pas la lâcher.
Je me gare dans le garage, elle a la place de parking mais pas encore la voiture, dans quelques mois ce sera fait. On monte ascenseur, Nomi est collée à moi je lui tiens la taille. On est face au miroir du fond de l’ascenseur.
– Tu ne vois pas ce qui cloche.. dis-je à Nomi
– Quoi ? Bah non… je sais j’ai pas une belle tête ce soir… mais sinon ça va..
– Si dis-je.. ce qui cloche c’est moi … regardes toi tu n’a pas 18 ans.. j’en ai plus de 60…
– Arrêtes… arrête dis pas ces choses là !!! c’est pas vrai s’emporte Nomi.
J’ai un peu honte de ce que je viens de dire mais cela me paraissait évident. J’ai du mal quand même à assumer cette relation de façon totale. C’est vrai que je ne peux m’empêcher de penser que si je n’étais pas là elle aurait la liberté de rencontrer des gens de son âge et de nouer peut être une relation forte avec un garçon de son âge.
Une fois dans l’appartement on est bien.. 18 étages nous séparent du sol, il fait un peu trop gris et frais pour profiter de la grande terrasse. Les grandes baies vitrées nous laissent voir la ville, les toits un coteau et quelques arbres au fond. C’est paisible. Je retire ma veste et fait tomber la cravate. Mauvaise habitude je me sers un 18 ans d’âge, c’est mon pêché mignon. Nomi se met à l’aise dans la chambre. Elle revient j’entends ses pieds nus sur le parquet, elle n’a sur le dos qu’un grand t-shirt avec un personnage coloré d’un manga. Mauvaise habitude aussi elle allume une cigarette. Mais la fumée ne me dérange pas.. ses baisers fumés non plus. Je m’assied sur le canapé face à la baie vitrée. Elle vient s’installe la tête sur mes genoux, elle tire sur sa cigarette en me regardant, puis elle prend mon verre redresse la tête ses lèvres touchent le liquide ambré, petite grimace tellement seyante et elle me rend le verre.
– Comment tu fais pour boire çà !!!me dit Nomi
Je tente d’att****r sa cigarette elle éloigne sa main..
– Et toi comment tu fais pour fumer çà…. donnes partage un peu dis-je
– Non tu n’a pas le droit ça fait combien… 20 ans que tu ne fume plus alors non je veux pas dit elle.
Son regarde est chaud, les éclats dorés de ses pupilles sont intenses, quels yeux magnifiques, pourtant elle n’est plus maquillée, elle est au naturel toujours aussi féminine pour ceux qui se poseraient la question.
– Alors ma chérie, raconte moi tes malheurs dis-je en caressant son front, dis moi tout.
– Comme d’hab, je suis partie en vrille, des pensées sexe qui se cognent dans ma tête, envie de … toi.. envie que tu sois là… et je bloque sur çà.. et tu sais je me met a bander comme une dingue. Mais là je suis en cours je ne suis plus rien je fais des aller retour pour me cacher et pleurer. J’ai du mal à être ce que je suis vraiment. Il faut que je trouve une solution et le traitement me rends malade assez souvent. Tu sais il y a une solution.
– Oui ma chérie .. je la connais ta solution.. te faire charcuter ce n’est pas que je refuse totalement cette solution et je suis qui d’ailleurs pour te le refuser. Tu devra prendre une décision je le sais mais donne toi le temps, réfléchis tu sais bien que le traitement est irréversible lui aussi, cette opération aussi mais c’est plus radical et rapide. Mais les conséquences sont énormes tu le sais
Elle hoche la tête, ses yeux son pleins de larmes qui se mettent à couler au coin de ses yeux. Elle prend ma main sur son front et la couvre de baisers. Du bout des lèvres.. C’est doux.. c’est dans ces moments que je mesure la chance que j’ai de l’avoir trouvée.
– Je suis chiante… pardon… mais j’ai mal, je suis mal dans ma tête parfois. Mais quand tu est près de moi je vais mieux.. Je sais que là rien de mal ne peut m’arriver. Tu est là. Me dit Nomi en caressant ma joue.
Je sens ma gorge se serrer, le temps semble stoppé. Je sais que entre son état d’esprit et le mien actuellement les minutes qui suivent vont certainement compter. Ses yeux me scrutent comme si elle attendait tout de moi. Je pense que c’est tellement vrai. Elle est devenue le centre de mon monde et je suis devenu le centre du sien. Mais nous avons depuis tout ce temps fais comme si ce qui nous arrive n’est pas si important, c’est comme si on c’était mis un sac sur la tête.
Je ne peux plus me taire, je n’ai plus envie de le faire ce n’est même pas une question de droit d’honnêteté c’est dans les tripes.. il faut que je le dise.
– Non tu n’est pas chiante.. tu est ce qui m’est arrivé de mieux depuis des années.. Surtout laisse moi parler Nomi.. ne dis rien.. écoute moi..
Elle acquiesce avec une sorte de lueur inquiète dans l’œil. Je prend sa main dans la mienne. Sa petite main, mon autre est posée de nouveau sur son front et je la caresse doucement. Elle a ramené ses genoux vers elle. Sa tête repose sur mes cuisses elle ne me quitte pas du regard. Mon dieu qu’elle est belle.
– Voilà plus d’un an qu’on c’est rencontrés ma chérie, chaque moment que je passe avec toi est un moment que je pense inoubliable.
– Mais…. commence t-elle… posant sa main sur ma joue et se redressant un peu.
– Laisse moi, je vois tes yeux qui ont peur.. n’ai crainte tu ne pleurera pas je te le jure. .. dis-je Moi je dois te dire une chose que je n’ai pas su te dire depuis tout ce temps, je crois que je n’ai eu ni le courage, ni je n’avais accepté l’idée même, nous sommes bien ensembles tu le sais, je le vois quand tu est comme çà avec moi. Mais tu vois Nomi c’est plus qu’être bien, c’est plus que passer du bon temps, plus que faire l’amour, s’épuiser à jouer tous les deux ou bien avec d’autres. Toi et moi .. je dois l’admettre c’est plus.. bien plus que çà..
Sa main serre la mienne.. ses articulations blanchissent même tellement elle me serre les doigts. Ses yeux sont humides les larmes sont de petits lacs au bord des paupières. Elles ne coulent pas encore mais elle va pleurer c’est sûr.
– Nomi… il faut qu’enfin je te le dise.. tu vois ma petite coquine, ma petite salope comme je le dis si souvent.. J’ai compris que je ne pouvais me passer de toi et il faut que je te le dise enfin car je l’ai compris, je l’ai admis je l’ai digéré même….. Nomi…. je t’aime….
A cet instant je n’ai pas pu retenir une larme qui devait se préparer. J’étais envahi pas l’émotion, le cœur battant comme un gamin attendant sa réaction..
– Nomi éclate en sanglot et se redressant jette ses bras autour de mon cou, les yeux grands ouverts les larmes ruisselant sur ses joues.. elle me regarde un long moment… ses lèvres tremblent, tout son corps tremble. Sa respiration est saccadée…
– Moi aussi… je t’aime… dit-elle d’une voix mal assurée..
Ses lèvres approchent des miennes, c’est elle qui prend l’initiative du baiser, cette fois le baiser est doux, langoureux, différent de nos baisers impatients et chargés de sexualité. Là nous sommes dans le sensuel, la délicatesse. Et il dure ce baiser, nous nous laissons envahir par la douceur du moment, par l’atmosphère particulière de ce moment d’aveu. Ne riez pas à cet instant je me sens léger comme tout car mon aveu d’amour fut bien difficile. A mon âge dire cela n’est pas aussi facile qu’a 20 ans… Admettre de tels sentiments alors qu’arrive l’automne de la vie, il faut oser, être assez fou pour le dire à une gamine qui n’a même pas 18 ans… Au fond peut être n’avait elle pas les mêmes sentiments, n’était elle pas assez folle pour cela. Mais j’avais ma réponse.
Mes mains la tenait sur ses flancs, menue je peut presque faire le tour de sa taille avec mes mains.
Nomi essuie mes larmes qui se sont mises à couler. Nous nous regardons, nous avons presque l’impression de nous parler silencieusement, avec mes pouces j’essuie les grosses larmes le long de ses joues. Elle me picore le visage de petit baisers rapides.
– Pardon d’avoir mis si longtemps à te le dire…. m’excusais-je
Elle secoue la tête pour me faire non.
– Je ne m’attendais pas à ce que tu me le dise un jour, je crois que j’étais sure de tes sentiments mais je me doute bien que ce n’est pas facile. Dit-elle. Moi aussi j’attendais pour te le dire, mais je ne voulais surtout pas t’embarrasser ou te faire penser que je cherchais quelque chose de plus que ce que tu m’offre tous les jours.
– Nomi chérie, j’aurais du te le dire plus tôt mais un vieux con comme moi et une jeune femme comme toi.. ce n’est pas évident. Et en plus un vieux infirme.. enfin plus ou moins.
– Ah non tais toi, ne dis pas çà !! Tu m’a toujours comblée, satisfaite au-delà de ce que j’avais toujours espéré. Alors tu ne dis pas cela..
Je t’aime toi.. tout entier, comme tu est.. maintenant et tout le temps que tu voudra de moi. Dit elle un peu énervée.
– Ma chérie, ma chérie… dis-je en la serrant contre moi .
A suivre.
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