Je finissais de lire la page des sports quand elle passa devant moi, vêtue d’un bas de pyjama et d’un tee-shirt un peu lâche… Elle, c’était Mathilde, la fille aînée de ma compagne qui, chaque jour qui passait, devenait un peu plus belle encore, du haut de ses dix-huit ans !
Forcément, je m’attendais à voir juste derrière ma « belle-fille » son « abruti » de copain, Kevin, qui ne la lâchait pas d’un mètre quand ils étaient ensemble, les week-ends. Mais non, pour une fois, elle était seule… Était-il parti chez lui ? S’étaient-ils disputés ce matin ? Cette dernière pensée m’enthousiasma tellement je ne pouvais supporter ce jeune « trou du cul » !
Je me replongeais donc dans ma lecture sans réponse à mon interrogation, non sans avoir jeté un œil en direction de Mathilde, admirant ses jolies petites fesses que le tissu du pyjama épousait à la perfection quand elle se baissa pour mettre en charge son téléphone portable.
« Tu fais quoi, Manu ? Je peux m’asseoir à côté de toi ?
– Tiens ! Nous existons ? C’est parce que Kevin n’est pas là ?!
– Si, il est là ! Il est dans ma chambre… il dors. »
Elle venait de s’asseoir dans le canapé juste à ma droite, posant un bras derrière mon cou. Quand Mathilde agissait de la sorte, c’était pour me taxer un peu d’argent pour faire les magasins ou pour me demander de l’emmener quelque-part en voiture.
Mais, cette fois-ci, rien ne se passa comme d’habitude…
Après m’avoir embrassé sur la joue, elle glissa une jambe pour venir se mettre à califourchon sur ma cuisse. Malgré les deux épaisseurs d’étoffes, je sentais sur celle-ci la douce et moite chaleur de son sexe juvénile.
« J’ai envie de sentir ta grosse queue en moi… me susurra-t-elle à l’oreille, tout en posant sa main libre sur mon entre-cuisses.
– Mais arrête, Mathilde ! T’es folle ou quoi ?! »
J’essayais de me dégager de son étreinte, complètement surpris et interloqué par cette soudaine proposition indécente. Elle, comme possédée, tentait de m’embrasser sur la bouche, sa langue parcourant mes lèvres dans l’espoir de les entrouvrir, sa main droite s’escrimant à défaire les boutons de mon jean. Malgré ma volonté, je sentait mon sexe grossir et se tendre un peu plus à chaque fougueuse caresse de Mathilde.
« Arrête, Mathilde ! Kevin va nous voir ! »
En prononçant ces mots, je compris que j’avais perdu la partie, que j’avais bien facilement abdiqué et renoncer à mes principes de morale et d’éducation. D’ailleurs, Mathilde venait de libérer mon sexe de son carcan et sa main faisait maintenant des allers / retours du haut au bas de ma colonne de chair.
« Manou, Manou… Embrasse-moi ! Baise-moi ! »
Je n’en pouvais plus ; l’excitation était trop forte… Mes mains parcouraient maintenant frénétiquement son corps d’adolescente, l’une passant d’un sein à l’autre, les triturant, jouant avec ses tétons, les pinçant, tirant de ma belle-fille de petits cris plaintifs… Ma main gauche, quant à elle, je l’ai glissée entre son bas de pyjama et ses fesses, mon majeur s’immisçant entre ces deux globes de chair pour venir titiller son petit œillet dégoulinant de sueur. Nos deux langues s’entrecroisaient maintenant dans un balai effréné…
Je l’ai alors fait basculer à plat-dos sur le canapé, déchirant par la même occasion son tee-shirt pour le lui ôter. Lui faisant ramener ses jambes le long de son corps, je pouvais maintenant contempler son joli petit sexe que le tissu détrempé du pyjama épousait parfaitement. J’enlevais rapidement mon pantalon et mon boxer puis m’agenouillais devant le canapé, la tête à hauteur de son entre-jambes. Enivré par son parfum, je plongeais mon visage entre ses cuisses, mordillant ses lèvres à travers le tissu du pyjama.
« Vas-y ! Prends-moi ! Baise-moi… je n’en peux plus ! Hummm ! »
Elle me maintenait la tête plaquée contre son sexe, m’incitant à descendre vers son petit trou, puis à remonter et à enfoncer ma langue et son pyjama dans sa chatte dégoulinante. Ses cris de jouissance étaient de plus en plus forts… mais je ne m’inquiétais plus de rien, obsédé par ce magnifique corps de jeune femme qui s’offrait si soudainement à moi ! Complètement électrisé et telle une bête féroce fonçant sur sa proie, je déchirais le pyjama et me laissais tomber sur Mathilde, mon sexe s’engouffrant dans son puits d’amour comme si celui-ci avait été fait pour l’accueillir…
Je baisais ma belle-fille… Alors que j’avais vingt ans de plus qu’elle, j’étais entrain de prendre la fille de ma compagne sur le canapé du salon, avec sans doute son propre petit-copain dans la chambre d’à-côté. D’ailleurs, comment était-ce possible qu’il n’ai rien entendu, avec mes râles de plus en plus puissants à chacun de mes coups de reins ?!
Peu importe ! Mathilde m’avait maintenant enlacé avec ses jambes et je redoublais d’ardeur… Elle s’agrippait à moi, les bras autour de mon cou… Je m’apprêtais à jouir dans son sexe…
« J’ai un cadeau pour toi, Manou !
– Hein ?!
– J’ai un beau cadeau pour toi, mon Manou adoré !
Elle avait un large sourire plein de malice. Je ne compris pas tout de suite le sens de ses propos… Et puis je sentis une présence derrière moi… mais elle m’empêchait de tourner la tête pour me permettre de voir qui était-ce ?!
Le bruit d’un crachat… puis quelque-chose qui coule entre mes fesses !? Je me sens à la fois terrorisé et terriblement excité par la situation. Mathilde me maintient toujours fermement contre elle, mon sexe en elle…
C’est alors que je sentis quelque-chose de chaud et dure contre mon anus ! J’essayais de remuer les fesses mais la pression se faisait de plus en plus forte, mes chairs s’ouvrant petit à petit pour laisser passer l’intrus. J’entendais une respiration haletante et saccadée s’accélérant… au fur et à mesure que je sentais mon cul se faire pénétrer. J’étais entrain de me faire sodomiser, de me faire enculer… par Kevin ! Je reconnus l’intonation de sa voix !
« T’aimes ça, gros porc ?! T’aimes te faire enfiler comme une grosse salope… C’est qui alors, le trou du cul, de nous deux ?
– Arrête, Kev ! Profite de l’instant plutôt ! Hummm… c’est trop bon ! Manou… continue, c’est trop bon ! T’aimes ça aussi ?!
Oui, j’aimais ça ! Ce fut d’ailleurs sensationnel de sentir l’orgasme de Mathilde en même temps que son copain jouissait en moi et me remplissait !
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