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Tribulations d’une assistante

Tribulations d’une assistante



Histoire que j’avais déjà écrite sous un autre pseudo

Je cherchais du travail et avis envoyé de multiples CV.
Un soir, je reçois un courrier d’une grande surface.
J’ouvre fébrilement l’enveloppe et suis surprise par la façon dont ce patron écrit mais heureuse d’avoir un entretient.

Tu vas venir à mes bureaux car tu cherches un stage. Après mûre réflexion, je décide de te faire passer l’entrevue. Nous verrons bien.
Je te fais passer celle-ci une fois que les employés sont partis.
J’ai vu ta photo, tu es belle.

La lettre est curieuse.
Mais j’ai tant besoin de boulot que le lendemain soir je me présente au Bureau de ce patron de grande surface.
Je me suis habillée sexy mais BCBG.

Il ouvre la porte et je rentre dans son bureau un peu angoissée.
« Bonjour jeune fille » dit-il d’un ton ferme et autoritaire.
C’est un assez bel homme de la cinquantaine mais qui porte sur lui l’autorité.

« J’aime les filles qui savent se faire sexy. Tu es provocante et j’aime les petites coquines. »

Je rougis et ne réponds pas de plus en plus angoissée par le ton que prend cette entrevue.

« Asseyez-vous ! Maryaline ? C’est ça ? »

Timidement je réponds un « Oui monsieur » qui le fait sourire
Et je m’assoie dans un fauteuil profond qui me fait remonter ma robe bien trop haute.

« Vous étés vraiment une très belle jeune femme habillé très sexy. Décidément, je sens que je vais profiter de la situation. »

Sur ces mots, je suis terrorisée et prête à m’enfuir.
Je n’ose pas le regarder. Je ne suis pas du genre à me soumettre mais j’ai terriblement envie de cet emploie.
D’un ton assez dur, il me dit :

« Pourquoi tu te présentes à moi. »

Je tente de répondre mais il me coupe fermement la parole. Je baisse la tête et ne sais quelle attitude avoir. Je sens son regard sur mes cuisses dénudées.
J’essaye un sourire un peu timide. Mais c’est la gêne que mes yeux trahissent.

Il approche son siège de moi.
Je me force à le regarder en rougissant.

Il s’assoit devant moi et ne se gêne pas de lorgner mes cuisses et mon décoté.

« Alors Maryaline, pourquoi je devrais t’embaucher. »

Je le regarde fixement. Je me mords la lèvre.

Je lui dis :

« Parce que j’ai absolument besoin d’un travail. »

« Que sais-tu faire petite »

En me disant çà, il s’’approche et pose une main sur mon genoux. Je sursaute et me crispe.

« Allons détend toi petite »

Et il monte sa main au niveau de ma petite jupe. Je repousse timide sa main elle reste fermement sur ma cuisse.

« J’ai une bonne expérience de secrétaire monsieur »

Il sourit et me dit :

« Cà ne suffit pas jeune fille. Il faut être obéissante et te plier à tous mes désirs »

En disant ses mots sa main remonte sur ma cuisse et passe sa main sur mes fesses en tentant de m’embrasser.

Je le repousse.

Il recule et d’un ton péremptoire :

« Salope ! Si tu veux bosser va falloir être plus obéissante que çà ! »

Je ne sais plus quoi faire et à contre cœur, je le laisse investiguer.

« Voilà qui est mieux ! Mais tu ne portes pas de culottes ! »

Et le voilà qui me lèche le minou.
Je me mords la lèvre pour ne pas gémir sous cette caresse mais je craque.

« Ta petite chatte est trempée ! Tu es chaude, humide. C’est un vrai plaisir. »

Il me fixe. Je suis très excité mais paralysée.
D’un coup, il se lève.
Me prends les bras pour me dresser d’un coup !
Je tiens à peine sur mes jambes.
Il me claque contre le bureau.
Il se trouve contre mon dos et je sens mon gros désir.
D’une main il me prend la nuque et me baisse pour me mettre en levrette.
Il me caresse la chatte déjà humide et me fous une grosse claque sur les fesses.

Je gémis.

« Monsieur, que faites-vous ? »

Il ne répond pas et me prenant les cheveux il me redresse d’un coup. Et m’enfile son braquer dans la chatte sans ménagement.

Je crie mais il me tient fermement par les hanches.
Il me prend le coup dans ma main et m’étrangle.
J’ai peur et en même temps, je sens comme une vague d’excitation qui monte en moi.

« Mais tu mouille comme une chienne salope ! »

Les mots qu’il prononce sont insultant et bizarrement çà me plait.
Il se met à me labourer la chatte et je m’entends lui dire :

« Oui encore ouiiii »

Il me dit à l’oreille :

« Que crois-tu jeune salope !? Que tu allais t’en tirer comme çà ? Tu devras me servir comme je le souhaiterais et où je le souhaiterais OK ? »

La jouissance montant en moi je luis répondis :

« Oui monsieur comme vous voudrez »

Alors en me tenant par les cheveux, il me dirigeât vers sa grosse queue.

« Suces petite salope »

Il m’imprimait le mouvement en me tenant la tête et enfonçait trop loin sa queue dans ma gorge me faisant tousser.

Le souffle coupé, je bredouille :

« Baisez-moi, je vous en supplie, baisez-moi… »

Il me tire la tête en arrière à nouveau.

« Crois-tu pouvoir me donner des ordres ! »

Je ferme les yeux et il se renfonce dans ma bouche. Sa verge dure comme du béton.

Puis me tenant les cheveux il me retire la tête en arrière.

« Hum… Tu aimes ça…chiennasse ! »

Je gémis et humiliée et honteuse :

« Ahhhh, oui, hum…oui monsieur ».

Là, il me retourne d’un coup sec !
Me soulève et m’assois sur le bureau sans ménagement.
Il me prend ma petite gorge dans la main fermement.
Il m’installe violemment au bord du bureau.
Je gémis. Alors qu’il me bascule d’un coup en arrière.
Mon dos claque contre le bureau.
Je m’agrippe au bord du bureau.
Il plonge son visage entre mes cuisses bouillantes !

« J’ai tellement envie de te bouffer ce minou trempé. Hum… »

Il le prend à pleine bouche pour le sucer d’un coup.
Il plonge sa langue dans ma fente juteuse.
Je me cambre.
Je lève la jambe gauche et la pause derrière ma nuque.
Je tremble, frémis. Je gémis. Je mouille tellement quel plaisir.

« Ouiiii encore oui c’est trop booon ! »

Il appuie sa langue fort sur mon clito. Il est tellement dur !

Il se met à le mordiller.
Je gémis de plus en plus fort.

Il me bouffe la chatte de plus en plus fort !
Je sens cette chaleur me monter dans le ventre.
Mon corps s’abandonne.

Je vais jouir. Je le sens. Il accélère. Je commence à jouir…
Puis brusquement, alors que j’allais hurler de jouissance, il s’arrête net !
Il se redresse.

« Crois-tu avoir le droit de jouir si tôt ?! »

Son visage est rougi de plaisir.
Je le regarde avec tant d’envie.
Je reste allongée sur le bureau, offerte.
Il fait le tour du bureau et je reste frustrée de mon orgasme naissant.
Arrive au niveau de mon visage. J’entrouvre la bouche pour gober se dard bien dressé.
Mais il me fourre ses doigts dans la bouche.
Comme une salope dépravée, je me mets à lui sucer les doigts.
Mes lèvres glissent sur ce doigt.
Je ferme les yeux doucement, je me caresse.

Je le regarde avec envie de mes yeux si gourmands…

« S’il vous plait, monsieur, donnez-la-moi. » et j’entrouvre la bouche à nouveau.

Je prends sa queue dans la main mais il me la retient d’un coup.
Je lui fais un regard de petite sainte tellement j’ai envie de pomper cette hampe.
Il me regarde fixement amusé de me faire ainsi languir.

« Je ne veux pas en rater une miette. J’ai hâte de voir cette belle bouche autour de mon gland gonflé de plaisir. »

Il me frappe doucement la joue avec sa queue.

« C’est ça que tu veux ? »

« Oh oui monsieur donnez-moi votre queue à sucer s’il vous plait »

Avec mon regard vicieux, je souris et prend ce magnifique objet dans ma bouche commençant une pipe comme je sais si bien les faire avec gourmandise.

Il me prend les chevilles d’une main et me claque les fesses.

Il me prend par la nuque en me tenant les cheveux.

« Alors que tu me suces de plus en plus fort. »

Je le regarde droits dans les yeux avec provocation.

« Tu aimes me sucer salope et tu le fais si bien. »

Alors que sa main tient ma nuque, il prend ma mâchoire et m’ouvre la bouche.
Il me pénètre profondément et fait des va-et-vient.

« Tu adores ça. Putain ! » En me regardant avec intensité.

Je gémis, Je veux jouir mais il enfonce son sexe dans ma bouche.

Il m’étouffe avec son sexe.

Je sens qu’il est prêt à exploser.
Il ressort de ma bouche brutalement.
Je tousse et essaye de reprendre ma respiration.
Il se met à gicler une première fois fort et abondamment dans ma bouche.

« Que tu es gourmande ! «

Il gicle encore et je branle toujours.
Il grogne.

« C’est bon… »

Il gicle, encore et encore. J’en ai plein la main, plein la bouche, les seins.
Il me fixe avec malice

« Hum… Ma belle petite assistante. Tu as un bel avenir devant toi »
.
Je reprends alors son sexe qui débande dans la bouche. Je le lèche délicatement et le nettoya consciencieusement.

« Tu es mon assistante désormais. Il nous reste beaucoup de chose à explorer. »

Il m’embrasse sur les fesses.

« Hum. Que tu es douce. Rhabille-toi vite il y a un endroit que je veux te faire connaître… »
’ai reçu un mail vers 09h00 m’indiquant que je devais le rejoindre à la banque à 10h00 vêtue juste d’un manteau et nue dessous.

Donc comme convenu, je me suis rendue au rdv.
Il attendait dans sa Jaguar.
Je lui dis bonjour en lui tendant la main.
Il l’a prend et me tire à lui.
Sans un mot, il me roule une pelle tout en vérifiant si je suis bien nue sous le manteau.

« Bien allons y et ne me décevez pas ».

Nous rentrons dans le bureau du directeur de la banque.
Un bureau très cossu et nous sommes accueillis comme des amis.
Le directeur de la banque est très classe, mince, la quarantaine, yeux bleus.
Il me plait bien.
Les 2 hommes discutent finances..blablabla…
Puis mon boss me dit brutalement, alors que je rêvassais :

« Maryaline debout et enlevez votre manteau ».

J’en sursaute presque.
Un peu tremblante, je me lève et laisse tomber le manteau.
Le directeur pousse un wahoo ! D’admiration.
Malgré ma gêne je suis flattée.

« Vous me gâtez mon cher » dit-il à mon boss.

« Il n’y a pas de quoi. Avec tous les services que vous m’apportez. C’est normal ».

Il dit à sa secrétaire par l’interphone :

« Vous nous apportez du champagne mademoiselle vite. »

2 minutes après alors que je suis nue debout devant le bureau et que les 2 hommes parlent de moi, de mes charmes et de la façon dont je peux être disponible, la secrétaire entre avec le champagne.
Elle le dépose sur la table de salon en me regardant d’un air offusqué et dédaigneux.

« Allez filez ! Vous n’avez jamais vue une fille nue ? »
Dit-il à sa secrétaire.

Je devais être rouge de honte.

Ils se servent le champagne et m’en donnent un verre.
Eux dans des fauteuils et moi à genoux.
1 verre, 2, 3 et ma tête commence à tourner.
Pendant ce temps ils parlent de moi comme d’un objet. Comme si je n’étais pas là.
Puis le directeur se lève et commence à me palper partout en introduisant les doigts dans mon intimité puis dans ma bouche bien sûr avec les commentaires qui vont bien.

Mon boss lui dit :

« Si vous voulez je peux vous laisser seul avec elle ».

« Non non à deux on va mieux s’en occuper »
Répond-il en rigolant.

A force de me tripoter je me mets à gémir et à mouiller énormément.
Il s’essuie la main sur mon visage et me dit :

« Mettez-vous à 4 pattes et faites le tour plusieurs fois du bureau. »

Très humiliée, je m’exécute et bien sûr ils rigolent de me voire me trémousser comme çà.

« Allez venez me sucer »

Il dit à mon boss :

« Prenez la par derrière qu’on l’occupe bien cette petite »

C’est ainsi que j’ai sucé jusqu’au bout le directeur qui s’est lâché dans ma bouche.
Il m’a demandé d’avaler.
Mon boss lui s’est lâché sur mon dos.
Ils m’ont nettoyé le dos au champagne et m’ont entré la bouteille dans la chatte et le cul.
Ils se congratulèrent.

Mon boss me jeta mon manteau sur le dos et nous prîmes congé.

Comme j’étais saoule, c’est mon patron qui m’a ramenée chez moi.
J’ai eu le droit à 300 euros de prime.

En me déposant il me dit :

« Mon chauffeur vous rapportera votre voiture ce soir. Je vous demanderais d’être très gentille avec lui »

Le soir le chauffeur m’a prise en levrette par le cul.
Après lui avoir fait une superbe pipe, il s’est lâché sur ma figure.
Voilà ma journée de travail.
J’y ai pris beaucoup de plaisir.

Deux sentiments se bousculent en moi.
La honte d’avoir fait çà et de retourner au travail avec se fardeau.
Mais aussi le plaisir que m’a procuré cette utilisation de ma personne avec la fierté d’avoir permis à mon boss de faire signer un gros contrat.

Le lendemain curieusement mon patron me laissa en paix chez moi.
Le téléphone sonne alors que je suis dans mes rêveries.

« Maryaline, habillez-vous sexy mon chauffeur passe vous prendre ce soir. »
Et il raccroche.

Docile et pensant à une autre belle prime, je me préparais.

Le soir, comme prévu, le chauffeur vient me chercher.
Je suis en robe fourreau lycra noire très moulante, mes cuisses, décotée.
En dessous string noir et soutif wonderbra pour bien mettre en valeur mes petits seins.

Je suis surprise par la réaction du chauffeur qui me siffle et me dit :

« hé bien ils vont s’en payer une belle tranche les salauds ».

Je reste coite et rougit alors qu’en m’emmenant à la voiture et m’ouvrant la porte arrière, il me met ostensiblement la main aux fesses.
Nous arrivons au resto super classe.
Il m’ouvre la porte et recommence.

« tu ne perds rien pour attendre » me dit-il en me faisant un clin d’œil.

A ce moment je suis prête à m’enfuir et je me demande ce que je suis entrain de faire.

Le patron et deux gros porcs m’attendent et me voient arriver avec des sourires de satyres.
Le repas est génial et détendu puis au moment du digestif, mon boss dit :

« Bien messieurs on va passer aux choses sérieuse si vous le voulez bien. Je vous propose qu’on se retire dans une chambre où nous pourrons déguster un bon cognac et bien d’autres choses tout en signant au calme notre affaire »

Les deux gros acquiescent avec un sourire approbateur.
Nous rentrons dans la chambre.
Mon boss ouvre un dossier et passent à la signature.
Puis il se retourne vers moi et là froidement sans ambages, il me dit :

« A poil ! Messieurs elle est à vous. »

Je suis pétrifiée.
Ils allument de gros cigares et les gros me disent :

« Alors petite salope tu te magnes le cul où on t’arrache les vêtements. »

Je m’exécute tremblante.

Là ils s’approchent et se mettent à me caresser partout et même intimement.
Malgré ma honte et la trouille je me mets à mouiller et à gémir.
Les réflexions fusent.

On frappe à la porte.
Mon boss dit d’entrer.
C’est le serveur qui apporte les cognacs.

Je suis nue entrain de me faire tripoter et il n’en perd pas une goutte bien sûr.
Je suis morte de honte.
Ils me mettent à genoux et sortent leurs queues.
En me tenant les cheveux, ils me poussent à les sucer.
Je les suce tour à tour et mon patron regarde le spectacle en fumant son cigare.
Les 2 gros lui disent :

« çà c’est un contrat comme je les aime »
Puis l’un m’a pénétrée et ils s’échangeaient les places à tour de rôle.
J’ai reçu le jus d’un dans la bouche.
L’autre, dans le cul car bien sûr il y en a un qui, malgré mes réticences, s’est offert mes fesses.

Une fois qu’ils se sont bien occupés de moi, comme si je n’existais pas, il téléphone à son chauffeur en lui disant

« venez à la chambre 202 récupérer votre colis. Raccompagnez la chez elle et payez-vous un pourboire si çà vous chante »

Je récupérais mes affaire et :

« non laissez çà là vous les récupérerez dans mon bureau Mardi. »

« Mais monsieur… »

« Prenez la couverture pour rentrer. »

Le chauffeur était aux anges quand il m’a vu ainsi.

Au retour j’ai dû rester nue dans la voiture et là il m’a assise à l’avant.
J’ai dû le sucer durant le retour et il s’est lâché dans ma bouche.
Quand il m’a laissé chez moi il m’a dit « on se reverra ma belle !!!! »

La semaine d’après, vers 18 heures mon boss m’a convoquée dans son bureau.

« Maryaline, vous êtes une assistante dévouée. Je souhaite une fois de plus vous mettre à contribution pour un diner d’affaire ce soir. Comme à l’habitude, mon chauffeur viendra vous chercher. »

« Bien monsieur »

« Je n’ai pas besoin de vous dire d’être très salope comme vous aimez l’être »

Je rougit et lui réponds un timide :

« Oui monsieur. »

Donc resto chic le soir avec 2 autres patrons d’entreprises. Tous dans les 50 ans environ.
Diné raffiné agréable etc…
Ils décident de terminer la soirée en boite.

Je dis à mon patron que je suis fatiguée et je préférerais rentrer.
Là il me regarde fermement et sur un ton sec…

« C’est comme vous voulez mademoiselle mais vous en tirerez les conséquences. »

Donc j’ai cédé et je suis partie avec eux.
Toute la nuit j’ai du danser avec l’un avec l’autre.
Dés que je voulais me reposer, il y en avait un qui qui me reprenait pour danser avec des mains très baladeuses et parfois plus que baladeuses.
En fait c’est mon patron qui a calmé le jeu.
Sinon je serais passé à la casserole je crois.

On est rentrée à 05h00 du matin.
En me raccompagnant, j’ai compris pourquoi le boss avait calmé le jeux.
Il m’a masturbée dans la voiture pendant le trajet et je voyais le chauffeur qui regardait dans le rétroviseur en même temps.
J’étais épuisée et j’avais honte de me laisser faire ainsi.
En même temps qu’il me caressait, il m’expliquait ce qu’il attendait de moi et pourquoi il avait calmé les 2 hommes.
Et il m’a fait jouir dans la voiture tout en m’expliquant les choses.

En fait, il ne les a pas laissé aller plus loin simplement parce qu’il avait un gros contact à signer avec eux et qu’il ne voulait pas me laisser entre leurs mains tant que l’affaire ne serait pas faite.

C’est là le souci.

Quand il m’a laissé chez moi, toute flageolante et le minou détrempé par ce que j’avais subi dans la voiture.
Il m’a lancé

« je vous laisse la journée pour vous reposer. Je vous prends à 09h00 ce soir. Je veux que ce contact soit signé ce soir… vous avez compris ? »

Et il s’est barré.
Mais je ne sais pas si je vais accepter.

Bien sur çà me fait peur mais si je n’accepte pas il risque de me virer.
A peine arrivée chez moi je me masturbai comme une folle et me faisais jouir en hurlant.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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