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Eliane et ses fantasmes (Partie 1)

Eliane et ses fantasmes (Partie 1)



A. Mon fils
Bonjour, je suis Eliane. La quarantaine, brune, 1,58m, femme ardente, aimant la vie…
Mariée, j’ai un fils
J’ai un fils qui est parti vivre sa vie… Ado précoce, nous nous partagions son éducation, mais les enfants ne sont plus ce que c’était, les copains et internet nous remplacent avançant les acquis sur le monde de la sexualité, transgressant sans regret, sans morale et sans recul ce monde, pour nous si délicat…
Bref mon fils, que je préservais tout de même de certaines pratiques, est devenu un homme… Il a trouvé du travail habite chez lui, mais passe de temps en temps, on appelle ça les visites machine à laver…
Je me suis faite une joie pendant qu’il passait quelques jours avec son père pour refaire son studio, de m’accorder une semaine de délices en bord de mer… Hôtel sans luxe, mais très bien orienté vers les plaisirs de la mer et de la chaire…
Oui, je suis gourmande, en tout, excessive parfois… La carte que le restaurant me propose me fait flasher, car beaucoup de poissons et de coquillages dont je raffole… Pas de soucis de ligne, mon nouveau maillot va apprécier…
La première journée est une découverte de cette côte, entre Montpellier et Béziers… Plage de sable fin, immense, donc pas de voisins sur ma serviette, pas de ballons, ni de cris d’enfants… Le calme de la méditerranée… Le soleil, mais la plage privée de l’hôtel m’offre des transats de folie, mieux que les miens en tous cas. En demi-saison, les touristes ne sont pas encore arrivés et la clientèle est rare, quelques couples, pas de familles entières, des étrangers, oui… J’ai repéré un habitué, car il tutoie le serveur. Seul, pas trop mal, la quarantaine aussi…
Un couple vient de s’installer sur l’ensemble parasol, transats, à côté de moi, car je me suis mise en première ligne, près de l’eau… J’adore me tremper souvent, puis revenir m’étendre en reprenant la lecture de mon magazine féminin… D’un autre côté, je sais que nombre de promeneurs ne se baladent que pour lorgner les belles sirènes, alors autant être en premier plan…
Mon voisin se repose, sa femme va goûter l’eau… Maillot deux pièces, blonde, dans les 45 ans je dirai… Je ne peux m’empêcher de la suivre des yeux… Elle avance, recule, puis trempe les pieds, sautille, puis y va… Chevilles, genoux, elle se retourne, il dort… Elle a un mouvement des épaules, continue à avancer…
J’y vais… Habituée à la température de l’eau, j’avance vite, nous sommes 2 baigneuses maintenant… J’arrive à sa hauteur, elle me sourit.
– Bonjour, française ?
– Oui, et vous ?
– Oh, oui, juste ici pour deux jours, on travaille dans le tourisme… Alors on s’accorde une virée avant la tempête…
– Bien, bon séjour alors…
– Vous restez la semaine ?
– Oui, c’est mon premier jour… Découverte de l’hôtel, de la plage, je n’ai pas encore testé la piscine. Et vous ?
– Non, hier nous étions crevés, avons dormi tard… Enfin…
– Je vois…
– Vous êtes seule ?
– Oh, oui… Mon fils est avec son père, ils retapent son studio, donc je me suis accordé des vacances… Repos total, pas de soucis, farniente…
– Les joies de la plage, la mer, le rêve, les rencontres, les broîtes…
– Oh, je suis sage en principe, le fait de changer d’air est déjà un bienfait.
– Je vous comprends… Au fait je suis Marlène…
– Eliane, nous aurons l’occasion de nous croiser…
– Absolument, et si vous vous ennuyiez, n’hésitez pas, mon mari ne mord pas, ou alors pour jouer…
– Oh, il a l’air fatigué…
– Nous avons des journées éreintantes, je lui pardonne…
– A cause de vous ?
– Oh, pas que moi, il est coach, vous avez, pardon, tu as deviné Eliane…
– Marlène, tu as l’air aussi coquin que tu es belle…
– Parfois, oui. Je suis ici pour me divertir et faire ce que j’ai envie… En particulier me reposer car il est infatigable. D’un autre coté je suis lasse de le suivre, il n’arrête pas, il adore courir…
– Ton mari est un sportif accompli, et tu es svelte aussi. Coach de sport tous les deux ?
– Oh, oui, mais moi j’ai arrêté… Tu vas vite t’en apercevoir… Il bouge tout le temps.
– Et il continue à t’épuiser, dis-donc, tu as de la chance, le mien regarde la télé et le foot.
– Oui, parfois c’est même trop, surtout quand il reluque une autre femme…
Nous sommes maintenant entrées toutes les deux dans l’eau, sur la poitrine…
Elle part d’un crawl énergique vers le large, je ne peux rivaliser… 10, 20, 50 mètres… Je me retrouve seule…
– Ha, elle vous a laissée…
Je sursaute.
– Paul, excusez-moi…
– Ce n’est rien, je la regardais nager… Elle nage magnifiquement bien…
– Facile, avec deux trois trucs, je pourrais vous apprendre…
– C’est votre métier…
– Oui, vous avez parlé ensemble avec Marielle…
– Oui, elle est charmante…
Je baisse les yeux sous son regard…. Il est chauve ou rasé, un regard acéré, un aigle, avec du bleu… Grand…
– En piscine alors, car les vagues me gênent…
– On prend rendez-vous pour 17 heures, ce sera l’apéritif… Au fait vous êtes seule ?
– Oui, on en a parlé… Mariée et en vrais vacances
– Je ne veux pas vous importuner…
Et il file à une vitesse prodigieuse vers sa belle…
Je me sens bête, mes seins me picotent… C’est vrai qu’il n’est pas mal, si je dois le revoir seule, il faudra que j’évite ce que je viens de faire, regarder vers son sexe…
Je sors de l’eau et m’allonge. Je me vois dans la piscine, ses larges mains soutenant mon cou, mon ventre… Je le sens…
– Allez idiote… Elle est plus belle que toi… Blonde comme un ange… Marielle…
Je somnole en pensant à la piscine, je les entends revenir, s’allonger… je jette un œil…
Tiens, sa culotte est tourneboulée, elle ne s’en est pas aperçue… Tu crois que ? Mais non… Leurs mains se joignent, il s’avance pour lui donner un baiser, une caresse sur les fesses… Mon ventre grogne… Je vois clairement son œil sur moi… je ne bouge pas d’un cil… Il se remet sur son transat… Son short est boursouflé, comme hypertendu…
Mon magazine me livre des secrets de cuisine, des recettes d’été, des plats légers, vite-faits…
– On va courir sur le rivage, ça vous dis ?
– Oh, je ne suis pas sportive comme vous…
– Non, pas de compétition, juste pour se mettre en appétit, une demi-heure, jusqu’au port…
– D’accord, mais vous ne m’attendez pas si je trop lente…
– OK, allez, mettons nos affaires dans le local.
Pratique, le serveur nous regarde partir en petites foulées… L’air est agréable, peu de monde, nous avançons rapidement… Marielle vient à ma hauteur…
– Tu vas bien… Bonne respiration, foulées moyennes…
– Oh, je ne cours jamais, sauf au supermarché…
– Paul t’a invitée pour un cours privé à l’œil, dans la piscine ?
– Je… Oui… En fait…
– Je plaisante… Il est comme ça… Il m’a donné une leçon au début… J’ai adoré…
– Tu n’es pas jalouse ?
– Ah, non, sinon je serai morte de jalousie, depuis 10 ans qu’on est ensemble…
– Il aime les femmes…
– Oh, oui… Mais il m’aime aussi, alors…
– Ah ?
– J’ai dû mettre des barrières, des règles, ou c’est moi qui partait…
– Tu n’as pas fait pareil ?
– Heu… Si… Il a compris… Mais on a des accords, je t’en parlerai plus tard…
– Au fait tu habites dans quelle ville ?
– Montpellier et vous ?
– Castelnau-le-Lez…
– Ça alors… Nous sommes voisins !… Je suis à quelques centaines de mètres de Castelnau, vers le centre commercial Lefoncé…
– Mon dieu… Nous sommes à quelques pas, dans les lotissements derrière…
– Bel endroit… Mais je ne me plains pas, on avait acheté cet appartement au dernier étage d’un petit immeuble, nous sommes vraiment bien, impasse, garage, cour fermée et sécurisée…
– Bien, nous pourrons nous revoir alors…
– Volontiers…
– Ça te dirait de manger avec nous tout à l’heure ?
– Oh, non, je suis attendue pour midi, une copine…
– Alors ce soir, après le bain… Tu sais nous repartons demain après-midi ou demain soir… Le devoir…
– Oui, ce soir, je suis demi-pensionnaire…
– Nous aussi.
Elle est grande, elle n’a pas de mal… Je marche un peu, il s’est envolé…
– Il nous attendra, tu es fatiguée, tu n’as pas l’habitude de faire de l’exercice…
– Oui, je souffle…
– Mais tu es très belle, tu vis seule ?
– Non, j’ai un mari, un fils qui a quitté le nid, mais qui revient en alternance, un amant pour combler le vide, je suis comptable dans une entreprise de plomberie, un autre amant pour la nuit… Mais non, je plaisante… Mon fils…
– Oui ?
– Il grandit si vite… C’est devenu un homme, svelte, grand, avec tout ce qu’il faut… Il est beau comme un dieu…
– Attention… Tu vois son père en lui…
– Oh, non, pas du tout… J’ai tourné la page, le livre, la bibliothèque et tout et tout… Ça m’a suffi…
– Tu as un amant c’est vrai ?
– Pas du tout… Pas le temps, pas trouvé, même pas pour… Enfin…
– Baiser ?
– Oui…
– Ça n’est pas bien… Tu dois aimer la vie, faire la fête, ça doit te manquer… Tu vois ton fils comme un homme… J’aime les hommes jeunes aussi…
– Oui… J’ai donné avec les vieux…
– Alors mon mari ne te fait aucun effet ?
– Aussi loin…
– Ah, j’aime ton humour… Tu sais ce n’est pas facile avec Paul, alors on a fait un pacte… On partage nos conquêtes.
– Comment ?
– Bien, si une femme lui plait, si il veut la sauter, on le fait entre couples, avec son mari, et vice-versa pour moi ou alors à trois si elle est seule…
– Tu fais l’amour à la femme aussi ?
– Ben… Tu n’as jamais connu de femme ?
– Heu… Oui… Mais pas… Maintenant, c’étaient mes cousines…
– Ah, toute une éducation… Il faut apprendre… Tu te fais jouir tout de même ?
– Oui, je me touche, et puis ça va mieux… Parfois je jouis… Ça m’arrive quand je pense à mon fils aussi…
– Non ?… Tu n’aimerais pas une grosse queue, la sucer, t’amuser avec, la prendre dans tes mains, puis la sentir en toi, te faire vibrer, jouir, crier ???
– Bien sûr… Je l’ai fait avec un ancien voisin un soir… C’était divin… Puis avec un ancien copain de mon mari, mais je n’ai pas aimé, il m’a attachée, il m’a dit des trucs, m’a traité de salope, de pute… Je suis rentrée à pied, je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie…
– Oh !… Il faut s’entendre avec nos amants, moi, je les guide. Je fixe les règles…
– Oui, tu sais y faire, tu es belle, ils te désirent et t’obéissent, moi, il faut que j’y mette du mien, je ne suis pas aussi désirable que toi… une fois j’ai même payé !…
– Non ?… Mais tu ne vas pas bien… Je vais m’occuper de toi… Avec Paul… Je te trouve sensuelle, tu as un corps plein, avec des formes magiques, des seins adorables, épanouis…
– Arrête ! Tu me fais rougir… Surtout venant d’une femme…
Nous reprenons la course gentiment… Paul nous attend sur un quai…
Nous rentrons par le même chemin après avoir fait le tour du port, il est interdit de se promener en maillot hors de la plage. A mi-parcours, Paul rentre dans l’eau et nous le suivons… C’est délicieux… Il y va d’une nage rapide, sur le dos, s’éloigne…
Marielle se rapproche.
– Tu es désirable aussi…
Sa bouche se colle à la mienne, j’ouvre mes lèvres… Ses mains passent sur mes seins que l’eau dissimule, les libèrent… Elle reprend son baiser, je suis… Je le lui rends, tellement elle est sensuelle, je bombe ma poitrine… Je touche sa peau, elle prend ma main et m’offre ses seins…
– C’est bon d’être nue, pouvoir se toucher, vibrer…
– Oui…
Elle passe une main sur mon ventre, je tressaille… Sa main vient entre mes cuisses, je sursaute…
– Laisse-toi faire… Là… Viens, ferme les yeux. Ouvre-toi, abandonne-toi, laisse-toi conduire.
Elle abaisse la culotte de mon maillot… Puis lentement sa main prend possession de mon intimité… Je me relâche, je me détends… Je commence à ressentir les effets de ses caresses, je coule… Ma poitrine se soulève en cadence, mon ventre se libère entre ses doigts…
– Eh, bien, je te fais de l’effet, dis-moi… J’en ai envie aussi, tiens, caresse ma chatte…
Elle a baissé sa culotte, ma main se niche dans ses trésors, elle aussi est ouverte, offerte…Nos poitrines se frôlent, se touchent… Elle me serre dans ses bras…
– Tu es divine… Continue à me caresser… Il va arriver, il est comme les mouches…
Paul nous a sans doute vues, il se rapproche en faisant un grand cercle… Je remets mes seins en place, elle remonte sa culotte…
J’ai joui… rapidement, comme un éclair.
J’ai senti la vague de chaleur irradier mon ventre, ses doigts caresser ma vulve, mon clitoris, s’attarder, entrer lentement, tourner… Je me suis ouverte comme une huître tandis que je caressais ses poils blonds, forçais sa grotte et y glissais un doigt… Merveilleux instant de plaisir où je l’entendis gémir à mon oreille…
– Viens !… Oui… Prends-moi…Enfonce-le… Tourne doucement… Oui… Je jouis… Plusieurs doigts maintenant…
Elle a soulevé une cuisse en pliant son genou, j’ai poussé mon doigt, puis deux, puis trois… Elle a crié, a joui contre moi, enfouissant son visage dans mon cou. Sa grotte détrempée s’est ouverte comme une fleur, je la besognais comme un homme, entrant et sortant mes doigts lentement, comme une vague, puis augmentant le rythme en entendant sa respiration, ses râles, elle m’embrassa de toutes ses forces en me serrant dans ses bras…
– Oui… J’ai joui de toi… Tu vois… Tu es magique, tu m’as prise comme une reine, tu m’as fait l’amour saphique… Lesbienne… Trop peu… Mince, trop tard !… Il arrive…
J’entends Paul fendre l’eau d’une nage puissante.
Je la quitte à regret… Il nous toise…
– L’eau est bonne les filles ? J’ai faim. On mange ensemble ?
– Non, Eliane est prise à midi…
– Mon dieu, mon rendez-vous…
Je m’arrache des yeux de Marielle, ose un regard vers Paul.
Je me sens sotte, comme prise sur le fait, surprise en train de flirter avec une femme…
Il me sourit, regarde sa femme…
– Tu es ravissante Marielle…
– Amoureuse…
Je me mets à courir vers l’hôtel où je trouve Marie, une collègue de travail en RTT, nous avions convenu d’un apéro – salade sur le sable…
Je récupère les affaires au salon, et je monte dans ma chambre, elle me suit…
Je me rends aux toilettes, change de maillot, reviens vers elle…
– Tu as l’air excité, perdue, énervée…
– Non… J’ai failli oublier…
– Ah, tu étais avec un mec, toi ?
– Oh, non…
– Il te draguait et tu en as oublié l’heure…
– Heu, pourquoi ?
– Tu es essoufflée, l’œil brillant, tu as changé de maillot, donc tu l’as mouillé… Je ne sais si c’est dans l’eau…
– Oh !
– Les deux alors… Ah, une chaleur !… Il t’a touchée ?
– Non… Mais…
– Vous avez flirté alors, juste un chaste mimi dans l’eau après attouchements…. Profite ma chérie, tu es libre une semaine… Libre comme l’air, tu as la terre entière à tes pieds…
– Non, c’est faux, je ne suis pas avec quelqu’un enfin pas un mec…
– Tu as flirté avec une fille ? Toi alors !… Tu vas vite en besogne, t’arrives et hop… Et je ne savais pas que tu aimais ça… Je me serais mise sur les rangs…
– Chut on va nous entendre…
– Et alors c’est naturel maintenant, ça fait partie de notre sexualité. Goûter aux délices de Lesbos…
– Tu l’as fait ?
– Eh, oui… Je suis une ogresse, mon mari a succombé à une overdose de sexe…
– Non ?
– Non !… Mais je l’ai fait. On a invité des couples d’amis, on se lâchait…
– Ah… Tu ne me l’avais jamais dit…
– Oh, c’était avant que tu viennes travailler avec moi… Depuis, c’est plutôt calme plat… Mais j’aimais bien, je garde de bons souvenirs de certaines soirées et des soirées entre filles…
– Tu le faisais avec d’autres mecs ?
– Oui, c’était le but premier, sans mon mari, avec d’autres queues, des femmes assoiffées de chattes, des langues douces, des plumes… Un délice…
– Et la sodomie ?
– Oui, parfois… Mais en comité choisi, je ne le donne pas à tout le monde…
On se regarde…
– Dis ?
– Oui ?
– Tu as déjà fait l’amour avec un jeune ? Un jeune de rencontre, un copain de ton fils ?
– Oui… Un copain de mon fils… Une fois seulement… J’étais partie… Saoule complet et il est venu dans la soirée chercher Marc ; mais Marc était chez un autre copain… Il a voulu attendre… Je portais une chemisette, je venais de boire trois whiskies… je lui en ai offert un… Ma chemisette s’ouvrait lorsque je me penchais vers lui. Ça l’a excité, et petit à petit, il s’est rapproché de moi, sur le canapé. Il a pris ma main dans la sienne, me parlait de lui, qu’il aimait les femmes, toutes les femmes… Il a cherché à m’embrasser, ma chemisette s’est ouverte, m’a caressée. De fil en aiguille, j’ai découvert sa petite bite longue et coquine… Je n’ai pas résisté à la sortir du slip, puis à la sucer. C’était doux, tendre, frais… Et on a baisé sur une chaise de la cuisine et sur le plan de travail… Peignoir à mes pieds, chatte dégoulinante de sperme, je n’étais pas fière… Il est sorti comme un voleur… Plus revu…
– Et bien… Tu as eu plus d’expériences que moi… C’est drôle qu’on n’ait jamais abordé ces sujets…
– Difficile au bureau, c’est quasiment la première fois qu’on est seules et ailleurs…
– Tu as ton maillot ?
– Bien entendu, dans mon sac…
– Tu veux prendre un bain avant de manger, j’ai réservé deux couverts pour 13H on a le temps…
– Mais on devait boire l’apéro et partager une salade…
– Tu m’apprends des trucs, je ne vais pas te laisser partir comme ça…
– J’ai rendez-vous vers 15H chez ma coiffeuse.
– On a le temps, viens te tremper… Tu peux te changer ici et laisser tes affaires, on descend directement sur la plage privée…
J’ai passé un Tankini chamarré, afin d’être libre de mes mouvements. Ainsi recouverte j’étais décente et surtout cachais mes imperfections hors de l’eau… Cuisses velues, fesses larges, bourrelets, ventre pas trop plat, mais ça va venir, à force de salades et surtout si Marielle et Paul m’entraînent encore avec eux, je n’avais jamais couru autant…
Je riais encore en entrant dans l’eau et revis mon dernier bain… Marie mettait du temps, puis se lança. Elle était séduisante, en deux pièces de qualité, aux couleurs vives, elle paraissait 40 ans… Nous étions devant l’hôtel, je vis passer mes nouveaux amis bras-dessus, bras-dessous, ils ne me voyaient pas… Nous étions les seules dans l’eau.
Elle nageait bien, lentement, je la suivis un instant… Elle m’attendit, puis revint vers les hauts fonds où j’avais pied… L’eau à la gorge, la mer calme… Les vaguelettes me portaient… Silence… On profitait…
Je sentis sa main dans la mienne…
– On est bien, seules, loin de tout…
– Oui… Je me sens bien avec toi… Calme…
La main m’attira à elle… je revis Marielle… Marie était aussi belle, plus petite, comme moi… Un tantinet virant au roux… Mais brune je pense, à la base… J’allais vérifier dans très peu de temps… En effet, elle mit un temps pour passer sa main sous le Tankini, puis elle put libérer mes seins qu’elle se mit à caresser, masser, puis en plongeant, elle vint les téter, les sucer, ériger les pointes durcies par la fraîcheur de l’eau… je fondis sans me débattre, c’était ma journée…
De caresses en caresses, je me retrouvais dépoitraillée, presque déculottée… Sa main allait et venait entre mes cuisses, j’étais excitée, la chatte en feu, d’autant que Marielle avait réveillé la bête sans trop la calmer… Nos pubis se frôlèrent, j’appris à frotter mon sexe en cadence tantôt sur son sexe, tantôt sur sa cuisse, qu’elle remontait vers moi… je sentis venir un orgasme, des râles, même des mots…
– Ouh… Heu… Heu… Ouiiii….. C’est bon…
– Prends la mienne aussi, prends-moi, j’ai envie de toi…
Elle conduisit ma main entre ses cuisses, la plaqua contre sa chatte, j’ouvris les doigts, je sentis son clitoris grossir, sa chatte s’ouvrir, gluante…
– Oui, branles-moi, continue, j’adore me faire doigter, je suis vaginale… Et toi ?
Elle entra plusieurs doigts dans mon vagin, et ainsi prise, je me mis à feuler mon plaisir, jouissant par là où mon fils était sorti…
Je lui rendis la même caresse et sans complexe nous nous doigtions à quelques mètres de la plage, entre les vagues, bercées, inondées de soleil… On jouit en même temps…
– Tu caches ton jeu, ne me raconte pas que c’est ta première expérience, ni même la seconde…
– Bon la troisième…
De ses doigts elle laboure mon dos… Je râle de plaisir… Je sautille comme une enfant… Mes seins tressautent sortant hors de l’eau, les siens aussi, on se met à se chercher, s’att****r, s’embrasser, on est libres et folles de joie…
Debout serrées l’une contre l’autre, le baiser est géant, c’est nouveau, si tendre, si plein de passion… je fonds…
– J’ai envie de toi, de te revoir, de faire l’amour avec toi, dans un grand lit au sec, sans personne autour, sans jumelles braquées sur nous…
– Pourquoi ?
– Regarde au premier, dans la chambre de gauche de ton hôtel…
Effectivement, un reflet brillant, un éclair, on nous regarde, on nous filme ?
– Je me suis désinhibée… Moi aussi je… Juste toi et moi pour une nuit torride…
– Oui, absolument, mais il y a le jour aussi… Je suis ici jusqu’à samedi prochain…
– J’ai hâte… je suis prise ce soir, demain, il faut que je voie mon planning. On s’appelle ?
– D’accord, juré, j’ai ton mail…
Le repas est très gai, on se regarde, on plaisante sur nos anciennes amies, leurs maris cocus, les nôtres… Bof, on s’en fiche… L’heure tourne, il est temps. Elle remonte dans ma chambre se changer… Patatrac…
Je me retrouve au milieu du lit, écartelée, en train de gémir sous sa langue, elle m’a présenté sa chatte et un magnifique 69 plein de délices, s’est formé…
Après quelques minutes de pur bonheur, ivres de caresses, trempées, nous nous retrouvons imbriquées, tendres, nous embrassant avec fougue… Puis écartelées, nous masturbant réciproquement en gémissant jusqu’à jouir ensemble…
– Si on se rasait ?
– Pourquoi pas, tu demandes à ta coiffeuse ?
– Ouais… Et ça elle le fait aussi ?
Elle se met à pincer mon clitoris, je lui rends sa caresse…
On part en rire, je jouis de nouveau sous sa langue, elle halète tandis que je masturbe ses seins, nos chattes à l’air, comme pour les ventiler…
Elle se lève d’un bond, cinq minutes de retard… Plus le temps d’y aller… Mais ça valait le coup…
Elle referme la porte…
Je reste nue, sans voix, comme hébétée… Deux orgasmes en une demi-journée, alors que pendant six mois…
Si mon fils me voyait, il connaît Marie… Gémir comme une chatte en chaleur avec une autre femme… La griffer dans le dos, feuler nos orgasmes… La douche me fait du bien…
Un SMS vers 16H00 : « Je suis sous le casque, moment de répit. Lavée, rincée, blonde aux reflets roux, tu vas adorer… Au fait elle fait tout pour 75 euros, massage compris ».
Je retiens pour la semaine d’après mon retour, Mardi…
17H00…
Je viens de somnoler à l’abri du soleil, dans la fraîcheur de ma chambre… A propos, je viens aussi de me renseigner, c’est bien le couple qui réside au premier dans l’angle ouest… Mais je viens de voir Marielle rentrer seule… Etait-il resté seul ? A-t ’il joué les voyeurs ?
Je prends mon maillot, mon Tankini, un sac, de l’huile anti-soleil
Piscine de l’hôtel… Je suis… Jolie, bordée d’un muret vers le fond et les côtés, masquée par des lauriers de toutes les couleurs, des fauteuils autour, un jacuzzi, une planche de saut. Elle est invisible des chambres, ni de la plage… Discrétion assurée…
Je m’installe sur un transat à l’ombre, le soleil étant vraiment chaud…
Du bruit et Marielle apparaît avec Paul… Sublime Marielle, terriblement sensuelle dans un maillot blanc, un bain de soleil, jaune, des lunettes noires…
Lui égal à lui… Yeux bleus perçants, calvitie très mâle, bronzage naturel 100 pour cent.

Il m’invite dans le bassin, restant sur le bord.
Fais quelques nages, brasse, crawl si tu sais, nage sur le dos…
Je m’exécute en deux longueurs…
– Bien, fais celle que tu apprécies le plus, où tu es la plus à l’aise.
Je brasse aller et retour…
– Ouais… Bon. On va corriger quelques points. C’est normal. As-tu suivi des cours pour apprendre ? Au lycée, tes parents, amis ?
– Oui, mon papa vers 6 ans…
– Depuis ?
– Rien…
– Je comprends. Tu es mal positionnée. C’est normal. Tu vas refaire le même aller-retour, mais d’abord sans les cuisses…
Je le fais, ça n’en finit plus…
– Alors ?
– Difficile d’avancer…
– Bon maintenant ne tire pas avec tes mains, juste tu pousses avec tes jambes…
Je refais, bon pas concluant…
– Tu vois, les unes ont besoin des autres… Mais le défaut premier, c’est que tu ne les laisses pas nager naturellement dans l’eau… Je m’explique. Premièrement tu as peur d’avaler ou d’avoir de l’eau dans les narines, réflexe normal… Ensuite fesses trop basses, bassin pas aligné, colonne pas alignée… Simple, pars, vas-y, redresse tes fesses, aligne ton bassin et ta colonne, tu dois sentir ton corps dans l’eau, puis le plus dur, baisse la tête, l’eau doit venir sur ton crane et tu dois fendre l’eau avec… Mais il y aura dérogation… Tu ne fais pas de compétition. Donc commence par rectifier les premiers points. Tu vas sentir ton corps évoluer plus naturellement, et tu vas prendre de la vitesse car il pénètre mieux dans l’eau, c’est naturel…
– Oui, mais la tête, j’ai mal au cou…
– Secondaire, vas-y insiste… Plonge la tête, respire chaque dix secondes…
– C’est mieux je me sens plus équilibrée… Mais c’est dur de respirer.
– Les nageurs en 50 m respirent qu’une ou deux fois durant le trajet, et certains plus du tout…
– Allez… Bon, j’essaie sans respirer, mais je ne vois rien…
– Il faut te mettre en tête le bassin, les bords, les escaliers qui peuvent te blesser… Lorsque tu sauras nager, ce seras naturel d’aller droit…
Je force, arrache mes bras, claque mes cuisses, pousse l’eau… J’ai traversé alors que je pensais en être à la moitié…
– Tu as doublé ta vitesse en une demi-heure…
– Super… Tu es un prof de génie… Jamais on ne m’avait dit tout ça…
– Il y a autre chose, mais tu dois respirer… A moi de profiter de la piscine, va rejoindre Marielle…
– Il est toujours aussi direct ?
– Ah, oui… Il le dit… Tu le fais, tu souris… Il est juste. Suis ses conseils il ne dit jamais rien sans calcul ou sans vérité…
– Bon… Tu sais…
– Oui ?
– C’était super dans l’eau…
– Ah, tu as apprécié notre natation synchronisée…
– Oui… On peut dire ça chastement…
– Moi aussi, tu es douce, envoûtante… Intelligente aussi…
– Pourquoi ?
– Tu m’as bluffée… J’ai joui… Ce n’était pas ton premier flirt avec une femme…
– Je te jure…
Elle me sourit, la garce !…
– Tu es rentrée de courses tout à l’heure vers 16H00…
– Oui, juste un rendez-vous pro… Mais tu m’espionnes…
– Non, je voulais savoir où était ton mari pendant ce temps…
– Paul ?
– Ben oui… J’ai été observée par une paire de jumelles… Je prenais un bain avec une collègue de bureau venue boire l’apéritif avec moi… Du coup on a déjeuné…
– C’est bien lui ça, dès qu’il y a une jolie femme…
– Ah, merci…
– Tu n’es pas fâchée ?
– Non, si ce sont des jumelles, mais une caméra…
Sa tête change…
– Non, pas possible, on n’en a pas. Et tu faisais des choses interdites avec ton amie ?
– Non, nous jouions… Jeu de rôle. Et ce n’est pas une amie…
– Pas embrassée alors ?
– Si pour le jeu, pouah… Elle ne me plait pas, elle sent le poisson…
– Ah, une sirène, parce qu’elle était très belle…
– Il t’en a parlé !…
– Et oui, sur le domaine public tout se sait…
– Bon tant pis, oui, on a flirté dans l’eau, comme avec toi…
– Et après dans ta chambre ?
– Oui… Là on a fait l’amour comme des bêtes… J’en suis vannée…
– Tu la connaissais…
– Non, on était copines sans plus, mais maintenant…
– Tu aimes le sexe…
– C’est vrai.
– Tous les sexes, du moment que tu jouis… Hommes, femmes, jeunes…
– Non, c’est récent. J’ai envie de sexe depuis 5 ou 6 mois. Je n’étais pas comme cela avant.
– Parce tu en avais à portée de main.
– Non, pas plus, ni moins…
– Ça te dirait de le faire avec nous 2 ?
– Ce soir ?
– Oui, demain nous sommes obligés de partir au matin… On t’invite au restaurant comme on devait, en menu, pas de pension, puis on peut sortir en broîte, et faire la fête…
– Pourquoi pas, je suis venue pour ça, j’ai trouvé 2 amies, 1 coach, alors, la fête et le sexe qui va bien avec… Pour l’instant j’ai donné dans le féminin, mais je sens que je vais être comblée…
– D’accord, Paul t’attend… Vas le rejoindre, il reprendra ton cours…
Je replonge vers lui…
– Viens, remets-toi à nager, essaie de prendre en compte ce que l’on a vu… je reste avec toi.
Je nage en faisant attention, tête baissée, relève mes bras, sans à-coup, glissant dans l’eau comme une grenouille…
– Parfait, coordonne maintenant tes membres. Jambes et bras sont complémentaires.
Je repars, corrigeant mes défauts… je me sens plus à l’aise, mais j’ai toujours du mal pour respirer. En repartant de nouveau, il me suit, sa main effleure mon ventre, abaisse ma tête, pousse mon cou, corrige ma position…
Autre longueur, je le sens avec moi, dessous, dessus, à côté, comme un dauphin…
Ça y est, il m’a touchée… Ses yeux bleus me fixent… Je m’agrippe aux barreaux de l’échelle… Je flotte sur le ventre, il vient entre mes cuisses, je ne vois que le fond du bassin… Sa main me caresse, passe sous l’élastique, baisse ma culotte, caresse mes fesses à cru…
Mes cuisses s’ouvrent, il envahi mon sexe, plaque sa main, caresse, frotte, pousse… Je m’ouvre encore plus, je ne vois plus le fond, juste 2 barreaux sous moi… Ses doigts pelotent mon anus, ma grotte et mon clito, tous les 3 ensembles… Je serre le barreau pour ne pas crier… Il pousse, entre dans les deux trous… C’est infernal, je jouis, je pleure, je crie dans l’eau, je tousse, il empaume mes seins, caresse, torture, malaxe…
Son sexe touche mes fesses, me pénètre… Il est énorme, long, jusqu’au bout… 2, 3, 4 aller-retours lents, je plane. Puis il se déchaîne. 1, 2, 3, 4, 5… Je perds le contrôle, il vient de me défoncer… Une bête… Je jouis, crie, gémis. Qu’il est bon ce pieu !…
Il se retire, je suis tremblante de désir, je le veux, je l’attends…
– 20H00 au restaurant de l’hôtel, viens sans culotte, et ensuite on ira dans un club, tu vas découvrir le vrai sexe…
Il n’est plus là, je me retourne, je suis seule dans la piscine, il fait plus sombre…

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