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Ma sœur, mauvaise joueuse

Ma sœur, mauvaise joueuse



Je dois avouer que je fantasme depuis quelques temps sur ma sœur, Manon. Elle est devenue une jeune fille assez séduisante et ses formes plus qu’alléchantes me tournent autour depuis plusieurs mois maintenant. Son corps a évolué très rapidement depuis le jour de ses 16 ans, c’est à dire il y a 3 mois.

Moi, Nathan, j’ai 18 ans. Je suis célibataire et, je le remarque bien par mes fantasmes, depuis trop longtemps. Pourtant j’ai quelques atouts physiques qui ne déplaisent pas mais je n’arrive pas à trouver une fille qui me plaît pour entrer en relation avec elle. Bien sûr, je ne suis pas contre une petite partie de jambes en l’air durant une soirée, mais rien de concret à l’horizon. Je suis quelqu’un de grand et assez musclé, j’ai des cheveux blonds et des yeux bleus, ce qui attire souvent le regard des filles ou même des femmes.

Mais fini la présentation, passons à l’histoire…

Nous étions jeudi, je rentrais de mon petit boulot. J’étais fatigué et content d’être à la maison. Maison dans laquelle je vis depuis toujours avec mes parents et ma sœur. Il n’y avait personne lorsque je rentrai. Malgré l’heure qui tournait, Manon n’était pas encore rentrée du lycée. Je me demandais bien où elle pouvait rester mais je me résolu à attendre, les parents s’occuperaient de la gronder plus tard pour son retard. Je m’installai donc dans le salon pour regarder la télé mais à peine avais-je allumé celle-ci que Manon rentra. Lorsqu’elle me vit, elle sembla gênée mais je n’y prêta pas attention. Je ne savais pas ce qu’elle pouvais bien mijoter mais je me doutais que quelque chose n’allais pas. Comme elle restait plantée face à moi, je dût me résoudre à lui demander :

— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Est-ce que je peux te parler deux minutes ?
— Oui bien sûr.

Elle semblait vraiment embarrassée. Je ne l’avais plus vue comme ça depuis qu’elle s’était faite grondée par les parents à cause d’un retour trop tardif d’une soirée chez des amies.

— C’est un peu délicat, mais je dois te demander quelque chose…
— Vas-y, je t’écoute.
— C’est vraiment difficile à dire…
— Manon, tu me connais non ? Je suis un grand frère compréhensif. Quoique tu puisse me demander, je ferai tout pour t’aider.
— Bon, d’accord, mais tu promet de le dire à personne ?

Cette histoire semblait véritablement importante pour elle, alors je lui promis ce qu’elle voulait.

— Je…enfin…bon.
— C’est clair ce que tu dis au moins !
— Ne te moque pas de moi !
— Alors parle !
— J’ai besoin de te sucer.
— Quoi ?!

C’était une blague, sans aucun doute. Ma sœur qui me demande ça. Même si elle paraissait sincère, je ne pouvais pas la croire. Pourtant, elle ne dit rien et un silence s’installa entre nous.

— Tu es sérieuse ?
— Ecoute, j’ai fait un pari avec des amies. Comme j’ai perdue, je dois te sucer. C’est ce que l’on avait parié. Je pensais que j’allais gagner donc ça aurait dû être Chloé qui te sucerait.
— Je ne peux pas te laisser faire ça.
— Pourtant tu as dis que tu ferais tout pou m’aider !
— Oui mais…
— Et que tu était compréhensif !

J’étais pris au piège. Elle continuait d’argumenter que si elle ne le faisait pas, ses amies se moqueraient d’elles en disant qu’elle ne tien pas ses promesses. Manon tenait à sa réputation et moi si je voulais garder la mienne, je me devais de l’aider.

— Si je te laisse faire, comment tes amies sauront que tu l’as vraiment fait ?
— Eh bien…pour ça il faudrait que je filme…

Bon. Voilà encore une idée qui ne me plaisait pas, mais j devais le faire, pour ma sœur. Elle m’expliqua encore qu’elle devait me sucer jusqu’au bout mais que je pouvais choisir où est-ce que j’éjaculerais. Je ne lui dis rien à ce sujet car je n’arrivais pas à me décider. Je dois avouer que j’avais cédé uniquement car je fantasmais déjà sur elle depuis qu’elle avait pris des formes et cette coquine avait fait en sorte de les mettre en valeur pour influencer ma décision.

Elle portait une petite jupe bleue foncée à mi-cuisse et un chemisier largement ouvert sur le dessus permettant d’apercevoir la naissance de ses seins qui n’étaient soutenus que par un petit soutien-gorge trop petit pour elle. Manon avait des seins assez imposants, bien ronds et fermes à souhait. J’avais souvent rêvé de les prendre et de les masser mais jamais je n’avais pu les voir. Maintenant que l’occasion se présentait, je comptait bien en profiter.

— Je te laisse me sucer que si tu enlève ton chemisier.

Ma proposition était dégueulasse car je profitais du fait qu’elle était contrainte de me sucer pour en tirer encore plus de profit. Je pensais qu’elle négocierait mais elle accepta presque sans hésitation. Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit d’autre qu’elle était déjà à demi-nue face à moi. Seul son soutien-gorge cachait ses seins à mes yeux. Mais comme je trouvai que je gagnais déjà pas mal, je décidai de ne pas lui demander de l’enlever.

Elle posa son téléphone sur la table du salon, appuya sur le bouton de film et s’agenouilla face à moi. Elle me regarda avec un air coquin avant de défaire ma braguette et de sortir mon sexe de mon caleçon. Elle parut un peu étonnée lorsqu’elle le prit mais ne s’attarda pas sur la question. Elle se jeta assez rapidement sur mon sexe et je senti immédiatement tout le plaisir qu’elle me procurait. Photos

Ses lèvres effectuaient de lents va et vient sur toute la longueur de mon sexe dur comme de la pierre tandis que sa langue agaçait mon gland en s’enroulant autour sans jamais cesser de bouger. Tandis qu’elle me procurait une fellation digne d’une professionnelle, je lui massai les seins.

Je sentais bien que la jouissance ne pouvait qu’arriver bientôt mais alors que j’atteignis le point de non retour, elle s’arrêta. J’étais déçu, elle m’avait promis de me sucer jusqu’à éjaculation. Mais quand je voulus protester, elle m’interrompit :

— Je pense que, vu le service que je te demande, tu mérite un peu plus.

En disant cela, elle retira son soutien-gorge tout en se redressant de manière très sensuelle. Elle vint à coté de moi, à quatre pattes sur le fauteuil du salon et repris sa fellation là où elle l’avait laissée. La nouvelle position de Manon m’offrait la possibilité de caresser tout son corps depuis ses seins jusqu’à ses cuisses en passant par ses fesses.

Je passai régulièrement mes mains sur ces dernières mais sans jamais aller sous sa jupe. C’était ma sœur après tout et je me devais de rester un minimum respectueux. Mais l’envie accentuée par la pipe qu’elle m’offrait ainsi que mes caresses sur ses cuisses eurent vite raison de moi. Je caressai donc plus souvent ses cuisses nues en insistant et en remontant de plus en plus vers son cul simplement sublime. C’est ainsi que très rapidement ma main atteignit ses fesses et je pus les caresser à volonté.
Au fur et à mesure que les minutes passaient, je me fis plus courageux et je décidai de glisser ma main sous sa culotte. Cette décision surpris ma sœur qui eut un mouvement de recul mais lorsqu’elle senti un de mes doigts entrer dans sa chatte humide, elle s’activa encore plus sur mon sexe tendu toujours enfoncé dans sa bouche.

Les minutes passaient et je n’avais pas encore joui. Je me retenais le plus possible car je ne voulais pas que cette fellation s’achève. Et visiblement je n’étais pas le seul car en plus de pomper ma verge, Manon effectuait des va et vient sur mon doigt encré dans son sexe trempé. Elle prenais autant de plaisir que moi. Je ne pensais pas pouvoir vivre un meilleur moment jusqu’à ce que Manon s’interrompisse de nouveau. Cette fois-ci je n’eut même pas l’idée de protester car je vis qu’elle m’enjambait avec ferveur. Sans enlever sa culotte ou sa jupe, elle frotta son sexe contre le mien. Je pouvais sentir sa mouille inonder mon sexe et cela m’excitait. Elle passa sa main sous sa jupe, écarta le tissus qui séparait nos deux sexes et sans diriger ma verge vers son antre, s’empala sr moi.

Ma sœur avait décidé de passer aux choses sérieuses et alors que l’objectif principal de nos ébats était oublié, je ne pensais à aucun moment de le lui rappeler. Elle chevauchait mon sexe avec rapidité et sensualité. Elle le faisait si bien qu’au bout de quelques minutes nous avons tous deux atteint le point de non-retour. Nous avons donc joui ensemble dans un orgasme commun. Bien après qu’il se soit terminé, nous avons continué nos ébats tout en diminuant en intensité. Nous étions tous deux fatigués et repus après cette baise sensationnelle et sensuelle.

Nous nous sommes calmés lentement et nous nous sommes embrassés longuement avant d’aller prendre notre douche ensemble. Mais je vous raconterai ce qui s’est passé une prochaine fois.

Manon m’avait promis de me laisser choisir où j’éjaculerais, j’ai choisi de le faire en elle. Choix qui ne lui a pas déplut je pense.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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