Je sais l’effet que mes charmes produisent sur la plupart des hommes. J’ai bien remarqué que mon patron fait partie du lot. La perspective de devoir coucher avec lui pour préserver mon emploi ne me rebute pas. Christian est un homme séduisant, et moi, à l’époque, une jeune femme libre. Ce jour là, quand le personnel quitte les locaux en fin d’après-midi, je frappes à la porte du patron. Il me fait signe de s’asseoir et allume un cigare. Je croise les jambes en les dénudant jusqu’à mi-cuisses et bombe le buste.
« Vous avez vingt-cinq ans, n’est-ce pas ? »
« Oui, monsieur le directeur. »
« Je peux supposer qu’à votre âge, une belle femme comme vous a déjà connu quelques hommes… »
Surprise, en rougissant, je minaude :
« C’est plutôt indiscret Monsieur ! »
Sans prêter attention à ma réponse, il continue.
« Je peux même supposer que vous n’êtes plus à un amant près… »
« Que voulez-vous dire, monsieur le directeur ? Je… ne vous suis pas bien… »
Je me retrouve piégé à mon propre jeux.
« Vous mentez, Michèle ! Vous me suivez parfaitement bien, au contraire, et vous êtes prête à coucher avec moi pour sauvegarder votre emploi. Oseriez-vous prétendre que c’est faux ? »
Prise de court, je baisse la tête, les joues en feu et murmure :
« Je ferai… ce que vous voulez, monsieur… je suis en situation… d’infériorité… »
« Et vous allez devoir y rester si vous voulez continuer de travailler pour moi, mademoiselle ! »
Je ne m’attendais pas à un tel scénario et suis destabilisée.
« Vous voulez rester à tout prix ? »
« Oui monsieur. »
« Dites « à tout prix » !
« Je souhaite rester… « à tout prix » Monsieur ! »
« Dans ce cas, vous allez devoir me le prouver. Michèle à poils ! »
Je me leve, déboutonne fébrilement mon corsage. Mon cœur bat la chamade et ma respiration se fait rapide. Christian, sans me quitter des yeux durant mon effeuillage, tire sur son gros cigare.
Mon visage est en feu, une chaleur envahit mon ventre ; mes mains tremblent en abaissant le dernier paravent de ma pudeur. Nue, offerte, Je reste figée devant mon patron.
« Ecartez les cuisses… ! »
Docile, j’ouvre le compas de mes cuisses.
« Vous mouillez, Michèle, n’est-ce pas ? »
Horriblement gênée, je fait oui de la tête. Christian se leve, pose son cigare sur un cendrier, contourne son bureau pour venir près de moi. Il pose ses mains sur mes seins, les palpe, les soupese. Je frissonne et mes tétons durcissent au contact des doigts qui les effleurent. Il me les tord, les étire en comprimant mes seins pour en apprécier la fermeté. Il les pince jusqu’à me faire grimacer et me faire geindre.
« Mains sur la tête ! »
J’obéis et dans le mouvement, ma poitrine se souleve sensuellement.
« Vous avez de beaux seins, Michèle. Vous aimez que je vous caresse ? »
« Oui, monsieur… »
« Vous voulez que je continue… »
« Oui, monsieur… »
« Ecartez davantage les jambes ! »
Je m’exécute, définitivement domptée.
Christian passe ses doigts sur mon pubis, puis entre mes lèvres moites, effleurant le petit bouton du clitoris. Je me tends et laisse échapper un soupir. J’attends avec impatience qu’il introduise ses doigts dans mon vagin brûlant. Mon patron me prend un sein et pointa le majeur de l’autre main sur mon anus. Avec une lenteur calculée, forçant l’étroitesse de ma rosette, il m’enfonça le doigt dans l’orifice. Comme je serre les fesses, il m’administre une claque brutale. Surprise, je m’ouvre de nouveau et accepte en geignant l’intromission qui viole mon intimité rectale.
« Vous n’aimez pas la sodomie ?” Se moque-t-il en me limant.
« Je n’y suis pas habituée, Monsieur.” Avouais-je, penaude.
Dans le passé, deux garçons avaient réussi à forcer mon cul mais j’avais eu si mal que je leurs avias demandé de se retirer.
» J’ai bien l’intention de vous enculer malgré vos réticences, mademoiselle. Quand on est une belle salope, comme vous, on doit assumer.”
Il avait son doigt fiché dans mon trou du cul, et il ne le retirait pas.
» Baissez les bras, penchez-vous en avant. Posez les mains sur vos genoux !”
» Oui monsieur…”
Il me tient toujours par un sein, qu’il ne cesse de malaxer. Il dilate mn petit trou tout fouillant mon vagin détrempé. Il accélére les mouvements de ses doigts, presse sa main contre ma vulve. Pliant son pouce comme un crochet dans mon rectum, il me besogne sans ménagement.
» Oh, monsieur, vous allez me faire… jouir, c’est trop bon !”
La tête me tourne. Je pousse un cri rauque et explose en me convulsant.
« Oh ouiiii!!! Ah oui, encore !”
Je me trémousse frénétiquement dans ma posture indécente.
Mon patron me tient fermement, pinçant plus sévèrement le téton du sein qu’il malaxait. Il me lâche d’un coup et je m’effondre sur les genoux. Je demeure prostrée au sol, hébétée. Me toisant de toute sa hauteur, Christian esquisseun sourire narquois.
« Vous ne savez même pas remercier, petite salope ?” ricane-t-il.
Je veux me relever, mais il m’arrête d’un geste de la main.
» Non, vous êtes bien comme cela, à genoux à mes pieds. C’est dans cette posture de soumission que je vous veux devant moi, compris ?”
» Oui monsieur… Bien, monsieur.”
Cet homme, qui vient de me faire jouir, me subjugue. Je découvre avec effarement que je suis troublée par sa manière autoritaire de me traiter.
» Maintenant, sucez moi!. Je suis curieux de voir ce que vous ête capable de faire avec une queue dans la bouche!”
Je ne peux lui résister. Alors, j’avance sur les genoux pour me rapprocher de la braguette qu’il abaisse tranquillement, extirpant de son pantalon une grosse verge tendue, qu’il agite sous mon nez. Je la saisis délicatement et la prend dans ma bouche. Je sens le sexe gonfler dans ma bouche. La bite du patron me remplit bien.
» Vous êtes douée Michèle! Vous êtes une experte en pipe!” Commente-t-il en me saisissant par les cheveux pour me contraindre davantage. Avec mon expérience de la fellation, il ne tarde pas à se lâcher dans ma bouche et j’avale sur son ordre sa liqueur patronale.
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