L’éducation de mon mari est jalonnée de réussites mais aussi d’échecs. Malheureusement, il arrive encore que mon mâle s’affranchisse des règles inculquées et se laisse aller à des comportements que je ne peux plus admettre aujourd’hui.
Le week-end dernier, lors d’un apéritif dînatoire chez des amis, il fut accosté par une de ses anciennes amies pendant que je discutais avec un groupe de personne.
Cette dernière, aidée par l’alcool, commença à le draguer de manière ostentatoire malgré ma présence dans la salle.
Je les observais discrètement, mon mari paraissait ravi, il semblait avoir oublié tous les principes élémentaires acquis ces derniers mois, et surtout qu’il avait une ceinture de chasteté sur sa queue.
Après une bonne vingtaine de minutes, mon mari me rejoignit, avec un sourire fier et stupide.
Je ne laissais rien transparaître qui aurait pu évoquer de la colère, j’attendais de voir s’il avait une excuse à me présenter pour ce qui s’était passé mais il n’en fut rien.
Je l’enjoignais de rentrer, ce que nous fumes immédiatement.
Durant le voyage du retour, il me parla enfin de le teneur de la discussion avec son amie.
Il s’agissait de banalités sans intérêts pour moi. Son sourire qui accompagnait son récit commençait à m’agacer. Mais surtout il n’y avait pas la moindre culpabilité dans ses paroles. Tout était normal selon lui.
J’étais excédée mais je contenais ma colère. J’attendais de mettre les choses au clair à notre arrivée chez nous.
A peine, venions-nous de franchir le pas de notre porte, je lui ordonnai de se déshabiller entièrement.
Il s’exécuta sans avoir l’air inquiet. Dès qu’il fut nu, je récupérai la clé autour de ma cheville et lui retirai sa ceinture de chasteté. J’avais mon idée derrière la tête.
Il bandait fort. Cela me surpris car je lui avais vidé les couilles dans l’après midi mais peut-être était-il encore sous l’effet de cette petite garce.
Cette reflexion me fit perdre totalement le contrôle de mes nerfs. Brusquement je le lui attrapai les couilles en les remontant le plus haut possible.
Il poussa un minable gémissement en se mettant sur la pointe des pieds pour accompagner au mieux mon mouvement vertical.
– Je suis désolée, mais ce soir tu mérites une correction. Tu sais pourtant que je déteste devoir utiliser la force mais je n’ai vraiment pas le choix.
Je renforçai ma pression sur ses testicules. Cette fois il poussa un cri qui m’incita à le lâcher. Il tomba à mes pieds en se tenant ses couilles endolories.
Je le soupçonnais cependant de feindre de manière trop ostentatoire la douleur afin de gagner mon indulgence. La correction ne devait pas en rester là, il s’était comporté comme un gougeât
il méritait une correction en conséquence. Je devais frapper là où un homme est le plus vulnérable.
Je l’attrapai par les cheveux
– maintenant tu vas te mettre à quatre pattes, en présentant à ta maîtresse tes petites couilles.
Il s’exécuta. Par une pression avec mon pied, je luis fis coller son front sur le sol.
– Veux-tu lever tes fesses et écarter tes cuisses.
Il était placé maintenant en position idéale, je me positionna debout derrière lui en posant mon talon droit sur sur ses fesses.
L’heure de la sentence avait sonné.
– Tu sais que depuis que j’ai entrepris de te dresser, j’ai rarement eu recours à des punitions physiques. Je perçois d’ailleurs cela comme un échec.
La vraie réussite de ton dressage, c’est quand tu te conduis par toi même en mari docile et que je n’ai plus de remarques à te faire.
Ce soir malheureusement, pendant vint minutes tu as commis un énorme impair avec cette petite garce. Cela remet en cause des mois d’éducation.
Son visage montrait de la crainte, mon mari comprit qu’il allait passer un mauvais moment.
– Mon cheri, n’est-il pas temps de présenter tes excuses à ta femme ?
– Oui mon amour, je m’excuse sincèrement
Ses excuses était tout juste finies, je lui infligeai un coup de pied maitrisé dans les couilles. Il poussa un gémissement.
– Mon chéri, me promets-tu de ne plus jamais te conduire de la sorte ?
– Oui mon amour, je le promet
Je fis partir un deuxième coup de pied légèrement plus fort toujours dans ses parties sensibles. Il gémit un peu plus fort.
Je le fis relever encore plus haut ses fesses et écarter encore un peu plus ses cuisses.
– Mon chéri, est-ce que tu comprends bien cette punition ?
-Oui mon amour je le mérite
Cette fois, je ne me retiens pas, je lui mis un énorme coup de pied sur ses testicules. Cela le fit trébucher au sol en position fœtale en se tenant l’entre jambe.
Je me sentais enfin apaisée. Finalement, jouer au punching ball avec les couilles de son mari est un bon moyen pour une femme de se détendre.
Je le laissais reprendre ses esprits mais je ne voulais pas en rester après avoir été banni physiquement je souhaitais en finir par un châtiment plus cérébral.
Je le fis se repositionner sur le dos toujours allongé sur le sol. Puis je me plaçai debout face à lui, mes deux pieds placés sur chaque coté de son sa tête.
Je portais une jupe. J’enlevai ma culotte et la mis dans la bouche de mon mari. Je restai ainsi face à lui en le laissant entrevoir mon entre-cuisses.
– Regarde là bien, car tu n’es pas prêt d’en profiter.
Je restai dans cette position en le toisant. Symboliquement j’adorais ce point de vue : mon mari allongé au sol à mes pieds contemplant l’objet le plus précieux de son désir sans qu’il puisse y avoir droit
Je m’amusais à rapprocher ma chatte de quelques centimètres de son visage pour que la frustration soit à son comble.
– Si tu oses la toucher je te promet que tu auras des couilles en compote ! Ou alors je me servirai de ton visage comme toilette car je sens une envie pressente. Tu ne verrais aucun inconvénient à ce que ta maîtresse te fasse profiter d’une douche dorée ?
Ces menaces ne semblait pas lui faire peur, il s’était remis à bander comme un taureau les yeux fixés sur ma chatte comme un chien en chaleur.
– Tu bandes encore ! je ne crois pas te l’avoir permis. De toute façon cette petite queue doit retrouver sa cage.
Afin de lui enfiler facilement sa cage, je remplis un bol de glace pilée puis lui renversa sur la queue tout en lui serrant les couilles. L’effet fut immédiat, il ne restait plus qu’un petit asticot que j’enduis de lubrifiant ce qui me permis de lui enfiler sa cage très facilement.
Son châtiment était terminé, je m’assis dans le canapé épuisée.
– Viens ramper jusqu’à mes pieds !
Il s’exécuta, et s’arrêta à quelques centimètres de mes pieds
– Maintenant tu va retirer mon escarpin droit délicatement et tu va me remercier de t’avoir remis dans le droit chemin en embrassant mon pied qui s’est occupé de tes petites couilles.
Il s’affaira doucement en embrassant chacun de mes orteils, puis en se plaçant sur le dos, il embrassa la plante de mon pied.
Je lui fis retirer ma deuxième chaussure puis me servis de son visage comme un repose pieds. Nous restâmes ainsi pendant plusieurs minutes.
Enfin quand je jugea qu’il était temps de me coucher, je rejoignis notre chambre en le prenant par les cheveux.
– Ce soir tu dors au pieds du lit et demain matin tu as intérêt à être parfait.
Je m’endormis finalement assez vite avec la sensation du devoir accompli.
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