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Une petite fêtes pour Mario!

Une petite fêtes pour Mario!



Je travaillais pour l’agence depuis quelques mois déjà et je me sentais comme une vieille routière maintenant. Malgré tout, je n’avais que 18 ans à peine entamé et j’avais connu une bonne trentaine de clients ( bon j’avais des réguliers, mais j’avais souvent des inconnus et la présence de Marcus était toujours rassurante).

J’en étais à me demandé si j’allais prendre des cornflake ou un pain au raisin lorsque mon paget sonna. J’avais un examen à 19h, mais j’avais amplement le temps de prendre un client et de me préparer pour mon examen après. Je fantasmais à l’idée d’aller à mon cours après avoir été ardemment baisée. Sincèrement j’étais étonnée de voir à quel point, malgré mes horaires chargés autant au niveau du travail que de mes cours, je réussissais bien. J’avais de bonnes notes et même mes parents étaient heureux de voir que je ne dépensais pas inutilement leur argent. Et en plus, je me faisais du plaisir…enfin assez souvent parce qu’il ne faut pas se leurrer…parfois les clients ne sont pas tous des citoyens modèles, des fanatiques de l’hygiène…Bref…j’espèrais vraiment quelque chose qui m’amènerais à un état d’euphorie et de bien-être pour me déstressé de mon examen.

Marcus klaxonna à mon appartement moins d’une heure plus tard et m’amena à un bungalow près de Lachine. Je n’aime pas particulièrement les maisons privées, mais bon sachant que Marcus allait m’attendre me rendait un peu plus relaxe. Lorsque je sonnai à la porte, il était 15h, malgré tout la rue était relativement déserte. Je portais une jupe de cuir rouge au dessus du genou, un t-shirt cookie monster et de jolies tresses dans mes longs cheveux bruns. Généralement les clients aiment bien les looks de gamine. Je fus surprise de voir une femme venir m’ouvrir, mais elle sembla plus surprise que moi.  » Calvaire, est-ce qu’ils vous prennent à la maternelle maintenant?? » J’éclatai de rire.  » Je suis majeure, nouvellement mais majeure, pis je fais mon job parce que j’aime ça! Mais si t’aimes mieux, je peux appeler au bureau et ils peuvent t’envoyer une autre fille…Comme tu veux! » Elle hésita un moment puis hocha négativement la tête.  » Non, t’es là excuse moi…c’est juste… »  » Juste que tu vois tellement de pauvres filles qui se font embarquer dans la merde par des pimps dans ta job… » Elle se braqua, j’avais visé juste, s’était une policière.

Il faut comprendre que j’ai été élevé dans une famille de policière, les policiers ont une manière spéciale de se tenir devant vous, de vous étudier, de parler. Bref, elle semblait un peu mal à l’aise de s’être fait prendre. Je la rassurai.  » Mon père et mes frères sont de la maison…s’était juste très facile à deviner. » Elle s’effaça pour me laisser entrer et me conduisit vers la cuisine et me tendit une bière.  » Ta famille sait??? »  » Non…mais ce qu’ils ne savent pas, ne fait pas mal…puis tant que j’ai de bonnes notes et que je fais ça pour le plaisir et le cash…je crois que ça ne fait de mal à personne! » Elle sembla contente de ma réponse.  » Je m’appelle Annie en passant. Écoute, mon mari arrive dans environ 30 minutes et je veux te mettre au parfum. C’est notre anniversaire de mariage et depuis toujours il me dit qu’il aimerait que l’on baise avec une autre fille. J’ai pas envie de lui rendre ça facile. Donc je lui réserve une petite surprise…il va avoir 1h pour se détacher…s’il réussi, on te paie une heure de plus et on s’amuse ensemble…sinon bien on va avoir juste du plaisir ensemble…devant lui. Ça te convient?? »

Je lui souris, elle était belle à croquée, un physique d’enfer et sincèrement ce n’était pas un désagrément. J’ai donc été payé, j’ai pagé Marcus pour lui dire que tout était correcte. Puis nous sommes descendues au sous-sol. L’endroit était bien décoré avec goût. Annie avait mit un matela sur le sol, de multiple couvertures, des serviettes, de l’eau, de l’alcool, des jouets ( butt plug, dildo, boule chinoises) tous dans leurs emballages donc neufs… Puis Annie me demanda d’enfiler un petit kit de policière fake. Quelque chose que l’on vend dans les sexshop avec mini jupes, et petite chemise bleue. J’avais même les menottes et le bâton ( un véritable PR 24, une sorte de matraque avec une poignée perpendiculaire que les policiers utilisent dans les contrôle de foule entre autre). J’enfilai la tenue devant Annie qui me détaillais du regard. ELle avait l’air de se régaler, elle en fit autant et sincèrement j’avais vraiment hâte de pouvoir m’amuser avec elle parce qu’elle avait vraiment un joli corps, de seins lourd et très volumineux, une chatte rasée de près d’où on pouvait voir un gros clitoris ( ce qui signifie généralement une femme a un niveau de testostérone élevé…donc généralement une libido assez élevée. MIAM!! Bref je salivais déjà lorsque le mari entra dans la maison. Annie m’intima de ne pas faire du bruit, et monta l’accueillir dans sa jolie tenue.

Mario fut introduit dans la cave, nu, menotté, les yeux bandés, et les oreilles bouchée. Il fut assit sur une chaise d’ordinateur à roulette ( une chaise sans acoudoir)attaché avec du Ductape, il était véritablement saucissoné les bras derrière la chaise, les pieds solidement ancré à la chaise. Je pouvais voir que l’expérience l’excitait déjà tant sa queue était tendue. Il avait une queue relativement large, mais pas très longue, environ 7 pouces et était rasé, de jolie couilles roses pendaient reposaient sur la chaise. Une fois bien attaché, Annie lui enleva d’abord les bouchons dans les oreilles, puis le bandeau sur les yeux. Je vis ses pupilles se dilaté lorsqu’il m’aperçu dans mon petit costume. Sa queue grossis également ( je ne croyais pas que cela pouvais être possible).

 » Mon amour, si tu réussis à te détacher…tu pourras nous rejoindre. Tu as une heure…et si tu nous rejoins, tu auras une heure de plus pour profiter de nous deux…deux jolies bouches sur ta queue…deux chattes à lécher…quatre seins à sucer… Sinon j’aurai eu vraiment du bon temps avec…( oups j’avais oublié de lui dire mon nom et je lui soufflai Jane » Je sentais déjà la frustration dans le visage de Mario, une frustration sauvage mêlée de désirs bestials…hummmm.

Puis Annie m’invita à la rejoindre dans le lit. Je pouvais voir à sa manière d’agir qu’elle n’avait pas vraiment l’habitude avec les femmes mais qu’elle était très excitée. Je brisée la glace en l’embrassant doucement, puis en glissant doucement ma langue dans sa bouche. Elle s’ouvrit comme une fleur et je glissai ma main sous sa chemise en y détachant les trois boutons qui gardaient sa lourde poitrine à l’intérieur. Ses seins atterrir dans ma main chaude et experte et je commençai à les caresser fermement, me laissant guider par sa respiration haletante et sa manière de les pousser vers moi. Je regardai Mario dans les yeux, me léchai les lèvres de manière aguichante et sans le quitter des yeux, j’amenai un des melons à ma bouche pour le sucer. Le mamelon durcit immédiatement, Annie poussa un feulement de plaisir. Je lui souris et lécher le mamelon plus ardement. J’entendais les supplications de Mario, ses grognements et cela m’excitait.

Je poussai doucement Annie sur le dos, lui enlevai le reste de son kit et caressai son corps. Sa peau était ferme, chaude, très goûteuse. Je continuai à m’amuser avec ses seins pendant un moment puis je glissai peu à peu vers sa chatte qui s’ouvrait par pulsion. Elle mouillait déjà de plaisir et avait parfois les yeux sur Mario et parfois sur moi. J’enlevai ma jupe et ma chemise étalement et je me plaçai de manière à ce que Mario ait une vue imprenable sur ma chatte parfaitement épilée ( au prix de quelle douleur je vous le demande!! » J’étais également bien mouillée et je présume qu’il pouvait voir la cyprine coulée de ma chatte. Je glissai ma langue dans la chatte d’Annie et suçai son gros clitoris comme une petite queue ( il me rappelait presque la queue de Marcus) Je dois avouer que j’adore les gros clitoris, ça m’excite tellement… je le suçais et doigtais doucement sa chatte. Je passais mes doigts doucement sur les parois vaginals jusqu’à son poing G et je sentais grossir ce petit point ce tendre et grossir sous mes doigts, sa chatte se dilater, se mouiller, et son clito grossir sous ma langue. Les feulements qu’elle laissait échapper de sa bouche en plus des multiples chapelets d’injure laissait présager qu’elle avait rarement jouie ainsi. Mario de son côté commençait à se fatigué, il jurait, sa queue avait perdue de la vigueur mais il était rouge comme une tomate probablement par l’effort. Gentiment, je délaissai un peu Annie et lui indiquai que nous devions récompenser un peu son homme. Elle accepta que je le suce un peu…Je me glissai à genou devant lui, léchant d’abord ses couilles, puis lappai doucement sa hampe sans la prendre dans ma bouche. Il voulu m’att****r par les cheveux, mais le tape le tenait un peu trop solidement encore. Il appréciait le traitement et recommençait à revenir dans la course. Pendant ce temps, Annie ne restait pas à se tourner les pouces, mais elle s’était glissée entre mes jambes et me léchait la chatte. TOut d’abord, elle était un peu craintive, démontrant son inexpérience, mais elle était instinctive et elle trouva facilement la manière de me lécher pour me faire plaisir, vraiment plaisir. Elle suçait mon petit clitoris, séparant mes grandes lèvres de ma chatte, stretchant ma chatte largement pour ensuite y glisser sa langue profondément. J’étais au bord de l’extase lorsque je décidai de laisser Mario.

Je souris à Annie et nous reprime notre petit jeu à deux en 69. J’avais son clito en bouche comme un caramel mou que je suçais. J’avais pris soin de prendre avec moi un des vibrateur près du lit et le glissai sans difficulté dans sa chatte. La pression sur mon clitoris me démontra qu’elle appréciait véritablement ce que je faisais. Elle mouillait abondamment et je lappais chaque goutte qui s’échappait de sa chatte. Son anus semblait palpiter également et je glissai d’abord un doigt dans sa chatte avant de le glisser dans son petit trou. Elle se cambra puis accéléra le mouvement de bassin. Je glissai un deuxième doigt et commençai à les écarter pour bien stretcher son petit trou. Elle aimait véritablement ce que je lui faisais. Et moi aussi…je l’arrêtais au dernier moment, j’étais sur le point de lui exploser au visage et je doutais qu’elle apprécie, par contre, je me remis debout, mis un pied en équilibre sur le dossier de la chaise et entreprit de caresser ma chatte de manière a bien stimuler mon poing G déjà très gros par le traitement d’Annie et j’éclatai immédiatement sur lui…Sa queue fut mouillée, et je pris son visage pour bien le passer sur ma chatte. Mario lappa quelques gouttes de mon jus et je retournai à Annie qui regardait toujours ébahie. Il avait presque réussis à détacher ses chevilles et pouvait se lever ou presque de la chaise.

Annie me demanda si toutes les femmes pouvaient faire comme moi…Je lui souris et je continuai à la masturber autant avec ma bouche qu’avec mes doigts. Ses jambes tanguaient autour de ma tête j’avais presque peur d’être décapitée mais je continuai, je m’aggripai à son clitoris, massai fermement son poing G jusqu’à ce qu’il devienne tendu et je dis à Annie de se laisser aller…de se détendre…Puis ce qui devait arriver…arriva et elle jouie sur moi comme elle ne l’avait jamais fait. Je léchai sa chatte, et elle recommença à nouveau, toute surprise, excitée et ravie. Elle me rendit la pareil, voulait que je lui jute au visage, ce que je fis et nous avons jouie ainsi a plusieurs reprises. Je n’ai malheureusement pas pu lui faire tout ce que j’aurais voulu lui faire notre temps étant largement dépassé, mais bon, j’avais quand même passé du bon temps avec elle. Avant de partir, je me permis de sucer rapidement la queue de Mario qui était maintenant véritablement frustré de n’avoir pu se libérer et je m’assied à quelques reprises sur sa queue rendue rigide puis je retournai à la voiture de Marcus, épuisée mais ravie.

Mon gros garde du corps me regardait comme toujours de son regard doux. « T’as l’air toute excitée ma belle, qu’essé q’y t’ont faites? » Je lui ai souris puis je lui ai demandé de m’amener au CÉGEP pour que j’aille faire mon examen.  » T’as quelque chose à faire après? » Il me répondit que non, il m’avait prit un de ses jour de congé. Je lui souris, comme toujours, Marcus veillait sur moi. Il n’avait pas de famille, pas de petite amie et probablement pas vraiment d’ami non plus, je devais être ce qu’il y avait de plus près d’une amie pour lui.  » Attends moi, je vais faire mon examen pis j’aimerais ça que tu me raccompagnes après, j’aime pas trop prendre le métro arrangé de même! » Marcus accepta sans bronché. Cet examen là, je l’ai terminé en moins d’une heure, et j’ai eu la meilleure note de la classe mais ça je ne l’ai su que deux semaines plus tard.

Malgré tout, en terminant mon examen, je me suis laissé raccompagnée par Marcus, je l’ai invité à monter à la maison et lui ai donné un verre de vodka jus d’orange ( un drink un peu mounoune pour un gars de son gabarit mais il aimait ça) J’avais envie de le gâter pour vrai. Ça faisait des mois qu’il veillais sur moi, m’avais sortit de mauvais pas et n’avais jamais rien demandé même si à l’occasion, je l’avais récompenser. Je savais qu’il avait honte de sa petite queue ( un micropénis là messieurs, je ne parle même pas d’un pénis de 5 pouces…mais bien d’une petite queue de 3 centimètres de long bandée) bref, malgré quelques rétissence, je lui enlevai son pantalon me mit flambant nue devant lui et je le suçai. Il avait des seins presque aussi gros que les miens…et me rappelait un peu ceux d’Annie ( quoi qu’un peu plus poilus lol)je relevais ma tête pour les suçai un à un puis revenait à ce gros clito bien juteux. Marcus gémissait et je sentais à présent des larmes ruisselée sur ses joues. Il était sur mon divan légèrement évaché sur le dos et je me glissai sur lui, sa petite queue frottais ardemment sur mon propre clitoris et j’avais l’impression de faire un tribadisme avec une autre femme…je me frottais langoureusement sur lui, nous excitant mutuellement…puis quand je le sentis sur le bord de jouir, je glissai un de mes mamelons dans sa bouche et il le suça fermement pendant que sentais de longs jets de sperme couler le long de ma chatte. Ses larmes mouillais ma poitrine mais je sentais que j’avais accomplie une bonne action et je me sentais tellement puissante. Sans un mot, il me coucha à son tour sur le divan et lécha sa dèche. Sa langue était ****use et douche, timide malgré tout je sentais tout le plaisir qu’il avait à le faire. Et je jouie à nouveau dans son visage. Il était ravi, et moi aussi…jamais dans ma vie, on m’avait donné un tel traitement, s’était bon, doux, tellement réconfortant. Il me fit jouir à quatre ou cinq reprises puis nous allâmes chacun notre tour sous la douche ( ma salle de bain laissant à peine de la place pour que Marcus puisse y entrer seul) Sans un mot, il se rhabilla, m’embrassa sur la joue et me dit tout simplement « Merci! » puis il partit.

Cette nuit là, je dormis comme un loir. J’avais rendue un couple heureux…enfin une femme dans un couple heureuse et j’avais donné à un pauvre bougre, une baise qu’il n’avait probablement jamais pensé avoir un jour.

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