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DRESSAGE (part 4)

DRESSAGE (part 4)



L humidité de ton urine maintenant froide rependue sous tes pieds nus ainsi que l odeur nauséabonde qu’il s’en dégage deviennent de plus en plus gênantes……aucunes possibilités de savoir depuis combien de temps on t’as laissée là……. telle une trainée ,une pariât……
Tendant l’oreille il te semble percevoir quelques gémissements issus de l’appartement au dessus….visiblement tes deux bourreaux s en donne à cœur joie….un vilain sentiment de jalousie viens effleurer ton esprit….comment Mélissa peut elle te faire cela..quelle est cette tierce personne venue t’humilier gratuitement et qui profite maintenant des charmes de ta maitresse préférée….les râles de plaisirs se font de plus en plus évidents.
Habituellement cette situation t’aurais grandement excitée mais là c est tout autres chose ,un sentiment de rancœur de vengeance même t’envahit, tu ne sens même plus les effet de ce gode planté dans ton anus, tu voudrais crier mais ton statut de soumise à bien été établi tu ne peux t’exprimer ni te plaindre ou dire quoi que ce soit sans l autorisation de ta maitresse…………
Les soupirs s’estompent peu à peu…..la porte s’ouvre quelqu’un descend lentement les marches, le bandeau sur tes yeux t interdit tous détails…violemment elle viens te pincer le bout de tes deux seins, ses doigts se ferment agressivement sur tes tétons déjà durcis par la fraicheur de l air ambiant de cette cave………..tu commences à te tortiller de douleurs ,le déplaisir s’installe, tu mords tes lèvres afin qu’aucun cri de souffrance ne s échappent de tes cordes vocales.
Jamais auparavant tu n aurais permis à qui que ce soit de te martyriser de la sorte, d’ailleurs personne ne si était aventuré..mais là c est différent, tu es la pute de service, ton éducation de salope extrême ne fait que commencer, Melissa compte sur toi pour décrocher le titre cette année lors du concours annuel ….la partie n est pas gagnée mais tu t’y es engagée l’an passé lors de votre visite toute les deux au dernier rassemblement de salopes en tous genres…….tous les coups y sont permis, le spectacle dure deux jours, les prétendantes sont livrées à un jury composé des maitres et maitresses des autres participantes, laissant libre court à leur imagination afin de faire craquer ces femelles concurrentes. L’an passé plusieurs prétendantes sur les dix de départ n ont pu finir ce concours , certaines s’évanouissant déjà le premier jour….La décision avait été prise d un commun accord, tu y participeras et tu gagneras tu en as fait le serment…………..
La souffrance se diffuse maintenant le long de toutes tes terminaisons nerveuses des mamelons subitement la douleur parait cesser, tu ne peux dire si les pressions ont été stoppée ou bien si tes seins se sont anesthésiés sous la douleur.
Une main vient se poser sur le collier en cuir autour de ton cou, on y attache une laisse que l on laisse pendre entre tes seins jusqu’à ton pubis tout épilé, sans ménagement l’on te retire ce phallus canin planté dans ton cul, une brulure s’en fait ressentir depuis qu’il y était empalé tes chairs c’était resserrées tout autour…..
« A quatre pattes chienne….allez ….espèce de grosse pute agenouilles toi dans ton urine…allez plus vite…. »
Tu t exécutes, au contact de ta chair la moiteur du sol te révulse……….
« Lèches…..lèche ta pisse je te dit …écartes tes jambes. Allez ma pute sort ta langue …montre moi comment tu sais lécher….imagine que c est ma chatte pleine de pisse que tu es en train de me bouffer sale gouine… »
Ce gout mi sucré, mi acide ne te dégoute pas tant que ça finalement à ta grande stupeur, tu lappes ce liquide à grand coup de langue espérant au fond de toi une quelconque reconnaissance de ta tortionnaire……mais il n en est rien c est un grand coup de sangles de cuir qui s écrasent sur ton entre jambes heurtant sèchement ta chatte offerte ………….
 » écartes toi encore plus je veux voir ta moule toute ouverte …..tu veux le gagner ce concours ou pas espèce de pouffiasse mal baisée… »
Frôlant à présent le grand écart ta vulve s’ouvre d elle même ,offrant tes chairs intimes à ces lanières de cuir qui claquent de plus en plus se gorgeant de ta mouille qui se déverse entre tes jambes…..
Les coups cessent, on att**** la laisse et l’on t ordonne d avancer à tâtons toujours à quatre pattes…..
« Allez ça suffit……pétasse en chaleur…..montes avec nous maintenant ,viens retrouver ta maitresse ….. tu vas voir on va continuer s occuper de toi……la journée n est pas finie…………………

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