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La Directrice (vécu)

La Directrice (vécu)



La Directrice

Je ne sais quoi vous dire, si ce n’est tout simplement merci, être invitée au restaurant, au dernier moment, par son patron, quelle surprise !
– et ce n’est pas fini, dis je, me penchant sur elle, lui roulant direct un baiser sur la bouche et une main dans le chemisier où je m’empare délicatement d’un sein…ce sont vos seins, madame, vos seins…
– mes seins ?
Je décolle la voiture du trottoir et prends la direction de son domicile. Il y a 10 bornes que je trouve longues malgré une conduite rapide. Pour tuer le temps je reparle boulot, ce qui était le prétexte de mon invitation.
En arrivant je me gare au lieu de la déposer et de me casser. Elle a de putains de nichons qui me font fantasmer depuis longtemps, il faut que je tire ça au clair, je veux pas mourir con.
– je vous dois une explication, je m’invite chez vous boire quelque chose pour vous la donner.
– je n’ai pas grand chose à vous offrir, allons y je verrais.
– ce n’est pas grave dis je, la suivant.

Sa porte d’entrée est latérale au bâtiment, discrète. Elle a un logement de fonction, directrice de cette entreprise qui m’appartient. Pas de salle à manger, un grand salon, contemporain et sympa.
Elle me présente le canapé, m’invite à m’assoir, je décline la priant de le faire en premier, gaffe si elle choisissait un fauteuil séparé, ça complique.
– je vais chercher à boire, elle objecte.
– plus tard, asseyez vous donc.
Et je me pose au plus près, immédiatement comme dans la voiture, je lui plaque un baiser sur les lèvres, mais profond, goulu cette fois et bien sûr une main dans le chemisier où je trouve les objets de mes fantasme, des seins incroyables !
Elle fond, elle fond, dans ma bouche, me rend visite d’une langue agile, coquine. Elle durcit, elle durcit sous ma main, les tétons sont pointus, pointus. Je me délecte, fais durer ce moment qui à l’air de lui plaire aussi. Puis je sens une main, deux qui s’activent sur ma braguette. Je laisse faire, commence à lécher les seins, au bout, autour, j’aspire, je gobe, et elle se faufile m’échappe, se glisse devant moi, à genoux pour en finir avec cette braguette qui lui résiste. Elle s’impatiente, je laisse faire, c’est bon pour nous deux d’attendre. Ça y est, la bête est libérée. Elle la prend d’une main délicate, entame un lent va et vient, la regarde comme une ouvre d’art, la caresse. Ça alors, on dirait moi devant un sexe féminin. Une vrai gourmande, gastronome, pas une goulue, chapeau madame !
Finalement, elle goûte, lèche de bas en haut, de haut en bas, à la base du gland, puis smurf, slurp, slurp… Délicate, adorable. Voilà qu’elle décide de virer mon froc, elle essaie de tirer, mais je me lève pour faciliter et décide de me mettre nu complet, gagnons du temps, elle fait de même. Ça y est, je les vois, les coquins. Je sais pas te dire, j’ai jamais vu les mêmes, ni en vrai, ni en photo, ni en peinture quelle que soit l’époque, ni en sculpture. Un modèle unique, je louche, je bave, j’apoplexe, je souffle court, mais quéZaQuo ?
Étonnée, je suppose de ma subjugue, elle se couche sur le tapis, à non, pas le missionnaire avec une souris kommak, bien si ! Finalement, bonne idée, j’observe encore les appareils, j’ai lancé ma perforatrice, je tire-pouce comme un malade et rien n’y fait, ils ne bougent pas, ne ballottent ni à droite, ni à gauche, ni en avant, ni en arrière, du béton, du béton je te dis ! Faut pas oublier la madame, tout de même. Je lui replie les genoux, un dans chaque main, ça permet d’aller plus à fond, et là je travaille mon sujet, comme un pro, je m’aide des genoux comme du manche dans l’avion. Tu pousses en face, à gauche, à droite, t’observe, t’écoute, tu modules, tu évites le looping, sauf au final, pour enchaîner avec la levrette par exemple, mais faut de la sportive, de la souple, du petit modèle, au fait, elle à l’air au poil pour ça, celle-ci. Pendant que je soliloque, elle orgasme, silencieusement. Tu te souviens que je tiens ses genoux, et hop, elle se retrouve à 4 pattes et j’embroque immédiat. Je regrette un peu de n’avoir pas goûté ses nimbes en passant. On sait pas, si elles sont pas aussi curieuses que les miches. Faudra faire le détour avant de décarrer.
Je me concentre un peu sur l’ouvrage car tout à l’heure je me suis fait prendre de vitesse. C’est sûr que la femelle peut prendre de multiples panards, mais je trouve meilleur quand c’est de conserve. Et, ça se précise. Je regarde ce joli petit pétards, bien blanc, au hasard je balance une paire de claques et ça lui plait, je crois car c’est une silencieuse. D’un coup elle se laisse aller, s’effondre à plat ventre en se tordant comme un vers. Du coup j’éjacule à l’air libre, sur son anatomie arrière. Et je repense à foufoune, je tourne la dame sur le dos et commence à déguster ses muqueuses. Rien à signaler, si ce n’est un produit frais, goûteux, délicat comme souvent. Juste après son deuxième orgasme elle est sensible, se tortille, me pousse la tronche au point que je la tiens par les jambes très fort. Folle elle devient ! J’abuse, me délecte et ne m’arrête que parce que elle demande vraiment grâce, mais vraiment et c’est une loque sur ce tapis. Je suis assez fier de moi.
Elle se remet doucement, sort de sa torpeur, me regarde:
– Je crois qu’il me reste une bouteille de whisky, vous l’avez bien méritée.
J’acquiesce sans rien dire, elle disparaît trois minutes, revient avec une boutanche, deux godets et des glaçons.
– Vous faites un super service
– J’essaie d’être à la hauteur pour mon patron.
Je suis toujours vautré sur le tapis, elle me tend mon verre, s’assied en tailleur son verre à la main et ajoute:
– C’est fou ce que ça fait du bien, je commençais à oublier.
– Pourtant lord de la dernière réunion de l’entreprise, vous étiez escortée d’un bonhomme qui se prenait très au sérieux
– D’une part un peu trop, d’autre part il n’était doué pour rien et je l’avais même oublié.
Sur ces mots elle pose son verre sur la table de salon, revient s’assoir en tailleur tout près de moi et commence tout doucement à ré-animer mon appareil avec une grande douceur. Cela tient beaucoup plus du massage, effleurage avec deux petites mains agiles que même si tu regarde t’arrive pas à savoir où elles sont, en haut, en bas, autour, coucougnettes comprises. C’est très bon, excellent, excellentissime. J’en profite pour détailler l’esthétique de ses seins. Je sais pas si tu a déjà vu le bout d’un rocket au cinoche ou en vrai mais c’est à peu près ça, style Madona, mais là c’est en chair et en vrai. J’ai suspecté l’arnaque, la glande mammaire de synthèse, j’ai vérifié de près, pas trace d’une cicatrice nulle part. Parfois la nature te sort de ces trucs! Et la coquine ne met jamais de soutien-gorges, ce que j’avais repéré depuis longtemps.
Pendant ce temps elle persiste dans son massage et même me fait un truc pas courant courant. Pendant qu’elle pétrit ma chair elle se penche en avant et au lieu de pourlécher me titille le bout du gland avec ses cils en battant des paupières. D’abord c’est inattendu, ensuite dieu que c’est bon, mais c’est prendre le risque d’être remaquillé au protéines pur jus!
De cil en cil, d’effleurages en pétrissages, je n’en peux plus, la tension est si forte que j’évacue la purée violemment et me voilà comme elle tout à l’heure réduit à l’état de lope, de lopette. Elle fini délicatement son massage, avant le repos total aspire la dernière goute puis, gentiment lèche méthodiquement mon bas ventre pour récupérer la liqueur répandue.
– Félicitations, Madame la Directrice c’est du travail consciencieux!

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