A. Lisa
26 ans, les yeux verts, cheveux auburn, regard désarmant…
Elle réussit tout ce qu’elle entreprend.
Il y a deux ans, elle a failli se marier. Il était beau, gentil, elle l’aimait…
Les mois passaient, ils devaient fixer une date, il n’était pas très pressé…
De retour d’un week-end chez ses parents, elle le trouva avec Maelle, sa meilleure amie.
Chez elle, dans sa chambre…
Ce fut la dernière fois qu’elle les vit…
Elle tomba de haut, pleura beaucoup, surtout de rage… Elle n’avait rien vu venir…
Elle décida de partir…
Elle venait de terminer ses études, elle avait la vie devant elle, du moins sa vie professionnelle…
Elle était institutrice, elle demanda sa mutation immédiate, se retrouva dans les Alpes, un village tranquille, très fréquenté en été… Logement de fonction, il était très bien…
Maelle avait été sa seule véritable amie…
Elle découvrit ce village entre vallées et montagnes, la ville n’était pas très loin.
Lisa se fondit dans la population, elle attendait l’occasion, se mêlait à la vie communale, apportait son concours aux associations, était de toutes les fêtes, elle rencontra des jeunes, comme elle, nouveaux dans ces montagnes, ils venaient repeupler ces villages, chercher un style de vie plus agréable…
Elle avait en charge 18 enfants répartis en deux groupes…
L’hiver arrivait.
Elle en avait peur, mais ses nouveaux amis lui firent découvrir les joies de la nature, le ski, les sorties, les feux de bois, la raclette et les fondues…
Elle eut un flirt avec Hans, un papa croisé à l’école, voisin de son logement qui la raccompagna à l’issue de la fête…
Trois mois qu’elle était arrivée…
Quand elle sentit ses mains s’attarder sur elle, sa libido remonta d’un cran.
Elle se permit quelques baisers dans le hall déserté, il sentait la forêt, les fleurs…
Elle devait faire attention à tout, et à tous, il était marié…
Elle se réfugia chez elle…
Sa réputation pouvait voler en éclats pour une étincelle, un émoi, entraînant sa jeune carrière…
Elle le réinvita le samedi d’après, sa femme était chez ses parents, avec leur fille…
Elle referma la porte à clé…
Ils partagèrent un apéritif à base de plantes, qu’il fabriquait l’été…
Elle avait préparé une fondue bourguignonne avec quelques frites maison, juste pour eux, juste pour deux, un vin blanc de Savoie, le message était clair…
Elle voulait ratt****r trois mois de vie monacale… Elle mit un peu de musique…
Il l’embrassa dès la fin du repas, en rapportant les assiettes dans la petite cuisine…
Elle ressentit son désir, ses yeux bleus firent le reste…
Elle s’ouvrit à lui, sans penser à autre chose qu’à son sexe…
Dans la petite chambre, il la déshabilla, puis collée contre lui, elle le toucha, le caressa, le prit entre ses lèvres…
Le désir fit le reste, pas de sentiment, juste un mécanisme…
Elle coulait de désir en coulissant le sexe, elle lui ouvrit ses cuisses, il y glissa sa main…
Elle délirait déjà, brisant ses habitudes et enfourcha le membre sans autre préliminaire…
Il ne s’offusqua pas, l’accompagna avec fougue, lui aussi avait du temps à ratt****r, elle le sut plus tard…
Ils firent l’amour, le vrai, le tendre, celui qu’elle attendait depuis son arrivée…
Elle aima sa patience, et attendit son heure, il caressa cette belle maîtresse, dans tous les sens du terme…
Son membre était bien vert, elle se laissa pourfendre, puis s’offrit en levrette, elle adorait cette pose, qui la faisait crier, délirer son plaisir, la tête dans ses bras, il y allait, ne retenant pas ses coups de reins rageurs, il se libérait, sans doute par désir…
Elle jouit pleinement, sans retenue, il la porta aux nues.
Elle livra le combat, passant par tous les stades, puis lui proposa son derrière, qu’ils puissent goûter à tout…
Il le fit avec tact, doucement, il était sur un nuage, et elle vociféra sous ses coups de boutoir…
– Viens, j’aime la sodomie, j’avais tant envie de sexe ! Mais je le veux dans le mien, pour cette première fois, je veux sentir ta semence au plus profond de moi…
Il s’allongea dans son dos, elle se recroquevilla dans la position du fœtus…
Il aperçut son abricot, mis en valeur ainsi, une œuvre d’art, luisant, brillant, ouvert…
On ne voyait que lui, dans une impudeur notoire, un appel au mâle…
Il y plongea son dard, émerveillé, comme un artiste, elle délira son orgasme, il la lutina sans arrêt, jusqu’à ressentir poindre ce besoin irrésistible…
– Oui, viens, prends-moi, maintenant ! Donne-moi ta tendresse, jouis de moi tendrement… Ce soir je suis à toi, je deviens ta maîtresse, je viens aussi, je m’envole avec toi, viens !
Elle le sentit grossir, elle le serra en elle, contractant ses muscles, comme pour le retenir… Alors il explosa, tapissant son vagin de sperme, la remplissant avec sa soif de bien faire…
Elle le garda longtemps, en refusant qu’il sorte…
Ils s’endormirent ensemble, complices dans la nuit…
Elle se souvint longtemps de ces quelques heures, de ce flirt délicieux et ce baiser de feu, suivi par ces silences, où seule sa respiration venait troubler la nuit…
Sentir couler la vie, fut comme un délice, elle se souvint alors de son ancien amant…
Celui-ci était bien plus tendre ou plus doué ; comme il était marié, il avait l’expérience, il honorait la femme, partageant ses extases, et jusqu’à la dernière goutte, l’avait accompagnée…
Parfois, elle trouvait un mot, glissé dans sa boîte aux lettres « Libre ce week-end, tu me manques, je pleure ton absence »
Elle inscrivait sur sa boîte : « s 19 / 20 »
Cela voulait juste dire samedi 19 dès 20 heures…
Il était toujours exact, 20 heures tapantes, et ils faisaient l’amour, sans attendre, dans la petite chambre, volets entrebâillés, ils se dévoraient l’un l’autre, de baisers en baisers, puis le sexe arrivait, quand elle était trempée, et il se délectait de ses humeurs de femme, léchant à qui-mieux-mieux sa vulve sevrée, parfois depuis un mois, même plus…
Elle aimait s’offrir et prendre, dans un soixante-neuf envoûtant, elle se mettait sur lui et délirait d’attendre, désirant plus que tout de jouir de son sexe…
Elle aimait changer de lieu, parfois à la cuisine, faire durer le plaisir, par des positions coquines, des fantasmes ludiques, des jeux très érotiques…
Puis elle se donnait, ou prenait l’avantage, elle jouissait de lui, jusqu’à ce qu’il l’arrête, à la limite, emporté par ses caresses, et sa soif de sexe…
Lisa devenait lionne, se déchaînant d’un coup, pouvant inventer, innover, créer des sensations nouvelles, des plaisirs oubliés, un concert de râles, déclenchant un flot de semence, qui la recouvrait, giclant sur ses cheveux, sur ses seins, dans son vagin, épuisant ses forces, ses idées, délivrant ses fantasmes…
Quelles heures délicieuses, quels actes délirants !
Ils s’offraient en cachette du sexe de haut vol, du sexe partagé, du sexe immoral…
Hans en avait conscience, il ne sortait pas grandi de chaque aventure, et elle ressentait le poids de la trahison, adultère gratuit, pour une délivrance…
Ils en discutèrent, sachant qu’à terme, Lisa s’en irait vers d’autres contrées, pour suivre son destin, prendre du galon, affirmer son métier, et continuer sa vie de femme en prenant son plaisir, là où elle le trouverait…
Hans la regardait vivre sa jouissance, se balançant sur lui, ondulant son bassin, les yeux fermés, profitant de sa verge, comme d’un godemichet…
Ils s’étaient affirmés, avaient gravi des marches, plus rien ne les arrêtait, mais restaient cloitrés, par peur du scandale.
Lisa devenait vulgaire dans ses propos intimes, elle se libérait des tensions scolaires…
Ils allèrent sur des sites pour adulte, chercher l’inspiration…
Elle trouva des clubs de rencontre, des échangistes, des lesbiens et des gais.
Ils regardèrent des vidéos de sexe, de sexe sans tabou, elle jouissait partout, le vidait sans partage…
Lisa y prit goût, elle revenait parfois, visionner ça et là, plongeant dans d’autres recoins de la nature humaine…
Elle correspondit avec hommes, puis essaya les femmes, plus matures, à part les nymphomanes, les ados et les vicieuses, et les dénaturées…
Pourquoi ne pas essayer, comment prendre des précautions, quel site préférer ????
Elle créa des profils, prenant des photos çà et là, se créant brune ou blonde, s’inventa des amants, des maris, des fantasmes…
Elle eut maintes réponses, de la drague à deux balles, puis des plus sérieux, cherchant plus qu’une simple rencontre…
Elle testa les clubs sélects, les rencontres en ligne pour célibataires, là aussi, elle ne fut pas déçue…
Puis quelques bonnes réponses attirèrent des retours…
Marc de Lyon, Pierre du Jura, Aline de Provence, Cyril de Paris…
Mariés ou en couple, ils cherchaient à se distraire, pas pour une rencontre, mais si…
Enfin, ils cherchaient tous, de la présence, du sens à leur vie, du partage, de l’envie…
Un intermède avec Hans, la fit délirer…
A force de regarder, elle avait accumulé son désir…
Ce fut une explosion, un carnage, culotte arrachée, robe déchirée, lui était griffé, ils firent l’amour sauvage, l’amour comme des bêtes, toute une nuit d’amour, de sexe avec ce qu’elle avait vu dans les vidéos de charme, des liens, des jouets, des substances enivrantes.
Elle eut des orgasmes tenaces, sans fin, jouissant d’un sexe décuplé par les produits dopants achetés sur internet…
Ils devaient aller plus loin dans cette découverte, amener du piment, dépasser leurs limites, leurs principes, leur morale… Elle se sentait revivre, comme dans un nouveau monde…
Même avec sa femme, il n’a jamais osé… Il lui écrivit une liste de fantasmes…
1. Goûter aux charmes féminins, être initiée, pour le plaisir et la découverte…
2. Inviter une amie, pour un trio torride,
3. Faire l’amour à plusieurs, une orgie entre amis, en toute sécurité…
4. L’amour avec un black ou deux, bien montés de surcroit,
5. Se livrer en public, en extérieur, à la plage, dans un parc,
6. Se faire prendre par des inconnus, H ou F, dans un club libertin, ou dans un sauna,
7. Regarder un couple faire l’amour, tester l’échangisme,
8. Prendre un voyageur en stop et lui faire une pipe, plus si affinité,
9. Obéir à un maître, faire ce qu’il lui dit…
10. Chercher une aventure, habillée en pute, pour tester sa séduction…
– Voilà pas mal de choses… Qu’est-ce que tu préfères ?
Elle examine la liste en détail, puis se tourne vers lui…
– Rencontrer une femme serait dans mon domaine, je ne l’ai jamais fait…
Pute par jeu, l’utile à l’agréable… Call-girl par accident ou pour le plaisir…
Plusieurs, partage, liberté, échangisme, inconnus, sauna ou club, oui, aussi…
Regarder, cela doit exciter plus que sur un écran…
Un homme de couleur, tester la grosseur, une expérience unique…
L’exhibition ce n’est pas mon taf, mais on ne sait jamais…
Obéir en soumise, si l’auteur est comme toi, tendre et honnête, faire un jeu entre nous, serait envisageable, si c’est bien équitable…
Son esprit vagabonde, elle lit entre les lignes… Il rompt le silence…
– Qu’est-ce que tu dirais de commencer par un truc très simple ?
– Oui ? Lequel ?
– Ma femme est coincée, on a déjà essayé avec un autre couple, en vacances…
– Elle n’arrive pas à se libérer ? Tester avec une autre femme lui plairait ? La mettre en confiance, nous sommes au même stade sur ce plan-là…
– Tu as de bonnes idées, tu connais bien les gens…
– Je devine parfois… Pourquoi pas, on n’aurait plus à se cacher…
Elle est nue devant lui, assise sur la table, regardant le feuillet, imaginant sa femme…
Elle se tourne vers lui et écarte ses cuisses… Elle devient provocante, en se massant les seins.
Il se met à bander quand elle se masturbe, elle se jette en arrière, son sexe grand ouvert, elle écarte sa vulve, complètement rasée, un pur chef-d’œuvre…
Infiniment déesse, pleinement érotique, comment résister à ce numéro de charme ?
Il se met debout et la prend d’un seul coup !…
Elle gémit de surprise, il la baise sans détours, la prend comme un soudard, pilonnant sa belle chatte, la table malmenée, grince dans tous les tons…
– Viens, oui, baise-moi, je veux bien la connaître, goûter à sa chatte, me faire lécher, et puis que tu nous prennes, ensemble, côte à côte, je veux l’entendre jouir, comme tu me fais ici… Je veux bien caresser, masturber, découvrir, partager nos désirs, et partager ton sexe…
Sa bite explose enfin, leur rendant le silence, son vagin laisse échapper un excès de semence, elle se love contre lui, il la prend dans ses bras, la serre avec tendresse…
Puis il la porte dans le lit, et lui ressert du sexe, après les apéros, sodomie au menu …
Elle se lâche encore, se prend avec sa verge, crie comme une truie, elle est au paradis…
Il lui délivre même, quelques gouttes de sperme, rugissant de plaisir, et il tombe sur elle, heureux et affamé…
Quelques semaines passent, la boîte aux lettres parle :
« Samedi prochain, elle est d’accord pour essayer. »
« s 08 /20»
Samedi 8 à 20 heures…
Elle est septique… Comment va-elle réagir, lui a-t-il avoué sa liaison adultère ?
Quand on tape à la porte, Hans est tout sourire…
– Lisa, voici Caroline, mon épouse, la maman de notre petite fille…
– Hans m’a beaucoup parlé de vous, parfois je vous croise, mais c’est lui qui la mène le matin et va la chercher le soir, je suis infirmière à l’hôpital… Au fait on dit simplement Caro…
– Alors tu oublies le vous…
Ils s’installent dans la pièce principale, la table est mise, les apéros sortis, elle sert à boire, elle a fait une quiche, recette de sa maman…
Cora est très jolie, à peu près de son âge, un tee-shirt coloré, une jupe en jeans, des chaussures plates, genre tennis, vertes…
Hans parle de leur fille, puis revient à eux, et aborde leur couple…
– Le temps passe, et notre première rencontre semble une éternité… L’habitude nous unit… On a essayé de pimenter nos soirées, déclencher autre chose… Films, vidéos, puis un couple d’amis… Mais Caro est réticente… Elle est sauvage et n’aime pas se livrer… Elle a peur des autres, des hommes, des excès, de l’inconnu. Elle semble figée, trop tendue, incapable de ressentir le moindre désir…
– Tu es, une maîtresse, tu sais être très douce, comprendre les gestes, les attitudes, les envies, des enfants, des autres aussi ?
– Oui, j’essaie, ce n’est pas facile… Mais toi dans ton métier, tu dois prendre sur toi, un peu mentir, dissimuler, créer de l’empathie…
– Je n’ai pas aimé me retrouver dans d’autres bras en ressentant leur sexe contre moi, caressée et embrassée par devoir parce qu’on l’a décidé… Comme monayée…
– Tu aimes le réel, le naturel, l’impromptu ?
– Oui, c’est ça, le naturel, pas le convenu… Je dois ressentir une certaine ambiance, je dois être en confiance, apprécier, découvrir, me laisser approcher, désirer… Comme dans toute rencontre le temps est important, il doit nous guider, faire que l’on accepte, dans notre tête dans notre corps… Ressentir du désir, avoir envie de sexe…
– Et cela n’est jamais arrivé ?
– Non, même avec l’alcool, j’ai ressenti de la concupiscence, du désir malsain, pas celui naturel de découvrir l’autre pour le ressentir, faire tomber ses défenses, amadouer ses craintes, et le conquérir enfin et savourer la victoire à travers un baiser…
– Caro est spéciale, tu vois, elle est sensible, elle ressent la pensée, devine sans chercher, elle est pure dans sa démarche, ne cherche qu’à apprendre à guider ses pensées, et à tuer ses doutes… Elle sait qu’elle nous freine, je suis attiré par la nouveauté, j’aime le sexe, les femmes, mais elle n’a jamais eu de relations lesbiennes…
– Tu sais, j’étais timide, je n’aimais pas la foule, ni les autres, leur regard. Je ne parlais pas, j’évitais de me retrouver avec des gens que je ne connaissais pas…
Puis, un soir, je me suis décidée à faire un premier pas vers un inconnu… Poussée par ce sentiment bizarre qui vous interpelle, qui vous travaille, et votre ventre se tord, du sexe à l’estomac… Je devenais femme, je le ressentais, et je savais pourquoi…
Il me plaisait, il semblait comme moi, autant timide, maladroit, on se regarda longtemps dans les yeux, sans bouger, la nuit tombait, assis sur un banc…
Je me suis penchée vers lui, quand j’ai senti mon ventre, mon sexe s’est ouvert, je pouvais l’imaginer se couvrant d’humidité, qui venait auréoler ma culotte…
Il fallait que cela cesse, j’ai rassemblé tout mon courage et lui donnais un baiser, rapide comme l’éclair, un baiser volé…
Il m’a regardée, étonné par mon audace, il a serré ma main dans la sienne, m’a attirée contre lui et ses lèvres se sont collées aux miennes, et l’on a découvert ensemble l’émoi d’un vrai baiser…
On avait 15 ans, je n’ai fait l’amour que vers 16, avec le même, l’été suivant…
– C’est joli, Lisa, tu as été sage… Tu ne l’es plus maintenant, ton corps réclame davantage qu’un simple baiser tendre ? J’ai failli me marier l’an passé, il était avec ma meilleure amie, dans mon lit…
– Oui, je comprends que tu aies certaines réticences à te livrer à nouveau avec un inconnu ou une…
Lisa prend la main tendue de Caro, se rapproche d’elle, elle ressent sa chaleur, sa féminité, sa peur…
– Tu ne l’as jamais fait avec une autre fille, même ado ?
– Non, pas avec une femme, je n’en n’ai pas cherché… Avec Hans, on a fait un bébé, il n’était pas le tout premier, j’aurais aimé attendre, tout connaître… Et maintenant j’y repense…
– Je vois… Tu as des regrets… Viens contre moi, regarde par la fenêtre… Hans, s’il te plait, va faire du café, il est dans le placard, je crois que l’on a besoin d’intimité…
Caro lui sourit…
– Je voulais dire tu n’as jamais trompé ton mari ?
– Je… N… on ; si mais…
– Chut, je suis une tombe… Dis-moi…
– Oh, à l’hosto, un médecin, un soir, l’an passé… je n’étais pas très bien, Hans, enfin, il me touchait plus depuis plus d’un mois… On a parlé, et puis j’ai senti quelque chose, il m’a prise dans ses bras et m’a serrée contre lui et lorsqu’il m’a embrassée, je lui ai rendu son baiser… Mon cœur a chaviré, j’ai eu envie de lui, et on l’a fait, dans la salle d’examens, sa grosse queue m’a prise et j’ai joui de lui…
Je me sentais une autre… J’étais comme vaccinée, heureuse, délivrée…
– Et tu l’as revu ?
– Oui, mais sans rien faire, on se croise parfois, c’est tout, j’ai plus besoin de lui, et Hans me refait l’amour comme avant ou presque…
– Tu crois ?
– Non, mais je… Enfin… J’aime tes yeux verts…
Lisa se penche vers elle, leurs lèvres se rencontrent, s’ouvrent, leurs langues se trouvent, Lisa lui donne un vrai baiser…
Caro, le lui rend, Lisa touche sa poitrine, Caro a un sursaut, puis se laisse aller contre elle… Alors Lisa enlève son tee-shirt, et Caro l’imite…
Elles se caressent les seins, excitent leurs tétons…. Puis se redonnent un baiser en tombant dans les bras l’une de l’autre…
Les pantalons s’envolent, les jupes, les culottes…
– Lisa, tu es une fée, tu me donnes envie de toi, continue ça me plait…
Caro est épilée, son pubis est parfait, elle est très désirable, et les deux femmes s’embrassent de nouveau, cherchent à se caresser… Lisa ouvre ses cuisses, Caro vient la goûter…
Elles vont dans la chambre et deviennent amantes, sans l’ombre d’un souci, découvrant la femme, l’autre, son sexe, et se donnent du plaisir comme si de rien n’était, jouissant sans complexe, en feulant leur tendresse, inventant des caresses…
– Oh oui, viens… Enfonce encore tes doigts jusqu’au fond de ma chatte, tourne mon clitoris, fais comme lui, prends-le entre tes doigts, là, oui, je vais jouir, encore, oui, je viens, c’est atroce, avec une autre femme, je ne maîtrise plus rien…
– Que c’est bon quand tu me lèches, que tu m’aspires, tout mon corps semble t’appartenir, t’obéir, je m’ouvre et je jouis, comme avec ton mari…
– Quoi ?
– Oui, dans mon rêve, je lui en ai parlé, il a du te le dire… Un rêve, malicieux… Il me faisait l’amour, tu me regardais jouir… Et tu te masturbais, en attendant de venir…
Elles explosent chacune d’un orgasme si bruyant et si fort, que Hans entre tout nu, se mêler à la bataille…
Caro devient chienne, se battant pour l’avoir, s’ouvrant complètement en salivant le dard, Lisa l’aide à savourer cette hampe dressée, elles s’écartèlent ensemble pour mieux le chevaucher… Lisa abandonne, la laisse se faire jouir, puis Caro laisse sa place et Lisa se pénètre, ondule son bassin, vibre de tout son corps, Caro embrasse Hans, s’écartèle devant sa bouche, il peut la sucer, la doigter, la faire s’envoler…
Les deux femmes jouissent ensemble, échangent leurs positions, Caro se frotte contre elle ses seins contre les siens, elles s’embrassent encore en sentant un orgasme, et clament haut et fort qu’elles jouissent entre femmes, qu’elles sont amantes et devenues lesbiennes, et veulent partager Hans toute la nuit qui vient…
Lisa jouit de lui, le reçoit dans son vagin, et inonde le lit…
Caro vient la lécher, Lisa lui rend la pareille, dans un soixante-neuf qui s’anime et explose, leurs sexes emboités, se frottent l’un contre l’autre, elles jouissent ensemble dans un concert de râles, Hans, les regarde en masturbant son dard…
Caro ne dira rien, partira un peu ivre, rejoindre la nounou…
Hans téléphona, le lendemain…
– Elle ne me parle que de toi, que tu es magicienne, qu’elle a aimé cette fois, comme jamais elle n’avait espéré… Elle a joui dans des positions lesbiennes, elle t’a senti complice, pas juste des sensations, ta tendresse et ta douceur… Son corps a apprécié aussi, autant que son esprit, elle veut le refaire, elle va t’appeler, je suis sur un nuage et j’ai envie de toi…
– Moi aussi… J’ai découvert aussi la femme, et cela m’a donné de la chaleur. Le faire avec une femme, en présence de son mari, c’est très excitant, je me suis éclatée, j’en tremble en y repensant, je veux y regoûter, j’aime quand elle me lèche, ça bouscule tous mes acquis, et si toi tu m’encules, je monte au paradis……
B. Lisa s’offre des vacances
Les congés d’hiver arrivent, avec les sempiternels coups de blues à l’approche des fêtes.
Lisa a toujours ses parents, mais elle préférait son amie. Maintenant qu’elle est seule, il va falloir se changer les idées.
Hans et sa femme ont pas mal occupé son esprit, se voyant au moins une fois par mois, c’est-à-dire 2 fois depuis la première…
2 épisodes à trois avec une entrée en matière lesbienne, Caro ayant pris l’habitude d’arriver plus tôt…
Elle a démontré des aptitudes nouvelles, elle se déride de plus en plus, sans se poser de question…
Elle aime dominer, choisir les positions, elle va sur internet pour prendre des leçons…
J’aime son érotisme, sa sensualité qui se dévoile au fur et à mesure de nos rencontres en duo.
Hans semble apprécier, dans leur couple, ce sursaut d’intensité, de féminité, voire de sexualité.
Elle participe enfin, et le provoque certains soirs, il ne dira pas non pour faire l’amour à sa femme, surtout dans certaines positions, qu’il croyait inaccessibles avec elle…
Reste la sodomie, là elle est assez tiède, une ou deux fois par jeu, depuis leur mariage, il verra avec Lisa si elle peut s’ouvrir davantage…
En tous cas, lui se régale, parfois il passe chez Lisa, pour faire crac-crac en vitesse, avant de rentrer chez lui, bien sage, bien vidé…
Ce soir, elle a fini. Les vacances sont là. Hans n’a rien dit, juste au revoir, et bonnes fêtes…
Il ne lui pas demandé où elle allait…
Elle se sent un peut triste, fatiguée par ce premier trimestre…
Elle a été notée, par une directrice de zone, sorte d’envoyée de l’Education Nationale.
Très bien passé, la femme était sympa, une journée avec elle, elle faisait la tournée du département…
Le téléphone sonne, elle voit marqué Hans et Caro…
– Oui, salut, vous allez bien ?
– Oui, je t’appelle car Hans ne t’a rien demandé sans doute… Tu fais quoi pour Noël ? Et pour le réveillon du 31 ?
– Pour Noël, je descends voir mes parents, un jour ou deux. Je pensais aussi passer quelques jours au soleil, vers Collioure… Et pour le 31, je serai ici…
– On veut faire la fête. J’ai besoin de vivre ce que j’ai découvert, de vivre mes fantasmes, de voyager au moins dans ma tête. Depuis que je te connais, j’ai envie de changer, oui, je deviens coquine… Alors si tu es d’accord, on va le faire chez nous. Mes parents garderont notre fille. J’aimerais inviter quelques amis, que je vais sélectionner, rien que du beau monde. Je veux une fête entre adultes, un mélange de genres, certains sont effarés, car ils me connaissent sous mon angle d’avant, moi je les connais, car ils m’avaient courtisée…
– Tu te sens de te jeter à l’eau, d’animer une soirée libertine ?
– Oui, mais à ton côté, je serai plus rassurée… Hans n’est pas contre, mais il ne désire que quelques couples, enfin, une parité, 20 personnes maxi…
– Oui, on est 3…
– Dans son boulot et le mien, 3 hommes et 3 femmes chacun… ce qui mène à 15, il manque 1 homme et 1 couple. Tu connais quelqu’un ?
– Ah, j’ai eu une amie, elle te plairait d’ailleurs, Marlène, nous nous sommes éloignées… Mais pas perdues de vue… Oh, et puis 2 gars fabuleux… Ce serait le pied d’avoir le groupe, ils étaient musiciens…
– Voilà, tiens-moi au jus, on a quelques jours…
Lisa se précipite sur son portable… (Lire : « Après l’amour, le sexe… »
– Allo ? Marlène ?
– Oh, ma chérie, je pensais à toi, qu’est-ce que tu deviens et ton installation dans ce petit village, tu t’es fait des amis ? Dis-moi, tu me manques…
– Oh, oui et justement je voulais t’inviter le 31 au soir, j’ai envie de te voir… Pour ce qui est de mon travail aucun souci, je m’y suis accommodée, plusieurs classes, et en dehors, je survis, j’ai un couple d’amis, on a fait des folies ensemble… Il faut passer le temps… Les hivers sont longs…
– Miam, tu ne changes pas, moi j’ai un copain, un des musiciens, j’y suis retournée seule, j’étais accro de leur musique et de… Enfin… On n’est pas ensemble, mais on se voit souvent… Et il y a Jim et Paul, toujours aussi fous, je ne me gêne pas lorsque je suis seule, je leur remplis l’estomac et eux mes petits trous…
– Quelle libertine ! Justement la soirée en question tourne autour de la chose… Un peu comme chez eux, mais sans Andy ou James, deux perles pour le sexe…
– Je n’en ai revu qu’un, Andy, un soir de tristesse… Si tu veux noyer un chagrin, je te le conseille seul à seule… Gentil, tendre, doux, intelligent et délicieux… Un gentleman baiseur !
Bon, on prend note. Elle vient c’est certain, pour les autres, elle va voir qui est libre…
Entre le 24 et le 28, c’est Papa Maman, mode famille, jeux de cartes, bouffes royales, cousins et cousines…. Lisa est fille unique, donc pas de neveux ou nièces à supporter.
Après 3 jours, elle n’en peut plus et passe 2 jours sur la côte, un calme, le soleil, pas trop de froid, elle marche, fait du vélo, remarche, fait les boutiques… Puis elle met le cap sur son village, passant par les petites routes, l’Ardèche en particulier, elle arrive en soirée, un peu crevée…
Elle téléphone à Caro, elle a eu la réponse de Marlène, il y aura bien 3 personnes : Marlène, Jim et Andy… Elle cache la particularité du dernier, laissant la surprise pour ces dames…
C’est déjà demain soir…
Pas besoin de faire des efforts de tenue… C’est un avantage…
Elle prépare quelques biscuits salés et autres cakes aux olives de la région de ses parents.
Le lendemain, elle prend un bon bain, mousseux à souhait, et c’est là que Hans débarque… Elle se lève, passe un peignoir, ouvre à l’intrus…
Elle n’a le temps de rien dire, c’est une tempête, une tornade, emportée dans la chambre, soulevée, découverte, léchée jusqu’au supplice, ses seins massés, excités avec une langue traitresse, elle jouit beaucoup, se donne à lui avec passion…
Elle a eu ses règles entre temps, maintenant elle est fertile, elle coule très vite pendant ces jours favorables à la procréation, mais aussi pour sa satisfaction et sa libido, se donnant avec volupté, à son amant volage…
– Tu es excité à l’idée d’en avoir de nouvelles ?
– J’ai déjà ma ration, le reste, bof, je ne dis pas non, ce n’est que du sexe…
– T’en auras des occasions, Marlène, mon amie, on a passé des moments intenses, tu vas la déguster… Les autres je ne sais pas, il y a de ton côté, des collègues ?
– Oui, 3 mecs sympas dont je suis certain de leur moralité, 3 femmes dont une et son copain, que l’on avait essayés avec Caro, les deux autres filles, ben, c’est moi seul, avant toi… Des coquines prêtes à tout, que Caro n’a jamais vu.
– Et de son côté ?
– Une collègue assez proche, Véronique Sylvestre, pas mal, avec son mec du moment qui travaille avec elles. Les deux autres couples, je ne les connais pas… Couple en couple ou 1 1 pour la soirée, à voir… Avec les tiennes cela fait 9 filles pour 9 garçons…
Il s’en va en vitesse, il a des courses à faire…
Lisa est pleine de sperme et son bain est glacé… Elle change l’eau et se replonge, dans le bain et dans ses pensées…
Belle entrée en matière, elle s’est surpassée, deux semaines sans homme, elle avait pris le pli…
Elle repense à Jim, Andy, aux autres, leurs envolées, cette ambiance, où les corps se cherchent, se fondent sans retenue, en toute sécurité, se partagent, multipliant les orgasmes, s’offrant en totale liberté…
Elle se caresse, ivre de désir à ces pensées torrides, malgré la surprise du chef !
Elle calme sa libido, son clitoris grossit, la mousse entre et sort de son vagin ouvert, c’est un pur plaisir, un acte féminin…
Elle se met à jouir…
Et le silence revient…
Elle se fait un masque, d’une enseigne très connue, elle est prête à temps, puis elle descend la rue… Le froid sec est supportable, quelques centaines de mètres et la voilà rendue…
Le baiser claque, ses joues sont glacées, Caro est fantastique, une robe de cocktail, très décolletée, courte à souhait dans un rouge orangé…
Elle présente ses invités, Karine, Serge, Victoire, Nadège et leurs compagnons Yann et Romain.
Ceux de Hans, Géraldine, Beth, Nadia, escortées par Alain, Jules, et Thomas.
Marlène apparaît, suivie de Jim et d’Andy. C’est au tour de Lisa de présenter ses amis…
Les femmes sont baba, Andy devient le centre d’intérêt, ses pectoraux luisants sous une chemisette blanche, attirent les regards, mais les connaisseuses regardent bien plus bas, un pantalon serré qui galbe son anatomie, en révèle ses secrets mais sans les dévoiler…
Elles découvrent ses dents blanches et ce sourire qui en a fait craquer plus d’une.
Jim s’attire pas mal de sympathie, ses cheveux en bataille, ce roux pas naturel, et sa réputation qui fait le tour de la pièce, par Marlène interposée…
« Oui, elle a été sa maîtresse, moi aussi, il est craquant, et Andy aussi, mais c’est au sens propre, il vaut mieux être préparée, avant de s’en servir… »
« Ah ! Tu aimes ça ? Tu vas te régaler, n’importe comment on va toutes y passer d’ici demain matin… »
« Bien sûr, oui, il fait aussi l’arrière, c’est un homme à tout faire, le jardin et la cour, tout sans aucun problème… Il broute le gazon, ravage la pelouse, et avec son ami, ils passent de l’une à l’autre, proposant quelquefois de merveilleux sandwiches, pour celles qui osent… »
Caro passe de table en table, de canapé en canapé, les gens font connaissance, l’ambiance est sympa avec une musique douce. Andy est déjà bien entouré, les autres sont très mignons, Lisa papillonne, Marlène a fait son choix… Hans la botte, il l’a repérée aussi…
Lisa parle avec Marlène, raconte son installation, ses mois de sevrage, puis sa rencontre avec Hans, donc attention, sa femme ne sait pas pour avant… Non, cela ne lui fait rien qu’elle le lui emprunte, on est là pour se connaître et le sexe n’a pas de logique…
Lisa rencontre Yann et Romain, Nadège et Victoire, des amis de Caro…
Victoire est instit aussi, dans un département voisin, Nadège est coiffeuse, Yann commercial et Romain travaille à la ferme de ses parents…
– Oui, ils sont sympas, trois ans qu’on les connait, Caro est spéciale, non, elle n’a jamais voulu passer le cap de quelques regards, des caresses en dansant, bloquée comme une serrure… Hans, oui, Nadège un soir d’été, Victoire avant son ami, à la fête des moissons… De biens beaux souvenirs… Et toi tu es nouvelle ici, petite école, tu t’y plais ?
Et la conversation perdure, les plats chauds sont servis, ils s’installent à table, c’est délicieux, puis la musique retentit, il est temps de commencer la nuit…
Lisa a vu Marlène, allongée sur un canapé, contre Hans, avec quelques caresses…
La lumière baisse, les corps se dénudent, des soupirs et des râles, Caro est demandée, ses amis autour d’elle, elle se laisse séduire, embrasser et baiser…
Victoire est une belle femme, maintenant qu’elle est nue, Lisa s’aventure, l’entraîne dans le couloir, au bout c’est la chambre, elles craquent ensemble, Andy les a suivies…
Un trio passionné, deux chattes excitées, Andy sait les conduire, son sexe est partagé, léchée avec amour, avalé, trituré, masturbé, et Victoire s’installe, exprime ses premiers râles, puis devient amazone, tenant le premier rôle, Lisa suit la cadence, sa chatte est triturée, Andy et ses doigts d’or, c’est un festival…
Victoire et ses seins en poire, Lisa s’en délecte, elles échangent des caresses, puis intervertissent leurs positions, et Lisa goûte au paradis, accepte la levrette, s’envole vers des sommets, puis Andy revient vers Victoire qu’il prend, assise sur lui, puis il la sodomise en plein milieu du lit, et c’est un nirvana, les deux femmes en furie le veulent en même temps, il les prend l’une et l’autre, par derrière, par devant, Victoire embrasse Lisa, Lisa se fait démonter, grosse queue infernale, elle jouit de plus belle en minaudant la chatte devant elle, portant cette Victoire à un nouvel orgasme, tandis qu’elle ressent la bite se délivrer un peu…
Et c’est avec Victoire qu’il va les terminer, la belle, écartelée, délire ses orgasmes, il la pilonne encore quand gicle sa semence, Lisa la masturbe, c’est de la folie et elles tombent dans le lit, indécentes et ravies…
Andy veut rester là, il est très demandé, elles ouvrent la porte, impudiques et naturelles croisant d’autres impatientes…
Elles voient d’autres couples, absorbés dans les chambres, se donnant des baisers, ou même dans les WC, la robe relevée, pour une brève rencontre ou un truc très pressé…
Victoire l’entraîne en bas, et découvre Jules et Thomas en standby, le regard dans le vague, une bouteille à la main, dans un canapé vide…
– Oh preux manants, vous donneriez à boire à deux âmes égarées, deux belles en mal d’amour, qui n’hésiteront pas à vous en remercier ?
– Oh, véritables déesses, venez vous désaltérer, emplissez vos gosiers de ce liquide ambré, ce whisky d’un autre âge, va vous faire rougir, autant que nos sexes qui vont vous honorer…
Après avoir bu une longue gorgée, Victoire se plie en deux en s’asseyant et embouche sa bite, Lisa fait la même chose, suivant la cadence de Victoire, elle le pompe sans arrêt, puis se calme et s’offre, écartelée, vulve rosée, prête à se faire pénétrer…
Lisa regarde le sexe plonger dans la chatte de son amie, Victoire, excitée, se soulève vers lui, le serre entre ses cuisses, en se soudant à lui…
Emportée, Lisa subit cette nouvelle tornade, elle est écartelée, pénétrée avec délice et elle se laisse emporter vers de nouveaux sommets…
Jouissance coquine, charme du libertin, elle échange avec son amie, partenaire contre whisky, et reprend la bataille, elles se font prendre ensemble, baisées comme des chiennes, criant leur délire, et en voulant encore…
Les hommes surexcités, viennent les achever, prenant chacune à deux, dans un déluge de râles, de corps enchevêtrés, de demandes immorales…
Victoire n’a plus de fard, ses yeux pleurent de vraies larmes, son rimmel a coulé, elle ressemble à un clown, elle rit dans la glace, ça fait pas mal de temps qu’elle voulait le faire, ressentir ces deux queues, pour orgasmer ensemble…
Serrées l’une contre l’autre, s’embrassant sans relâche, elles se donnent du répit, puis cherchent d’autres proies pour satisfaire leur insatiabilité…
Elles reviennent vers la salle de bain… Elles y trouvent Marlène, dans un état second, heureuse mais exténuée par ses ébats lesbiens…
Caro et ses fantasmes, au milieu de la table, fait l’amour sans détour à son amie Nadège.
Les deux femmes se livrent un corps à corps théâtral, elles se parlent et se broutent, tête bêche, Nadège lui reproche son ancienne attitude, Caro se défend, avouant ses blocages, elle avait peur de tout, ne connaissait pas les femmes, avait horreur des hommes qui la caressaient dans l’ombre, voulant juste baiser, la réduire à une capote…
Il a fallu Lisa, pour découvrir ensemble l’amour au féminin. Elle a aimé son corps, ses émois, la découverte, goûtant à ses trésors et lui offrant les siens… Puis les trios avec Hans, jusqu’à vouloir enfin ratt****r son retard, s’ouvrir au sexe, et oublier ses craintes…
Nadège s’écartèle, Caro enfonce 3 de ses doigts et la possède en tendresse, trouvant son point G pour la faire délirer…
Elles échangent à merveille, Caro pousse des cris d’orfraie, parcourue d’un orgasme, Nadège sait y faire, l’embrasse avec passion, puis sexe contre sexe, dans un délire des sens, elles jouissent ensemble…
Autour, les hommes bandent, se masturbent en les regardant, attendant dans l’ombre…
Yann, Romain et Jules, un nouvel arrivant, attiré par les râles…
Romain, le plus proche, glisse sa tête entre les cuisses de Caro qui s’ouvre à la caresse, savoure jusqu’à partir en de longues mélopées…
Puis elle se redresse et l’attire en elle, sa chatte écartelée…
Pilonnée par ce sexe, qu’elle ne connaissait pas, elle en jouit réellement, masquant quelques orgasmes, par peur d’exagérer…
Yann, prend Nadège contre lui et caresse ses seins, elle sent le sexe battre contre ses fesses, elle se penche en avant, lui offrant sa minette, un réel puits d’amour, qu’il investit enfin !…
L’une et l’autre délirent, trempées comme des souches de leurs ébats lesbiens, les sexes des deux mâles entrent et sortent en cadence, pour le plaisir des participants et des spectatrices en attente…
– Oh, oui, j’ai envie de baiser, venez me partager, je suis publique ce soir, prenez-moi à loisir… Je veux tout apprendre, venez me faire jouir, inondez-moi de sperme… Je découvre le sexe, il était temps pour moi, je me rends seulement compte, combien j’aime cela…
– Moi aussi, faites mon mari cocu, enfilez votre bite, mettez-la moi profond, je n’ai pas de limite, juste jouir pour de bon…
Mon cul vous est ouvert, à deux ou à plusieurs, je veux sentir vos sexes déclencher mon bonheur…
Nos amies sont là pour vous ! Elles aiment aussi les femmes, partagez cette soirée, faites-les jouir, elles sont si belles, on n’a qu’à les cueillir, toutes sont venues s’offrir…
Lisa découvre les autres femmes… Dans le grand salon, jonché de matelas, la chasse est ouverte, les cuisses s’ouvrent, les bouches aussi, les langues se délient, il n’y a plus de sexe, un mélange envoûtant, chattes et verges, se trouvent sans détour, échangent des caresses, certaines ouvrent leurs fesses, et c’est un lupanar, une orgie manifeste qui fait l’unanimité, dans les rangs des fêtards…
Après Victoire et Nadège, Karine vient tout contre elle, avec Géraldine…
Marlène découvre Beth et Nadia, toutes deux aussi belles…
Puis les hommes s’en mêlent, leur offrant des solutions multiples, des occasions sublimes, de délirer ensemble, repoussant leurs limites de femmes respectables…
Nadia et Beth, ont passé la quarantaine depuis quelques années, leurs corps font rêver, Hans les apprécie, partage leur folie après Marlène, et les porte à des extrêmes, puis leur présente Andy, puis Jim et Nathan et là c’est un délire, deux hommes pour chacune, elles découvrent la pluralité, des sensations nouvelles qui les font délirer, crier, vibrer, jusqu’à perdre la tête, en recevant leurs spermes…
Il est près de trois heures…
Il neige…
Lisa dans les bras de Marlène, épuisées, reprennent quelques forces, en regardant la nuit, et tomber les flocons…
Lisa a fait le tour, prise par tous les hommes, elle ne compte plus orgasmes et partenaires, mais ça valait le coup… Quelle soirée !…
Il ne faut pas que cela transpire, sinon elle serait en danger par sa moralité, vu son implication avec les enfants du village…
Les gens aiment parler, se vanter, éblouir par mensonge et imbécilité…
Elle n’aurait pas dû le faire dans ce village, à la barbe des voisins, heureusement que la plupart venaient de la ville ou d’une autre région…
Elle a goûté aux femmes, délices de tendresse, quand on aime le sexe, chaque corps est superbe et renferme des trésors…
Elle est allée avec Marlène, rejoindre Nadia et Beth, délaissées et assoiffées, ivres de caresses, cherchant quelques minutes de réconfort, après avoir subi les assauts éprouvants des 4 partenaires…
Nadia a des yeux noirs, brillants, pleins de chaleur, de piment, un léger ventre dû à deux grossesses, des hanches larges, des seins gonflés, les tétons encore dressés, sa chatte grande ouverte garde les traces fraîches d’assauts multiples et répétés…
L’anus est dilaté, elle se montre sans honte, Lisa embrasse ses lèvres, elles sont enlacées…
Nadia n’a plus de force, se laisse dorloter, Lisa la caresse, tendre moment féminin, où cette belle femme s’abandonne à elle, écartant ses cuisses, profite de sa chaleur, sur son ventre meurtri, son sexe détruit, couvert encore de sperme, et de sucs mélangés…
Lisa lèche ça et là, ôtant toutes les traces, refermant peu à peu, ce sexe malmené, que son doigt honore, et vient ensorceler…
Elle a envie d’elle, envie de l’embrasser, lui dire qu’elle est belle, dans ses bras abandonnée…
Elle s’endort un moment sentant Nadia s’éloigner dans un rêve, elle n’a pas dit un mot, juste son regard, son sourire, et sa respiration qui masquait ses soupirs…
– Tu es douce Lisa, tu es adorable… J’aimerais te revoir, te connaitre, devenir ton amie… Je ne me suis pas montrée à ma juste valeur dans cette soirée coquine, première aventure après une déchirure, un abandon de poste d’un mari infidèle…
– Si je suis venue vers toi, c’est que je t’ai trouvée très belle, un corps sensuel, un charme certain, je t’ai vue te donner, affronter leurs ardeurs, jouir de leurs sexes, jusqu’à leur limite… Tu as assuré, tu es une femme, une amante, un modèle, tu aimes la sexualité, les femmes, les hommes, tu aimes la vie…
– Viens, contre moi, viens me faire l’amour, il me reste quelques soupirs et quelques râles en réserve, entre femmes nous n’avons pas besoin de trop nous exprimer, juste ressentir tendresse et amitié. Puis donner en retour, et vibrer notre amour… Je ne suis pas lesbienne, j’aime juste quelques moments intimes, cela m’a aidé à sortir de la vague… Et cet épisode, me donne beaucoup d’espoir, j’ai aimé ces amants, me donner et recevoir d’eux, ce que j’avais peur d’avoir à rejeter…
– Non, ma belle, tu ne peux pas dire cela, viens contre moi et partageons ces instants de bonheur…
Lise et Nadia deviennent amantes, dans cette petite chambre où Marlène fait l’amour sur l’autre matelas, avec Beth…
Leurs râles se mêlent, Nadia est un trésor, sa chatte se met à couler, sous la langue agile de Lisa, en transe, presque timide en voyant les trésors de sa nouvelle amie…
Epilée avec art, son pubis décoré, elle voulait séduite en cette soirée… Leurs baisers s’enchaînent, deviennent passionnés, elles se lèchent entre elles, puis orgasment de concert, pour un festin de choix, Lisa est épuisée…
Les invités dorment dans tous les coins, quelques-uns viendront quémander des couvertures en plus, la neige tombe sans arrêt, Caro les a tous invité, à rester dans la villa, et ne pas prendre la route…
Au matin, le café délie les langues, la salle de bain est prise d’assaut, les rires sont légion…
Les hommes exagèrent, Hans fait trembler la petite table, Marlène s’en prend une ration, comme pour se mettre en forme…
La route est dégagée vers 10h00, les invités s’en vont, je regarde Marlène et Nadia, partir dans leurs voitures, Andy le sourire aux lèvres, m’embrasse avec passion disant qu’il a aimé ce groupe d’amis, mes amies, et il me laisse son numéro perso, en montant dans l’auto…
Je reste avec Hans, Caro et quelques amis Victoire, Nadège, Jules, Alain, et Thomas venus dans une seule voiture, ils s’en iront ce soir…
Un repas de montagne nous ramène à la vie, saucisson, jambon, salade et vin de Pays, du fromage de Savoie, une tarte au sucre, et nous décidons de faire ne promenade, pas trop loin, sous un soleil tentant…
Equipés, nous prenons les sentiers, et grimpons en silence, le nez dans nos pensées…
Au retour, l’air nous a achevés… Ce bon air des montagnes et partageons un thé des gâteaux et du vin chaud pour les hommes…
Assis tous en cercle, au salon, on joue à qui perd gagne… Les gages sont mérités, pour l’instant assez sage, et puis cela vient sur le sexe, les femmes perdent leurs effets, les mains se baladent et le soir qui tombe favorise, les contacts…
Nous voici, enlacées, entreprises, caressées, investies, il y a parité, je suis en plus et peux m’accoler à d’autres couples, ce qui est dit est fait…
Nadège avec Thomas, me donnent un récital, rien qu’à les entendre, je perds mon sang-froid et je m’offre en bonus partageant leurs fantasmes, un vrai moment de rêve, Nadège est une poupée, souple comme une liane qui fait ce qu’on lui dit…
Caro est avec Jules, Alain avec Victoire, Hans m’arrache au couple, sa femme nous regarde…
Excitée par tous ces contacts, cette atmosphère bon enfant, je monte sur sa queue, l’enfile dans ma chatte, je jouis aussitôt, partant en de longues tirades, me tortillant sur lui pour le sentir me prendre…
J’adore ce contexte, sa verge entre et sort, au rythme que j’impose, je le serre avec force, il grossit et me freine…
– Doucement, j’aime sentir ton fourreau, te ressentir jouir de ma verge, te ressentir couler, fondre de tendresse, d’amour et de passion, j’aime te baiser, te guider par les hanches, et puis te provoquer, prendre le contrôle et t’emmener là-haut, déclencher ton orgasme, et provoquer le mien, et partager cet acte…
– Caro n’est pas jalouse, elle me regarde, fait pareil avec Jules, se balançant sur lui, en coulissant sa queue… Elle ferme les yeux, savourant son plaisir, elle lui fait l’amour, le prend, et l’entraîne… Elle va gémir, comme elle aime le faire, et se mettre en levrette pour mieux le ressentir provoquer son orgasme, en feulant chaque étape…
Il lui prend les seins dans les derniers assauts, il la baise avec fougue, la portant à s’ouvrir, réclamer ce final, cette apothéose, où elle le sent en elle, exploser sa semence, et finir en beauté…
Oui, viens, fais comme lui, explose ma chatte, donne-moi ta semence, jusqu’à la moindre goutte, je veux m’en souvenir du fond de mon lit quand tu feras l’amour avec ta Caroline et que tu la porteras de nouveau au paradis, sans besoin de nous deux, juste pour vous retrouver comme avant, et lui faire l’amour…
Le soleil est parti, les invités aussi, je mange une soupe, avec eux, devant la télé…
Hans va aller chercher leur fils, elle va ranger un peu, et attendra son retour…
– Merci, ma douce… Merci de ces heures de plaisir, merci de m’avoir montré la voie, cette voie du plaisir… Hans est parfait, je vous ai regardé, tu lui faisait l’amour, sans autre intérêt que prendre du plaisir… J’en ai fait autant avec un amant de passage, qui m’a délivrée tout autant, et j’ai compris qu’Hans est un mari merveilleux, toi une amie, quand je vous vois baiser, j’en ai des frissons, tant vous semblez heureux comme deux vrais amants…
– Amants, amour, amitié, où se trouvent les frontières, le plan c’est de vivre son plaisir, de reculer ses peurs, de s’envoyer en l’air avec celui qu’on aime, et parfois prendre un détour, nourrir ses fantasmes, mais avec sagesse, je serai toujours là pour nourrir vos passions…
Je rentre chez moi, sevrée de sexe, de caresses, de baisers, de copulations…
Demain c’est la rentrée, après ces vacances, jusqu’en février, je dois faire abstinence…
C. Retour à la vie
7 semaines, un chemin de Croix, Hans, a tenu sa parole, Caro me téléphone, au moins chaque semaine…
Que c’est bon, demain direction la côte… Un week-end solitaire, peut-être une rencontre, un voyageur des mers, un prince cherchant sa belle au bois dormant ?
Je m’endors pleine de rêves, jusqu’à l’heure du café…
Je programme le GPS, l’hôtel est sur la plage, malgré le temps un peu frais, je me sens des ailes pour voler avec les mouettes…
4 heures seulement, il n’y avait personne, et le temps a filé, juste un arrêt pipi et une bouteille d’eau minérale avec des biscuits…
J’ai quitté la grisaille, le soleil m’attendait, je ne suis plus très loin, je redémarre en trombe…
L’aspect est avenant, ils ont ma réservation, le sourire est gratuit, il monte ma valise…
– Voilà votre chambre, elle est très lumineuse, je vous souhaite un bon week-end…
– Merci et pour midi ?
– Je vous conseille le port, juste à côté, tous les établissements se valent, le poisson y est frais, péché chaque matin, daurade, parilladas de poissons, et autres coquillages, à votre goût, celui à votre gauche offre un beau coup d’œil, le port d’un côté, de l’autre la plage… Bon appétit.
Le soir, nous proposons un apéritif dinatoire, regardez le menu, parfois on danse après le coup de feu, vendredi et samedi soir, hors saison… C’est festif, et privé, juste des habitués, des salariés, soirées entre amis, sans prise de tête….
Je remercie, la chambre est parfaite pour deux nuits, je verrai si je reste…
Je me change, puis prends quelques affaires dans mon sac, serviette, anti soleil, une petite bouteille d’eau, des trucs de femmes, maquillage, tampons, lingettes… J’attends mes règles…
Le port est sympa, le soleil de la partie, je marche jusqu’au phare. Sur le quai principal, des sorties en mer, 14 heures les premières, visite de la cité, contour des îles, on peut disposer de quelques minutes pour le bain, près de la plage.
Je reviens vers un établissement, il propose pour midi, du poisson selon arrivage, salade, café gourmand… 16 euros… Vin compris en carafe… Et café !
Me voici attablée, regardant les quelques promeneurs en quête d’une table et qui passent de menu en menu, reviennent, hésitent, puis entrent…
On place le couple dans la terrasse, près de moi, vue sur mer… Ils sont ravis, parlent allemand, mais français aussi avec le serveur qui prend la commande d’un apéritif à base de vin local…
Je suis servie, le poisson est découpé par le serveur qui ne manque pas de détailler aussi mes seins, mes voisins le regardent faire, rient sous cape, en me faisant un clin d’œil cocasse…
– Il aime aussi la beauté, pas que les assiettes…
– Oui, ces gens du sud, enfin, c’est que je plais…
– Oh, je confirme, belle mentalité, vous êtes en vacances ?
– Oui, quelques jours, je viens des Alpes…
– Nous sommes de Suisse, nous connaissons les montagnes, la mer c’est beau aussi, et dès que le soleil se réchauffe, on se croit en été… D’ailleurs on aimerait tester ces sorties en mer, vous connaissez ?
– Non, jamais fait, mais j’y pensais pour tuer le temps… Et prendre le soleil.
– On peut le faire ensemble, on se sentira moins seul et on vous tiendra compagnie.
– C’est gentil, oui, pourquoi pas, mon hôtel est à deux pas…
– Oh, nous aussi, le premier vers la plage…
– C’est ça, après on pourra faire un tour dans les rues, faire les magasins…
– Oh, j’adorerais, Pierre n’aime pas trop ça, et j’ai peur toute seule…
– Alors c’est dit, sortie en mer et si on en réchappe, vitrines et shopping…
Elle est blonde, cheveux courts, dans la trentaine, habillée simplement, jeans et tee-shirt, tennis. Lui a passé les quarante, mais très beau, bronzé, l’œil bleuté, polo de sport, chemisette, pull sur les épaules…
Ils sont face à la mer, côte à côte, parfois il se penche pour l’embrasser, elle se laisse caresser sous la table, ils sont coquins ?
Ce n’est pas pour me déplaire de les observer en mangeant, et j’arrive au dessert avant eux, mon café m’est apporté, avec l’addition et le terminal cartes bancaires…
Sourires, je me laisse aller un instant, je suis en plein soleil, je vois que ma jupe a pris ses quartiers d’été, et laisse un pan de cuisses largement dévêtu…
C’est lui qui est le mieux placé, je ne change rien et me mets à rêver, d’après-midis coquins…
Le garçon débarrasse ma table, je demande un second café… Il a regardé mes jambes, en restant de marbre, sans rien ajouter qu’un merci pour le pourboire…
Le couple bavarde doucement, à voix basse… Des secrets, des mots tendres ? Elle se penche en avant pour fouiller dans son sac à terre, ses seins sont libres, et dansent dans son décolleté…
C’est elle qui fait la carte, il n’a rien pas de poche, juste son portable et des lunettes de soleil.
– On peut y aller, vous passez par l’hôtel ?
– Non, j’ai tout ce qu’il me faut…
– Alors on choisit le bateau ?
En s’approchant du quai, en fait il n’y en a qu’un, qui part dans dix minutes, l’autre sert le week-end, après Pâques sans doute…
Nous montons à bord, on nous encaisse au passage, nous tentons l’extérieur, je suis à son côté, elle me sourit, son ami se présente…
– Pierre, et ma compagne Sylvie, nous sommes de Genève, je suis Orthophoniste, elle est ma secrétaire.
– Moi c’est Lisa, je suis enseignante, professeure des écoles dans un petit village avec 18 enfants, mais ne suis pas mariée…
– Oh, dans le péché ?
– Presque, j’y travaille… C’est mon premier poste en classe unique, à la suite d’une séparation, j’ai mis de la distance et me suis retrouvée perdue dans les montagnes…
– Cela devrait vous plaire, la montagne est reposante et pleine d’attraits.
– La ville offre davantage, pas les mêmes sorties, il y en a pour chaque âge, mais je me suis vite incorporée à la vie monacale, j’ai trouvé des amis pour pallier l’isolement.
– Oui, il le faut, c’est primordial, une jeune femme comme vous doit déborder de vie, aimer faire du sport, et d’autres distractions…
– Oui, j’aime la marche, la nature me plait beaucoup, je l’ai découverte avec des sorties en groupe, on nous explique la flore et la faune, mais aussi les traditions, les fêtes qui en découlent et j’ai bien aimé les moissons, celle de l’alpage, la transhumance…
– Nous aussi, on travaille dans une petite ville et nous résidons un peu plus haut dans un chalet. Pierre l’a fait construite, c’est très beau, la vue, les montagnes, la forêt, les bêtes sauvages…
Le bateau démarre, quelques personnes sont venues dehors, mais la plupart sont à l’intérieur, des retraités en majorité…
La vue est magnifique en sortant du port, nous longeons la côte, vers une station balnéaire.
Nous visitons les aménagements nautiques, le Casino de loin, puis repartons vers les îles, droit vers l’horizon… Il fait bon, j’allonge mes jambes, personne n’est resté devant…
Pierre me sourit, vient contre moi… Sylvie se repose, bercée par le ronron du moteur diesel.
Il prend ma main… Glisse l’autre entre mes cuisses, ses yeux bleus m’impressionnent…
Nous sommes seuls sur la plage avant…
Il est doux, et sa caresse m’emporte, je me positionne un peu mieux, il peut caresser à loisir ma petite chatte qui devient toute mouillée au fond de mon jardin…
Il reste un grand moment sans bouger, juste ce contact, je ne bouge pas non plus, juste ma main qui s’égare sur la bosse de son pantalon…
Il recommence lentement sa caresse, je contrôle, je me délecte, je soupire…
Ma main glisse le long de sa hampe, en de longs mouvements de va et vient…
Il atteint mon clitoris, il sait que je vais essayer de ne pas trahir son geste…
Que c’est bon, trop bon, trop intense, je souffle comme une baleine, mes cuisses s’ouvrent seules, venant contre Sophie…
Elle sort de son rêve… Il retire sa main, je récupère la mienne…
Fausse alerte, elle se tourne et se rendort, nous arrivons au port de l’île…
On nous donne trois quarts d’heure pour flâner, entrer dans les deux magasins de souvenir, le bar, et visiter la rue principale…
Nous faisons les deux magasins en vitesse, puis nous asseyons au bar, pour un pause pipi, Sophie passe la première… Puis elle ressort en me laissant la place, ses yeux me sourient…
Le WC est étroit, je me contorsionne, puis ressort avec une chasse réfractaire… Bref, je longe le couloir, Pierre est sur mon chemin, solitaire…
Il me serre dans ses bras, sa main tâte mes seins, puis elle flatte mes fesses, il me retourne, m’appuie contre le mur…
Il a sorti son sexe… Il soulève ma jupe, je suis à sa merci…
Il joue avec mon string, pauvre objet de défense… Je sens sa main qui prépare la place, ouvre mon jardin, détrempe le terrain…
Il m’ouvre, m’écartèle, caresse tout mon minou…
Affolée, excitée, en quelques seconde le voici qui pénètre, il entre sans problème, la hampe va jusqu’au fond… Je réprime un soupir, puis un autre, et un cri sans doute, un cri de désir, un cri de plaisir qui reste dans ma gorge…
Alors il accélère et je perds le contrôle, il me donne le LA, je m’accroche où je peux… Il me cambre au maximum, je soulève une cuisse pose un pied sur un tabouret… Un floc-floc singulier marque sa cadence… Mon ventre est en folie…
Oh, que c’est bon, qu’il me prenne, qu’il me baise, comme une pute, contre un mur, violée sans parole, violée, mais que c’est bon de sentir sa queue enchanter mes entrailles…
Il me laboure, me pilonne, ma jouissance monte, la pièce tourne, je vais crier, c’est bon, c’est un délice…
Il m’a prise, il a éjaculé, mes cuisses sont pleines de sperme !…
J’atterris… Sophie nous regarde, un appareil photo dans une main, l’autre dans sa culotte, son jeans grand ouvert…
– Viens, rajuste-toi, c’était très érotique, tu es photogénique… J’ai très envie de toi, tu aimes aussi les femmes ?
– Oui, j’aime aussi les chattes, j’aime les caresser, découvrir la source, en lécher le nectar, avec un doux baiser…
– Viens, on rentre à l’hôtel, il est à côté par le couloir, on arrive à l’entrée du personnel…
Pierre nous suit, elle glisse sa carte dans la fente, la porte s’ouvre, la chambre est grande, un lit immense…
Son baiser est doux, envoûtant, magique et sa main me déshabille, libérant mes seins, puis ma jupe, le reste s’enfuit de peur…
Elle est nue contre moi, elle monte, m’escalade, descend entre mes cuisses, essuie et lèche les traces de son amant…
– Viens, laisse-toi faire… Je ne veux que notre plaisir… Pierre est spectateur, comme moi tout à l’heure, je suis déjà trempée, de vous avoir regardés… Tu es si sensuelle, je n’ai pas résisté, Pierre m’est infidèle, mais j’ai apprécié…
– J’aime faire l’amour, j’en ai été sevré, bafoué, je suis là pour ce sexe qui mène ma vie, je deviens nymphomane, cherchant les aventures, heureuse de vous avoir trouvés…
Sa langue m’électrise, entre dans mon minou, visite mes atouts, et puis me clitorise, et je râle mon désir… Mes mains sont sur ses seins, elle se tourne, et je peux les masser, elle aime ce que je fais, ma main ouvre sa vulve, elle écarte ses cuisses, puis vient tête-bêche, pour échanger nos caresses…
Elle commence à gémir, se donne à son tour, offrant un beau spectacle, sa chatte est un plaisir… Ses poils blonds invisibles, dissimulent son sexe, niché entre deux lèvres, un abricot très mur qui coule de son jus dès qu’on le stimule…
Pierre prend des photos, je n’aime pas trop ça, il est complètement nu, me frôle avec ses bras, fait des plans très serrés, zoomant sur nos sexes, il bande comme un cheval, je comprends le plaisir qu’il m’a procuré, juste en me fourrant, comme une servante en mal de libido…
Je joue avec ma langue, mes doigts ouvrent ses lèvres, son vagin est béant et suite de nectar, il vient à mon côté, le flash crépite, m’aveugle, nos lèvres se soudent, sa femme a un orgasme, gémit et tremble, son sexe le désire, alors il la prend…
Son membre s’engouffre je prends une photo, le sexe est grand ouvert, aspire la hampe, il ne se retient pas et plante le calice, avec des coups rageurs…
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