Ça fait maintenant presque un an qu’il m’arrive de plaider en tant qu’avocat stagiaire devant le juge, pour des affaires commerciales et pour des clients qui relèvent de « La délinquance en col blanc ».
En octobre dernier, je devais assurer une dégense d’un client, quasiment gagnée d’avance. L’avocate de la partie adverse n’était clairement pas en mesure de remporter le procès. Cependant, lors de sa plaidoirie, j’ai senti que sa beauté fatale ne laissait pas Monsieur le juge indifférent. Il fallait la voir, un peu moins de la trentaine, longs cheveux chatains, plaidant dans sa robe qui, malgré l’amplitude du vêtement, laissait deviner une poitrine à faire frémir un moine bénédictin. En plus d’être belle, ma future consoeur avait une aisance orale d’un niveau supérieur à celui demandé à un avocat lambda. Elle s’exprimait vraiment parfaitement, n’hésitant pas à insérer dans son discours des références littéraires pour charmer le juge.
J’avoue que je n’en menais pas large mais mon maître de stage m’avait intimé que ma prose pouvait très bien concurrencer la plaidoirie qui venait d’avoir lieu. Je me lançais donc, confiant, dans un monologue de 10 minutes que j’avais eu du temps pour préparer. Les faits tournaient en ma faveur et ma plaidoirie n’a fait que favoriser plus encore une issue favorable pour mon client, malgré la brillance de ma consoeur.
Une fois l’audience levée, je retournai donc, accompagné de mon maître de stage, au cabinet, situé juste en face du tribunal. En quittant la salle, je ne manquai pas de lancer un regard empli de malice à cette belle et jeune avocate, qui m’a retourné un sourire radieux malgré sa défaite. Le reste de la journée, je ne pus m’empêcher de repenser régulièrement à elle, si bien que mon efficacité approchait le néant.
Arriva donc la fin de la journée. Mon maître de stage ne m’avait pas laissé de travail à faire chez moi pour le week end parce que cela faisait depuis au moins juin que je lui avais dit qu’il y avait la soirée des anciens thésards du professeur qui m’avait dirigé. Je profitai de rentrer chez moi pour prendre une douche et déposer ma robe ainsi que mes différents textes juridiques qui allaient me servir pour le week end.
21h, je me rendis donc dans ce bar privatisé pour l’occasion où environ 70 personnes se massaient autour du bar. Je repris donc contact avec quelques amis, anciens thésards eux aussi, et discutai tout en enchainant les verres. Presque une heure plus tard, j’aperçus une fille vêtue d’une robe bustier de couleur prune, laissant apparaitre un somptueux décolleté et des jambes subtilement couvertes d’un collant noir. Elle passa à côté de moi en me reconnu immédiatement.
« Eh mais c’est contre toi que j’ai plaidé tout à l’heure ! Tu t’es vachement bien débrouillé pour un stagiaire, » me lança-t-elle. J’acceptai le compliment en soulignant la brillance de sa prestation et la facilité du procès. Je lui ai donc payé plusieurs mojitos pendant que nous parlions d’abord boulot, mais la conversation dériva sur des sujets philosophiques, politiques, littéraires. Pas de doute, nous étions sur la même longueur d’onde. Nous nous rapprochions au fil de la discussion jusqu’à nous embrasser fougueusement pendant environ une minute. Ce baiser me fit comprendre que j’avais eu raison de venir à cette soirée et qu’elle n’était pas encore achevée. La nuit était déjà bien entamée lorsqu’elle me proposa de la raccompagner pour m’offrir un dernier verre. Légèrement ivres, nous repartîmes donc bras dessus bras dessous tout en nous racontant des annecdotes d’audiences. J’en profitai également pour lancer des regards impatients vers ses seins que j’adorais. Un bon bonnet C je pense.
Une fois arrivés chez elle, le dernier verre je n’en avais plus grand chose à faire. Ce que je voulais, c’était la prendre sur le canapé, sur la table, sur son lit, sur n’importe quel endroit où son royal fessier pouvait se poser. Elle m’apporta quand même un verre de cognac alors que je m’asseyais dans le canapé. À ce moment où elle posa le verre sur la table basse, je pus entrevoir son entrejambe et me retenus pour ne pas y mettre ma main. Elle enleva alors sa robe et se mit à califourchon sur moi. Pas de soutien gorge, pas de culotte, juste ses bas noirs que j’avais remarqué lorsque je l’ai vue. Elle m’embrassa avec passion et profitai enfin pour poser mes mains sur ses fesses nues. Je les glissais vers son sexe lorsque je sentis qu’elle s’était mise un plug anal. Je crus alors que mon érection allait déchirer mon pantalon. Elle me deshabilla et me suça la queue goulument. On sentait qu’elle en avait envie depuis un moment. Les vas et viens de sa bouche étaient accompagnés d’abord de ses mains, puis de ses seins. Cette douceur me fit venir assez rapidement et elle avala toute ma semence directement.
Je l’ai prise entre mes mains et l’ai portée jusque sa son lit. Tout en la portant, je passai mes bras sous ses cuisses pour faire remonter sa petite chatte bien humide vers ma bouche. Elle était plûtôt petite et légère. J’ai donc commencé à goûter à son abricot avant de la plaquer sur le lit pour en reprendre une part. J’enfonçai ma langue dans son vagin, ce qui la fit frémir de plaisir. Elle voulu alors que je lui enfonce ma queue en elle. Ni une, ni deux, elle m’enfila le préservatif avec sa bouche et rentra mon sexe dans le sien. J’ai su la prendre comme elle le méritait malgré mon ivresse. Pendant presque 20 minutes je l’écoutais gémir à chaque coup que j’avais la chance de lui mettre. Puisqu’elle était sur le dos, je pus admirer ses seins rebondir à chaque secousse que je lui infligeais. Elle se retourna alors pour passer en levrette et enleva le plug Swarovski qui comblait son anus.
Je compris instantanément le message et engouffrai mon chibre dans ce petit trou qui n’attendait qu’à être comblé. Je la pris violemment pendant presque dix minutes en l’attrappant fermement par les reins. Presque dix minutes plus tard, je décidai de me retirer pour enlever le préservatif et recouvrir ses fesses de mon sperme dans un râle de plaisir bestial.
Elle me fit dormir près d’elle jusqu’au petit matin. Nous aurions bien voulu remettre le couvert mais elle devait partir.
Je rentrai chez moi, les couilles vidées par cette femme brillante, aussi bien dans son travail que dans son lit.
Ajouter un commentaire