Dans la voiture en rentrant de l’aéroport je sentais ma femme ailleurs, très distante, me répondant par des phrases mécaniques et laconiques. Je me demandais en mon for intérieur pourquoi elle me faisait la gueule… Il était presque 21h et pour essayer de ratt****r qui c’est quoi, je lui propose d’aller au restaurant. Il faisait encore chaud pour la saison, alors nous nous installons en terrasse à côté de deux jeunes femmes qui finissent une bouteille après diner.
Ma femme étant toujours aussi silencieuse, j’écoute discrètement la conversation des deux jeunes femmes. Deux jeunes Irlandaises, non Américaines ou Canadiennes en vacances sur la côte d’azur.
Nous passons commande et le serveur nous apporte une bouteille de vin. Après la première gorgée je finis par lancer à ma femme : Est-ce que tu vas enfin me dire pourquoi tu es de mauvaise humeur ?
Nos deux voisines arrêtent de parler, surprise par le ton de ma voix. Je reprends plus sereinement. Tu peux me parler franchement et me dire quel est le problème ?
Elle hésite… et jette un coup d’œil aux 2 femmes…
– Tu te souviens quand tu as loupé ton avion fin août. J’avais pris mon après-midi pour venir te chercher à l’aéroport.
– Oui et alors, je suis rentré le lendemain ! Je ne vois pas où est le problème.
– Laisse-moi parler s’il te plait.
Je suis rentrée à la maison. J’étais seule. Je suis allée à la piscine pour profiter des derniers rayons du soleil. Il faisait bon et je me suis assoupie nue sur le transat.
– Et alors ce n’est pas la première fois ?
– Laisse-moi finir.
– Tu vois le petit jeune de 23 ou 24 ans qui passe pour nettoyer la piscine.
– Non, mais normalement le technicien passe le matin.
– Je ne l’ai pas entendu arriver. Je ne le connaissais pas et il m’a foutu la trouille de ma vie. Je me suis couverte avec ma tunique en mousseline blanche. Il s’est approché et m’a expliqué qu’il avait oublié de venir le matin mais il pouvait revenir un autre jour.
Il n’osait pas me regarder, Il transpirait et était rouge comme une tomate. Je lui ai dit de faire son boulot.
Quand il a eu fini, il était tellement en sueur, que je lui ai demandé s’il voulait un soda. Il n’arrêtait pas de me mater à travers le tissu léger qui me couvrait à peine le corps. Je trouvais ça drôle et assez plaisant qu’il s’intéresse à moi, une femme mature !
Il m’a suivi jusqu’à la cuisine, Je lui ai dit que tu étais absent et je lui ai demandé s’il pouvait déboucher le lavabo de la laverie qui est tout le temps bouché. Pendant que je suis allée chercher une bassine, il a devisé le siphon, toute la saleté et l’eau qui restait dans le lavabo c’est retrouvé sur lui. Il n’arrêtait pas de s’excuser alors je lui ai proposé d’aller prendre une douche pendant que j’épongeais.
Le serveur nous apporte nos plats. La femme en face de moi essaye de comprendre en interrogeant sa copine du regard. J’entends l’autre traduire notre conversation.
J’attends la suite et nos voisines aussi.
– Après sa douche je lui ai apporté une serviette. Il était gêné d’être nu et vulnérable devant moi. Je l’ai regardé se sécher et je l’ai bien allumé. Il était tout rouge. Il a passé la serviette autour de la taille et je lui ai dit de me suivre dans la chambre pour s’habiller.
Je trouvais son histoire de plus en plus excitante. Les deux Canadiennes qui faisaient semblant de ne pas écouter, étaient aussi très attentives aux détails. Ma femme l’avait aussi remarqué et elle a pris un malin plaisir à continuer.
– Dans la chambre je me suis assise au bout du lit et je lui ai dit de se mettre à genoux devant moi. Il hésitait alors j’ai insisté.
La conversation devenait de plus en plus intime. Elle s’arrête de parler, hésite à nouveau…
Les deux femmes font semblant de parler d’autre chose. Ma femme reprend…
– J’ai écarté les jambes et je lui ai dit « c’est ça que tu veux ? » J’ai approché son visage entre mes cuisses et je lui ai ordonné de me lécher la chatte. Il était nul et je devais lui dire comment faire. Après je lui ai dit de s’allonger sur le lit pour faire un 69.
Les deux Canadiennes ne perdaient pas une miette de l’histoire.
Une des 2 ne put s’empêcher d’expirer un « Fuck » suivie d’un « Sorry ».
Ma femme s’arrête à nouveau de parler.
Je me tourne vers les 2 femmes et leur lance « she’s fucking hot Eh ! »
Les deux Canadiennes gênées par la situation, se lèvent et partent pour aller payer.
Un silence pesant se fait sentir. Je ne disais rien. Un sentiment bizarre me passait à travers le corps, mélange d’adrénaline sexuelle, frustrer d’apprendre seulement plus d’un mois après son aventure avec un mec, enivrer par mon appétit du sexe et par les deux Canadiennes que j’imaginais la fente humide dans un string en dentelle.
Elle me tient au creux de sa main et elle aime me torturer. Est-ce que son aventure est vrai ou elle me raconte son histoire pour voir ma réaction. Ma femme reprend.
– Je l’ai sucé pendant 20 à 30 secondes et il a éjaculé dans ma bouche une quantité énorme de sperme que j’ai recraché sur sa bite. J’en avais aussi partout sur le visage
Il a recommencé avec ses : pardon madame, pardon madame.
Je me suis retourné et lui ai collé ma main pleine de son sperme sur la bouche pour le faire taire.
Je lui ai dit de s’habiller. Je lui ai donné mon numéro de portable et je lui ai dit de m’envoyer un message s’il voulait revenir la semaine suivante à la même heure.
La semaine suivante, j’ouvre et il s’approche pour m’embrasser
Je le repousse gentiment et lui dit que je ne suis pas sa petite copine.
Il recommence avec ses : pardon madame.
On va dans le séjour, je m’installe sur le canapé, il reste debout devant moi ne sachant quoi faire. Je lui demande alors de se déshabiller.
Je lui demande de se branler et de jouir seulement quand je lui dirais.
C’était super excitant de le voir se branler devant moi, je mouillais et prenais du plaisir.
Après je lui ai dit de se mettre à genoux devant mes cuisses.
Je lui ai dit de me lécher la chatte et de me doigter en prenant son temps pas comme s’il bouffait un hamburger chez Mc Do.
C’était beaucoup mieux que la première fois et il a réussi à me faire jouir.
Il s’est relevé il avait encore la bite bien raide mais je lui ai dit de s’habiller de revenir la semaine suivante.
Je ne dis rien et ma femme reprend son histoire.
Une semaine d’après, j’avais eu une journée difficile et j’avais complètement oublié le petit jeune.
On tape à la porte, j’ouvre, il est là, fier comme en paon, un grand sourire aux lèvres
Je lui dis de rentrer chez lui. Je ne veux pas le voir et je lui dis de m’envoyer un message s’il voulait revenir. Et de prendre une douche et de s’habiller correctement.
Honnêtement je ne pensais pas le revoir.
2 – 3 semaines plus tard, un SMS
Il arrive, on va dans le séjour, je m’installe sur le canapé, et je lui demande de rester debout devant moi.
Je lui explique les règles de la maison :
Il doit m’appeler Madame
Arrêter de s’excuser ou je le bâillonne et je lui montre le bâillon à boule poser sur le canapé.
Ne jamais contredire mes ordres ou je le bâillonne et il sera punis
Quand il arrive il doit se déshabiller et m’attendre au milieu du séjour
Quand il vient me voir, Il doit porter le plug anal que je lui ai acheté que je lui montre
Je lui ai demandé s’il avait des questions, un problème avec mes règles
– Il a dit non madame.
Après on est allé dans la chambre. Il s’est déshabillé et je lui ai mis un bâillon avec le dildo intégré devant la bouche.
Je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes sur le lit. Je l’ai regardé les jambes écartées, la bite gonflée. Il ne bougeait pas.
Je lui caresse les fesses. Ma main passe entre ses cuisses caresse doucement sa bite et ses couilles. Et je remonte entre ses fesses pour introduire le plug anal dans son petit trou. Il se laisse faire sans rien dire. Je pensais qu’à une chose, le sodomiser mais je me disais que c’était trop tôt pour lui.
Elle marque une pause pour voir ma réaction.
Je m’allonge devant lui. J’ouvre mon chemisier pour libérer mes petits seins et remonte ma jupe pour exposer ma chatte humide à sa vue.
Il me caresse, je sens ses mains remonter le long de mes cuisses jusqu’à mon entre jambes pour effleurer doucement ma chatte et mon clitoris. Je me détends, me relâche, je sens des frissons dans mon bas ventre. Je ferme les yeux, la tête en arrière, Je l’imagine en train de regarder ma vulve, mes seins, en train de me regarder prendre du plaisir et j’aime ça. J’écarte mes jambes et masse mes lèvres avec le gode avant de le faire pénétrer délicatement au fond de mon intimité. Avec mes mains autour de sa tête, il me pénètre doucement au début et plus rapidement ensuite. Ensuite commence un long massage doux et sensuelle. La bite enfoncée gentiment et bien profondément dans mon vagin. C’est super excitant, je mouille et prend du plaisir.
Mes doigts entre mes cuisses masturbaient mon clitoris gonflé d’excitation. Il m’a bien baisé et j’ai eu un orgasme. Je l’ai laissé se branler devant moi et il a joui à son tour.
Le petit jeune n’a pas beaucoup d’expérience et n’est pas très doué mais il est docile et il apprend vite. Ça m’excite. J’aime l’avoir et jouer avec lui. Ça ne te gêne pas j’espère ?
Je suis sans voix. J’ai envie de retourner ma femme sur la table, lui arracher sa culote et la prendre comme une chienne, comme une salope.
Je calcule rapidement les semaines à partir de fin août et lui dit :
– La dernière rencontre c’était … c’était cette semaine ? cet après-midi ?
Je la regarde et sourit. « Tu es vraiment une belle cochonne ! »
– Ça ne te dérange pas ? je peux le revoir ?
On paye et on retourne au parking couvert sans se dire un mot. On arrive à la voiture et je lui demande de s’installer sur la banquette arrière. Elle hésite regarde autour de nous. Personne pas un bruit. Elle a autant envie que moi de baiser. Je lui ouvre la porte. Elle se colle à moi et m’embrasse langoureusement en me caressant et me glisse à l’oreille « baise moi sur la voiture ». Elle s’accroupit, sa tête à la hauteur de mon sexe. Je sens ses mains remonter le long de mes cuisses jusqu’à mon entre jambes.
Délicatement elle ouvre mon pantalon et libère ma bite gonflée d’excitation. Sa main douce me masturbe. Je sens ses lèvres se poser sur mes testicules, sa langue remonte sur mon sexe. Hum, c’est bon !
Sa main descend et remonte sur mon membre pour me caresser doucement.
Je sens sa bouche et sa langue. Elle me lèche parfaitement. Elle se redresse et remonte sa robe courte moulante jusqu’à la taille pour laisser apparaître son pubis. Elle ne porte pas de culotte ce soir. Elle le sait, j’aime ça !
Je la retourne sur le coffre de la voiture, j’écarte ses jambes, son cul bien en arrière, j’enfonce ma queue en elle d’un coup brusque et la baise sans ménagement. Bien ouverte son sexe trempé n’attendait que ça.
Ses doigts masturbent son clitoris et caressent mes testicules. Mes mains bien agrippées sur ses hanches, je lui défonce la chatte à grands coups de reins. Elle se tord, gémit de plaisir, visiblement aussi super excité que moi. Elle m’encourage en me demandant de la prendre comme une pute !
Je vois un couple approché au loin. Je ralentis mon va et vient. Ma femme les entend aussi et m’ordonne de continuer, elle va jouir ! Rien ne l’arrête. Des portes claquent, la voiture démarre. En passant à notre hauteur la voiture ralentit ce qui décuple notre énergie sexuelle. Elle se branle de plus en plus rapidement. Son plaisir monte et je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir.
Ma femme ne prête même pas attention aux voyeurs qui nous observent, elle gémit de plus en plus fort, elle jouit et hurle de plaisir. Ses jambes flagelle. Je repends ma gelée au fonds d’elle. Je continue à ramoner lentement son vagin. J’entends des clapotis, du liquide jaillit de sa fente et coule sur mon sexe, mes couilles et le long de mes cuisses. Ma queue ramollit glisse hors de son vagin et sa chatte se vide sur le sol du parking. Je regarde la femme dans la voiture qui me fait un clin d’œil. Son portable à la main elle filme ou prend des photos. La voiture repart pendant que je boutonne mon pantalon. Son plaisir était si intense que ma femme reste accouder sur le coffre les fesses à l’air et les jambes écartées.
Je me penche vers son oreille et lui chuchote « Tu es une vraie salope et tu es magnifique, on devrait faire ça plus souvent » .
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