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Ma rencontre avec des strip-teaseuses (partie 2)

Ma rencontre avec des strip-teaseuses (partie 2)



Partie 1 :  

Depuis ce rendez-vous raté avec Malorie, je décida de retourner vers Marine, je repris donc contact avec elle. M’efforçant d’être courtois, je lui dis que c’était bien agréable de découvrir la femme derrière la strip-teaseuse. La réponse ne se fit pas attendre « Mais je retourne le compliment à l’homme derrière la pulsion ambulante… ». Voilà, du Marine tout craché ! Je retournais la voir danser deux jours après ce message. Je ressentis une certaine gêne à repasser du côté spectateur, à me retrouver en situation de voyeur de son corps dénudé, tout en croisant son regard de temps à autre, alors que nous avions auparavant fait l’expérience d’une conversation parfaitement civilisée, tout habillés ! Elle paraissait tout aussi gênée de mon regard, ce qu’elle me confirma plus tard. Néanmoins, je fus heureux de retrouver Marine dans sa version érotique, la magie fit à nouveau son effet, j’étais séduit ! Nous finîmes enfin par prendre date pour un deuxième rendez-vous au resto !

Côté Malorie, la situation était encore plus confuse. A chaque fois que je prenais un salon avec elle, nous passions un moment très agréable, puis je la relançais sur un rendez-vous, mais elle n’était jamais libre. Je lui disais de me proposer un rendez-vous à un autre moment, par téléphone, par mail… Mais elle n’avait plus ma carte de visite. Quand au bout de quelques semaines je lui fis remarquais qu’elle me menait en bateau, elle me répondit par un « C’est toi qui me mènes en bateau » lourd de sous-entendus…

Deuxième rendez-vous avec Marine. Je lui avais donné rendez-vous à 20h30 dans un bon resto. A l’heure dite, j’arriva, j’étais le premier, je m’installa et commença à étudier attentivement la carte. Un quart d’heure plus tard, j’avais déjà lu cinq fois la carte. Pendant le quart d’heure qui suivit, l’énervement commença à monter. Oh, cette désagréable sensation de déjà vécu ! C’étaient-elles liguées contre moi pour me poser des lapins ? Mon téléphone sonna soudainement. « Cette rue n’existe pas ! Ca fait une demie heure que je tourne dans le quartier sans la trouver, et personne ne la connaît ! ». Il fallut encore dix minutes, et deux appels pour qu’elle parvienne enfin au resto.

Elle était toute essoufflée la pauvre chérie, elle me fit de plates excuses, elle était toute pardonnée. Le dîner fut agréable, même si, comme les fois précédentes, la conversation tourna souvent court. En sortant du resto, je lui proposa d’aller boire un verre dans un bar, en rêvant d’une banquette confortable où l’on pourrait se rapprocher. Elle préféra se promener. Nous errons donc dans les rues plus ou moins au hasard. Je la prends par l’épaule, la réplique ne se fait pas attendre : « Tu crois que je n’ai pas remarqué ta main sur mon épaule ? La ficelle est un peu grosse ! » J’avais envie de la laisser en plan…

Je finis par arriver à l’entraîner dans un bar, et à l’asseoir sur la même banquette que moi. Je la touche, elle se rétracte, et fit encore des remarques désobligeantes. Et là je joue franc-jeu. Je lui explique que les meilleurs moments que nous avons passé ensemble, c’est lorsqu’elle était dans mes bras en salon privé. Physiquement, le courant passe entre nous. Mais dès que nous sommes assis à une table et essayons de parler sérieusement, c’est mort. Et donc tout ce que j’essaye de faire, c’est de recréer ce lien physique que nous avions en salon, et qui me manque tant depuis. Elle semble d’accord sur le diagnostic. Mais elle est incapable de se laisser aller comme ça, dans un lieu public, en pleine lumière sous les yeux de tous.

Je persiste à lui caresser un peu la main, la nuque, le visage, mais je vois bien que ça ne lui convient pas. Nous sortons du bar et reprenons notre errance de plus belle. Il est déjà minuit. Un coin sombre, je l’arrêta, l’attira vers moi pour l’enlacer, l’embrasser, mais non, rien à faire, ça ne lui convient pas non plus. Nous passons devant des hôtels, je n’ose même pas suggérer quoi que ce soit. Si elle ne veut pas que je l’embrasse, elle ne va quand même pas accepter que je l’emmène dans un hôtel !? Je l’arrête, et je lui avoue ma grande perplexité. On fait quoi, là ? Mais qu’est-ce qu’elle veut à la fin ? Et là, sans autre forme de procès, elle me dit que la chambre d’hôtel semble être la meilleure solution. Incrédule, je lui dis OK, vas-y, je te regarde. Et là, sous mes yeux ébahis, je vois cette jeune femme, qui il y a 5 minutes ne voulait pas que je l’embrasse, m’entraîner dans un hôtel super classe, et se diriger d’un pas assuré vers la réception pour demander s’il leur restait une chambre double ! J’étais scié !

Pas de chance, complet. Nous sortons et entrons directement dans l’hôtel suivant « Oui, vous avez de la chance, il m’en reste une. Je vous la fais à 140€ ». Vu l’hôtel, c’est une super promo. Nous montons au dernier étage. C’est carrément une suite duplex ! A l’étage, la chambre donne sur un petit balcon, avec une vue magnifique sur les toits de la ville. Magique ! Elle éteint la lampe de la chambre, laisse passer un rai de lumière par la porte de la salle de bains, et c’est parti.

Elle me plaque contre le mur et, enfin, se colle contre moi et pose sa bouche sur la mienne. Quelle délivrance ! Nous nous embrassons passionnément pendant de longues minutes. Mes mains se baladent. C’est la première fois que je la touche à travers ses vêtements ! Lentement, l’un après l’autre, les vêtements tombent. Je prends enfin ses seins dans mes mains, un plaisir qui m’était interdit en salon. Nous basculons sur le lit. Je fais durer chaque petite étape pour mieux la savourer, bécotant chaque centimètre de peau. Je baisse finalement sa culotte, et me colle contre elle. En passant ma main sur son buisson, je me rends compte qu’elle est toute trempée. J’en profite pour lui titiller le clito, les lèvres, son vagin aspire l’une de mes phalanges ! Elle m’attire à elle, le cunnilingus, ce sera pour une autre fois, ce soir pas besoin de préliminaires très poussés…

Je m’introduis en elle, tout doucement, savourant chaque millimètre gagné, tout en la regardant. Elle a les yeux fermés, dommage.
Nous ferons l’amour trois fois ce soir-là. Puis je la laisserai seule dans sa suite gigantesque pour rentrer dormir chez moi. J’ai d’ailleurs eu bien du mal à fermer l’œil !
Les deux semaines qui ont suivi ont vu de nombreux échanges de SMS quelque peu chaotiques, toujours aussi parsemés de quiproquos et de quelques rares mots doux. Evidemment, une de mes principales préoccupations était de reprendre rendez-vous avec Marine. Tout en ne perdant pas Malorie de vue.

Dans la même semaine, je reçois un SMS d’un numéro inconnu : « J’ai enfin retrouvé ta carte ! En fait elle était au fond de mon portefeuille ! Bisous Malorie ». Allons bon ! Alors même que je concrétisais avec Marine, voilà Malorie qui pointait son nez au moment où je m’y attendais le moins ! Je me mis donc à échanger quelques SMS avec elle, puis un dimanche je l’appelais pour papoter un peu.

Plus tard le même jour, j’échangeais quelques SMS avec Marine, et nous en vînmes à parler du club, de Malorie, et je lui demandais si elle tenait cette dernière au courant de notre relation. Sa réponse, « Il faut bien que je la protège. Si elle cédait à tes pressantes instances, la pauvre, dieu sait ce qui l’attendrait… ». Bon, si j’avais le moindre doute sur le fait que mon double jeu était percé, cette fois, c’était clair ! Heureusement, ça n’avait pas l’air de la chagriner plus que ça. La semaine suivant notre première nuit, nous nous sommes revus à deux reprises, pour déjeuner puis pour prendre un thé ensemble. Mais le courant ne passait pas beaucoup mieux que lors de notre premier rendez-vous. Pour moi l’affaire était entendue, le bon endroit pour nous, c’est le lit ! Nous reprîmes donc rendez-vous pour un soir, après son après-midi au club.

Le jour de mon rendez-vous avec Marine arriva enfin. Un quart d’heure passa, pas de Marine en vue. Je l’appelle, pas de réponse, je laisse un message. En attendant je décide de prendre les devants et j’appelle un hôtel pour réserver une chambre. Bingo, le premier que j’appelle a une chambre libre.
Au bout d’une demi-heure d’attente et deux messages de plus sans réponse, j’étais sur le point d’annuler la chambre et de partir lorsqu’elle arriva. Evidemment elle avait une bonne excuse, un client qui avait demandé un salon à la fin de sa journée. Je lui expliquais directement mon plan, aller se poser à l’hôtel, puis ressortir dîner. Adjugé ! Nous avons donc marché ensemble en direction de l’hôtel, un peu embarrassés, se tenant par le bras ou la main parfois, mais en même temps ça ne nous convenait pas.

Mais au moins ce que j’aime avec elle, c’est qu’alors même que nos affinités romantiques sont limitées, elle n’a aucun complexe sur le fait que nous allons à l’hôtel pour faire l’amour. Aussitôt entrés dans la chambre, les choses sérieuses démarrent. Nous nous embrassons passionnément et nous nous déshabillons mutuellement, morceau par morceau.

Une de fois de plus, je suis épaté de voir à quel point une jeune chatte toute pleine de désir peut mouiller abondamment. Un vrai régal, et une grande source d’excitation pour moi lorsque je passe les doigts dessus. Très vite, je me retrouve sur elle. Cette fois, je lui demande de me regarder dans les yeux alors que je la pénètre, lentement, sans le moindre accroc.

Après un premier round et une petite pause, je repars à la charge. Cette fois elle est sur le ventre, je lui caresse et lui embrasse le dos, les fesses, je lui écarte les jambes pour lui lécher son minou tout baveux, puis je remonte et je lui fais toute la raie. Je lui lèche longuement le petit trou, tout en enfonçant le pouce dans sa chatte et en lui titillant le clito. Aux contractions sur mon pouce, je pense un moment tenir le bon bout, mais non, cela ne suffira pas. Je la mets alors à quatre pattes pour terminer dans une levrette endiablée ! Fin du deuxième round, douche, puis nous sortons au restaurant.

Marrant, cette soirée au resto, après avoir fait l’amour comme des bêtes. Ambiance un peu plus détendue que lors de notre premier dîner, même si la conversation est un peu à la peine. Après le resto, retour à l’hôtel pour un troisième round. Si les deux premiers m’avaient laissé la légère frustration de ne pas savoir si elle avait joui, le troisième ne me laisse aucun doute, cette fois nous sommes parfaitement en phase. Il ne me reste plus qu’à la laisser seule et à rentrer chez moi.

Le lendemain matin, sur le chemin de mon travail, je repasse devant l’hôtel et je vois la fenêtre entrouverte de sa chambre. Je suis tenté de monter, ou au moins de l’appeler pour voir, mais je m’en voudrais trop de la réveiller au cas où elle dormirait encore, et je m’abstiens. Mais je garde l’idée pour plus tard.

Pas plus de trois jours plus tard, j’ai rendez-vous dans un bar avec Malorie, enfin ! Rendez-vous chronométré car elle a un train à prendre et j’ai moi-même d’autres plans pour la soirée. Enfin, nous avons un peu de temps pour véritablement faire connaissance. Elle est bavarde, me raconte sa vie. En cours de conversation elle répond à des sms de ses multiples amants. Nous discutons donc à bâtons rompus jusqu’à l’heure de son train, je l’accompagne à la gare, grâce à la pluie elle s’accroche à mon bras, quelques bisous, puis adieux. Difficile d’aller plus loin vu les contraintes de ce premier rendez-vous, la suite sera pour une prochaine fois. Je vais donc m’employer à lui fixer de nouveaux rendez-vous dès que possible.

A la même période j’ai commencé à m’intéresser à une autre danseuse de mon établissement préféré. Son nom de scène était Hanaa. Elle était de taille moyenne, avec un peu de chair mais elle n’était ni grosse ni maigre, le teint mate, une grosse poitrine. Bref, il fallait absolument que je prenne un salon avec elle à la première occasion !

Quelques jours plus tard, nouvelle entrevue avec Marine. Cette fois, trêve de chichis, je réserve un hôtel et je lui donne rendez-vous directement dans la chambre vers 14h. Evidemment elle aura une heure et demie de retard, mais ce n’est pas grave.
Le temps passe bien vite à faire l’amour et des câlins. Deux heures plus tard, il est temps de se séparer, moi pour rentrer chez moi retrouver ma chère et tendre, elle pour se rendre à son job du soir. Je m’amuse à l’idée qu’elle va parader nue toute la soirée devant les spectateurs, portant encore sur elle le souvenir de mon corps, sans que personne dans l’assistance ne puisse le soupçonner.

La semaine suivante, deuxième rendez-vous avec Malorie, l’après-midi, dans un café. Elle se pointe fringuée comme une starlette, talons hauts, collant léopard, décolleté, et lunettes. Elle me dit s’être déjà fait aborder deux fois dans le métro en arrivant, je ne suis pas étonné ! Nous continuons à faire connaissance, nous parlons cette fois surtout de moi, de ma situation familiale, de mes relations multiples avec des femmes et de mon accord avec ma femme. Elle semble réceptive, de fait je sais bien qu’elle ne manque pas d’amants, en même temps elle semble un peu perplexe. Nous évoquons Marine à demi-mot. A ce stade j’ignore si elle est au courant de l’intimité de notre relation. Je ne tiens pas à lui révéler quoi que ce soit que Marine ne lui aurait pas déjà confié, et elle-même ne souhaite visiblement pas me montrer ce qu’elle sait. Nous en restons donc là.

Elle me montra des photos d’elle plus ou moins dénudées sur son téléphone, qui ont été prises par un photographe pour son press book de mannequin. Elle ne repousse pas mes quelques caresses et bisous, mais elle ne répond pas. Elle semble gênée par les manifestations d’affections, en tous cas dans un lieu public. Qu’à cela ne tienne, la prochaine fois je lui donnerai rendez-vous dans un endroit plus privé. Sachant que mon épouse est en déplacement la semaine suivante, je lui propose de venir dîner chez moi. Elle me promet de me donner sa réponse dès qu’elle connaîtra son planning.

Le lendemain j’échange quelques emails avec Marine. Au même moment, je reçu un mail de Malorie : « Je voulais juste te dire que je ne viendrai pas la semaine prochaine. Pas parce que je ne peux pas mais parce que je ne veux pas. Nous avons eu l’occasion de discuter de ta philosophie de vie et de la mienne et ce n’est pas compatible. Tu es du genre assez libertin. J’aime beaucoup parler avec toi car tu es un homme très intéressant… Je dégage quelque chose de sexuel mais c’est une illusion. Je suis très sensible aux sentiments. Je sais que je pourrais facilement m’attacher à un homme comme toi et je sais que ce n’est pas ce que tu recherches. Mais ton comportement peut être ambigu car tu es très câlin, doux, attentionné… Et me connaissant je pourrais y voir autre chose que de la simple gentillesse à long terme. Je suis désolée. Et puis il me semble que ta relation avec Marine est assez ambiguë. Ne lui en parle pas ! Je sais que vous n’êtes pas amoureux l’un de l’autre mais c’est malsain de voir 2 amies à l’extérieur chacune son tour ! Ca en fait trop et de ce fait je ne prendrai pas ce risque. Mais ça n’empêche que je t’adore. »
Je ne savais pas quoi y répondre.

Quelques jours plus tard, Marine vient me chercher à mon bureau après le déjeuner. Nous allons prendre un café. Nous n’avons toujours pas grand-chose à nous raconter, alors vivement au lit ! Malheureusement elle n’a rien réservé. Je me retrouve à appeler différents hôtels du quartier au petit bonheur la chance. Heureusement je finis par en trouver un qui a une chambre libre tout de suite. Nous y allons de ce pas. Dès que nous nous retrouvons en chambre, comme par magie, nos langues se délient ! Nous y passerons bien 3 ou 4 heures de langage non verbal ! En plus comme elle est plutôt longue à jouir, elle me fait vraiment faire du sport bien au-delà de ce qui me suffirait. En revanche, moi, dès les batteries un peu rechargées, je suis prêt à remettre le couvert, ce qui la déconcerte quelque peu, elle me trouve insatiable, et c’est vrai, je le suis !

Le soir elle va danser au club, et elle a prévu de revenir dormir à l’hôtel, ça lui évitera de rentrer chez elle. Je lui propose donc de lui apporter un petit café le lendemain matin vers 9h, sur le chemin de mon bureau. Adjugé ! Le matin je lui envoie un petit texto de préavis un quart d’heure avant mon passage, et j’arrive avec le café promis. Elle est encore toute endormie. Je me désape en trois secondes et je passe sous la couette. Quel délice de me retrouver nu contre son corps tout chaud ! Notre câlin endormi ne va pas tarder à dégénérer. Cette petite session matinale sera l’une de nos toutes meilleures, pour une raison que j’ignore nous serons ce matin-là parfaitement en phase. Fort de cette expérience, nous remettrons régulièrement ce petit scénario après-midi plus lendemain matin.

Malgré le dernier message de Malorie, et entre temps un salon avec elle assez décevant, je décide qu’il en faut tout de même plus pour me faire baisser les bras ! Echange de SMS.

Moi : Coucou, tu me boudes ?

Malorie : Non je ne te boude pas. Je suis toujours d’accord pour retourner boire un verre avec toi. Mais je n’ai eu mon planning que très tard et je ne savais pas quand je serais libre. Et ensuite j’ai déménagé. Il y a aussi une autre raison. Même si tu pratiques le polyamour, ce qui doit être super intéressant, Marine et moi ne le pratiquons pas. Et en plus nous sommes vraiment très proches. Elle est plus qu’une collègue pour moi. C’est une véritable amie. Même si je suis persuadée qu’elle me cache quelque chose entre vous. Je le ressens par sa façon de parler de toi ou de me poser des questions sur nous. Bref un verre de temps à autre je ne suis pas contre mais je ne veux pas perdre une amie. Je te trouve vraiment super. Ne lui dit rien s’il te plaît.

Moi : Mon œil ! Je sais bien que tu as des amants plein les placards !

Malorie : J’avoue que j’ai des amants mais c’est juste du sexe et en aucun cas je ne passe la nuit avec, ou je ne leur permets de faire des câlins ou de m’embrasser! Je sais que je suis dure mais avec moi c’est de l’amour ou du sexe pur et dur !

Moi : Du sexe sans câlins et sans s’embrasser ! T’es pas croyable toi !

Je reste très décontenancé par la vision qu’a Malorie de ses relations avec les hommes. Mais bon, si ce qu’elle veut, c’est du sexe sans affection, je dois bien pouvoir m’adapter, non ? Je vais de ce fait m’accrocher sans oublier Hanaa et Marine !

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