Ceci est un récit d’une expérience réelle que j’ai eu le mois dernier. Ayant beaucoup apprécié cette précédente visite dans ce sauna club parisien – situé près de la gare de Lyon, je décide de poster une annonce sur leur site en précisant mes phantasmes qui n’ont fait que grandir suite à cette aventure. Cette annonce est la suivante :
« Laurence, travestie très soumise, adepte de la pluralité masculine, sera à votre disposition vendredi prochain (c’était en septembre de cette année). Sa langue experte saura s’occuper de votre queue. J’apprécie les douches de sperme abondant et j’adore être prise en main par des mâles exigeants. Vicieux ne pas s’abstenir ». Je laisse mon adresse mail pour que les hommes intéressés me contactent.
Dans les jours suivants, je reçois des contacts de toutes sortes : phantasmeurs du bout du monde, frustrés qui veulent des photos, rustres qui me traitent de tous les noms d’oiseaux… bref, une catastrophe. Sauf un mail très courtois de Claude. Il se décrit comme un senior de 67 ans, discret, très attentionné, voulant découvrir le sexe avec une travestie, connaissant le club, mais n’ayant jamais sauté le pas. Il se dit poilu, avec un membre dans la moyenne, plutôt dominateur, très exigeant. Après quelques échanges par mail, il me fais savoir qu’il est très directif, qu’il aime bien dominer et être obéi, mais que il saura rester très attentif aux limites que lui fixent ses partenaires. Il est disponible ce vendredi-là, et nous décidons de se donner rendez-vous à l’intérieur du club en tout début d’après-midi.
Le jour venu, je prépare mon sac avec mes tenues de travestie soumise : guêpière blanche et petite culotte en dentelle blanche à frou-frou, bas résilles noirs, escarpins noirs à talons hauts, perruque noire. Bien sûr, je n’oublie pas la trousse de maquillage et quelques accessoires plus hards : collier de chienne soumise, laisse, et un écarteur de bouche que j’ai bricolé. Ce bâillon permet de maintenir ma bouche ouverte, facilitant la pénétration des queues de mes amants.
Arrivée au sauna en garçon, toute émoustillée de mon futur rendez-vous, je sonne et un charmant jeune homme sud-américain m’ouvre. Il me fait diriger vers le vestiaire réservé au travesties et aux femmes. Après m’être déshabillée, je me rafraichi en prenant une douche. Peu de monde en ce début d’après-midi, quelques blacks en recherche de femmes en manque, un ou deux gays qui les regardent avec des regards plein de désirs. Je retourne dans le vestiaire, me sèche et commence à me préparer. Je m’habille en petite pute en sous-vêtements, je me maquille outrageusement, parfum très capiteux. Pour éviter tout malentendu, je m’attache mon collier de chienne autour du cou.
Je sors du vestiaire, très excitée, un peu hésitante, craintive de ce qui va peut-être m’arriver. Cependant, je suis quand même là, dans cette tenue de petite soumise, pour être malmenée !
Je déambule dans le sauna, en roulant des hanches et du cul, exhibant mes jambes gainées de résilles. De longs moments se passent, pas de contact, pas de trace d’un senior pouvant correspondre au signalement de Claude. Je décide de me rendre au sous-sol, lieu plutôt fréquenté par des gays. Et là, pas plus de succès ! Je commence à désespérer. Pour patienter, je remonte à l’étage pour prendre un thé. Je m’assois sur le canapé et j’attends en sirotant ma boisson. 10 minutes après, la sonnette retentit, un vieux monsieur entre dans le sauna. Cheveux gris, un peu enrobé, assez élégant, très poilu. Il jette un coup d’œil autour de lui. Et il plante son regard dans le mien. Il s’approche doucement.
«- Bonjour, vous êtes Laurence ?
– Oui, et vous, vous êtes Claude ?
– Non, je suis ton Maître et je veux que tu baisses les yeux quand tu t’adresses à moi. »
Voilà une belle entrée en matière !
« – Je vais me doucher. Tu m’attends là et tu ne bouges pas. »
Je ne bronche pas, je rougis devant l’humiliation publique que je viens de subir. Les 2 hommes assis à côté de moi rigolent doucement : « Elle va en prendre plein la gueule la petite pute ! »
Cela n’est pas fait pour me rassurer. Cinq minutes après, Claude est de retour, une serviette autour des reins, qui met en valeur son ventre un peu rond, ses poils abondants et visiblement un sexe très imposant. Il s’approche de moi, me tourne autour.
« – Lèves-toi, Laurence, et tournes-toi que je te mate ! Hummm ! une vraie tenue de salope ! et une bouche maquillée comme je les aimes !
– Oui Maître !
– Suis-moi ! »
Il me saisit alors par mon collier et me traine devant tous les mecs présents à travers le sauna. Il se dirige vers le coin vidéo, occupé par un mec en train de se masturber en regardant une vidéo où l’on voit une bourgeoise siliconée qui suce bruyamment la bite d’un homme très bien pourvu par la nature.
Claude s’assoit sur la banquette. Je suis debout, en face de lui. Il ne dit pas un mot. Il m’appuie sur la tête et m’oblige à m’agenouiller en face de lui. Il attire ma tête entre ses jambes, se défait de sa serviette. Quatre voyeurs se sont approchés, la main sur le sexe, se caressant à travers leur serviette.
« – Tu es là pour ça, salope. Suce ! »
Il prend ma tête entre ses deux mains, approche ma bouche de son sexe et force mes lèvres. Tous doucement, avec fermeté, il utilise ma bouche pour se masturber doucement, profondément. Il me caresse délicatement le visage, promène son gland sur mes joues.
« – Tu es vraiment une très bonne suceuse, il n’y a que des femelles comme toi qui sucent aussi bien ! c’est beaucoup mieux que ma femme ! »
Il reprend les va et vient de sa queue dans ma bouche. Je sens des mains baladeuses qui commencent à me caresser les fesses.
« Je vois que tu as du succès auprès de tous ses mecs ! mais tu es ma chose et tu m’appartiens! »
Il demande alors aux voyeurs de cesser de me tripoter.
« Lèches-moi mon petit trou, puisque que tu es une vraie cochonne ! »
Je suis interloquée. Devant tout le monde, être obligée de lécher le trou du cul d’un homme que je ne connaissais pas il y a une heure. Je fais un mouvement de recul.
« Tu vas m’obéir, je suis ton Maître et je ne te laisse pas le choix ! »
Il se cambre, empoigne ma tête et la plaque contre son anus.
« Je veux sentir ta langue dans mon trou ! et plus fort ! et mouilles moi bien le fion ! plus fort ! plus fort ! ta langue ! je veux la sentir ! »
A ce moment, un voyeur qui s’astiquait la bite ne se retient pas et gicle sur mes fesses, les trempant de sperme abondant.
« Tu vois salope ! tu les fais jouir ! tu es vraiment bonne ! »
Après un léchage consciencieux de son anus, je me recule pour reprendre ma respiration. Claude me flatte les fesses et me complimente.
« Tu es ma petite servante d’amour ! j’aime ta langue sur mon cul !
– Merci Maître, ce compliment…
– Ta gueule ! Tu mérites une récompense : suces-moi plus fort et fais-moi jouir.»
Il me replace en position, tête entre les jambes et je recommence à lui sucer son sexe. Moins de cinq minutes après, je le sens qui commence à s’agiter, à remuer sa queue dans ma bouche de façon désordonnée.
« hummmm… c’est bon, Laurence, c’est bon, je jouis dans ta bouche !!!! »
Et il m’envoie son sperme dans la bouche. Cela déborde, et coule le long de mon visage. Je recrache sa giclée, et Claude se passe son sexe encore dressé sur mes joues, étalant le sperme sur mon visage.
« Laurence ! ne t’essuies-pas ! je vais te promener à travers le sauna toute maculée de sperme pour que tout le monde sache que tu es ma pute ! »
Il me fait lever, me saisit par le collier de chienne, et me traine derrière lui le long du couloir, devant des voyeurs égrillards, qui se marrent en me voyant maculée de sperme. Je me sens rougir de honte, mais aussi de plaisir. Ma petite queue se dresse, déformant ma petite culotte de dentelle, ce qui ajoute à ma confusion.
Après cette petite balade où ma condition de soumise se voit confirmée, le Maître m’invite à une petite pause-café.
« – Vas te refaire une beauté, et rejoint moi !
– Maitre, voulez-vous que je vienne avec ma laisse ?
– Bien sûr ! »
Je m’exécute et je me dirige vers le vestiaire pour me laver, me remaquiller et accrocher la laisse à mon collier. Je m’approche de Claude.
«- Assieds-toi près de moi, petite coquine !
– Merci Maître ! »
J’obtempère et m’assied près de lui, juste à côté d’un vieux monsieur, ventre avachi, mal rasé, bref, pas très sexy. Ce dernier commence à se rapprocher de moi, à frotter sa jambe contre la mienne, à me regarder de façon insistante. Claude est loin de s’en émouvoir. Sans un mot, il prend la main du type et la dirige sur ma jambe. La main remonte petit à petit, se rapproche de ma petite culotte encore tendue. Le vieux monsieur commence à me caresser le clitoris, qui se met à s’agiter, à grossir et à déformer ma petite culotte. Situation très gênante !
« Tu aimes, Laurence, te faire caresser comme ça devant ton Maître ? »
Je ne suis pas en état de répondre. Les caresses se font de plus en plus présentes. Claude demande alors au vieux d’arrêter. Je suis toute excitée, et l’envie de me branler est très forte. Claude se lève, me demande de le suivre et il m’entraine au sous-sol. Il entre dans le salon glory-hole, m’y pousse et me fais agenouiller devant un trou.
« – Laurence, je veux que tu te branles et que tu jouisse en suçant la première queue qui se présentera dans ce trou !
– Oui Maître, avec plaisir.
– Tu n’es pas là pour prendre du plaisir, mais pour te soumettre à mes volontés. Pour te le rappeler, tu vas te mettre à quatre pattes et cambrer ton petit cul. »
Je m’exécute sans un mot. Claude commence à me donner des petites fessées sur mon cul bien tendu. A ce moment, une queue apparait dans le trou : petite, flasque, pas très appétissante. Je suis sûre que c’est le vieux de tout à l’heure qui veut aller un peu plus loin que de furtives caresses.
« Suces salope, et avec conviction ! et tu te branles en même temps ».
Je prends le petit sexe dans ma bouche, et commences à lui donner des coups de langue pour le faire grossir. Il a tendance à jouer les filles de l’air, sa taille et sa mollesse ne me facilite pas la prise en bouche. En même temps, je passe la main dans ma culotte et commence à me caresser le sexe, doucement, en dégageant bien le gland tout humide. Cette position de parfaite soumise (fessée par mon Maître, une queue molle dans la bouche, me branlant comme une chienne…) est le comble de l’humiliation. Je me sens si salope, si soumise et tellement honteuse, tout en étant excitée. Les fessées se font plus rapprochées et plus fortes. La queue que j’ai en bouche commence à grossir, l’homme s’agite, et il commence à grogner. Il me présente ses petites couilles poilues, que je prends en bouche, consciencieusement, avec application, passant la langue sur ces boules poilues. Il remet sa queue devenue dure entre mes lèvres et continue à faire des allers et retours dans ma bouche. Il retire soudainement son sexe, se masturbe frénétiquement quelques instants et son sperme gicle, maculant ma perruque et ma guêpière. Claude m’assène alors une fessée très forte et je ne peux pas me retenir, éparpillant ma semence dans ma culotte de fille, en émettant un petit couinement de femelle assouvie, ce qui fait rire mon Maître !
« Elle a bien pris son pied ma petite Laurence ! » Claude me claque alors le cul une dernière fois, puis avec douceur me caresse le cul, les jambes. Il me relève, me caresse encore avec tendresse.
« Je vais te quitter, ma petite femme, mais je compte passer encore de très bons moments avec toi. Tu as mes coordonnées, n’hésites-pas à me faire signe quand tu reviendras dans ce club. Je te réserve d’autres petits plaisirs cochons ».
Il me saisit alors le visage et m’embrasse tout en me flattant la croupe. Il se dirige alors vers la douche, me laissant toute maculée de foutre et très gênée devant les voyeurs témoins de ma petite séance de soumission.
Je ne suis pas retournée dans ce club depuis, mais je n’ai qu’une envie : y retrouver de nouveau Claude pour qu’il me réduise à ma condition de femelle obéissante et sans pudeur.
Ajouter un commentaire