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la fameuse Rachel.

la fameuse Rachel.



Un imprévue obligea mes parents les obligea à renoncer à leurs vacances.
Ils me confièrent Rachel,une amie de ma mère, que je n’avais pas vu depuis 2 ans.
Elle habitait un hameau dans le Var à 2 minutes de la mer, la maison qu’elle avait hérité de ses parents.

Rachel avait fait un apprentissage de cuisinière chez un chef à 2 étoiles, obtenant d’exceptionnelles notes, avec mentions, à ses examens finaux. Elle travailla quelques années chez une star de la gastronomie française, puis elle changea complètement d’orientation, supportant mal les horaires et le stress de la profession.
Depuis maintenant dix ans, elle vivait sa seconde passion, écrivant des romans, des livres pour enfants et des articles pour des magasines.
Elle en vivait aisément. A son rythme.

Rachel vint me chercher en voiture, une superbe petite Triumph rouge. Lorsqu’elle en sortit, je fus sidéré, cloué sur place. Je n’avais jamais vu une aussi belle femme!

Elle était très ronde, avec un visage solaire et un sourire à faire fondre la banquise.
Ses yeux bleu vert et sa chevelure carotte en bataille, sa peau cuivrée et sa robe de coton rouge me provoquèrent une érection fulgurante. Je fus content d’avoir ma valise en main pour la cacher.
Elle avait trente cinq ans, de ma taille, 165 cm, des seins inouïs et de superbes fesses à l’africaine.
On l’aurait dit sortie d’un tableau de Botero. Enfin, j’exagère un petit peu…

Le voyage fut comme un rêve. Dans une Triumph décapotée, avec la plus belle femme du monde qui me conduisait, ses cheveux roux dansant dans le vent, faisant plusieurs haltes pour sucer une glace ou boire un verre, je nageais en plein bonheur.
Ça me changeait du départ en vacances habituel.

En arrivant, elle me montra ma chambre et me laissa le temps de m’installer, me disant qu’elle prenait sa douche et qu’elle m’appellerait pour le souper.
Après avoir défait ma valise et rangé mon bagage dans les tiroirs, je me dis que je prendrais volontiers une douche à mon tour.
Je me dirigeai vers la salle de bain, le cœur battant à l’idée que ma rachel y serait encore.
Elle avait fini, mais son odeur délicieuse flottait encore dans la pièce. Je remarquai que j’avais une légère érection, mais lorsque je trouvai deux poils roux et frisés dans la douche, ma queue bondit vers le ciel. Je ne pus me retenir de me branler et je suis venu en dix secondes.

Elle avait dressé la table sur la terrasse, et m’attendait, vêtue d’une petite robe verte, tout aussi excitante que ce matin.
Rachel m’offrit un verre de rosé, sous prétexte que c’était les vacances et qu’elle recevait rarement des hommes chez elle.
Avant même de boire, la tête me tournait!
Le repas fut délicieux: des fruits de mer en entrée puis un petit gratin sec de légumes avec des tranches d’agneau fondantes, nappées d’une sauce au romarin et à la lavande.
Je n’avais jamais rien mangé d’aussi bon!
Ma mère cuisinait très bien, je me régalais souvent. Je l’aidais fréquemment à préparer le repas du soir, après mon devoir. Je connaissais les bases.
Mais là! Rachel atteignait des sommets!

Nous sommes restés un long moment à savourer la douceur de la nuit, le bruit de la mer au loin, discutant de ceci et cela.
Puis nous sommes allés nous coucher, fatigués par le voyage.

Je n’arrivais pas à dormir. Moi, comme un prince, chez une splendide femme de 35 ans, dans un coin de paradis, à me faire dorloter.
Je dus me masturber deux fois avant de trouver le sommeil.

Au matin, je descendis dans la cuisine et je trouvai un joli petit déjeuner qui m’attendait.
Je ne vis personne et je pensais qu’elle était sortie. Après avoir mangé, je sortis sur la terrasse et je vis Rachel sur un lit de camp, sous le grand pin au bout du jardin.
Je me dirigeai vers elle. Elle m’entendit arriver et me dit avec son immense sourire.
Je me sentis chavirer, j’avais rêvé de cette scène il n’y a pas une heure, ce qui m’avait réveillé avec une érection en bois.
Je m’exécutais aussitôt, me délectant à masser cette peau si douce, cette chair tendre et ferme à la fois… C’est la première fois que je touche une femme. Et quelle femme!
J’avais, par ignorance et conformisme, le goût des grandes blondes presque maigres, avec de gros seins.
Celles qu’on voit partout et qui donnent des complexes aux femmes « normales ».
LE modèle occidental.

Elle me ramena sur terre en me demandant:
– « C’est moi qui te met dans ce état? »
Je fus horriblement gêné et me pliai en deux pour tenter de cacher ma gaule.
Elle rit de bon cœur et me dit:
-« Ça fait longtemps qu’on ne m’a pas fait un si joli compliment! Ne sois pas timide, redresse toi et fais moi voir tes muscle. »
Je lui obéis, tentant de gonfler mes biceps.
Elle sourit et me dit qu’on ne voit rien avec tous ces vêtements.
J’enlevais mon t-shirt et elle me regarda avec insistance jusqu’à ce que je me débarrasse de mon short.
Elle me fit signe d’approcher, s’assit au bord de son transat puis caressa tout mon corps, très doucement, posant son front contre ma poitrine, me provoquant des sursauts ou des frissons, suivant où passaient ses mains.
J’étais en extase, les yeux fermés.
Je ne remarquai pas tout de suite qu’elle ne me touchait plus. Je rouvris les yeux pour m’apercevoir qu’elle était debout devant moi, complètement nue, si belle.
Elle me serra dans ses bras, frottant lentement son corps dodu et ferme contre le mien. Ses seins durs, comme des melons jaunes, brûlaient ma poitrine. Ce contact fut si chaud et vibrant que j’éjaculai sur ses cuisses.
Mort de honte, je me risquai quand même à la regarder du coin de l’œil. Une larme roulait sur sa joue et elle me souriait tendrement. Elle me serra fort dans ses bras, puis elle me relâcha un peu pour m’embrasser à pleine bouche.
Mes genoux ne me portaient plus, la tête me tournait, on se laissa couler sur le gazon. Elle se mit au dessus de moi, m’embrassant et se frottant contre moi.
Ma bite me gênait, elle était à nouveau toute dure et se trouvait coincée entre nos ventres. Rachel se redressa un peu, bougea son bassin et je sentis que ma queue touchait quelque chose de très chaud et gluant. Une seconde plus tard, je me sentis aspiré dans sa chatte brûlante.

Elle brisa le silence: – « Je suis désolée,je suis l’amie de ta maman, ça n’aurait jamais dû arriver!
Mais quand je t’ai vu là, je n’ai pas résisté. D’ailleurs je ne résiste à rien… vois ma silhouette… Excuse-moi, je suis en dessous de tout! »
Je répondis: -« Ne sois pas désolée, Rachel tu n’as pas remarqué que j’avais les yeux scotchés dans ton décolleté? Je ne rêve que de toi depuis que je suis arrivé!
Elle rit. –  » Ben, non! Je n’avais rien remarqué. Mais tu es devenu un vrai obsédé, tu bandes à nouveau! Et en plus tu as une très belle queue, épaisse comme il faut! Elle rit de plus belle.

Elle me caressait tranquillement. Je faisais de même, mais j’étais un peu perdu dans sa touffe flamboyante.
–  » Viens entre mes jambes »
Un filet de sperme s’écoulait doucement vers son anus.
Elle sentait tellement bon, elle était tellement jolie, que je ne pus résister à l’envie de lui faire des petits baisers puis de lécher cette splendide orchidée baveuse.
Rachel qui se tenait jusque là appuyée sur ses coudes, se laissa tomber en arrière en faisant « Niaaahahahh ».
Elle respirait fort, la tête en arrière, lâchant de temps en temps un gémissement tremblotant.
Je léchais son petit bouton elle souffla « Ouihihihhhh ».
Ses jambes vibraient. Je léchais plus fort, encore plus fort… je commençais à avoir une crampe à la langue lorsqu’il me vint l’idée d’aspirer son bourgeon entre mes lèvres.
Elle poussa un grognement rauque. Devant cet encouragement, j’aspirai son clitoris aussi fort que je le pus, le taquinant du bout de la langue.
Son corps se contracta brusquement, son vagin fit un bruit de baiser mouillé et elle m’envoya plusieurs giclées de jus brûlant au visage.
Elle tremblait de partout, riant doucement, hors d’haleine.
A la voir ainsi, je jouis sans même me toucher, à quatre pattes sur le gazon, entre les cuisses dodues de mon amante, le visage dégoulinant de son jus.
Je m’allongeais près d’elle, elle prit ma main à tâtons, la serrant fort et resta ainsi, avec son immense sourire, sa respiration se calmant peu à peu.
Il devait être midi, il n’y avait plus aucun bruit.
Dans l’ombre du grand pin, une légère brise nous rafraîchissant, nous nous sommes laissés gagner par le sommeil.

Plus tard dans l’après midi, elle m’emmena à la plage. La mer était bonne et nous avons joué comme des fous dans l’eau. Je dus nager un bon moment, avant que mon érection ne se calme et que je puisse sortir de l’eau et la rejoindre.
Une fois rentrés, elle me mit au travail dans la cuisine, comme tous les jours qui suivirent.
–  » Ça fait longtemps que je n’ai pas eu d’invités, je vais profiter de ta présence pour réviser un peu mes meilleurs plats. »
Elle ne me donnait pas les tâches ingrates, elle me donnait plutôt un cours de cuisine accéléré.
Me faisant distinguer « bien caramélisé » de « presque brûlé », me faisant sentir tous ses pots d’épices, jouant à faire des associations. Me faisant remarquer « à l’oreille » les moments où on pouvait faire autre chose et quand il fallait intervenir pour tourner, mouiller…
Et même des conseils pour tirer le meilleur parti des surgelés à passer au micro-ondes.
Nous avons mangé comme des princes pendant ces vacances.

Depuis ce jour, je « dormis » dans son lit.
Sortant de la douche, je me lançai sur le grand lit de Rachel, dans un mouvement digne d’un gardien de but.
A voir son corps tressauter, je bandais à nouveau.
Elle m’empoigna et entreprit un léger va et vient, les yeux dans les yeux. Je voulus la caresser, mais elle repoussa ma main. –  » Concentre toi sur tes sensations… »
Je fermai les yeux. C’était trop bon. Bientôt je sentis que j’allais venir. Rachel le sentit aussi. Elle ralentit son mouvement et murmura: –  » Inspire à fond et bloque ta respiration, serre les fesses, regarde le mur… Voilàààà, on peut continuer… »
Et ainsi de suite, cinq ou six fois.
Je crus que j’allais devenir fou.
Soudain, elle changea de position et prit ma queue dans sa bouche. C’était tellement fort, sa langue qui tournait autour de mon gland, cette aspiration, sa main qui caressait mon ventre, l’autre qui me serrait les couilles…
J’ai joui dans sa bouche à gros bouillons, des éclairs bleus dans mes yeux, agité de spasmes inconnus jusque-là. Je ne voulais pas que ça s’arrête!
Rachel toussa, étouffée par mon flot de sperme, mais elle n’en perdit pas une goutte.
Elle se retourna et vint m’embrasser .
Malgré le bond que fit mon coeur dans ma poitrine, en entendant cela, je n’eus pas une vraie érection. Elle m’avait vidé.

Entendant cela, je m’enhardissait toujours plus, j’avais maintenant trois doigts dans sa chatte dégoulinante
–  » Continue comme ça, chéri, j’ai une furieuse envie de me sentir pleine! Si tu continues avec cette douceur, tu auras bientôt toute ta main en moi. Viens! »
Je me risquais à ajouter mon petit doigt, il fut accueilli avec un long soupir.
Je tournais, entrais et ressortais de son sexe baveux en produisant des bruits qui m’excitaient beaucoup ( je pensais à respirer profondément…)
Elle me montra sa main dans une position avec le pouce sous l’index, comme une fusée, puis roula ses doigts pour faire le poing.
J’essayai. J’appuyais plus fort, ma main entra presque sans effort. Rencontrant du bout de mes doigts le fond de son vagin, je roulai mes doigts comme elle me l’avait montré et je continuai d’avancer. Ma main fut aspirée par son ventre, engloutie jusqu’au poignet. J’eus le sentiment d’être son prisonnier pour l’éternité.
Rachel était en extase, étalée sur le lit comme une étoile de mer, son ventre gonflé et tendu comme si elle était enceinte, son sexe palpitant autour de ma main.
Voulant tester ses dires jusqu’au bout, je serrais mon poing et j’essayais de sortir ainsi. Je n’eus pas de protestation, juste une augmentation de gémissements. Rachel releva ses jambes, tenant ses genoux de ses mains.
Je continuai à tirer, le poing fermement serré. Le spectacle de sa chatte se déroulant, s’étirant autour de mon poing faillit me faire venir.
Ma main glissait très lentement vers la sortie. Rachel avait la respiration courte, son visage était perlé de gouttelettes. Et toujours son sourire angélique!
Ma main sortit avec un bruit de succion qui aurait pu être horrible en d’autres circonstances.
Elle me souffla –  » Encorhhhh!!! »
Je recommençais, encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort… Jusqu’au moment où elle m’inonda de cinq ou six grandes giclées de jus, dans un râle digne d’une tigresse.
Rachel serra les jambes et me fit comprendre d’un grognement et d’un coup de patte sur ma main qu’il ne fallait plus la toucher.
Je restai ainsi, la trique dressée, regardant ma tante vibrer, ses tétons sombres tendus vers le ciel…
Elle se tourna vers moi, m’embrassa à pleine bouche et me murmura : –  » Oh, toi!… Merci…  » Et elle s’endormit dans mes bras. Étrangement je ne sentis pas le besoin de me « finir », je me sentais comblé.

Elle descendit, tout lentement jusqu’à ce que nos pubis se rencontrent.
Rachel fit onduler son bassin, la sensation autour de ma queue était extraordinaire, mille fois meilleur que ce que je pouvais faire tout seul.
Il faisait si chaud dans son ventre! C’était si mouillé et palpitant…
Son beau visage au dessus de moi, entouré de l’incendie de ses cheveux, les yeux mi-clos, un sourire flottant sur ses lèvres charnues, son haleine enivrante, la caresse de ses cheveux sur mes épaules, ses baisers, ses soupirs…
Je jouis encore une fois.
Rachel ne s’arrêta pas pour autant. Elle ralentit un peu ses mouvements, me mordilla l’oreille, me murmura – « Encore”. Je malaxais ses seins avec passion. J’ouvris les yeux. Je ne reconnus pas son visage, ses traits exprimaient presque de la souffrance, de la supplication, elle était affamée!
Cette vision fit bondir mon sexe dans son ventre dégoulinant, je bandais à nouveau comme un cerf et son mouvement de bassin m’électrisait au point de me conduire vers une nouvelle jouissance, mais cette fois elle prit les devants. Elle se cambra soudain. Je la sentis trembler comme une feuille, serrant ma bite dans son sexe brûlant. Puis elle explosa avec un grand cri. Ma verge malaxée dans son ventre en furie, je ne pus me retenir et j’ai à nouveau joui.
Elle se laissa tomber sur le dos à coté de moi en riant. Elle prit ma main et la posa sur sa chatte trempée puis elle saisit ma bite qui se dégonflait doucement.
Nous sommes restés longtemps sans bouger, un petit vent doux entretenant nos
frissons.

Pour notre dernier jour, elle m’envoya seul au marché, avec pour mission de lui préparer de A à Z un repas surprise. Examen de sortie!
Mon feuilleté aux cèpes fut qualifié d’un – » Très bien. Bravo! »
Le magret de canard, sauce à la cardamome, garni d’une fine tranche de citron confit, pomme de terre rôties et endives braisées fut récompensé d’un long baiser par dessus la table.

Au retour pour aller chez mes parents , elle fit un détour pour me montrer Roussillon. Nous sommes allés faire un tour dans les carrières d’ocre.
Rachel, d’un air farceur m’attira derrière une immense colonne d’ocre panachée, à une vingtaine de mètres du chemin. Elle se mit nue, me tendit ses vêtements et m’envoya me cacher à une dizaine mètres de là, derrière un bosquet. Elle se frotta contre la roche, se fit quelques peintures de guerre avec les mains et s’adossa à la colonne, pieds croisés, une main dans les cheveux, l’autre sur la hanche. Elle avait disparu!

Elle connaissait une petite rivière serpentant sous les arbres pas loin de là. Nous nous sommes baignés, avons fait l’amour dans un fourré, nous sommes re baignés, séchés au soleil, et nous avons repris notre route.

Arrivés à l’entrée de ma ville, elle bifurqua à droite pour entrer dans un petit bois, roula encore cent mètres et s’arrêta dans une clairière.

Mais tant que nous sommes là, j’ai envie d’un dernier câlin avant de te rendre à tes parents.
Elle sortit une couverture du coffre de la voiture. Je la suivis jusqu’à une autre clairière, beaucoup plus petite. – « Là, nous serons bien! » dit-elle en étalant la couverture. Elle enleva sa robe pendant que je me déshabillait. Et nous fîmes l’amour tendrement, nous retenant de jouir pour faire durer un peu plus ce moment merveilleux.
Nous n’avons pas pu nous retenir très longtemps, mais nous sommes restés unis presque sans bouger un grand moment. Je sentais mon sexe se ramollir et glisser tout lentement hors de cette chatte adorée.
Il sortit en faisant un très léger bruit de baiser. Rachel rit et dit –  » La nature à parlé!  » Il est temps. On s’embrassa et se toucha fiévreusement une dernière fois, puis on s’habilla et reprîmes la route.

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