Dépravée, humiliée, ayant perdu tout sens de dignité et de respect, c’est avec la peur au ventre que Tina et Annika débutaient leurs journées. Cela faisait 3 mois que Tina était devenue une pute pour le compte de Charles. Elle passait 12 heures par jour à subir l’assaut de ce qu’étaient maintenant ses clients.
Un morceau de viande en bikini juché sur des plates-formes, voilà ce qu’elle était devenue. Un vulgaire appât prêt à se faire embrocher par des bêtes en rut. Des connaissances, nouvelles et anciennes de Charles prêt à mettre un petit billet de 50 pour se soulager.
Et si ce n’était que ça … L’heure de rentrer venue, Charles revenait, prenait l’argent de la journée et plantait les filles dans le coffre de sa voiture, après leur avoir bien sûr couvert la tête d’une cagoule. Seul un trou au niveau de la bouche permettaient aux filles de pouvoir respirer … et de Charles de trouver une ouverture pour sa queue lorsqu’il ne pouvait pas attendre …
Une fois rentré dans son appartement, c’était toujours la même rengaine. Elles devaient enlever le peu de vêtements qui les habillaient et rester nue. Il choisissait l’une des 2 filles qu’il baisait le temps que l’autre préparait son repas. Une fois celui-ci terminé, il s’installa sur le canapé et regardait la télévision pendant que les filles mangeaient à leur tour ou faisaient le ménage. Il arrivait qu’une envie soudaine de prendre sauvagement l’une des 2 arrive avant que l’autre ne subisse la même chose juste avant qu’il n’aille dormir.
Elles n’avaient pas de lit, juste une sorte de paillasse et une couverture était posée en guise de couche à partager. Les matelas de la maison de passe était bien la seule chose dont elle pouvait regretter venant de là-bas.
Tina, voulant tenir la tête haute, était encore résistante à cette ambiance de vie putassière. Annika ne l’était plus. La première essayait alors de lui rendre la vie moins difficile à la deuxième, lui offrant un peu de douceur en la prenant dans ses bras.
Le week-end, les filles allaient dans la maison de passe le soir. La journée se passait alors comme un en semaine. Charles profitait pour satisfaire ses pulsions sur l’une ou l’autre, quel que soit l’heure de la journée. Il arrivait qu’elles restent le samedi soir car Charles avait préparé une soirée. Une soirée entre hommes ou, bien sûr, Tina et Annika étaient les objets de convoitise de ces bêtes en rut. C’était toujours pour se terminer au petit matin après plusieurs heures de gang bangs où elles finissaient dans un état lamentable.
C’est lors de l’une de ces soirées que vint un miracle. L’homme qui les fit sortir de cette vie misérable. Au contraire des autres soirées qui se passaient en groupe, l’homme était seul. Il n’était pas comme les autres: Grand, brun, bien bâti, habillé d’un costume noir très classieux, chapeau sur la tête et tenant une canne avec un pommeau garni de tâches léopard. Il avait la quarantaine bien entamée, plus vieux que tous les clients réguliers des 2 filles. Il respirait le charisme à plein nez et faisait passer Charles pour un être aussi ridicule qu’un bouton sa veste.
Charles semblait à peine connaître l’homme et ne parlait pas à lui comme il parlait aux autres. Il l’appelait le Bélial et l’avait rencontré la semaine qui précédait lors de l’une de ses sorties en broîte. De passage à Paris pour la semaine, le Bélial était à la recherche de soumises. Il était prêt à « essayer la marchandise » et à y mettre le prix si elle lui convenait. La vénalité de Charles n’a alors fait qu’un bond et a proposé de venir chez lui pour lui montrer ses putes.
Tina avait néanmoins remarqué quelque chose d’anormal … le Bélial avait l’air de porter plus d’attention à Charles qu’à elles. Les regards qu’ils portaient sur Charles étaient intenses, comme s’il se faisait une description physique du fils Baygue dans sa tête.
Une fois assis sur le fauteuil, il fit face aux 2 filles assises par terre. Il montra Tina avec sa canne.
« – Toi, la blonde, fait ce que tu as à faire. »
Si Charles a utilisé les menaces pour soumettre Tina et Annika, le ton autoritaire du Bélial était suffisant. Elle s’avança vers son entre-jambe et ouvrit délicatement le pantalon de l’homme. Une pièce gigantesque en sortit. Cette immense queue avait la même épaisseur que le bras de Tina et plus de 2 fois la taille du sexe de Charles.
Une colonne de chair que Tina eu bien du mal à faire entrer en bouche. Elle dû s’y remettre à plusieurs fois avant de pouvoir engloutir le gland du Bélial. Elle se mit à suçoter ainsi pendant un certain temps avant que la main de l’homme ne pousse l’arrière de sa tête pour forcer l’entrée de la cavité buccale.
Il lui fallut un moment et un peu d’aide pour faire entrer la moitié du colosse dans sa gorge. Elle en eu des nausées et n’était pas loin de vomir lorsque le Bélial relâcha la pression.
« – Elle a plus l’habitude de faire avec des petites queues à ce que je vois. Il y a du travail à produire. Toi là, viens la remplacer. »
Tina se dégagea et laisse la place à Annika. Le regard noir de Charles en disait long sur ses pensées. Il venait de prendre une humiliation et Tina allait le regretter. Annika ne fit pas mieux qu’elle. Bien que lubrifié par la salive de son amie, elle eut beaucoup de mal à insérer le membre dans sa gorge. Mais une fois de plus, Tina vit que le Bélial ne semblait pas plus intéressé par Annika. Il préférait plutôt reluquer l’entre-jambe de Charles qui commençait à gonfler de plaisir.
« – Elle aussi, il lui faut du travail.
– Je suis désolé Bélial. Elles vous ont déçues ?
– C’est vous qui m’avez déçu, mon cher. Vous me les avez présentés comme des expertes, mais à voir la grosseur de votre érection dans votre pantalon, elles ont l’air plus habitués aux petites queues. Et je suppose que c’est pareil pour les clients …
– Je …
– Écoutez, je vais vous faire une proposition. Je les prends avec moi pour un mois. Je vous promets qu’à leur retour, vous pourrez les considérer comme des professionnels.
– Euh … D’accord. »
Le Bélial sortit son téléphone et passa un coup de fil. Pas deux minutes plus tard, un homme au costume simple entra. Il sortit un contrat d’une bonne taille d’un porte-document et le tendit à Charles. Il ne lut que la première des dizaines de pages qui lui avait été donnée et le rendit au Bélial.
Elles partirent dès le contrat signé. Le Bélial leur a simplement demandé de mettre quelque chose sur elle avant de partir. N’ayant que leur tenue de la maison de passe avec elles. C’est ainsi qu’elles sortirent de l’appartement.
Une limousine attendait au bas de l’immeuble. L’homme au costume simple entra à l’avant. C’était le chauffer. Une fois tous à l’intérieur, elles virent une femme blonde platine au corps de rêve et aux faux airs de Charlize Theron les attendre. Elle aussi était habillée d’une façon classieuse. Un tailleur d’un blanc éclatant laissant entrevoir une paire de seins assez volumineuse. Sous ses bas couleurs chair, Tina pouvait voir des tâches de léopard tatouées le long de sa jambe.
La femme sortit un petit appareil d’un tiroir en dessous de son siège et la fit passer dans le cou des 2 filles, désactivant la puce que Charles leur avait implanté. Le Bélial regardait les 2 filles craintives alors que la voiture se mit à rouler …
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