Ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait siffler dans la rue. La plupart du temps, elle ne se retournait même pas.
Elle n’avait pas tout à fait 36 ans.
Elle s’appelait Sophie.
Elle vivait seule et, dans le quartier, personne ne la connaissait vraiment.
Ce jour-là, elle se retourna pour vérifier qui l’avait sifflée comme ça.
A vingt mètres d’elle, elle vit deux jeunes gars, assis sur les marches d’une entrée d’immeuble, devant qui elle venait de passer sans les regarder.
C’était début juillet et elle portait une élégante robe légère, à petites bretelles, ornée de grosses fleurs un peu rétro, dans les tons chauds, jaune et orange. Un chignon et des nu-pieds noirs à talon. Elle savait que sa robe était transparente au soleil.
Elle revint sur ses pas et, à quelques mètres des garçons, elle dit :
« C’est vous qui venez de me siffler ? »
Il n’y avait personne d’autre en vue dans les parages. Le doute n’était pas permis, mais elle avait décidé de voir ce qu’ils avaient dans le ventre.
L’un des deux fit « non » de la tête.
L’autre baissa les yeux.
Elle leur donna plus ou moins 18 ans. Un brun à lunettes et un blond qui avait quelques boutons sur la figure.
Elle insista :
« Pourquoi vous m’avez sifflée ? »
Le blond répondit :
« Pour rien, m’dame. »
Elle sourit et posa ses poings sur ses hanches.
Le brun se décida à lever les yeux vers elle, un instant, sans rien dire.
Elle ajouta :
« Vous sifflez toutes les femmes en robe qui passent ? »
« Non, m’dame, dit le blond. »
Elle s’approcha mieux d’eux. Il y avait des bouteilles de bières vides à leurs côtés, et deux entamées. Le brun en prit une et but une gorgée.
« Vous avez l’air de vous ennuyer, dit-elle. »
« Non, m’dame, dit le blond. »
« C’est l’impression que vous donnez. »
Pas de réponse.
Elle continua :
« Cela dit, c’est vrai qu’il n’y a rien à faire ici pendant l’été. Pourquoi vous n’êtes pas à la piscine, avec le temps qu’il fait ? »
Le blond dit :
« On n’aime pas trop la piscine. »
Elle hocha la tête :
« Moi non plus, dit-elle, je n’aime pas trop. Il y a plein de monde. Elles ne sont pas chaudes, vos bières ? »
Le blond regarda la bouteille qu’il tenait entre les doigts.
« Ça va encore…, dit-il. »
« Buvez-les avant qu’elles parviennent à ébullition, dit-elle. »
Le blond sourit.
Le brun ne la regardait pas franchement.
A vue d’œil, ils avaient bu trois bières chacun.
« J’en ai des fraîches chez moi, dit-elle. Ça vous dit ? J’habite au numéro 37. Deuxième étage. »
Le brun à lunettes se décida à la regarder, l’air étonné.
L’autre termina sa bouteille et dit :
« Vous êtes sérieuse, m’dame ? »
« Oui, dit-elle. Vous me donnez envie d’en boire une, mais tant qu’à faire, autant la partager avec quelqu’un. »
Les deux gars se consultèrent du regard un court instant.
Le blond dit :
« On ne veut pas vous déranger, m’dame. »
« Vous ne me dérangez pas, dit-elle, puisque je vous invite. Deuxième étage, porte de gauche. Je vous précède. »
Puis elle s’en alla vers le numéro 37.
Moins de dix minutes plus tard, ils frappèrent, mais ils attendirent qu’elle vienne leur ouvrir la porte pour entrer.
« Vous sifflez les femmes dans la rue, dit-elle, mais en réalité vous êtes de gros timides. Entrez. »
Ils entrèrent, puis précédèrent la femme jusqu’à un salon très lumineux et meublé de façon sobre.
« Asseyez-vous dans le canapé, dit-elle. J’ai de la Leffe et de la 1664. Qu’est-ce que vous préférez ? »
« Leffe, dit le blond. »
« Pareil, dit le brun à lunettes. »
Et elle alla vers sa cuisine.
Quelques minutes plus tard, elle s’était installée entre les deux jeunes à qui elle donna chacun une bière.
« Vous vous appelez comment ? dit-elle. »
« Louis, dit le blond. »
« Maxime, dit le brun à lunettes. »
« OK, dit-elle. Moi, c’est Sophie. A la vôtre. »
Ils cognèrent leurs bouteilles et prirent des gorgées au goulot.
La robe à fleurs voilait à peine la moitié des cuisses de cette femme, et il semblait évident, à en croire l’échancrure, qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. En tout cas, le blond avait relevé ce détail. Le brun à lunettes avait toujours tendance à regarder ailleurs ou à baisser les yeux.
« Vous êtes au lycée ? demanda-t-elle. »
« Non, dit le blond, on va entrer à la fac. »
Elle acquiesça et dit :
« En fac de quoi ? »
« Droits. »
« Tous les deux ? dit-elle en se tournant vers le brun. »
Ce dernier se contenta de secouer la tête pour confirmer.
« Cool ! dit-elle. Me voilà en compagnie de deux futurs avocats. »
Le blond sourit, l’air confus.
Le brun regardait ailleurs.
Elle continua son interrogatoire :
« Vous n’avez pas de copines ? »
Le blond répondit aussitôt :
« Si, mais elle est partie en vacances avec ses parents. »
« Mince… Quel âge elle a ? »
« Dix-sept. »
« Comment elle s’appelle ? »
« Marion. »
« Vilaine Marion qui abandonne son chéri dans une cité pendant l’été… Et toi ? dit-elle au brun à lunettes. »
Le concerné eut un petit mouvement de recul et de surprise.
Mais il finit par répondre :
« En ce moment, je n’ai personne. »
Elle remua la tête et prit une gorgée de bière.
Quelques minutes plus tard, elle revint de la cuisine avec trois autres bouteilles qu’elle posa sur la table.
Elle se rassit entre les deux jeunes et dit :
« Alors, du coup, vous vous tournez les pouces dans le quartier en buvant des bières. »
Le blond haussa une épaule :
« Ben, on passe le temps. »
« L’été doit être long, dit-elle. »
Elle n’obtint pas de réponse et ajouta :
« Alors, pour le passer, vous sifflez les femmes qui se promènent en robe transparente dans votre rue… »
Les regards des deux jeunes évitèrent le sien.
Elle insista :
« Mais je ferais sûrement pareil si j’étais à votre place. Ça vous plairait de me toucher ? »
Les deux la fixèrent du regard.
Le blond dit :
« Quoi ? »
Elle prit une gorgée de bière et reposa sa bouteille.
« Est-ce que vous voulez voir mes nichons ? dit-elle. Arrêtez de faire vos timides. Il suffit de répondre oui ou non. Le premier qui répond oui aura le droit de me tripoter. Alors ? »
Il y eut quelques instants de confusion et d’embarras, mais le blond se décida finalement et dit :
« Moi, je veux bien. »
Alors elle dégagea son sein gauche de sa robe et l’exhiba en disant :
« Vas-y, tripote. »
Le sein portait les marques d’un maillot qui l’avait empêché de bronzer entièrement. Il était lourd et pendait un peu. Son auréole était large et son bout n’était pas encore dur.
Elle dit :
« Allez, vas-y, tripote. Il n’y a pas de piège. »
Voyant qu’il hésitait encore, elle saisit la main du blond et la plaqua sur son nichon. Le brun à lunettes regardait du coin de l’œil.
Puis la main se mit à malaxer.
La femme se tourna vers le brun à lunettes et dit :
« Tu veux tripoter l’autre ? »
Il secoua juste une épaule et elle sortit l’autre sein.
La minute suivante, deux mains la tripotaient et la bouche du blond lui suçait le téton gauche.
Et alors elle dit :
« Vous voulez que je vous masturbe ? »
Le brun refusa.
Le blond sortit sa queue qui était raide. La femme se mit à la branler, tout en embrassant le garçon sur la bouche, avec la langue.
L’autre suivait les gestes, tout en malaxant toujours le sein droit.
Et cela dura quelques minutes, jusqu’à ce que la femme dise :
« Lequel me pénètre en premier ? »
Ce fut le blond, évidemment.
La femme avait relevé sa robe et écarté ses cuisses. Elle n’avait pas de culotte et sa chatte était épilée au maillot. Sa touffe était fine. Sa moule était trempée et le brun à lunettes suivit des yeux son copain qui approchait son gland de cette chatte, puis l’enfonça.
Elle se tourna vers le brun qui n’avait toujours pas sorti sa queue :
« Après, c’est ton tour, dit-elle. Sauf si tu ne bandes pas. Tu bandes ? »
« Ben oui, dit-il. »
« Cool, dit-elle en baissant les yeux vers la bite qui pénétrait sa chatte, sans préservatif. »
Puis elle revint au brun :
« Tu veux me voir sans ma robe ? Tu préfères me baiser sur mon lit, à poil ? Tu veux que je suce ta bite pendant que ton copain me bourre ? »
Le garçon semblait tétanisé, mais elle persista et dit :
« Tu préfères me baiser après que ton copain ait déchargé sur les poils de ma chatte ? Dans ma chambre ? »
Il fit non de la tête, mais sans dire un mot.
« Moi, je sucerais bien ta queue pendant que ton copain continue de me pénétrer la chatte, dit-elle. Ou l’inverse ? Tu veux me sauter pendant que je suce ton copain ? Dis-moi ce que tu veux… »
Et le brun se décida à répondre :
« J’aimerais lécher votre cul sous les draps de votre lit, m’dame. »
Deux minutes plus tard, à poil, elle ouvrait grand ses cuisses sous ses draps et sentait aussitôt une langue s’immiscer à la jonction de ses fesses. Une langue, puis les lèvres d’une bouche qui semblait affamée, tandis qu’elle suçait la queue du garçon blond qui venait de la baiser.
Les lèvres d’une bouche, puis quasiment les dents, tellement il avait envie de lui dévorer le cul. Et le sperme de la bite du blond gicla dans sa bouche, sans prévenir. Ça lui fit comme l’effet d’un robinet d’eau brûlante dans la gorge. Elle avala un peu et recracha le reste.
Puis elle nettoya le gland avec sa langue, tandis que le brun continuait de lui bouffer l’anus, mais tout en lui branlant la chatte à présent.
Le blond quitta la pièce.
Et la femme se faisait toujours bouffer. La forme du corps du garçon sous les draps ne bougeait presque pas, mais elle lui palpait la tête.
Et quand elle souleva le drap et voulut savoir ce qu’il attendait pour la pénétrer, elle vit ses yeux fixés sur elle. Il avait l’air tétanisé d’un lapin au fond de son terrier.
Elle l’entendit lui répondre :
« Mon pote est parti ? »
« Oui. »
Et alors il bougea sous le drap et son visage remonta en surface. Puis elle sentit une énorme queue raide s’enfoncer dans sa chatte. Il ne s’écoula pas une minute avant qu’il gicle au fond d’elle. Ça la brûla, tellement c’était puissant. Le garçon poussait des gémissements de petit a****l.
Pour finir, elle le serra contre elle.
Elle l’enlaça en lui disant :
« C’était ta première fois, hein ? »
La tête du garçon remua contre son épaule.
Elle sourit et serra le corps encore plus fort.
« Mon petit chéri, dit-elle. »
Quand ils regagnèrent le salon, le blond était en train de finir sa bière dans le canapé. Il leva les yeux vers son pote et sourit.
La femme qui était toujours à poil lui dit :
« Maintenant tu te lèves et vous sortez d’ici tous les deux, OK ? Et que je ne vous reprenne pas à me siffler dans la rue, sinon je le répèterai à vos pères. Je les connais très bien. »
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