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127, chemin des Ifs

127, chemin des Ifs



Du 127, chemin des Ifs à Dourdan, rien ne sort. Ni son, ni nouvelles, ni patients. Seulement les 2 infirmiers et le directeur, de temps en temps, pour remplir les réserves de leurs logements de fonction. C’est tout ce que savent les habitants du village voisin au sujet du 127, chemin des Ifs. Ca et les rumeurs. De celles qui courent sans encombre dans ce genre de régions. De celles qui font parler dans les relais de chasse et chaque foyer du canton, à la fin des repas lorsque le vin et la poire ont fait leur effet. Après tout, cet établissement n’est qu’une maison de repos pour personnes fragiles comme une autre conclue-t-on souvent pour maintenir le consensus.

Pour Michaël, infirmier expérimenté de 45 ans, le 127 chemin des Ifs n’avait rien de mystérieux. Il représentait même la banalité du quotidien. Un quotidien de visites dans les cellules des patients et de l’entretien des installations. Avec Ludo, son jeune apprenti, ils habitent une petite maison sur le domaine. Cela leur permet de compenser leur faible salaire et surtout d’intervenir à tout moment en cas de problème avec les patients.

Justement, cette nuit, l’alarme retentit dans la chambre de Michaël. La patiente 17, Rose, semble agitée. En s’habillant, l’infirmier repense à cette jeune femme d’une trentaine d’années. Elle a été amenée ici par un taxi qui l’avait retrouvée nue sur les bords de Seine en plein Paris. Personne ne l’avait jamais réclamée ni visitée. Sa pathologie était obscure, mélange de mutisme et d’hystérie sexuelle. A en juger par les images de vidéos arrivant sur le téléphone de Michael, elle était plutôt dans une phase d’hystérie sexuelle cette nuit.

Prostrée dans un coin de la pièce, Rose avait réussi à faire jouer sa camisole suffisamment pour caresser son intimité à travers le tissu épais. Son entrejambe était trempée et elle se contorsionnait en tous sens pour se donner plus de marge de manœuvre dans son jeu pervers. Elle criait aussi à en rendre sourd. Mais ses cris étaient aussi bestiaux et totalement excitant. Quelque part entre le brame d’un cerf et le feulement d’une jeune biche délicate. Toute cette humidité achevait un tableau que Michael connaissait bien et adorait pour dire vrai.

« Encore en transe Rose cette nuit ? » demanda-t-il sans attendre de réponse en arrivant dans la cellule capitonnée. Il avait sa petite routine. Couper la caméra, découper délicatement la camisole le long des coutures pour pouvoir la recoudre mais laisser les mains et les chevilles solidement attachées. Michaël avait le geste sûr et professionnel malgré l’énorme érection qui déformait son pantalon de service. Il administra un léger calmant à sa patiente de la nuit et commença à caresser sa cuisse.

L’homme était un sacré gaillard, taillé comme un bûcheron canadien, il était pourtant assez doux avec les patientes. Surtout lors de ces séances de ce qu’il appelait sa « thérapie ». Il se proposait en effet de traiter le mal par le mal en satisfaisait les désirs des patientes atteintes de nymphomanies et autres troubles sexuelles. C’était la spécialité du 127 chemin des Ifs, accueillir des patients dont l’appétit sexuel avait complètement détraqué les structures mentales.

Et Michael avait un certain talent pour cela. Sa queue, massive lorsqu’elle était bandée, était aussi infatigable. Rose le savait et par-delà la folie et les calmants son œil s’alluma lorsque Michael commença à la caresser. Elle était allongée, les jambes recroquevillées, les mains entre ses cuisses. Le thé****ute, effleurait ses fesses parfaites avec le dos de sa main. Délicatement, pour la calmer autant que pour se préparer lui-même. Rose répondit à ces caresses de plus en plus pressantes en basculant sur le dos pour offrir sa nudité à son partenaire. Ses seins étaient déjà tendus par le désir et sa chatte touffue était détrempée de sa propre jouissance.

« Baise-moi toute la nuit » parvint-elle à articuler avec efforts.

Michael s’exécuta. Il avalait à pleine bouche le téton droit de sa naïade tout en malaxant délicatement sa chatte de sa main puissante. Ce téton était une merveille du genre, fin, rose et dur en bouche. Il jouait avec en libérant un flot ininterrompu de salive chaude et visqueuses sur la poitrine offerte. Après quelques minutes de ce traitement, la chatte de Rose était entièrement ouverte et juteuse à souhait. Michael s’en rendit compte et décida d’y goûter. Il savait la délicate saveur de la chatte de Rose pour l’avoir dégusté si souvent depuis son arrivée.

Cette fois ne dérogerait pas à la règle. Sa chatte était bouillante et son jus, épicé et légèrement acide emplissait la bouche de Michael. Il en profitait le plus possible, fourrant sa langue au plus profond du vagin de sa patiente pour en récolter le jus. Ses mains pétrissaient en même temps les fesses rebondies de Rose. Tout ce jus finit par entièrement détremper l’entrecuisse de la jolie nymphomane, s’immisçant même entre ses fesses. Michaël en suivit le fil de ses doigts jusqu’à venir caresser délicatement l’anus déjà dilaté de sa partenaire. C’est exactement à ce moment que la jeune femme eut son premier orgasme du soir. Alors qu’elle jouissait, son anus s’ouvrit et Michael y glissa un doigt humide. Ainsi prise, son orgasme se décupla et Michael put profiter de deux long jets de cyprine directement dans sa bouche ouverte.

Une fois Rose remise de ses émotions, il se releva, satisfait, la barbe enduite de la jouissance de Rose et fit glisser son pantalon pour découvrir son sexe bandé. Il était massif, long et épais. Nervuré de veine et émergeait d’un buisson de poils savamment maîtrisé. Ses couilles aussi étaient rasées. Il les prit dans sa main pour les caresser :

« Maintenant, tu vas avoir le droit de jouer avec ma queue. Mais tu connais les règles, si tu n’es pas sage, fini les orgasmes à volonté ! »

Michael savait qu’elle serait docile mais aimait la menacer et affirmer ainsi sa domination. Rose se remit sur ses genoux tant bien que mal avec ses bras entravés et entreprit d’avaler cette énorme queue.

« Commence par les couilles petite traînée, tu le sais pourtant ? » Rose se ravisa, elle le savait oui, mais avait très envie de ce gland chaud et gonflé dans sa bouche. Elle entreprit néanmoins de lécher consciencieusement les couilles rasées de Michael. Celui-ci lui caressait les cheveux pendant ce temps, intégralement pris par les vagues de plaisir que cette langue gluante lui prodiguait. Rose crachait maintenant abondamment sur les couilles et la queue tendue de son amant. Michael en se branlant, fourra son gland dans la bouche de Rose. Celle-ci, n’attendant que cela, se mit à le sucer goulûment alternant coups de langues rageurs et succion profonde. Michaël était aux anges. Il attrapa alors le visage fin de Rose entre ses mains et commença à lui baiser la bouche. D’abord doucement et profondément puis de plus en plus vite et fort. Rose maintenait sa bouche grande ouverte, encaissant les coups de boutoirs avec de longs râles de plaisir. Sa bouche n’était plus que le réceptacle trempé de cette énorme queue et c’est ce qu’elle aimait, qu’on jouisse d’elle.

Michaël ne tiendrait pas longtemps avec ce régime. Il remit donc Rose à quatre pattes, les fesses tendues vers lui. Il avait besoin de faire baisser sa propre excitation avant de baiser correctement cette déesse du sexe. Il décida donc de continuer son œuvre avec l’anus délicieux de sa partenaire. Il y fourra sa langue, le titilla délicatement, en caressa le pourtour le sentant, sous ses assauts, s’ouvrir de plus en plus. La chatte de Rose était encore trempée, il le sut en y fourrant un doigt alors qu’il léchait son cul. Les mouvements de sa langue et de son doigt se coordonnèrent pour décupler le plaisir de sa partenaire. Elle recommençait à gémir et à mouiller abondamment quand Michaël décida qu’il était temps de lui offrir sa queue. Il se releva juste, cracha sur son gland en le massant puis le fourra entre les lèvres ouvertes de Rose. Il lui caressait la chatte avec sa queue pour l’exciter encore plus lorsque d’un mouvement de bassin habile, la délicieuse nymphomane s’empala entièrement sur ce dard en hurlant son plaisir et son soulagement. Il comprit le message et cessa les délicatesses pour immédiatement pilonner sa partenaire. Son sexe gonflé entrait et sortait entièrement de son logement à une vitesse incroyable. Rose accusait le coup à chaque aller-retour mais elle en redemandait. Après de longues minutes, Michaël, essoufflé, sortit sa queue un instant. Il colla sa hampe contre l’anus de Rose, entre ses fesses délicieusement rebondies. Se masturber ainsi contre sa partenaire était un des plaisirs préférés de Michael. En même temps, il frottait ses couilles contre la chatte de sa partenaire pour profiter pleinement de son jus.

Michaël sentait la cellule vaciller sous le plaisir des éjaculations qu’il retenait en honorant sa partenaire. Cela faisait maintenant une heure que Michaël baisait frénétiquement celle-ci. Un éclair de lucidité lui rappela que la tournée du médecin arrivait. Il valait mieux finir et rhabiller cette petite salope avant son arrivée. Il sortir alors son sexe de la chatte béante de sa partenaire et commença à le masturber sur le cul de cette dernière. Rose, rompue aux habitudes de son amant nocturne, fit volte-face réclamant l’éjaculation dans sa bouche grande ouverte. Elle commença à lécher le dessous des couilles de Michael ainsi que son anus. Il adorait ça et ne put se retenir longtemps. Rose sentit l’homme se raidir et avala son gland juste au moment où celui-ci libérait de longues giclées de sperme chaud. Elle avala le tout goulûment tandis que l’infirmier reprenait ses esprits puis nettoyant tut le sperme qu’elle put trouver sur cette queue qu’elle aimait tant. Alors, enfin calmée, elle s’endormit sans demander son reste.

Quelle nuit ! Et dire qu’il fallait maintenant la changer et tout nettoyer avant le matin. Et demain, une nouvelle journée banale au 127, chemin des Ifs allait démarrer.

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